HetJa3d.htm
CECI EN VEILLEUSE16I2015Systme du
QuŽbŽcium.
GŽomŽtrie et nombre magique 30. ƒdification
d'un tableau symŽtrique 3D des ŽlŽments, de l'Hydrogne 1 au JanŽtium 120.
par Pierre Demers
26 dŽcembre 2014.
Version du 3I2015.
Traduction interdite.
Un tableau 3D plut™t que 2D.
Ceci continue un article dont le titre
contenait 2D au lieu de 3D. RŽf. 1.
Un tableau 2D se prte aisŽment ˆ la
consultation parce qu'il est plongŽ dans un monde 3D, qui laisse une dimension
libre pour y avoir accs. Un livre papier rŽclame d'tre feuilletŽ, un
ordinateur, d'tre exploitŽ. Un excellent exemple d'un tableau 3D est le
cerveau humain, que seul son porteur peut consulter. On conna”t le dicton :
"Quand un vieillard meurt, c'est une bibliothque qui s'Žcroule".
Tant qu'on n'aura pas rŽalisŽ une machine ˆ lire le contenu d'un tre humain,
veut veut pas! (Alors ce serait adieu aux mŽthodes de torture de la CIA.)
Une structure 3D ŽclatŽe d'objets opaques peut
certaines fois permettre au regard d'accŽder ˆ ce que l'auteur a voulu
installer et mettre en Žvidence. Cela implique un choix de ces objets parmi
d'autres. Les objets peuvent tre translucides. Par continu•tŽ, on peut
imaginer un prolongement ˆ un ŽlŽment de structure dont on n'aperoit qu'une
partie.
Ces mises en garde Žtant, voici en rappel deux
exemples de mes tableaux 3D. D'abord un Žchafaudage selon z de 4 surfaces
portant chacune l'Žcriture de l'une des strates 2D, au lieu de les placer c™te
ˆ c™te dans un tableau en demi-ellipse. Les symboles eux-mmes des ŽlŽments
restent 2D. L'espacement selon z peut se rŽgler pour qu'il n'y ait pas de
problme de lecture.
Un tableau
3D ˆ 4 Žtages plans.
Je transforme le tableau 2D en demi-ellipse en
un tableau ˆ 4 Žtages, une strate par Žtage. C'est une manire d'occuper 3D,
les strates conserevant leur statut 2D, Žtant Žcrites disons sur un support
papier. InspectŽ de c™tŽ, il n'offre pas difficultŽ particulire de lecture,
Ë venir.
Fig. 1. Le tableau en 4 Žtages, une strate
plane par Žtage
Ë venir.
Fig. 2.
BimensionnalitŽ
et tridimensionnalitŽ: le passage, le rŽsultat.
2D: la chose ˆ placer Žtait 2D: une Žcriture,
des chiffres. 3D: la chose ˆ placer 3D ˆ placer peut maintenant tre elle-mme
3D: un objet en ronde bosse. Je fais passer les cases de carrŽs plans ˆ des espaces
3D, des cellules occupŽes chacune par des sphres en assemblage compact. Je
remplace les cases 2D de Fig. 1 par des cubes.
Je pars du carrelage carrŽ ayant 8 cases de
c™tŽ. Fig. 3. C'est Fig. 6 de RŽf. 1, qui est 2D
Ouest - spin + Est
N
..
S
Fig. 3. Carrelage carrŽ ayant 8 cases de c™tŽ. Ouest O ˆ gauche, Est E ˆ droite. QbS2Fig297.3.gif
CopiŽ de RŽf. 1, Fig. 6.
Je remplace les carrŽs par des espaces cubiques
de mmes c™tŽs, ˆ destination quantifiŽe RJVB. J'Žtablis un logement
cylindrique vide dans chaque espace cubique. La hauteur du cylindre Žgale son
diamtre. J'ai ainsi 64 espaces capables de recevoir les atomes de chaque
strate. Par glissement sans perdre contact entre les cylindres, je les fais
glisser vers l'Est, la rangŽe la plus au Sud Žtant gardŽe fixe. Fig. 4.
J,attribue ˆ chaque espace un numŽro temporaire
de 1 ˆ 64, en correspondance avec les cases du carrelage carrŽ. Ainsi, je
destine les cases 29, 30, 36 et 37 ˆ des ŽlŽments R, s.
Fig. 4. Le carrelage de carrŽs est devenu un
carrelage de cylindres jointifs. On reconna”t le tracŽ de deux triangles
ŽquilatŽraux 1, 64, 57 et 2, 8, 56.de mme diamtre. QbSyst2eFig018c
Je remplace les cylindres par des sphres de
mme diamtre. Dans une opŽration hors du plan de la figure, je rŽalise une
rotation sans perdre contact, rabattant la partie triangulaire d'un tenant 2,
8, 56 sur l'autre partie triangulaire 1, 64, 57 restant fixe. Fig. 5.
5...6
Figs 5, 6. Rabattement hors plan de la partie
2, 8, 56 sur la partie 1, 57, 64 qui reste fixe. Au cours de cette manoeuvre,
la boule 29 reste en contact avec les boules 28 et 37. Une fois la manoeuvre
terminŽe, elle touche en plus la boule 36. QbSyst2eFig019c.gif QbSyst2eFig020c.gif,
Aprs le rabattement, le rŽsultat s'inscrit
dans un tronc de tŽtradre ˆ 2 niveaux. La sphre 29 repose sur les sphres 28,
36, 37, aussi bien que la sphre 56 repose sur les sphres 55, 63 et 64. Fig.
7.
. .
Fig. 7. Vue latŽrale de l'assemblage des 64
boules, il possde 2 niveaux supŽrieur 24 boules et infŽrieur 40 boules. Il
dessine un tronc de tŽtradre. QbSyst2eFig021.gif
Voici en numŽros temporaires.
Je signale une propriŽtŽ d'un assemblage
compact de 4 sphres Žgales en contact 3D, chacune touchant les 3 autres: il
s'inscrit dans un tŽtradre rŽgulier, les centres des sphres dessinent un tel
tŽtradre. Vu sous un angle convenable, son image dessine un carrŽ. Fig. 8.
. .
Fig. 8. Assemblages de sphres dessinant 3D
un tŽtradre et 2D un carrŽ. RetVbis2014-12-31
à 00.48.16.png
Je vois dans le carrŽ dessinŽ par les 4 boules
R la transposition du carrŽ de 4 cases carrŽs renfermant les 4 ŽlŽments H, He,
Li et Be de Fig. 9, avec cette diffŽrence qu'il y a 2 niveaux: 1H et 2He au
niveau supŽrieur et 3Li et 4B au niveau infŽrieur. Est est spin-, Ouest est
spin+,aussibienqu'en2D.
Fig. 9. Reproduite de Fig. 8 de RŽf.1. Placement 2D de H et de He. QbS2Fig298
Dans
Fig. 8, les boules R supŽrieures reoivent 1H 1s0- au NO et 2He 1s0+ au
SE.
ƒdification
du tableau tŽtraŽdrique de 120 boules.
Rgle
1. Je me donne pour chaque
strate la structure portante dŽcrite ci-dessus, avec ses 64 cases pour boules
dŽdiŽes RJVB, que je garnis partiellement sauf pour la 4e strate.
RŽgle
2. Je reprŽsente une espce
atomique par une une boule selon le plandŽcritci-dessous..
Strate
1. Du dispositif de Fig. 5 que
voici ˆ nouveau, j'utilise les boules R exclusivement. La boule 29R vient se
loger au niveau supŽrieur, au dessus des boules 28R, 36R et 37R qui la
supportent. Le reste du dispositif Fig. 10 est inutilisŽ.
Boules J. J20 vient se loger au-dessus de 19J, 27J et 28R; J21, au-dessus de J27, R28 et R36 R
Fig 5.
Les boules utilsŽes sont 28, 37, 36; 29
Fig. 10. Ë venir.
Strate
2. J'utilise ˆ nouveau le dispositif
de Fig. 5. Boules R. Dans une 1re opŽration, je rŽpte mes actes dŽcrits pour
la strate 1 pour les boules R.
J'ajoute une opŽration sur les boules J.
Boules J. J20 vient se loger au-dessus
de 19J, 27J et 28R; J21, au-dessus de J27, R28 et R30; J22, au dessus de
J34, J 43 et J44 .
Rgle
d'ordonnance dans l'Ždification: E
Je commence en haut, ˆ gauche.
J'ai 12 boules J ˆ loger. Les boules s'associent naturellement en
tŽtrades.
De la sorte, la 1re tŽtrade ˆ gauche est de
signe -, la suivante est formŽe de 2 boules - puis 2 boules +.
La strate 2 rŽpte pour commencer la structure de la strate 1. S'ajoutent 3 tŽtrades
J. La 1re ˆ gauche est entirement -. La 2e a 2 boules- puis 2 boules +: elle
mixte - et +. La 3e tŽtrade est entirement+ |
La strate 3 rŽpte pour commencer la strate 2. S'ajoutent 5 tŽtrades V.
D'abord 2 entirement -. Puis une mixte - et +. Puis enfin 2 entirement +. |
La strate 4 rŽpte pour commencer la strate 3. S'aloutent 7 tŽtrades B. D'abord 3 entirement -.
Puis une mixte - et +. Puis enfin 3 entirement +. |
j21 audessus de
Conclusion.
Par les structures macroscopiques ainsi
rŽalisŽes, j'espre mieux comprendre et faire comprendre les structures microscopiques des atomes eux-mmes.
Microscopiques et macroscopiques, ces structures ont des affinitŽs de
symŽtries, il est plausible qu'elles aient des ressemblancesgŽomŽytques.
Pardonnez, si besoin est, mon usage frŽquent du
discours ˆ la 1re personne du singulier, que je crois nŽcessaire pour
distinguer les propositions que j'offre, de celles qui sont couramment admises.
J'invite le lecteur ˆ les rŽciter pour lui-mme.
Un atome est un objet compact, dont les parties
sont ramassŽes dans un trs petit espace. Sa reprŽsentation par des graphismes
2D ou 3D est trs loin de sa rŽalitŽ; il faut y voir des Žbauches ŽclatŽes. Je
propose qu'un tel assemblage compact, mme s'il est difficile d'en inspecter
les parties, est plus prs de suggŽrer sa rŽalitŽ.
Je passe du carrelage de carrŽs 2D ˆ un
empilement 3D compact ou ŽclatŽ, de boules. RJVB pour marquer le quantum SPDF,
le spin et Zeeman le quantum m sont discutŽs sŽparŽment.
RŽfŽrences.