Deux points du Qb 14XI2014
La singularit numrique
comme voie de lecture
du Tableau priodique.
Yvan Morin. 21XI2014
NDLR 1. Symbole du Qubcium: Qb non Qc.
NDLR 2. Rf.
Le 2014-11-19 19:02, cparentymorin@videotron.ca
a crit :
Bonsoir,
de mon ct (mais ailleurs que de chez moi et, par
l, de faon plus compliqueÈ), je vois la thse de Jedrzejewski en document
attach aux deux prcdents courriels que je vous ai fait parvenir. Si elle n'tait
toujours pas jointe au prcdent courriel que je voua ai fait parvenir au
moment o vous le recevez, j'espre que le site internet qui y est indiqu
y palliera, savoir [PDF]Diagrammes et Catgories
- Hal https://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/19/32/92/PDF/These-FJ.pdf.
Le document est en PDF. En
passant par les outils PDF qui s'affichent en l'ouvrant (juste ct de
l'afficheur pour le droulement des pages), il est possible de l'agrandir et le
format en devient fort lisible.
Bien vous
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Yvan Morin
P.S.: en la version3 ci-jointe de mon propre
document, petit ajustement au principal paragraphe de la page 29 et un
paragraphe supplmentaire la fin, page 32. Ce dernier paragraphe fait le lien
avec un volet de mes recherches antrieures relatives la Renaissance
philosophique, o je m'tais attach cerner le rapport mtaphysico-thologique
entre l'tre (dj distinct de l'tant, savoir Çce qui estÈ) et l'un, titre
unique et irrductible au multiple qu'il y organise. Quand j'ai dcouvert la thse
de Jedrzejewski, j'ai pu y lire, en particulier en conclusion, tout un
rapport de l'unant (mathmatisant) avec l'tant (proprement physique), ce qui
relevait strictement de l'pistmologie des sciences, en particulier en
s'appuyant, synthtisant et exposant la problmatique de
Grothendieck, et ramenait sur le terrain des vaches toute cette
question mtaphysico-thologique.... ce que j'avais par ailleurs commenc
entrevoir via Galile.
<Deux points du Qc3.docx>
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En passant de Planaire Numrique (EPN) lors de laquelle tout
nombre au carr N2 s'intgre chaque fois la sous-srie des nombres l'Expansion
Linaire Numrique (ELN) impliquant la srie des nombres entiers positifs (N)
l'Expansion entiers de 1 au N2 mais exprim en termes de N (ex: 2 donne 22=4 avec
sous-srie 1,2,3,4), on peut en examiner les sommes s'y distribuant dans une
figure carre de NxN cases (en l'occurrence 2X2) selon les horizontales,
verticales et deux diagonales principales. Pour toutes les EPN impaires,
compter de 32,
et pour toutes les EPN paires, compter de 42, il est possible de trouver ces
sommes de faon ce qu'elles soient toutes gales entre elles, voire d'en dgager
un pattern de progression distributive qui est pleinement tabli compter de 92 et de
102 et
qui permet d'en prdire les EPN ultrieures, autant globalement que selon
toutes et chacune des sous-couches planaires
2 2222
(par exemple, un 9comporte les
sous-couches 3,5,7,9selon des sommes H/V/D respectivement gales
123,205,287,369). Tout un tableau progressif et dductif de rsultats prdictibles
en merge. Pour un bref aperu d'ensemble des EPN, voir l'Appendice.
La difficult essentielle qui
survient ds le dpart et qui se poursuit tout au long de ce premier dveloppement
jusqu'au point de pouvoir prdire ces EPN ultrieures, rside en une tonnante
singularit numrique, savoir que 22=2x2=2+2=4. Aucun autre nombre
entier, en lĠoccurrence premier (divisible uniquement par lui-mme et par 1),
ne produit autant automultiplicativement quĠautoadditivement un mme nombre
entier rpsultant, lequel est lui-mme le tout premier nombre entier non
premier, savoir 4. Prcisons tout de suite que l'important n'est pas dans le
simple contenu numrique mais d'abord, aussi et surtout dans la mise en forme
numrique de tout autre ensemble de nombres selon les proprits de cette
singularit numrique.
En ce sens, en examinant
incessamment cette difficult numrique inhrente la singularit numrique,
en ayant chaque fois la rsoudre jusqu'au moment de pouvoir en dgager des
patterns prdictibles,
plusieurs de ses proprits se sont rvles. Pour les rsumer le plus
succinctement, la singularit numrique du si unique nombre entier et premier 2
vhicule les ides autant de pairage, relationnellement au ressort de tout
champ ainsi au moins minimalement configurable, que de tptrade ne le
configurant effectivement quĠen le rendant graphiquement reprsentable et
analysable, au gr de son autoaddition (2+2), surtout comme forme sommative
pairant des paires de contenus numriques, et de son automultiplication (22), figure par un carr correspondant apte recevoir cette forme
sommative. Cette autoaddition et cette automultiplication concident et rsultent
de faon unique dans le tout premier nombre entier non premier, savoir 4, tout
en inscrivant en cette toute premire srie de nombres pairs (1,2,3,4) la toute
premire srie de nombres impairs (de 1 3), justement au seuil des EPN.
Or, cette teneur formatrice de la singularit numrique, oprant dj
ainsi numriquement des ELN aux EPN, s'est avre aussi oprer au ressort du
Tableau priodique des lments physico-chimiques. Deux points en sont ici
examins. D'abord l'intgration de diverses expressions du Tableau priodique,
en l'occurrence de l'ellipse du Qubcium la quadruple lemniscate de Muradjan
mais s'en trouvant elle-mme en retour granularise. Puis l'enchanement
interconnectant les solides entre les diverses chelles quantiques.
1) Intgration de
l'ellipse du Qubcium dans la quadruple lemniscate de Muradjan
Cette singularit numrique est
ici mise au point de dppart dĠune relecture du Systqme du Qupbpcium (dĠabord
118 plpments, puis 120 lments) en le rintgrant dans le Tableau de Mendlev
pour y dceler en quoi il le modifie au gr de sa propre volution, ds lors
ressaisie en sa gense et, par l, en son mergence. Surtout, en considrant ce
Tableau de Mendplpev la faoon dĠun Tore carr plat en raccordant les cts
opposs et faisant que ce qui y sort dĠun ctp y entre de lĠautre, comme en sa
reformulation par Janet, celle-ci est son tour plus avant reformule et
acquiert un nouveau sens. Une telle reformulation est sans doute celle du
Tableau 1 suivant1 :
|
Par cette reformulation, Demers fait
ressortir son originalit et son antriorit historique et proprement gntique
quant cette approche relativement une publication faite par Tsimmermann.
Dans son Systme du Qubcium, son approche gomtrique ttradique se rvle de
fait ttradrique (ou autrement toile), ce qui revient dire fonde sur n au
seul niveau ls, tous les autres niveaux (lpdf) sĠen trouvant granulariss et
adjonctivement intgrs, ultimement par mises en pquerre. LĠinspiration de
Janet, de fait Janet-Scerri est fort
1 Schmatiquement adapt (en
retenant ici les seuls numros atomiques des lments, sans leur nom, leur
spin, etc) partir de Pierre Demers, Systme du Qubcium. Le ttradre dans
la classification des lments chimiques. Une note historique. Une version
originale du tableau ttradrique des lments, EAPD, 12-2612010, Fig 15,
Adomah2ai (png), page 16, http://www.lisulf.quebec/QbtetraNveau.htm
vidente2.
Enfin, le Systme du Qubcium, en sĠen tenant initialement aux seuls lments
de 1 118, sĠintpgrait la ppriode 1 du Tableau de Mendlev en diagonalisant
les lments 1 (Hydrogqne) et 2 (Hplium) mais en laissant lĠautre diagonale
vide, du moins jusquĠ la
prise en considration des lments 119 et 120 avec effet ÇbumpÈ
faisant refluer tous les alcalins au point dĠemplir cette seconde diagonale par
les lments 3 et 4, le tout croisant donc n=1 avec n=2, etc jusquĠ n=7 avec
n=8, issus de la figure ci-haut schmatiquement reproduite. Ce qui importe,
cĠest que tout le Systqme du Qupbpcium, jusquĠen cette volution et en ses
diverses formes en (quart, demi, totale, ) ellipse, se trouve ainsi ramen
sa genqse et son pmergence et, via lĠinterface de Janet, est
ainsi rendu gpnptiquement
comparable, en son elliptique
teneur granulaire, avec la quadruple lemniscate de Muradjan.
En effet, cette reformulation (bien que selon une rotation de 90
degrs dans un sens horaire
intervertissant lĠhorizontale (ppriode) et la verticale (famille
des propriptps)
mendleviennes et, depuis l, selon une
seconde rotation mais de 180 degrs intervertissant le tout en miroir
gauche-droite au ressort des prsentes colonnes) correspond la disposition
planaire que Janet lui donnait. En y dcalant toutes les colonnes lpdf dĠune colonne gauche et en les ajustant
ainsi avec ls, elle peut, dans le Tableau 2
ci-dessous, y revenir (en y dpfaisant les deux rotations) mais en la dotant
dorpnavant dĠun rle de ÇnÈ adhrant de faon plus vidente aux priodes mais
entires (non de moitis mises en querre) de Mendlev et ce, autant selon
des npg (nombres les groupant) que selon
chacun des quatre moments angulaires entiers de Lspdf leur correspondant (en suivant le fil z des numros
atomiques de 1 120, chaque srie z des numros atomiques tant alors incluse
entre son premier et son dernier termes seuls ici mentionns) :
|
2 Voir Pierre, Demers, Systme du Qubcium, Mise en querres du tableau
de Janet-Scerri des lments priodiques, 2611-81112010, http://www.lisulf.quebec/EquerreJanetSc.htm.
Une telle reformulation du propos de Janet
sĠinspire de celle de Muradjan, qui, lui, en tire la formule mathmatique (r2 =2a2 cos(2φ)) dĠune expansive
lemniscate tptradique autant de Npg=4npg2 dĠplpments groupps, o npg (nombre groupant les priodes selon des
blocs entiers issus de Lspdf
pour en grouper les lments
z) vaut 1, 2, 3, 4 et fait correspondre chacune de ces valeurs aux n correspondants
(nombres quantiques principaux indiquant les couches lectroniques en cause et
intgrant les priodes de Mendlev). Dans le Tableau 3 ci-dessous, le npg est indiqup au dpbut et la fin de
chacune des doubles boucles sĠenchanant en lemniscate. Sa quadripartition est
ainsi ddoubl en miroir et dpartage en consquence le fil des 120 lments en
1-4 (1-2/3-4), 5-20 (5-12/13-20), 21-56 (21-38/39-56), 57-120 (5788/89-120),
mais non sans indiquer alors le cumul des moments angulaires (L) des orbitales
de lĠplectron sĠplargissant du plus central s vers le plus priphrique p, d,
f, ce cumul tant lui-mme inversement considr (donc aussi en miroir) selon
M, comme projection de ce moment angulaire, et doubl de Spin. Cette expansive
lemniscate nlm sĠavqre biasymptrispe, une fois considre en ce double miroir
(nlm-spin+|nlm-spin-° (n+1)lm-spin-|(n+1)lmspin+) en chaque paire de
double suite de Lspdf, en blocs ds lors entiers, selon
les tats excitps de H (Hydrogqne) en sĠintpgrant mais, pour ce faire, en en dpliant
le granulaire quaternaire crois qui est issu de la version du Systme du
Qubcium3:
nlm-spin+|nlm-spin-°
(n+1)lm-spin-|(n+1)lm-spin+
|
Examinons ce qu'il y avait dj dans le Systme du Qubcium. Le
granulaire quaternaire crois, en toute partie de toute querre en sa version
, va du haut-gauche (dit Nord-Ouest) vers le bas-droit (dit Sud-Est) pour
passer de nlm-spin- nlm-spin+, puis du bas-gauche (n+1)lm-spin-vers le
haut-droit (n+1)lm-spin+. LĠinterface entre la projection planaire selon les
quatre coins cardinaux (Demers) et le corps verticalis et latralis
autrement reconnu sa source (que jĠintroduis) donne un tout
nouveau visage la
gomtrie analytique issue du plan
cartsien et, par l, la configuration atomique ainsi dpcrite et classifipe
mais en ptant dĠabord et avant tout considprpe en son interface nlm et spin.
Les quatre Tableaux dtaills ci-dessous (4a,4b,4c,4d) indiquent le cheminement
effectu pour d'abord relire le Systme du Qubcium la lumire du Tableau de
Mendlev et rvler ainsi visuellement en quoi celui-ci s'en trouve modifi
(Tableaux 4a,4b), pour ensuite aboutir aux deux Tableaux (4c,4d) en ayant
constitu la matire intgrable la quadruple lemniscate de Muradjan dans le
Tableau 3 ci-haut, lĠun intpgrant et clairant alors cette version par le
Tableau de Mendplpiv (via Janet), lĠautre en transposant le rsultat de faon dtaille dans la
quadruple lemniscate de Muradjan.
http://www.lisulf.quebec/QbBiomath2004.1.html3 P. Demers, Systme du Qubcium. Le tableau elliptique des
lments, http://www.lisulf.quebec/QbBiomath2004.l.html.
Tableau
4a : Relecture du Systme du Qubcium ( 118 lments) le rintgrant dans le
Tableau de Mendlev
|
Tableau 4b : Relecture du Systme du Qubcium
( 120 lments) le rintgrant dans le Tableau de Mendlev Grille de lecture
des Tableaux 4a et 4b (et du Tableau 4cv3/4 plus loin)
: nx ls/fdpms-+ z
nx: nombre quantique principal (un
entier naturel non nul) mais crois (en x), en allant en chaque subdivision
quadripartite
(autant entre les 4 nombres
atomiques z du centre quĠentre les quatre pquerres de chaque contour 3, 2, 1)
du haut gauche (dit
Nord Ouest) vers le bas droite (dit Sud Est) et du
bas gauche (Sud Ouest) vers le haut droite (dit Nord Est). Au niveau du
centre (ls), la progression de n est celle des priodes,
en tant que, sur base de la 1re, inaugurant chaque nouvelle
sous-couche plectronique sĠajoutant cumulativement aux prpcpdentes.
ls/fdp : nombre quantique secondaire (valeur
entiqre dans lĠintervalle (0; n-1) du moment angulaire de lĠorbitale de
lĠplectron,
au sens dĠune fonction dĠonde
probabiliste faisant que lĠplectron se trouve en lĠespace donnp par un tel
moment angulaire. En indice, ls est distingu de lfds comme le centre (ou contour 0) lĠest des contours 3,2,1, le tout
constituant lĠexpression orthogonale (relativement aux priodes) des familles
de proprits physico-chimiques ainsi regroupes et elles-mmes issues et
distingupes en 18 colonnes dans le Tableau de Mendplpev. Surgit alors le cas
de lĠplpment 2 (Hplium) par lequel sĠinstaure le rapport problpmatique entre
ses proprits physico-chimique incitant, si li puisse-t-il par ailleurs tre
lĠplpment 1 (Hydogqne), le placer dans la colonne18 (incluant aussi lĠplpment
118, dit Qupbpcium, et faisant partie du contour 1) du Tableau de Mendplpev,
dĠune part, et, dĠautre part sa valeur ls incitant
le placer plutt dans la colonne 2 de Mendlev, donc, non plus dans le
contour 1, savoir lp, mais dans ce centre ls mais non sans paradoxalement lĠy dissocier ainsi de son rapport avec
lĠplpment 118 (dans la colonne 18) pourtant cens constituer le vecteur mme du
Systme du Qubcium. Via le Systme du Qubcium, Pierre Demers choisit
constamment et, par l, systmatiquement cette seconde alternative (ds lors
hypersymtrisante), tandis que les Tableaux 4a et 4b ci-haut, en le rintgrant
dans le Tableau de Mendplpev, remettent jour lĠpcart inaugural (sans doute
dĠemblpe biasymptrisant et ce, du 2 au 22 lments) qui est nonc par la premire alternative et qui fait
ressortir que cet lment 2 constitue lĠinterface entre lĠplpment 1 et autant
tous les autres (lorsquĠil y avait118 plpments) quĠavec les plpments 3
(Lithium) et 4 (Bprylium) et seulement par l avec le reste de tous les autres
(lorsquĠil y a 120 plpments).
m : nombre quantique magntique (valeur entiqre dans
lĠintervalle (-l; l)) quantifiant la projection du moment angulaire et
variant en sens inverse de l, donc du rapport centre-priphrie inhrent
l.
s-+ : spin, dĠabord npgatif (la moitip
Gauche du x du nx), puis positif (la moiti
Droite du x du nx), spin qui ne peut prendre
que
les valeurs -1/2 ou (parfois dits up et down).
Notons que le spin est une propriptp intrinsqque de lĠplectron et est
indppendant des trois premiers nombres quantiques ci-haut, de sorte que surgit
la problmatique tensionnelle entre son initiale situation contextualise en
ceux-ci pour progresser ensuite lui-mme du positif vers le npgatif, selon la
rqgle de Hund indiquant ainsi la faoon de peupler dĠplectrons les spinorbitales
en cas dĠpgalitp dĠentre elles, dĠune part, et, dĠautre part, la
suraccentuation par Pierre Demers, au ressort du Systqme du Qupbpcium, sur les
spins qui sĠassocient par quatre de faoon saturante pour dessiner dĠabord un
tptraqdre, au sens du plus petit nombre suffisant de surfaces planes pour ÇenfermerÈ
(dployer, en termes expansifs??) un espace 3D (alors et seulement alors courb?),
puis pour dessiner un cube, ensuite un octadre et enfin un rhombododcadre,
le tout progressant en l, en lĠoccurrence en termes de demi-blocs spins
figurs en querres ttradiquement articuls en carrs successifs (extrieurs
et enveloppants, ici dans les Tableaux 4a et 4b, voire intrieurs, plus loin
dans le Tableau 4cv3/4).
z : nombre atomique (de 1
118 ou 120) indiquant tout lment qui rsulte des quatre nombres quantiques ci-dessus
(en tant
que constituant le spinorbital nlms), voire du rapport
problpmatique entre les trois premiers ( savoir lĠorbitale atomique
correspondant nlm) et le quatriqme (spin correspondant s) qui vient dĠtre
prpcpdemment mentionn et que les Tableaux 4a et 4b reprsentent.
On sĠaperooit que,
dĠemblpe, comme l'a inspirp Janet et la faoon d'un Tore plat carrp o la
colonne qui disparat gauche rpapparat droite, le Systqme du Qupbpcium
sĠinaugure par la conflagration de la toute premire colonne ( savoir 1) avec
la plus lointaine ( savoir 18) et que cette mise en boucle sĠpnonce par la
quadrature initiale du 22. Du fait que le 22 est lui-mme son propre contour, il sĠagit
du contour 0, ce quoi, en progressant ainsi travers les alcalins selon les
ppriodes correspondantes, peuvent sĠajouter les contours 1 (colonnes 13-18 du
Tableau de Mendlev), 2 (colonnes 3-12 du Tableau de Mendlev), puis 3
(colonnes qui sont intermdiaires entre les colonnes 1-2 alcalines et les
colonnes 3-18 mais numrotes 19-30). Chaque coin du 22 initial se dote
alors du nombre dĠplpments correspondants et mis en pquerre (ou angle droit)
selon le contour 0, 1, 2 ou 3 en cause, savoir respectivement du nombre 0, 3,
5, 7 dĠplpments, ce dont mergent des totaux respectifs globaux qui sĠajoutent
au 22, savoir 4 cases initiales, mais en tant que les multipliant, dĠo
respectivement 4+0 ( savoir 4x0), 4+12 ( savoir 4x3), 4+12+20 (
savoir 4x5), 4+12+20+28 ( savoir 4x7) lments4. Ds lors, partir du 22 sous forme de 4
cases (orthogonalises 2x2, au ressort de toute ventuelle mise en querre ultrieure)
o se combiner deux par deux ( la faon de 2+2), tout en rappelant ainsi la
singularit numrique, la srie de quatre strates de ttrades 1, 4, 9, 16 rsulte
en suite de 4, 16, 36, 64 lments, dite suite du Qubcium5 (respectivement
centre (ou contour 0), puis sĠajoutant successivement et cumulativement les
contours 1, 2, 3 dans les Tableaux 4a et 4b ci-hauts). On constate ainsi que le
Systme du Qubcium substitue des proprits numrisables (au gr du 22 par lequel les
gpomptriser lĠptat pur en 4 cases) aux proprits physico-chimiques indiques
par les colonnes (ou familles) du Tableau de Mendlev et
que cela dpcoule dĠun tout nouvel accent, via les
alcalins (plus lĠexception notable de lĠplpment 2), sur les ppriodes (du moins
dans la version initiale de 118 plpments avant lĠintpgration des plpments 119
et 120 qui, par reflux, va ensuite dphaser par surcrot le synchronisme
inaugural, ici dĠabord examinp, entre les ppriodes alcalines constituant les
centres et les priodes des autres lments en constituant les contours).
Comprenons bien que la forme elliptique du Systme du
Qubcium 120 lments est totalement sature et que c'est cette forme mme
qui, relativement au Systme 118 lments, est au ressort de l'effet ÇbumpÈ
faisant refluer tous les alcalins et ce, l'image de leur clture globale et
commune faisant partir du dernier lment (ramen au 120e par-del le 118e
initial qu'est le Qubcium et qui s'en trouve donc en son principe mme dj dphas)
pour redescendre par vlage au premier lment, savoir l'hydrogne. Nous dcelons
ici le mode mme par lequel le Systme du Qubcium se pense, sa forme
elliptique instaurant autant sa clture que son vlage. Si un lment 121 (a
fortiori toute la priode au complet) surgissait, le Systme du Qubcium
4 Ce sont ces nombres 0, 1, 2, 3 qui, en sĠimposant comme
progression gpomptrique dĠun centre (dont le contour concide avec lui en tant que 22) vers les contours toujours plus ppriphpriques quĠils
dpsignent comme autant de multiple de 22 au sens non moins gpomptriques de 4 cases mais en sĠy additionnant, se
substituent aux nombres 1, 2, 3, 4 qui pmergeaient autrement avec lĠEPN 22 mais en sĠy inscrivant. On aperoit la transformation numrique originaire
au ressort, non plus de son propre lan de l'ELN en EPN, mais du gomtrique. Ë
la faon de la formule d'identit d'Euler, savoir 1+eiı=0 o eiı vaut -1, au ressort de la
lemniscate mais
ici virpe en l'envers sous forme d'ellipse par laquelle en pourfendre la
croispe centrale et la rendre ppriphprique, cĠest par autosoustraction ou
autoaddition ngative de -1, bref par autoannihilation de la progression
autoadditive de 1 (au sens de +1) et avec lui-mme en son envers quĠest -1,
que ces nombres-ci sont remplacs par ces nombres-l et ce, au gr de la gomtrisation
mais pure qui sĠy trouve en cause et qui sĠen trouve elle-mme mesure comme
telle. Et on notera que cĠest bien lĠultime progression mergeante 4+0 (
savoir 4x0), 4+12 ( savoir 4x3), 4+12+20 ( savoir 4x5), 4+12+20+28 ( savoir
4x7) que Demers peut assimiler une platonisante suite de certains solides
alors ainsi gomtriquement considrs, selon que 22, aprqs sĠtre instaurp comme tel en sĠautoadditionnant avec
son automultiplication par 0 (Tptraqdre exposant 4 faces), sĠautomultiplie ensuite par 3 (Cube exposant
mentalement 6 faces mais seulement 3 par 3, puisque seule leur moitip sĠoffre
une vision physique directe, tandis que lĠautre moitip sĠimagine en miroir),
par 3+5 (Octaqdre exposant 8 faces) et, abstraction faite de 3, par 5+7
(Rhombododcadre exposant
12 faces), cette progression correspondant exactement celle des regroupements
des colonnes du Tableau de Mendlev, en tant que regroupement-division de
deux priodes en deux paires des hmipriodes en cause, i.e. en quatre, bref 22, mais chaque fois
selon le nombre dĠplpments en cause (3, 5, 7) en chacune de ces hmipriodes alors mises en pquerre (en couvrant
extprieurement mais expansivement, au grp des contours sĠajoutant, lĠangle
orthogonal de chaque coin du 22 central). Voir le Tableau 4a, puis le Tableau
4b. 5 P. Demers, Systme du Qubcium. Obtenir le Systme du Qubcium
partir des nombres premiers, http://www.lisulf.quebec/ACFAS2058-9h02PremiersQb24XI2011.htm, quebecium.htm. Voir aussi P. Demers, Systme du Qubcium.
Obtenir le Systme du Qubcium partir des 1ers principes, Une tentative de gomtrie
quantique, http://www.lisulf.quebec/Nouscherter.htm.
Bref, nombres premiers (surtout au seuil des nombres non premiers que constitue
4 et qui engage la singularit numrique) et 1ers principes (gomtriques et
quantiques, certes, mais tout aussi numriquement considrs, comme cela est prcis
en la prcdente note 4) peuvent converger et s'intgrer au ressort du Systme
du Qubcium. Il s'agit aussi des deux volets qui en sont examins par le prsent
texte partir de la singularit numrique.
120 lments en serait fondamentalement remis en
question quant sa clture mais non quant son inscription dans le Tableau de
Mendlev, depuis lequel le relire, dont la conception mme reste ouverte et
travers lequel
il
peut donc lui aussi sĠouvrir et se dynamiser en se dpcortiquant i.e., la
fois, en se dpcomposant et
recomposant.
Par exemple, la reprsentation spirale de Benfey, date de 1960, cherchait,
la fois, remdier
aux
discontinuitps (dĠautant plus prppondprantes du fait des valeurs discrqtes
quantiquement convenues) et
laisser ouverte la possibilit des
superactinides.
En
privilgiant la forme initiale quart dĠellipse, voire demi ellipse (qui aligne
par surcrot les centres, essentiellement issus des alcalins (mis part
lĠplpment 2)) afin de mieux suivre cette progression, il est possible de relire
le Systme initial du Qubcium (composs de 118 plpments, avant lĠintroduction
des plpments 119120) en le rpintpgrant dans le Tableau de Mendplpev afin
de souligner en quoi il le modifie, en lĠoccurrence, ici, dĠabord en
redistribuant autrement la suite des plpments, donc la suite de leurs nombres
atomiques correspondants, cĠest--dire en la brisant par un croisement, non
plus orthogonal (entre les horizontales priodes et les verticales familles de
proprit), mais diagonal, justement issu du 22 en question et propag travers ses contours
sĠy ajoutant. CĠest ce quĠillustre le Tableau 4a ci-dessous. En le comparant
avec le Tableau 4b qui lui fait suite, on sĠaperooit du Çbump effectup au
niveau des centres (essentiellement alcalins, plus lĠexception de lĠplpment 2),
du fait de lĠintroduction des lments 119 et 120. Enfin, dans ces deux
Tableaux, tout passage de la demi-ellipse lĠellipse sĠeffectue alors tout
simplement, sur base de lĠembotement du tout, en prenant chaque colonne pour
la diviser tout aussi verticalement en deux et pour en reporter la moiti de
droite (ct Est
selon le langage de Demers) totalement la
droite (donc lĠEst) du Tableau en question.
Notons d'emble, en comparant les deux
Tableaux, que, dans le Systme du Qubcium 118 lments, le centre (alcalin)
compose numriquement le dbut et la fin de la diagonale numriquement la plus
petite du contour 1, puis le dbut de l'querre la plus en haut gauche du
contour suivant (2, puis 3) et encore la fin en bas droite du contour 1. Il y
a expansion horizontale vers la gauche en haut en progressant dans la suite des
paires de priodes successives autant regroupes deux par deux, mis part la
toute premire, que disposes en querre. Par contre, dans le Systme du Qubcium
120 lments, le centre alcalin compose numriquement le dbut et la fin de
la seule demi-colonne la plus droite du seul contour 1 et ce, respectivement
du bas vers le haut. Bref, contrairement au premier cas 118 lments,
l'expansion ne progresse plus horizontalement vers la gauche (en haut) en mme
temps que verticalement mais d'emble uniquement verticalement, au sens d'un
enchanement purement priodique et ce, au gr d'un centre li au seul contour
1.
Par
contre, dans la quadruple lemniscate de Muradjan, lĠapproche dyadique de Janet
(Nd prcdemment largie
2222
et traduite en Npg=4n) sĠy reformule Nd=2n
=4no la singularit numrique est d'emble mise en vidence par 22, o n la dmultiplie
selon des valeurs 1, 2, 3, 4 et dont merge 4 (2 vis--vis 2), 16 (8 vis--vis
8), 36 (18 vis--vis 18) et 64 (32 vis--vis 32) lments mis les uns la
suite des autres (respectivement les lments 12/3-4, 5-12/13-20,
21-38/39-56 et 57-88/89-120) en suivant leur expansive et quadruple lemniscate mergeant
de la formule mathmatique r2=2a cos(2φ), pour un total de 120 lments6. Ce qui est ainsi
remis en question cĠest, non pas seulement la constitution des cases au profit
de leur succession en des demi-blocs de priodes elles-mmes pairpes comme dans
le Systqme du Qupbpcium, mais lĠordre mme des priodes qui tait mis de
lĠavant par le Tableau de Mendplpev (2, 8, 8, 18, 18, 32, 32 plpments), qui se
poursuivait mme chez Janet et
6 Il est crucial de comparer avec la prcdente note 4 pour
bien s'apercevoir du changement de paradigme numrique au ressort de la gomtrie
bien autrement mathmatiquement rsultante: partant d'une mme singularit numrique
au ressort des ttrades, la quadruple lemniscate s'appuie bien sur
l'autoaddition positive de 1 avec lui-mme au ressort de la srie 1,2,3,4,
tandis que l'ellipse encadrant le Systme du Qubcium s'appuie plutt sur
l'autoaddition ngative (ou autosoustraction) de 1 avec son envers -1 pour
transposer toute cette srie en une autre qui s'nonce plutt 0,1,2,3.
qui ne correspondait pas avec le nombre maximum
dĠplectrons constituant les configurations plectroniques
selon
la formule N=2n2 (de sorte que N = 2, 8, 18, 32). Le fait de dyadiser et de redoubler N
comme Nd=22n2=4n2, autant sur fond de la singularit numrique que
selon une quadruple lemniscate biasymtrisante en mergeant et se rintgrant
l'ordre mme des priodes qui a t mis de l'avant par le Tableau de Mendlev,
ne clture plus, mais au contraire, en sens inverse le faisant encore davantage
progresser, parachve la mise jour de ce qui avait commenc merger depuis
Janet. Bref, le problme rsoudre en est donc bien un menant de 2 22 comme
multiplicateur de ÇnÈ lui-mme, non des seules cases par lesquelles le reprsenter
gpomptriquement.
Ceci ptant dit, notons que la lemniscate (en forme de °) superpose
verticalement la paire dĠplpments 1 et 2 de haut en bas sur la gauche pour
ensuite croiser diagonalement de bas en haut le seul plan en sa symptrie
dĠensemble et y superposer la paire dĠplpments 3 et 4 sur la droite aussi de
haut en bas, puis revient
en
diagonale de bas en haut gauche pour mettre (non plus symtriquement en deux
demi-blocs mais asymtriquement leur bloc entier) les lments de 5 10 Çen querreÈ
et, via les plpments 11 et 12, repart dĠen haut droite pour aussi mettre Çen querreÈ
(encore asymtriquement) les lments de 13 18 leur correspondant, etc, le
tout constituant donc une dynamique biasymtrie. Notons que ces mises en querre
sont celles de mesures de la longueur (ou dure) de priodes entires, non plus
de demi-priodes mises en correspondance comme dans le Systme du Qubcium. Et
ces mesures s'effectuent selon la formule
mathmatique
r2=2a
cos(2φ). Selon ls, par-del les quatre premiers lments des
colonnes 1 et 2 de Mendlev, savoir 4n2 o n vaut 1, leurs couples suivants de paires
dĠplpments (en interreliant deux ppriodes) ne sont plus croiss entre eux,
comme dans le Systme du Qubcium, mais au contraire mis en vis--vis de part
et dĠautre des deux branches de la lemniscate, seule (au niveau de sa
gpomptrique distribution dĠensemble dĠemblpe mathpmatiquement formulpe en tant
que telle) en faire le point pivot des croisements quĠelle seule effectue.
Or, si chaque lment peut tre dcrit de faon symtrique dans les trois
autres groupes dans les trois axes Haut-Bas, Gauche-Droit et Diagonal, il
apparat que la symtrie Gauche-Droit, qui est inhrente lemniscate, joue
un rle privilgi quant aux proprits physico-chimiques, savoir les
colonnes du Tableau de Mendlev qui trouvent ainsi sĠarticuler avec la
longueur (dure) des priodes. Autrement dit, les 120 lments sont physicochimiquement,
selon lspdf, en correspondance directe avec lĠexpression
mathpmatique de la longueur (durpe) des priodes les exprimant, selon ÇnÈ mais
multipli non plus par 2 ( un premier niveau de pairage autant gauche quĠ
droite uniquement symptrisant) mais par 22 ( un second niveau de pairage dĠemble biasymtrisant
par la double diagonalisation croisant, par exemple si n=1, la ligne des lments
mdians, par exemple 2 et 3, avec la
ligne
des plpments extrmes de la sprie, en lĠoccurrence 1 et 4). En somme, la
croispe nĠest plus tant entre les
lments
(autrement non seulement atomiques mais atomiss, en tant rduits eux-mmes)
que depuis leur
unique
mais expansif fil dĠensemble Çz prenant ainsi seul forme dĠune lemniscate
successivement plargie avec un tel ÇnÈ entre eux selon lspdf.
CĠest le fil des plpments qui, sous forme dĠune expansive lemniscate, prpside
au fil des cases, non plus tant ces cases qui se fixent (depuis le spin ttradiquement
considr comme plus petit espace Çenfermant un espace 3D) jusquĠen leur fil
et qui y tirent celui des lments orbitalement considrs (nlspdfm).
Il sĠagit dĠune genqse, en lĠoccurrence de toute la structure en lemniscate,
non plus tant, en sens inverse, dĠun vplage faisant redescendre son seuil,
sans npcessairement le franchir, depuis une structure toute constitupe, au
point dĠen tre close, bien que susceptible dĠtre rpouverte et dynamispe par
sa rpinscription dans le Tableau de Mendplpev, ce qui permet par surcrot de
camper et de suivre lĠenvers de la lemniscate propospe
par Muradjan. Ainsi, se trouve mieux
circonscrite la problmatique des rapports inversement tendus et polariss
entre nlm et spin qui a t mise en pvidence dans la prpcpdente Grille dĠanalyse.
Et l'on en comprend mieux les articulations inverses entre orbital nlm et spin,
puisque la quadruple lemniscate progresse de celui-l celui-ci, l'elliptique
Systme du Qubcium allant plutt en sens inverse. C'est pourquoi aussi la rfrence
au corps mme (par exemple gauche-droite) reste pertinente dans la biasymtrisante
lemniscate (dont justement la gauche et la droite sont en miroir), l o le
Systme du Qubcium incite plus, comme dans le trajet du spin vers l'orbital,
s'environner depuis lui-mme et tout dcrire en cet environnement en consquence
(en l'occurrence Ouest-Est). Les divers langages eux-mmes n'expriment les
diverses conceptions mises en jeu qu'en les dployant et refltant jusque dans
leurs figurations. Enfin, rappelons que si la quadrature exacte du cercle est
impossible, celle de la lemniscate, elle, au contraire, est possible.
Le Systqme du Qupbpcium 118 plpments sĠinaugure par
le nombre et lĠplpment 1 (Hydrogqne) mais en tant que le nombre et lĠplpment 2
(Hplium) sĠy trouve si lip quĠil y entre en conflagration (bref sĠy trouve
tplescopp), ce qui est le problme originaire du passage du 1 au 1+1 quĠest 2,
tout comme seul le Systqme 120 plpments instaure dĠemblpe le 22 comme tel, non
seulement par la prise en compte inaugurale (ds le tout premier centre) des
nombres et lments 1, 2, 3, 4 correspondants et emplissants alors pleinement
les 4 cases en cause, mais en
ptant ainsi centralement confrontp au tout
premier passage de lĠexpansion linpaire numprique (de 1 1+1 quĠest 2)
lĠexpansion planaire numprique ( savoir 22, au sens de (1+1)1+1). Toutefois, il faut, dĠabord, aussi et
surtout tenir compte de lĠasymptrie totale et abyssale rpsultante entre le(s)
nombre(s) et plpment(s) 1(voir aussi 3 et 4) et le nombre et lĠplpment 2,
justement en tant que respectivement de la colonne 1 (voir aussi la colonne 2,
en largissant lĠapport alcalin) et de la colonne 18, car cĠest en et par cet
pcart inaugural crucial que lĠexpansion physico-mathpmatique proprement dite se
distingue de lĠexpansion planaire numprique en mme temps que, sĠil est mis
jour et pris en compte comme dans les deux Tableaux 4a et 4b ci-haut, le
principe gpnptique du Systqme du Qupbpcium. CĠest en cet pcart originaire et
fondateur que se dpploient autant les centres successifs (en progressant
travers les ppriodes en mme temps quĠ travers les alcalins, encore et
toujours avec la notable exception du nombre et lment 2) que les contours
successifs (rintgrant mais par grappes, en termes hmi-ppriodiques prenant
forme dĠpquerres correspondantes, les colonnes mendleviennes).
En
ce sens, insistons sur le fait que le nombre et lĠplpment 2 correspond aussi
la colonne 18 de Mendplpev, donc au nombre et lment 118 (dit Qubcium) y
figurant aussi, de sorte quĠen considprant celui-ci isolment de celui-l, a
fortiori de son conflagrant (tlescopant) lien avec le nombre et lĠplpment
1 qui correspond lui-mme la colonne 1 de Mendplpev, lĠanalyse
physico-chimique par perte dĠplectrons semble seule subsister et sĠimposer,
voire concider, avec une analyse dqs lors purement mentale (seule apte
saisir le Systme en question en sa teneur structurale), ce qui va de lĠplpment
118 lĠplpment 1, en lĠoccurrence sous forme de vplage, comme en lĠeffondrement
de pans entiers de glaciers lors de leur fonte, le tout se renforoant, voire se
fixant
et se durcissant en se clturant d'autant plus pleinement que saturment, du
Systme 118 lments au
Systqme
120 plpments. Le problqme nĠest pas tant que lĠanalyse, par le nom mme du
Systqme et auparavant censpe sĠeffectuer compter de 118 (par surcrot
autrement dpnommp que Qupbpcium par dĠautres chercheurs), devrait dorpnavant
sĠeffectuer compter de 120, mais lĠenfermement sĠen suivant si le rapport
proprement
gntique du Systme en question avec le
Tableau de Mendlev est ainsi perdu de vue, ce que, au contraire, rtablissent
les deux Tableaux 4a et4b ci-haut
Ce
point est particulirement crucial quand on se rappelle que, sur fond mais
par-del le Big Bang initial (sion Big Bounce, Multivers, etc), lĠpvolution de
lĠunivers a drastiquement changp au point de passage de lĠhydrogqne (lment 1)
lĠhplium (lment 2) et quand lĠon comprend que, fondamentalement, cĠest cela
qui est en cause au niveau du principe gntique du Systme du Qubcium : la
conflagration (ou le tlescopage) en question constitue une remontpe en sens
inverse du devenir de lĠunivers et le vplage subsistant (d'abord de cet lment
2 en cet lment 1 pour aussi s'effectuer de l'lment 118, voire 120, en ce mme
lment 1, non plus l'inverse), surtout sĠil en est par surcrot isolp et
dissocip pour ne plus tre considprp quĠen lui-mme un niveau purement et
elliptiquement global, ne peut plus tre que rsiduel et anachronique, littralement
en en remontant le temps ainsi pralablement et conjointement occult avec ce
devenir. Il s'agit plutt d'en restituer
lĠpcart
originaire l mme o cette conflagration (ou ce tplescopage) tend se
produire et y camper ce vplage
comme ce qui
sĠen plance et en constitue une analyse non plus tant lĠptat pur et a
priori (mais anachronisante et d'autant plus originairement inversante que
conjointement postulatoire pour ne plus tre que dductive) que diffrenciatrice
et a posteriori. Bref, le Systme du Qubcium a tout intrt se
brancher sur la nuclosynthse originaire dont a merg l'univers matriel. Par
l, on peut commencer apercevoir tout ce que peut ventuellement apporter la
considration des divers tats de l'hydrogne mis en vidence par Demers
travers tout le Tableau priodique, surtout granulairement exprim et intgr
la quadruple lemniscate de Muradjan.
En
effet, cet hydrogne, rappelons-le, nĠest au ressort du Tableau ppriodique
quĠen constituant le tout premier plpment atomique issu de la nuclposynthqse
initiale (Big Bang), quĠil soit lger (proton seul et dit, avec son lectron,
de masse 1) ou lourd (avec neutron supplmentaire), dit deutrium (de masse 2),
dont la dure, trs brve au tout dbut du Big Bang, aurait fait place celle
de lĠhplium (aussi de masse 2), comme lment 2 proprement dit, plus stable et
ce titre, intgr au Tableau priodique. LĠhydrogqne, surtout ainsi considprp
en ses divers ptats, peut ne plus tre dĠabord refoulp une extrpmitp dĠune
reprpsentation elliptique du Tableau priodique, du moins pour ne plus tant y
indiquer une dgradation ultime d'emblpe partir de lĠplpment 118 (dit Qubcium),
voire des lments 119-120 ultrieurement intgrs, que d'abord conjugue avec
cet lment 2 et d'autant plus considre depuis celui-ci que s'y trouvant sise
comme en son tout premier tremplin (minemment synthtisant)... en mme temps
que son tout premier ÇdgradantÈ (et analytique) vlage possible. C'est ce que
Muradjan permet de situer dans la moiti gauche (mais conjugue avec les lments
3 et 4 constituant la moiti droite) de la toute premire lemniscate inaugurant
centralement le Tableau priodique et en en prservant dĠemblpe le dynamisme
originaire jusquĠen les lemniscates suivantes, savoir l mme o achoppait gntiquement
le Systme du Qubcium, au profit de sa seule et elliptique mais uniquement
entropique structure, jusqu' prsent. CĠest de l que, moyennant leur
conjointe transfiguration dĠinorganique en organique mais tout aussi dynamique,
peut tre puisp le calcium des os, le fer sĠy trouver fixp en lĠhpmoglobine
lors de la constitution du sang alors lui-mme susceptible d'tre mis en
circulation sanguine, le phosphore sĠintpgrer lĠATP, lĠeau (H2O)
et plus gnralement les liquides tre osmotiquement en cause (selon leur ratio
avec le sodium (Na) et al) ou tre autrement mobiliss, en particulier par le
MRP (Mouvement Respiratoire Primaire
ostpophatique) mais via les tensions fasciales
(en particulier myofasciales) en conditionnant dĠautant mieux la circulation
dĠensemble que l'unifiant rythme d'ensemble pmerge ontogpnptiquement et indique
le phylogntique taux volutif de flexion crnienne alors en cause. Autrement
dit, c'est d'abord depuis le grain ultimement ramen aux divers tats de
l'hydrogne mais en une quadruple lemniscate nantiodynamiquement biasymtrisante
bien davantage qu'en une globale symtrie nantiomorphiquement elliptique
(l'inversant en mme temps qu'en trafiquant le vlage), qu'il s'agit de passer
comparativement de la physique, de fait physicochimie -chimie y passant elle-mme
d'inorganique organique-, la vie, surtout la vie humaine.
Le
double mouvement dĠexpansion horizontale (allant de la ÇdroiteÈ, au gr des
contours successifs, vers la ÇgaucheÈ o se trouve les centres) en mme temps
que verticale (en progressant travers les priodes), dans le Systme 118 lpments,
puis uniquement dĠexpansion verticale (mais en dpsynchronisant les ppriodes
centrales et les ppriodes en contour, si ce nĠest par une traction accrue vers
la ÇdroiteÈ), dans le Systme 120 lments, surtout en passant par surcrot
de la demi-ellipse la pleine ellipse, en rvle un certain nantiodynamisme
dĠensemble qui, dĠemblpe (par sa teneur proprement biasymptrisante), encadre et
donne sens lĠpnantiomorphie purement symtrisante qui surnage et qui est
autrement seule retenue et organise, non plus en lemniscate, mais en ellipse
la virant l'envers et en intervertissant centre et priphrie. En ce sens le
langage Nord-Sud/Ouest-
Est,
mme sĠil peut paraitre plus objectivant et susceptible de renforcer
lĠapparente neutralitp du diagonalisant
croisement
au ressort du Systme du Qubcium, se dpartit aussi du mme coup des
avantages que peut par ailleurs procurer un langage intpgrant lĠobservateur, en
tant que Haut-Bas/Gauche-Droite correspond bien
autant lĠorthogonalisant croisement mendplpevien
(Vertical/Horizontal) quĠau parcours du Systqme du
Qubcium, du moins si considr en son ensemble partir
de l, comme cela ressort de la comparaison entre les deux Tableaux 4a et 4b
ci-haut7. Si une particule ne peut pas tre identifie par sa masse, du fait
que celle-ci dpend de son entourage8 (plus prcisment et ultimement du Boson ou
champ de Higgs constituant la force susceptible de la lui octroyer ou non), a
fortiori tout Systme de ces particules dpend lui aussi de son entourage,
en particulier du langage par lequel celui-ci permet dĠen dpgager le sens
(pvolutif, selon lĠexpansion en cause) et dĠen retracer le devenir.
Or, la latralit humaine
peut aussi se dcrire comme une biasymtrie neurofonctionnelle contralatralement
exprime autant crnialement entre yeux et, via un rflexe crois, l'oreille interne
dite oppose qu'entre membres infrieurs et membres suprieurs s'y trouvant
respectivement associs de faon privilgie mme l'nantiomorphique ipsilatralit
entre les cts gauche et droit. Il peut tre tonnant de constater que nous
trouvons cette pchelle
biasymptriquement latpralisante un phpnomqne homologue celui prpvalant
lĠpchelle
quantique, quant aux
constituants fondamentaux de la matire que sont les lectrons (dont le
spin-haut (de fait de bas en haut) et le spin-bas (de fait de haut en bas), par
surcrot effectivement figurs mais non nomms
comme ptant aussi
respectivement lpvogyre et dextrogyre, dqs lĠincorporation de la relativitp
restreinte dans la
mcanique quantique par
Dirac9 et, non les protons et les neutrons, mais leurs quarks, eux aussi
basiquement dits ÇupÈ et ÇdownÈ10 , avant de sĠalourdir respectivement en ÇcharmÂ
et Çstrange et, enfin, en Çtop et ÇbottomÈ, au gr de leur mise en
interaction toujours plus forte par les mdiateurs gluons, comme autant
dĠplastiques sĠexprimant
plus fortement pour les retenir lors de leur spparation et les laissant
autrement circuler
librement lors de leur avoisinement11. A ce niveau
subatomique, il devient vident que le spin ne peut plus seulement tre celui
de l'lectron, ce qui en transfigure tout le rapport avec l'orbital nlm,
puisque celui-ci ne monte plus jamais depuis ce spin de l'lectron en
constituant le Tableau priodique qu'en se modulant ainsi intrieurement par
les quarks, a fortiori leurs mdiateurs gluons, plus encore en regard du
Boson ou champ de Higgs par lequel ceux-ci en viennent constituer la masse mme,
laquelle affecte a fortiori d'emble, si ce n'est directement, du moins
indirectement, via l'orbitale nlm en cause, tout spin de l'lectron et donne
d'ailleurs seule le numro atomique z permettant d'tablir la progression de ce
Tableau priodique en termes des lments le constituant. On aperoit encore
mieux en quoi et comment tout le rapport entre orbital et spin peut se
reconfigurer du Systme du Qubcium la quadruple lemniscate de Muradjan.
7 Plus encore, objectiver est bien si lĠon sĠaperooit et sĠassume sĠy
projeter, surtout si cĠest analogiquement, en se reportant et en transposant du
rpel au schpmatique Systqme qui est proposp. CĠest encore mieux si, pour ce
faire, lĠon sĠy reconnat dĠabord sĠy situer, bref sĠy doter de repqres (en
lĠoccurrence dits cardinaux), et, par l, y agir, ce qui ne sĠeffectue quĠ
partir de son corps verticalis (Haut-Bas) et latralis (Gauche-Droite), le
tout ptant ainsi sagittalement projetp lĠhorizon pour constituer le champ par
lequel sĠy mettre observer, selon les objectivants repqres en question et
selon ce qui sĠy offre alors lĠobservation sĠeffectuant elle-mme sous un
angle et un moment donns. 8 P. Demers, Systme du Qubcium. Double
sens du concept dĠlment et dfaut de masse, 9 et 10 III 2010, http://www.lisulf.quebec/DouSensPerte.htm.
Une case mendplpevienne se rapporte ce qui se trouve lĠorigine et du corps
sĠy trouvant en question et du composp en lequel il entre et qui en suscite le
devenir. Toutefois, il ne peut sĠagir dĠun plpment abstrait (dĠautant plus en
risque de substantialisation que pur) quĠen lĠayant abstrait (par un acte
mental) et ce, dĠabord et avant tout en ayant fait abstraction (par un acte non
moins mental et au ressort du prcdent) de tout le reste, savoir lĠentourage
en question par lequel le contextualiser et en constituer le lieu environnant,
en lĠoccurrence dans le composp, en mme temps quĠen rpvpler le lieu propre
(inhprent au corps mme). 9 Selon Jim Baggot, La particule de Dieu. Ë la dcouverte
du boson de Higgs,
Paris, Dunod, 2013, 10. 10 Comme le rappelle Baggot,
2013, 69. 11 Toute cette conception lastique
mais ainsi quantiquement situe pourrait constituer une base un tant soit peu
plus tangible et susceptible de sous-tendre la thorie des cordes
respectivement tendues et relches et, par l, de leurs expressions en boucles
non moins espectivement fermes et ouvertes.
Le tout expose la teneur quantique de la masse inertielle et sĠexprime
donc non moins ptonnamment quĠen sens inverse de la gravit, comme force qui,
tout en opprant distance, nĠest au contraire jamais aussi forte quĠen
courbant la distance elle-mme et en rapprochant ainsi ce qui sĠy trouve et
n'est jamais aussi faible quĠavec lĠploignement, savoir lĠaugmentation de la
distance en question, asymptotisant cette courbure. C'est ce que problmatise
le fort expansif Big Bang en sĠaccplprant et, par effet Doppler, en faisant se
dcaler autant la lumiqre vers le rouge, au sens dĠune onde de moindre
frpquence, plus longue et, par l, plus ample, quant une
telle courbure, que l'ventuel son (s'associant via
l'oreille externe l'oreille interne) vers le son grave lorsque le mme corps
en question s'loigne ainsi, comme cela ressort bien de la voyellisation
langagire menant du son plus aig ÇiÈ vers le son plus grave ÇaÈ comme faon
de phontiser par ces divers degrs d'aperture buccale, donc depuis son corps
propre, ce qui se produit en son environnement et ce dont la consonnantisation merge,
puis, en y refluant, encadre et dcoupe plus analytiquement jusqu'en la rsultante
syllabisation. C'est par celle-ci que se forgent parole (individuante), langue
(socialisante) et langage (spciant), d'abord en l'oral, puis de l'oral l'crit
et enfin en se rintgrant depuis l'crit mais alphabtis (faisant reprendre
visuellement des phonmes autrement audibles) l'oral lui-mme, en particulier
pour rendre compte des deux langages ici figurativement considrs et articuls
(lemniscate et ellipse) partir de la singularit numrique.
La
qute quantique dĠun pventuel graviton (encore hypothptique mais ainsi
susceptible dĠtre mieux cherchp) pourrait tre celle dĠune particule
mpdiatrice accplpratrice entre les particules mpdiatrices dpj retracpes.
Celles-ci sont le photon, comme rpfprentielle vitesse de la lumiqre pour
lĠplectron et pour tout lĠplectromagnptisme
W+
(lui-mme au ressort de
longues chanes, dont lĠultime ADN en la vie), mais li autant avec les bosons
W et Z0 pour lĠinteraction faible, lors de laquelle
protons et neutrons se convertissent entre eux, quĠavec et surtout les gluons
(oprant dj en sens inverse de la gravit comme ci-haut signal) pour les
quarks constituant ces derniers, quoique selon une considpration dĠensemble
down (de fait du haut vers le bas), autant des down (amplifi) que des up (pris
rebours) des constituants fondamentaux (lectrons et quarks), en regard de
lĠinertiel, en lĠoccurrence du champ de Higgs, qui opre en sens inverse et par
lequel rsister cette accplpration et constituer ainsi leur masse. DĠo une
toute nouvelle figure de la distinction de lĠaccplpration, que le graviton
produit et laquelle lĠinertiel rpsiste selon une quantitp pnergptiquement
densifipe de matiqre constituant la masse, relativement la vitesse mais rfrentielle
la lumire, elle-mme en lĠoccurrence au carr, selon l'quivalence masse-nergie,
savoir m=E/c2. La problmatisation quantique ne porte plus seulement sur la
trajectoire, par le principe d'incertitude d'Heisenberg, mais sur le champ mme
et ses flux, par le boson de Higgs, au sens d'un ÇinertonÈ, savoir un
inertiel rsistant toute acclration, d'abord et avant tout l'acclration
produite par la gravit, voire un ÇgravitonÈ, ressemblant dj fort un
anti-gluon (ou un gluon opratoirement vir l'envers), si ce n'est, en sens
inverse, une simple dcompensation de la gravit dans le
gluon opprant d'emblpe en
un sens inverse et en constituant le miroir. La flottante marge dĠincertitude
devient encore plus radicale et large quĠen son pnoncp initial qui sĠptait
limitp aux seules position et vitesse (chez Heisenberg), du fait d'un champ de
Higgs, au ressort autant dĠune masse ou non que de lĠinterface pnergptique
(respectivement haute et
faible) entre la symtrie et sa brisure. Cette interface prside sa gense et
cette brisure est alors susceptible de mdiatiser cette symtrie et de la
transformer en une nantiodynamique
biasymptrie lĠpchelle
dĠun tel champ mais non sans rpvpler que cette symptrie mme n'est plus tant
nantiomorphiquement donne mais rsultante, de fait
diversement rsultante et ds lors fort diffrenciable.
C'est une telle nantiomorphisante
symtrie mais donne dans le Systme du Qubcium qu'il s'agit de rvler plutt
et d'autant plus rsultante qu'inscrite dans l'nantiodynamique biasymtrie
mise en jeu par la quadruple lemniscate de Muradjan. Son germe et sa voie de
passage se trouvent dans le Systme du Qubcium lui-mme mais en sa version
3/4.
Tableau 4cv3/4 : Partant du Tableau 4b, par double pliage ramenant ses carrps
dĠpquerres en une seule pquerre tptradispe, relecture du Systme du Qubcium (
120 lments) en sa version le rintgrant dans le Tableau de Mendlev et
ce, en y prservant sa source ou justification gntique par les tats excits
Hydrogne ainsi rsolus quant leurs interversions z
|
N.B. : en superposant du
haut vers le bas (ds lors voil) et en embotant le centre en son contour 1,
ne parat plus que la version quart dĠellipse en blocs cubiques superposps
dessinant une pyramide quadrangulaire, mais vue en projection plane. Voir la
teneur originale du ÇSystme du Qubcium http://www.lisulf.quebec/QbBiomath2004.1.htmlÈ.
Notons que
dans ce Tableau 4cv3/4, le Systqme du Qupbpcium commence restituer
lĠorganisation par famille de proprits physico-chimiques, en lĠoccurrence par
les colonnes mendplpviennes pairpes, o les diffrences prvalent mais au
moins apparaissent et peuvent tre prises en compte, et leur expression
rintgrant dans le Tableau de Mendlev permet de
visualiser et, par l, de bien garder lĠesprit la modification, non plus
seulement gomtrique, mais proprement lmentaire propose et elle-mme
susceptible de courber la gpomptrie en cause. Par
exemple, le passage dĠun Systqme 118 plpments un
Systme 120 lments ne repose pas tant en son ramnagement
structural, pour ainsi dire non affect
mme si diversement exposp (quart, demi et complqte
ellipse), mais en lĠeffet Çbump rendu visible par la
comparaison
entre les Tableaux 4a et 4b et contemporain, voire au ressort du remplissage
des 4 premires
cases
du centre originaire. Il sĠagit dĠune remontpe lĠorigine, ce qui sĠaccentue
en sĠinterrogeant sur les ptats excitps de lĠhydrogqne, savoir lĠplpment
dĠhydrogqne (davantage que la seule case o il se trouve et qui en figure la
gpomptrie en la gpomptrie dĠensemble) pour constituer le Tableau 4cv3/4.
Et comme lors du Big Bang, la nuclosynthse atomique faisait se condenser
neutrons et protons en hydrogne lourd (deutrium, voire tritium) et ce, en
contemporaine et mergeante interface avec lĠhplium (de type 3 et 4, voire, par
le fait mme, au ressort des lments 3 et 4 que sont le Lithium et le Brylium),
se questionner
sur les ptats excitps de lĠhplium mais
relativement cet ptat excitp de lĠhydrogqne, ne nous en apprendrait-il pas
davantage, dĠabord en prenant conscience et en mettant jour et en pvidence le
problqme cerner, puis auquel sĠattaquer pour le rpsoudre?
On aperoit plus analytiquement comme ce
Tableau 4cv3/4 a pu s'intgrer la quadruple lemniscate de
Muradjan, de sorte que nlm sĠy soit intgr le spin selon une formule en double
miroir correspondant aux ptats excitps dĠhydrogqne
|
Les ptats excitps dĠhydrogqne, selon les 4 expansions
successives en lemniscate sont :
|
nlm-spin+|nlm-spin-° (n+1)lm-spin-|(n+1)lm-spin+, selon leur
biasymtrisante formule en double miroir
|
En voici le dtail, par lequel la version 3/4 du Systme du Qubcium
et ses divers tats de l'hydrogne se trouve intgrs dans la quadruple
lemniscate de Muradjan, en retour granulairement constitu (Tableau 4d)
|
|
Cette
formule en double miroir (nlm-spin+|nlm-spin-° (n+1)lm-spin-|(n+1)lm-spin+) est
tptrapdiquement inhprente au fil de lĠexpansive lemniscate et, pour ce faire,
dpplie et aligne la formule
croise (dont chaque terme est toujours lu de
gauche droite) de Pierre Demers qui se reconnat en toutes et chacune des ttrades,
ds lors granulaires, du Tableau 4cv3/4:
nlm-spin
(n+1)lm-spin+
(n+1)lm-spin
nlm-spin+
Du
moins, une fois cette formule croispe dĠabord elle-mme ainsi redresspe, car,
avant dĠy venir, comme dans le Tableau 4cv3/4 ci-haut qui en
reprend le contenu tel quel et ne le modifie quĠen le rpintpgrant dans le
Tableau de Mendlev, Pierre Demers a longtemps tendu exposer le Systme du
Qubcium en
procpdant
en un sens snlmz plutt que nlmsz, ce qui est fort loin dĠtre un dptail
anodin, puisquĠil sĠagit dĠune faoon systpmatique (ainsi systpmiquement
exprimpe) de penser. Notons bien le dpcalage, voire lĠinversion, advenant du
concept au langage servant lĠexprimer : nlm et s se conoivent comme dfinissant
compltement et respectivement lĠorbitale et le spin de lĠplectron mais de
sorte que lĠon parle alors de spinorbitale associe ce quadruplet nlms mais
ainsi dit, au moment o on le dit, snlm, ce rapport entre nlm/s et s/nlm nonant
au niveau quantique une problmatique semblable celle qui a
prvalu quant au rapport entre hliocentrisme
(Soleil/Terre) et gocentrisme (Terre/Soleil) comme modle
sĠptendant alors lĠensemble de lĠunivers
matpriel et initialement si fortement dpbattu pour faire place
lĠhpliocentrisme avant dĠaboutir ensuite la thorie de la relativit qui en
constituait le champ et en faisait plutt deux rfrentiels autorisant deux
perspectives diffrentes. Tout le problqme est de savoir si lĠon suit
nominalement le langage (spin-orbital) au point dĠy plier la conception mme
(allant plutt de lĠorbite au spin) en un sens purement formaliste et
elliptique ou si lĠon maintient plutt cette conception orbite-spin jusquĠen
l'inversion qu'elle y subit, pour autant que lĠon sĠest auparavant dotp du
cadre thorique gntique de la quadruple lemniscate permettant dĠen rendre
compte jusquĠen la structure qui en surgit ainsi en lĠinversant mais qui n'est
plus ainsi elle-mme tant ouvertement gnre que clturment entropique (selon
un vlage lui-mme trafiqu comme prcdemment signal).
Or
ce fil gpnptique est celui de la longueur intpgrale des ppriodes considprpes
autant en tout quĠen leurs
parties au sein et en mme temps que leur
succession mme (davantage que la simple succession de cases de toutes et
chacune dĠelles), certes, mais aussi de lĠenchanement intpgral, justement
selon une telle mise en double miroir, des ÇcolonnesÈ de Mendlev rvises
via Janet, savoir des proprits physicochimiques des plpments en cause.
Ce double miroir est lĠexpansive et quadruple lemniscate mme et se dpploie
dĠabord au sein des ptats excitps dĠhydrogqne H1-H3 entre les tout premiers 4 lments
alors mis en jeu, de sorte que lĠplpment 1, mais via lĠinterface de lĠplpment
2, le tout du ctp gauche, est bel et bien au ressort de lĠenchanement du ctp
droit par les plpments 3, puis 4. Le rapport en double miroir ptant
ainsi
inter-lmentairement gnr inauguralement, il se redouble extrieurement une
premire fois au niveau de H mme (H2-H4 et H5-H8) mais en suscitant au terme
de chaque double un nouvel approfondissement intrieur de ce double miroir
inter-lmentairement gnr (He et H11), puis encore une seconde fois
(H7-H9-H10-H13 et H12-H15-H17-H19, en menant respectivement H18 et H25) et,
enfin, une troisime fois (H14-H16-H20-H21-H24-H26 et H22-H23-H27-H28-H29-H31,
menant respectivement H30 et H32). En somme, toutes les tptrades, loin dĠtre
tout simplement dĠautant plus gpomptriquement que granulairement fixpes,
sĠenfilent dqs les premiers quatre plpments et constituent dĠemblpe un enchanement
pvoquant la temporalitp en cause et, dqs lors, autant insufflpe quĠapte
courber (et seulement par l, savoir a posteriori, fixer) lĠespace
ainsi gpomptriquement considprp, voire mieux se prter lĠinterrogation gntique.
En particulier quant la nuclosynthse inhrente au Big Bang, quant la
structure en cause, a fortiori quant lĠplpment le plus lourd
susceptible dĠen rpsulter, surtout si cĠest au seuil de lĠinstabilitp en
pvoquant le vplage (Tableau 4a) ou encore dĠun effet Çbump de deux lments
lourds supplmentaires en faisant refluer toute la srie centrale (ls) de
deux en deux jusquĠaux premiers (Tableau 4b). Quant la structure mme, notons
que la forme elliptique complte du Systme du Qubcium se fige dĠautant plus
quĠelle renvoie aux extrpmitps les plpments 1 et 3, dĠun ctp, et 2 et 4, de
lĠautre. Cette extrmisation elliptique des quatre premiers lments est une condition
ncessaire la formation elliptique mme. Par contre, la quadruple lemniscate
de Muradjan se structure inversment, en mettant plutt minemment ces quatre mmes
lments au centre pour non seulement
retourner
et dpployer depuis l les deux moitips dĠellipse mais en courber lĠppaisseur au
point de les boucler de part et dĠautre, au grp de la quadruple lemniscate rsultante.
Notons bien cette figuration inverse et pour ainsi dire dialogique, si ce n'est
dialectique, entre l'ellipse et la lemniscate. La mme problmatique a dj t
dcouverte et mise jour dans les microanalyses de l'EPN 42, avec rebord
correspondant dans toutes les EPN paires ultrieures, ce qui faisait contraste
avec les EPN impaires dont la diagonale croise en 45 degrs par rapport aux
orthogonales verticale et horizontal n'a commenc se
2
22
rvler
en son effet papillon en lemniscate qu'avec 9et de fait, de 9 17, mais un
niveau global par lequel coordonner en leur ensemble toutes les inversions
lemniscatiques selon un elliptisant Tore plat carr ( la faon du Janet retenu
par Demers relativement son parachvement par Muradjan).
Autrement, le fil mme des lments enchans travers le Systme du
Qubcium, une fois rintgr dans le Tableau priodique de Mendlev (mais rvis
par Janet et repris ce titre par Muradjan), se rvle onduler, du fait mme
de la mise en srie des croisements en cause, surtout si, comme dans un Tore
plat carr (jouant un rle quivalent un espace courbe faisant se rejoindre
ses deux extrmits), ce qui arrive un bout de la surface plane sĠavqre
entrer et se poursuivre par lĠautre. Cette ondulation ne constitue pas
seulement lĠinterface entre le Systqme du Qupbpcium dĠautant plus
gpomptriquement que granulairement fixe et lĠexpansive ellipse l'exprimant.
Elle la prpare et en fait sa matire mme, en tant quĠelle peut s'y reconnatre
inverse (par la valeur si indppendante du spin pesant jusquĠen la valeur de
lĠorbitale nlm) mais non sans pouvoir revenir elle-mme et se l'intgrer (par
la valeur de lĠorbitale nlm qui, titre dĠorbitale, constitue justement une
telle fonction dĠonde exprimant la probabilitp pour quĠun
lectron se trouve en son espace, et qui a dornavant
ainsi trouv se formuler mais non sans situer, via les ptats excitps de
lĠhydrogqne, le spin lui-mme, selon une formule autant granulaire que complmentaire
ds lors en double miroir).
En ce sens –et pour rsumer-,
considprons que la formule de lĠexpansive lemniscate puise ttradquement Ngp=Nd=22n2 (o n vaut 1, 2,
3, 4) et se conoit ainsi comme nmlsz (orbite-spin) sĠintpgrant snlmz
lĠexprimant langagirement mais inversment comme spinorbitale et, ce titre,
comporte par surcrot orthogonalement un biasymtrisant double miroir selon les
tats excits de H, savoir lĠHydrogqne. Dqs lors, le cadre thporique ici
proposp sĠpnonce selon trois axes : 1) lĠexpansive lemniscate physico-chimique,
dĠemblpe verticalisante, en opprant du haut vers le bas (selo)n les numros z
des lments, certes, mais selon lĠhorizontale symptrie lspdf la
diagonalisant au contraire de bas en haut et sĠy prpservant numriquement; il
faut noter que tout nombre est une symbolisation comparative rpsultante dĠau
moins deux sous-ensembles biunivoques constitutifs et sĠy
(1+1)2
mesure donc la singularit
numrique ((1+1)=2=2x2=2( savoir 1+1)+2( savoir 1+1)=4) en son
tptrapdisme dĠensemble
selon la valeur de Çn et ce, jusquĠen sa granularisation tendant autrement
la fixer formellement en mme temps quĠ glisser du nombre au chiffre qui ne
s'appuie plus tant sur 1 que son tymologie le renvoyant la case vide et au zro
et qui nĠen est que la reprsentation, dont il reste justement sĠassurer
qu'elle soit effectivement reprsentative et ce, de ÇnÈ ÇlspdfÈ,
2) la pleine et biasymtrisante diffrenciation de la diagonalisation elle-mme
selon un double miroir qui
lui est orthogonal et qui y
pmerge des ptats excitps de H, savoir lĠhydrogqne, leur point de dppart
comme ce qui en gpnqre lĠarticulation mme ÇnlspdfÈ
mais encore selon le sens orbito-spin de la lemniscate 3) toutefois, cette
biasymtrisante formule en double miroir intgre d'emble ÇmÈ ÇnlspdfÈ,
fait valoir l'inversion nonce par ce ÇmÈ par rapport ÇlspdfÈ
jusqu'en son articulation avec ÇnÈ et s'exprime elle-mme d'emble
nlm-spin+|nlm-spin-° (n+1)lm-spin-|(n+1)lm-spin+, du moins en redressant ainsi
la formulation en double croix (diagonale nlm-spin-avec nlm-spin+ VS diagonale
(n+1)lm-spin-avec (n+1)lm-spin+) qu'en avait donn Demers et qui ramenait
nlm-spin-et (n+1)lm-spin- l'Ouest (ou gauche) en mme temps que nlm-spin+ et
(n+1)lm-spin+ l'Est (ou droite). Sinon, faute d'un tel redressement,
lĠppistpmique tension conception-langage fait jouer cette verticale tension
entre arrire-fond et figure alors mise de lĠavant mais en l'ellipsisant et en
la transposant sagittalement, dĠune faoon pour ainsi dire dorso-ventrale et
depuis l corporo-environnante (par exemple en glissant ainsi de gauche-droite
Ouest-Est), tant ÇmÈ se dploie inversement ÇlÈ et a fortiori son
articulation avec ÇnÈ au sein mme de l'orbital rsultant ÇnlmÈ, voire fait
ainsi surgir le spinortibal en sens inverse de l'orbito-spin. Le redressement
se rvle avec le double miroir progressant du double centre vers la double priphrie
comme dĠun double spin – vers un double spin +, mais en tant que celui-ci
encadre celui-l. Sinon, on ne progresse du double spin-au double spin+ qu'en
allant d'Ouest (ou gauche) en Est (ou droite), justement en sens inverse de la
composition de tout atome, lequel, au contraire, comporte en son centre les
neutrons avec les protons (positifs) -de fait leurs quarks-et en sa priphrie
les lectrons (ngatifs), en plus d'y faire jouer un pattern de lecture allant
de gauche droite qui est plutt inhrent au contexte langagier alphabtique
ainsi orient et dont la physique n'est donc pas celle de l'atome examin mais
du regard s'y portant. Le cumul mais intgr du tout constitue bien nlms en en
rvlant le sens mme sa dissociation
en nl et ms, voire le rapport de
s avec m jusquĠen lĠarticulation de n avec l et ce, au moment de rpsulter en z,
savoir le fil mme des plpments atomiques (et chimiquement articulables)
quĠanalyse tout Tableau priodique, surtout depuis Mendlev o le Systme du
Qubcium a t ainsi rinscrit et lu, mais dont la succession de successives priodes
mais mises en miroir ne vient dĠtre mathpmatiquement cernpe quĠavec sa
formulation par Muradjan qui les enfile les unes aprs les autres en mme temps
qu'il les distribue selon une quadruple lemniscate et ce, en donnant tonnamment
une nouvelle ampleur la singularit numrique. De la quadruple lemniscate au
Systme du Qubcium, c'est cette succession de successives priodes autant
entires qu'en miroir qui, comme en un vlage mais conceptuel, ne laisse plus
subsister que ces successives priodes mais elles-mmes pourfendues en hmi-priodes
cherchant recomposer entre elles et en leurs propres miroirs la succession
d'ensemble en miroir ainsi perdue.
Ces trois axes se
constituent 1-2-3 (tant que la lemniscate se poursuit jusqu'en son ellipsisante
granularisation) mais nous paraissent 1-3-2 (ds que l'ellipse reflux sur la
lemniscate), au point de passage
dĠune genqse structurale une structure le plus
souvent pure et strictement formelle mais parfois aussi apte sĠouvrir, si ce
nĠest sa genqse, du moins celle de ses constituants, non plus seulement
individus, mais individuellement considrs et ce, les uns par rapport aux
autres, en un sens granulaire alors susceptible de lui tre insuffle.
En ce sens, au niveau du vivant, les Çtrois axes
trirectangles de lĠtre humainÈ12, selon lĠexpression de Pierre Demers,
seraient aussi envisager en distinguant ds leur diffrenciation intra-utrine,
non seulement la conception, lĠembryon, puis le fĦtus (dqs le 3e mois), mais aussi
et surtout la grande priode globale et seulement alors un tant soit peu viable
dont la transition survient vers le sixime mois de la vie intra-utrine, au
grp dĠune maturitp corticale qui sĠinaugure au grp dĠune diffprenciation
neuronale qui commence sous-tendre la conjointe diffrenciation des niveaux
de conscience (sommeil profond, sommeil paradoxal, veille amorant la
conscience proprement dite) en train dĠpmerger avec la dsynchronisation
intra-utrine ainsi rendue possible des rythmes biologiques entre le ÇbbÈ
(encore natre mais dj en quelque sorte distinct) et la mre. Ce dsynchronisant
passage du 1 au 2 transfigure les trois axes trirectangles, en les faisant
passer de A-P (antro-postrieur chez les quadrupdes), D-V (dorsoventral
ou derrire-devant (galement appel aboral-oral O-A) et D-G des cts droit et
gauche, une ventuelle expression verticale exigeant un quilibre antro-postrieur
sur fond bipde (certes alors aquatiquement comme a-gravitationnel en vie
intra-utrine) pour sĠplancer selon un croissant ratio tte/corps et, par l, dj
commencer transfigurer la simple symtrie D-G en rotation angulaire du sphnode
comme principal indice de l'encphalisante biasymtrie neurofonctionnelle pancorpoellement
manifeste (car, selon o va la masse de la tte, va la masse du corps, avant
toute ventuelle pense susceptible d'y dterminer mentalement une direction).
Notons que, en vie post-utrine, lĠantpro-postrieur,
en sĠplanoant et sĠpquilibrant verticalement en sa cphalo-podalit bipde avec
deux mains libres (plutt que simple cphalo-caudalit quadripde, mme
12 Pierre Demers, Systme du Qubcium. Le platonisme en
biologie de lĠpvolution et en
thporie de lĠatome. http://www.er.uqam.ca/nobel/c3410/QbPlaEvoAtoXI2007bis.htm
ACP2008QbPlaEvoAtresXI2007.
s'il y a nanmoins d'abord eu un important passage par la Çmarche
quatre pattesÈ) et ce, distinctement autant du dorso-ventral que dĠune
dynamisante latpralisation gauche-droite, prend forme de la double chane
musculo-articulaire de Godelieve Denys-Struyf dite PA/AP (postro-antrieure et
antropostrieure se croisant verticalement en sens inverses des mmes
lignes verticales mais gravitationnelles de Littlejohn) et ce, respectivement
et distinctement autant des chanes musculaires PM-AM (postromdiane et
antro-mdiane) que des chanes musculaires PL-AL (postro-latrale et antro-latrale).
Celles-ci semblent sĠajouter PM-AM, selon un triple axe 1-3-2, mais, de fait,
au contraire, diffrencient dĠemblpe relationnellement et biasymtriquement ces
PM-AM depuis et selon PA/AP, selon une circulation des tensions myofasciales
AM-PA-PM-AP-PL-AL mais se bouclant en Tore plat carr avec son dbut (bien que
AL-AM-PA prvalent alors droite et PM-AP-PL gauche en un sens dextrogyre
plus ou moins accentu et lui-mme lvogyrement compens) et selon un triple
axe dĠemblpe planaire 12-3, savoir 1) Vertical/Horizontal/Diagonal
prenant forme lemniscate (dj triaxiale) ex.: au niveau du bras, les deux bouts
de la lemniscate sont l'paule et au poignet et se meuvent en sens inverse
selon une croise s'effectuant au niveau du coude; il suffit de se dtendre et
se sentir suffisamment mobiliser son avant-bras en pronation VS supination pour
sentir aussi son paule se mouvoir en sens inverse, en rotations respectivement
externe VS interne. Ces lemniscates, bien tablies depuis Piret et Bziers,
sont intracorporellement omniprsentes et crent autant de diagonalisantes
croises interreliant vertical et horizontal. On comprend que cela ait aussi pu
inspirer un passage de l'ELN l'EPN selon une triple somme gale V/H/D, de
fait H/V/D, lors duquel la singularit numrique s'est rvle. Sans parler de
maintes autres symbolisations correspondantes, dont le parcours en 8 (ou °)entre
le feu chauffant les pierres et la tente de sudation o les y apporter
successivement, le 8 (ou °) sur le drapeau amprindien. La
lemniscate surgit avec notre proximit avec la nature,
autant autour qu'en nous. Et comme l'a fait ressortir l'astrophysique
relativiste relativement l'astrophysique newtonienne, mme si les plantes
semblent globalement suivre des orbites elliptiquement dfinies, il arrive
qu'en y regardant plus finement, Mercure, par exemple, non seulement se meut
selon une ellipse, mais se meut avec son ellipse elle-mme est en mouvement et,
ainsi spiralement emporte, commence laisser entrevoir la lemniscate. 2)
Biasymtrisation (en double miroir) latralement diffrenciatrice en une telle
lemniscate du sein et au gr du Diagonal surgissant en lĠHorizontal depuis le
Vertical en question, donc selon leur orthogonalitp pour sĠy constituer comme
leur troisiqme axe13
13 Notons que les trois axes
H/V/D de la lemniscate se font tridimensionnels par la diagonale se biasymtrisant
et que le tout se
reconnat aussi dans la
marche humaine, si lĠon passe dĠune description qui ne prend comme rpfprent
quĠun seul ctp du corps selon quatre phases (double appui dĠplan (sur base
dĠune bascule podale intpro-antrieure), lvitation (ou oscillation), double
appui de rception (podalement postro-externe) et appui unipodal), tout en
supposant sa correspondance de lĠautre ctp, une description qui considqre
dĠemblpe lĠensemble du corps et en pnonce dĠune faoon dynamiquement intpgrpe le
mouvement en ses quatre phases : 1) double appui dĠplan initialement dextrogyre
(Diagonal de la gauche vers la droite en mme temps que Verticalement du bas
vers le haut sur la moitip initiale de lĠHorizontale), sinon lpvogyre (en sens
inverse, aussi Diagonalement de la droite vers la gauche mais encore en mme
temps du bas vers le haut sur lĠautre moitip initiale correpsondante de
lĠHorizontale), se doublant dĠun double appui de rpception de lĠautre ctp sur
la droite, sinon sur la gauche (en sens inverse), 2) puis de lvitation mais
avec et depuis la traction du centre de gravit au-dessus de lĠautre pied alors
en appui unipodal (Verticalement du haut vers le bas), ces deux premiqres
phases sĠinversant alors et ce, 3) du double appui de rpception
pleinement dextrogyre (en
faisant dornavant prvaloir la droite sur la gauche comme autre moiti mais
seconde de
lĠHorizontale) 4) la
traction du centre de gravitp sur le pied initialement considprp entrant alors
en appui unipodal (Verticalement du haut vers le bas) et assurant la lpvitation
de lĠautre jambe. Il nĠen va pas autrement de la course mais en tant que
modifiant et en accentuant en la marche les acclrations (en propulsion) et
les dclrations (en freinage), encore selon quatre phases : propulsion (par
triple extension rapide et puissante hanche-genou-cheville sur un seul appui
dĠplan plutt que double appui dĠplan), envol (puisque la lpvitation sĠeffectue
sans appui unipodal de lĠautre ctp et a dpj ptabli la hauteur et la
trajectoire du centre de gravit lors de la phase prcdente), freinage
(ajustant la rception, donc le contact, du pied sur le sol et minimisant ainsi
le choc de lĠimpact) et appui unipodal (modulant la traction alors effectupe
sur fond du freinage prpcpdent).
3) Une sagittale (rtro)projection introjective, la
fois, sĠplance depuis ce troisiqme axe et sĠy constitue comme telle, tout le
problme pistmique du rapport entre ce troisime axe et sa
projection-introjective
(le reprpsentant mais, si non vprifipe en sa
reprpsentativitp, susceptible dĠtre prise pour lui, bref de prptendre lĠavoir
toujours dpj ÇdpvorpeÂ). Elle surgit, en particulier, par la visuelle ligne de
lĠhorizon dornavant mentalement cense dpartager la verticalit en haut et
bas et se poursuit dans les reprsentations mondaines ou tout simplement
graphiques comme Ouest-Est dpartageant le Nord-Sud. En effet, se fixer
visuellement en un horizon, comme environnement lointain, est aussi depuis l
se ressaisir en son corps et ce, en son environnement immdiat, toute une
trajectoire tant susceptible d'merger de l'articulation entre ces deux
environnements, autant sentie que forme en ide pour la produire: ce qui
jaillit du corps en l'environnement, ainsi lui-mme diffrenci et articul,
reflux (se rtro-projette pour aussi s'introjecter) ainsi d'autant que
visuellement depuis cet environnement vers le corps. CĠest donc tout le
mpsoderme qui se diffprencie ainsi triplement lui-mme entre ectoderme et
endoderme, donc contribue au ratio somatotypiquement mais autrement
triaxialement rsultant de la msomorphie avec lĠectomorphie (campant
neurobiologiquement la biasymptrisation) et lĠendomorphie. Tout s'y droule
comme en l'inversion que ÇmÈ fait subir ÇlÈ jusqu'en ÇnÈ et ce, au point d'en
ramener l'orbital mme (nlm) au spin depuis lequel, en sens inverse, s'noncer
spinorbital.
Avec
la naissance survient le choc dĠun cĦur dont les oreillettes se diffrencient
alors par fermeture de lĠorifice entre les deux au grp de la diffprence de
pression atmosphprique qui sĠinscrit et se prolonge en diffprence de pression
dĠensemble, en particulier gravitationnelle et par l cardiorespiratoire et
sanguine, au sein du corps post-natal. Le tout ne se double pas tant ainsi
dĠune respiration pulmonaire mais aussi et surtout cellulaire propre s'y
trouvant dornavant foncirement articule. Avec un tel dbut de la vie
extra-utrine, par maturation cphalo-podale, tout lĠexpansif redressement de
la tte (vers 3 mois), puis du tronc (en position assise vers 6 mois), puis
debout (vers 9 mois), se poursuit jusquĠ un taux accru de flexion crnienne,
dont la rotation du sphnode est et reste encore l'indice privilgi. Un tel
taux de flexion dborde d'emble la Çtriaxialit trirectangulaireÈ en y
accentuant la problpmatique de lĠpquilibre antpropostrieur mais
verticalement lanc. Elle permet alors autant au larynx de descendre et de
diffrencier
dpglutition,
respiration et souffle phonatoire (sĠallongeant avec lĠge) quĠ la biasymptrie
neurofonctionnelle de pleinement sĠexprimer par une posture, voire une marche
qui (vers 2 ans et demi)
en
vient tre contre-latralement quilibre (entre bras et jambe opposs au
niveau du centre de masse gravitationnellement inscrit alors susceptible de
mieux en amnager lĠimpulsion (voire sa part dorpnavant davantage
intprieurement et centralement quĠextprieurement et priphriquement gnre),
voire la transformer, mais en parvenant dorpnavant ainsi lĠorienter, en
momentum, a fortiori en projection du moment angulaire en question,
selon lĠptat dĠpquilibre entre les tendances lpvogyre et dextrogyre
circonscrivant nantiodynamiquement la simple diffrenciation
nantiomorphique entre gauche et droite (et faisant sans doute penser aux
spins). Masse (quantifiant la matiqremais vivante et humaine), momentum
(m.v aussi quantifi mais selon une impulsion (F.t) elle-mme quantifie son
ressort), projection du momentum (non moins sur la base de support entre les
pieds assurant la posture quĠen lĠenvironnement o se dpplacer) et gyrants
spins susceptibles de se nombrer, ne sont-ce pas l, mais en tant que variables
prenant des valeurs continues, ce que nlmsz donne plutt en termes de valeurs
discrtes dans des units convenues en accord avec la thorie et ce, selon des
reprsentations graphiques discontinues14?
14 Ceci ne fait que complter ce que Pierre Demers disait dpj de la
comparaison entre masse ou vitesse, dĠune part, et nlmsz, dĠautre part. Voir P.
Demers, Systqme du Qupbpcium. Obtenir le Systqme du Qupbpcium partir des 1ers
principes, Une
tentative
de gomtrie quantique, http://www.lisulf.quebec/Nouscherter.htm.
Le point crucial, ici, est que, en redressant la
conception demersienne du spin, celle-ci, surtout via son indpendance vis--vis
nlm, ne se lĠintqgre plus si granulairement que rpductivement mais sĠy intqgre
et sĠy situe, tout en faisant ressortir, comme envers de la lemniscate ouverte
de Muradjan, sa relle teneur elliptique, laquelle, autrement, isolment considre,
se clt et comporte plusieurs limites importantes. Par exemple en sĠeffondrant
totalement si un plpment 121 tait un jour considr. En se figeant
hypersymptriquement au prix et au dptriment dĠune dynamique biasymtrie
pourtant en cause. En granularisant en querres mais en hachant ainsi en moitis
des squences priodiques qui sĠavqrent autrement entiqres. En tranant un
lourd passif dnominatoire qui ne relve pas de la science comme telle, du fait
mme de sĠappeler (sans suffisamment se situer et se dplimiter) Qupbpcium,
correspondant pourtant lĠplpment 118 ayant ptp initialement censp en
totaliser le Systqme (avant dĠintpgrer les plpments 119 et 120 lĠoutrepassant)
mais ayant ailleurs ptp
appel
Moscovium ou, selon une dnomination plus gnrale et internationale mais nanmoins
temporaire
(donc non figpe mais susceptible dĠpvoluer avec le progrqs des connaissances,
non de
leur seule rorganisation), ununoctium, depuis
sa vritable dcouverte datant de 2006, (fr.wikipedia.org/wiki/Ununoctium), ce
que, bien sr, Demers sait mais non sans nanmoins figer une telle dnomination
gnrale et temporaire en dnomination trs particulire se voulant permanente.
Sauf via lĠhydrogqne et son unique plectron introduisant la problpmatique du
spin travers les autres ventuelles couches lectroniques et dont on ne peut
que demander s'il y a de nouveaux dveloppements de ce ct afin de faire
encore davantage progresser les connaissances, en coupant autrement court
toute vritable vrification de la dynamique cintique au profit de la seule Çanalyse
des moments cintiques des atomes conduit postuler la prsence de
formes gomtriques virtuelles qui les accompagnentÈ et qui seraient celles des
4 solides (dont 3 de Platon) mais seulement en tant que Çcette relation existe
indpendamment des proprits des moments cintiquesÈ, donc des dynamisantes
familles de proprits de Mendlev, ds lors aucunement, sinon au mieux
faiblement (comme en la version ) prises en compte, etc. Voir dans la deuxime
partie du prsent texte, lĠenchanement enfin dynamisp de ces formes gomtriques
virtuelles: que change-t-il au Systme du Qubcium? Telle est sans doute la
question ultime, car revenant sur le processus gntique mme du Systme du Qubcium
(comme prcis en la prcdente note 4).
En
suivant le fil des numros des lments atomiques de 1 120, dits z et rsultants
de nlm-spin, voici chacune des 4 expansions en lemniscate selon que npg vaut
1, 2, 3, 4 et en effectue la quadripartition (respectivement 1-4, 5-20, 21-56,
57-120) en sĠintpgrant toujours plus largement Lspdf du
centre (Ls) vers la priphrie, chaque lemniscate se lisant selon
un pairage menant de haut en bas dĠabord sur la gauche, puis, via la mpdiation
dĠune diagonale sĠplanoant de bas en haut et ce, de la gauche vers la droite,
ensuite selon un pairage menant encore de haut en bas mais sur la droite, dont
part une nouvelle diagonale de gauche droite et de bas en haut mais enchanant
avec le dbut de la lemniscate suivante (dĠabord de lĠplpment 4 lĠplpment 5)
:
nlm-spin+|nlm-spin-° (n+1)lm-spin-|(n+1)lm-spin+ On
constate que toutes et chacune des boucles gauche et droite de ces quatre expansions
en lemniscate correspondent avec chacune des colonnes gauche et droite du
Tableau 1, mais en diffrent en transformant celles-ci en de telles boucles en
miroir Lspdf au sein de priodes n elles-mmes regroupes selon npg,
au ressort de la lemniscate, l o Demers effectue plutt des mises en querres,
non pas tant de tels synthtisants npg
que dĠanalytiques paires de
paires dĠhpmi-priodes de chaque moment angulaire lectronique
|
|
|
|
15. De fait, ceci
s'effectue via le moment magnptique M, jusquĠau sein du Spin qui,
tout
en ptant la seule mesure concernant lĠplectron lui-mme indpendamment de ces
autres mesures ( savoir nlm engageant dĠemblpe sa relation configurationnelle
avec les autres plectrons pour constituer lĠorbitale), pqse alors npanmoins
lourdement sur celles-ci (justement pour les pourfendre et, depuis l, les
imbriquer mais granulairement, en quatre). Demers tend ainsi gomtriquement
fermer et emboter analytiquement depuis le plus petit commun dnominateur
(ramenant n au seul niveau ls, dĠabord dit strate 1 quant aux 4 premiers lments,
et, ce titre, suivi de quatre autres lments
correspondants,
eux-mmes entours des autres niveaux l
pour
constituer autant de |
successives
strates supplpmentaires dĠpquerres). Il sĠagit plutt dĠouvrir expansivement et
dĠenchaner en intpgrant et en situant dĠemblpe le spin en lĠorbitale nlm,
elle-mme ramene ds n, non de telles granularisantes strates, mais de
synthtisants Npg=4npg2 (selon le rsultant fil z des lments eux-mmes,
dont les numros atomiques procurent le fil indicatif correspondant). Ds npg=1,
donc en suivant le fil numrique de la plus petite lemniscate, savoir celle
des lments 1 (Hydrogne), 2 (Hlium), 3 (Lithium), 4 (Bryllium), la
singularit numrique de 22=2x2=2+2=4 se rvle au ressort de 4npg2 et lui communique tant sa synthptisante teneur (en
passant dĠun tel 22 npg2) quĠelle symbolise le tout chaque fois form
(en lemniscate) par les priodes n ainsi singuliqrement autant traitpes au cĦur
de toutes et chacune des valeurs de npg en npg 2 que reconnues et diffprencipes jusquĠen la double Lspdf alors considre en blocs mais entiers.
La singularit numrique resurgit ainsi au niveau
physicochimique, l o elle a plutt dj t examine en tant que telle en sa
teneur strictement mathmatique au ressort des
Expansions planaires numriques et des nombres planaires sĠy distribuant et
sĠy
configurant entre eux. Cette singularit numrique
joue donc un rle clef quant au trait dĠunion physicochimique-mathmatique. On
comprend ainsi pourquoi la symbolisation,
15 En partant du Tableau 1, les lments 5-6-7 (hmi-lp)
entourent en querre le coin formp par lĠplpment 11, les lments 8-9-10
(lĠautre hpmi-lp complmentaire) le coin formp par lĠplpment 12
en mme temps que les lments 13-14-15 le coin formp par lĠplpment 19 et les
plpments 16-17-18 le coin formp par lĠplpment 20. Toutefois, n=1 (avec les lments
1-2) a dĠabord ptp croisp avec n=2 (avec les plpments 3-4), pour ensuite
croiser n=3 (dĠabord les plpments 11-12) avec n=4 (dĠabord les plpments 19-20).
On poursuit par de tels croisements jusquĠaux n=7 et n=8, en en plargissant
lĠenrobage par mise en pquerre des autres plpments selon les paires dĠhpmi-l en
question. Le tout constitue le Systme du Qubcium 120 lments.
inhrente la
dfinition du nombre, ne se dploie mathmatiquement que physicochimiquement
orientpe, mme si cĠest gpnpralement, en approfondissant les seules considrations
numriques en cause, plutt que spcifiquement comme en cette physicochimie.
En
lĠoccurrence, si 2+2 est (1+1)+(1+1) et rppqte en la reprenant ainsi son
compte la
capacit
autoadditive de 1 avec lui-mme, il apparat que 2x2, savoir 22, exemplifie et
magnifie (1+1)1+1, savoir toute la capacit autoadditive de 1 avec
lui-mme, certes, mais en la portant au carr et en en exposant ainsi la
puissance. De plus, 2x2 ( savoir 2 au carr) suscite une figure carre selon
un double pairage minemment orthogonal (horizontal et vertical), voire aussi
diagonal, de son contenu, lequel sĠadditionne alors lui-mme deux par deux
selon ces trois axes H/V/D, en lĠoccurrence en sa forme mme, comme lĠindique
son 2+2 une fois distingup dĠun ventuel contenu numrique 2 (soit 1+2=3 et
3+4=7; 1+3=4 et 2+4=6; 1+4=5 et 2+3=5), ce qui conditionne lĠidpe de tout
pairage possible et ce, au ressort de lĠexpansif champ susceptible dĠen tre
relationnellement constitup et dĠen rpsulter selon une configuration donne.
Redisons-le : cette singularitp numprique est lĠorigine et au fondement de
lĠidpe mme de champ, en lĠoccurrence dĠemblpe fort expansif, donc de lĠidpe
dĠun espace-temps, dont celui du Big Bang est lĠexpression physicochimique-mathmatique
la plus connue, en particulier compter de la fusion non seulement des quarks
entre protons et neutrons mais de ceux-ci en Hydrogne (le tout premier lment)
dont les tats diversement excits se sont poursuivis travers la quadruple
lemniscate lmentaire ci-haut signale, sans parler de
la seule rpalisation ce jour effectupe dĠun
antihydrogqne (constitup dĠun antiproton ou proton npgatif et dĠun antiplectron
ou positon) inaugurant lĠantimatiqre.
2) L'enchanement interconnectant les
solides entre les diverses chelles quantiques
Le nombre 2 ne se poursuit par 22 et
par la figure carre le reprsentant en 4 cases, comme rsistance spcifique au
ressort des EPN ayant diversement la traiter pour se
constituer de faoon impaire ou paire, quĠen pouvant aussi
sĠextraire et ce, au sens dĠune racine carrpe 2=12 constituant la diagonale
dĠun carrp 1x1, voire de chacune des 4 cases en question en mme temps que, par
22, de lĠensemble de la figure carrpe les
contenant. D'o une gomtrisation l mme o il y avait
auparavant singularit numrique mais en son envers, en passant ainsi de
l'automultiplication de 2 par lui-mme son autoextraction aussitt rvle
diagonalisation du carr. Et cette diagonale peut lui-mme devenir le ct (ou
l'arte) dĠun carr se redoublant en sa surface. Le premier carr peut aussi
sĠinscrire la faoon dĠun losange dont les coins sĠarriment au milieu des ctps
(alors diviss en 2) de celui qui lui est ainsi double en
surface, de sorte que ses orthogonales diagonales leurs sont parallles. De mme,
une rotation de 45 degrs depuis
l peut en faire deux carrps embotps lĠun dans lĠautre dont les
centres concident et dont
les diagonales se superposent alors, les unes prolongeant les
autres en mme temps que leurs cots respectifs sont mutuellement mis en
parallqle. Ce nĠest donc pas seulement avec des cercles mais avec des carrps
que sĠeffectuent les rotations, ces carrps octroyant
une importance configurationnelle particulire (car symtrisante)
autant aux diagonales quĠaux 45 degrs en cause (du fait que leurs 90 degrs
propres se constituent relativement aux horizontales et aux verticales formant
par ailleurs entre elles des 90 degrs), l o les nombres imaginaires
(abstraction faite des quaternions, voire des nombres complexes par
lesquels produire en des plans complexes
des carrps complexes) nĠen figurent dĠemblpe circulairement que le double,
savoir 90 degrps et ce, dĠabord dans le seul sens antihoraire, moins de
remonter aussi celui-ci en sens inverse, savoir horaire. Et cĠest sans parler
des rotations virtuelles et purement relatives, lors desquelles ce sont plutt,
comme dans les EPN impaires, non les figures carres elles-mmes, mais les
configurations numpriques sĠy produisant qui peuvent faire la rotation
effective. Plus encore, les EPN, impaires ou paires, peuvent sĠpcrire non
seulement avec des nombres entiers positifs mais aussi des nombres entiers ngatifs
(donc aussi i2) et mme sur le vertical axe des
nombres imaginaires allant de i –i (ou i3), le
tout autour d'un 0 en devenant central mais au point de dpart d'aucune de ces
EPN, dont au contraire toute l'ELN sous-jacente commence par 1 et, en
l'occurrence, ses variantes imaginaires qui, au fond, n'en sont que des
multiples (ex: 1i=i, 1i2=-1, etc). Ceci leur permet de
combiner
toutes les rotations issues autant des carrps (en lĠoccurrence
quant aux 45 degrps, analogues ceux des cercles rpels) que des cercles
imaginaires (par 90 degrps). On Ħuvre dans le champ de la quadrature qui, si
elle ne peut tre celle du cercle (si ce nĠest par approximations infinies ne
voyant jamais le terme auquel aboutir), peut tre celle de la
lemniscate (symbolisant lĠinfini
en question et sĠannonoant dpj par les diagonales des carrps avant quĠelles ne
sĠy courbent avec eux).
Mme en dpbordant les EPN, pour passer dĠune faoon purement
gpomptrique de la figure carrpe la figure cubique, quatre de ses huit
sommets, en sĠalignant orthogonalement
deux par deux selon leurs diagonales correspondantes sur deux
faces opposes, peuvent
constituer les quatre sommets dĠun tptraqdre rpgulier (auxquels
se joignent quatre autres
ttradres non rguliers mais isomtriques), ses diagonales en
devenant les artes et son volume sĠy rpduisant son tiers (les deux autres
tiers provenant des quatre autres ttradres en constituant chacun un sixime).
Leurs centres et leurs axes de symtrie (passant par les centres des deux faces
opposes en question du cube) sont identiques, tout en permettant ainsi
dĠagencer leurs symptries respectives entre elles, en particulier en y
considprant que lĠangle diqdre intprieur de ce tptraqdre rpgulier est 70,529o
et que son
complment est 109,471o (=180o-70,529o). Par contre, les
perpendiculaires aux faces d'un tel ttradre rgulier font justement entre
elles et symtriquement leur axe central
un tel angle de 109,471o (ou 2thta=2x54.736o),
qui est aussi ptonnamment lĠouverture de lĠangle conique de prpcession du spin
de lĠplectron (2x54.736o correspondant aux deux spins ħ1/2 alors gnrs par
une force de Coriolis sĠexeroant perpendiculairement une rotation selon un
tel axe central) si lĠon y ramqne et rattache le complpment de lĠangle diqdre
qui lui est identique dans le propos de Pierre Demers.
En sens inverse, la source mme du Systme du Qubcium (voir
la note 4 prcdente),
on peut sĠinterroger sur le passage que Pierre Demers prptend
effectuer du tptraqdre rpgulier de 4 faces au cube de 6 faces (puis
lĠoctaqdre de huit faces et enfin au
Rhombododcadre de 12 faces) pour rendre compte en la
configuration atomique nlmsz du passage respectif de Ls Lp (puis
Ld et enfin Lf) selon son moment magntique le faisant paratre inversp
(si le complpment de lĠangle diqdre est considprp en lui-mme et nĠest pas
ramenp la croispe des perpendiculaires aux faces du ttradre rgulier en
question) et se trouvant ainsi associ au spin (comme acclration associe
un tel moment magntique ainsi considr comme le sien). C'est alors qu'il
s'agit de se rappeler en quoi lĠarte du tptraqdre peut tre la diagonale du
cube et en quoi la lemniscate des quatre premiers lments (en Ls), via une telle arte, peut ainsi se
poursuivre par la lemniscate des lments atomiques 5 20 (en Lp), via une telle diagonale si
susceptible
de sĠy courber
pour la constituer (car pnoncpe selon 2 mais aussi selon ses 45o dont le sinus
se reconnat, non dans le sinus ө (plutt =0.8165), mais le vecteur.sinus
ө = 1/2=0.707 du spin).
Du ttradre au cube, donc du premier 3D
au second 3D, via le planaire mais diagonalis de ce dernier, lĠarte
tptrapdrique est la diagonale du carrp, de sorte que, en interconnectant
les angulaires en cause, on peut y apercevoir lĠinterface du saut
quantique lui-mme (non plus seulement de deux ptats quantiques si discrets
quĠen restant totalement spars et parallplisps jusquĠen leurs changements).
C'est par l que peuvent sĠenchaner les deux premires expansions de la
quadruple lemniscate de Muradjan. Et il est aussi possible dĠenchaner avec les
deux expansions suivantes en notant que, en plus dĠouvrir le ttradre par-del
son si unique et clos rapport dual avec lui-mme (les sommets dĠun tptraqdre
correspondants aux milieux des faces de lĠautre tptraqdre en lequel il
sĠinscrit mais en un sens inversement orientp), le cube ne fait ensuite place
lĠoctaqdre quĠen tant que les deux sont duaux entre eux (les sommets de lĠun
correspondant aux milieux des faces de lĠautre)16. De
mme, le cuboctadre (selon le nom donnp par Kppler) rpsultant de ces deux est
aussi dĠautant plus dual avec le dodpcaqdre
rhombique (ou rhombododcadre) que les artes du cube sont alors les
petites diagonales des faces en losange de ce rhombododcadre, et celles de
l'octadre les grandes, les 12 losanges se formant entre ces grandes et petites
diagonales selon un rapport 2. Il peut donc sĠagir dĠune sommation non plus tant juxtaposante
et aspirpe vers la duale clture ttradrique la fondant (et faisant privilgier
l'ellipse) quĠintpgrante et diffrenciatrice des quatre figures polydriques
qui reprsentent Lspdf, qui passent toutes par le
diagonalisant vecteur 2
(ou son angle 45 degrps dans le cube en interface avec le tptraqdre sĠy
inscrivant et sĠy ouvrant), au point dĠen tirer lĠamorce de la lemniscate (se
calculant par la formule d'identit d'Euler, savoir 1+eiı=0), et
auxquels (par leur rpgularitp) sĠapplique la formule dĠEuler (sommets + faces
– artes = 2, nombre au point de dpart autant de la singularit numrique
que du diagonalisant et enchanant vecteur en retenant la racine carre).
Certes, selon une reprsentation plane
de ces solides, on peut les considrer autant extrieurement et sparment (du
fait de leur opacit), selon la moiti visible de leurs faces (spin +) et
lĠautre moitip invisible (spin -), quĠintprieurement (comme sĠils ptaient
vides) et isolment (un par un) mais en leurs deux moitis, selon les forces
atomiques en cause. Demers l'a mis en vidence. Toutefois, leur enchanement en
une configuration
16 On sĠaperooit de lĠhomologie
structurale entre les divers prsupposs de Demers, comme vecteur les rassemblant, puisque le
privilge accord au spin relativement nlm dont il est indpendant se reconnat
aussi en son systme du
Qupbpcium tout entier np partir dĠune rpflexion privilpgiant le
tptraqdre en soi, en son si unique mais clos rapport dual avec lui-mme qui
serait mieux cerner autant comme tel que jusquĠen sa rppercussion sur tout ce
qui suit. Il s'agit plutt dĠen privilpgier aussi les pventuelles ouverture et
inscription dans et avec les rapports duaux ultprieurs survenant uniquement entre
dĠautres figures gomtriques mises en jeu, comme ce dont pouvoir alors et
seulement alors constituer lĠautorpflexive intpriorisation tptrapdrique
correspondante sĠen trouvant d'autant plus pleinement contextualise, situe et
enrichie que, non plus close, mais ouverte de son intrieur vers ces entre-deux.
plectronique donnpe peut sĠpclairer de
cette diagonalisante et dynamisante
interconnectivit angulaire, au ressort et comme interface du
saut quantique lui-mme
faisant passer dĠune couche
une autre. Et, sans doute, il peut en aller de mme de la masse en cause, en
tant que variant (en sĠamoindrissant, selon lĠpnergie alors conjointement
libprpe) avec lĠentourage auquel se trouver ainsi interconnect pour former
ensemble un composp, dĠabord intra-atomique (par exemple type arte ttradrique
= diagonale du carr), puis aussi inter-atomique, en un sens proprement
chimique. Il est entendu toutefois que celui-ci (donc les familles de proprits
physicochimiques, dites ÇlÈ) a t connu avant celui-l (donc les priodes
dites ÇnÈ), tout le gnie de Mendlev n'ayant justement consist ne
constituer et fonder en sens inverse son Tableau en cases (occupes ou vides
mais ds lors prdictibles) que par leur orthogonale croise permettant de
tendre vers une ralit plus fondamentale mais encore en grande partie connatre,
ce qui est tout autre chose que de partir de celle-ci une fois davantage
paracheve et apparemment plus statique.
La problmatique tension entre ellipse
et lemniscate, du moins au moment de rendre compte du Tableau priodique, en
serait-elle respectivement une entre l'ordre du rel mais ainsi plus
apparemment statique et l'ordre des connaissances qui, en s'approfondissant en
mme temps que l'approfondissant, en recouvre et en restitue enfin le
dynamisme? Serait-elle inhrente la singularit numrique mais ne s'lanant
plus depuis 2 qu'largie pour y inclure son envers nonc par le diagonalisant
et enchanant vecteur qu'est la racine carr du mme 2? Ne s'agit-il pas l du
tout premier rsultat autoadditif de 1 avec lui-mme au ressort des si
paradigmatiques nombres entiers positifs qui se dploient avec la lemniscate de
Muradjan (en plus d'avoir inaugurs les ELN et sous-tendus les EPN), voire avec
son envers (-1) au ressort de 0 et depuis l de la srie relevant plutt du Qubcium17, mais aussi du symbole de l'unant par lequel la mathmatique
s'inaugure en l'tant (Çce qui estÈ), savoir la physique mais ainsi
chimiquement complexifie?
17 Revoir la note 4 mais relativement la
note 6, les deux faisant le point sur le corps du texte et marquant les jalons
les rsumant et permettant autant de bien dceler le fil du texte que de bien s'apercevoir du changement de
paradigme numrique au ressort de la gomtrie bien autrement mathmatiquement
rsultante: partant d'une mme singularit numrique au ressort des ttrades,
la quadruple lemniscate de Muradjan s'appuie bien sur l'autoaddition positive
de 1 avec lui-mme au ressort de la srie 1,2,3,4, tandis que l'ellipse
encadrant le Systme du Qubcium s'appuie plutt sur l'autoaddition ngative
(ou autosoustraction) de 1 avec son envers -1 pour transposer toute cette srie
en une autre qui s'nonce plutt 0,1,2,3.
Appendice: Bref
aperu des EPN
La suite autoadditive de 1 avec lui-mme pour constituer la suite
des nombres entiers positifs constitue une Expansion Linaire Numrique (ELN),
laquelle se complexifie par son expression au carr -ici pousse plus avant
sous forme d'Expansion Planaire Numrique (EPN)-, ce qui en
problpmatise lĠinfini dqs Galilpe, Discours et dmonstrations
mathmatiques concernant deux sciences nouvelles, Paris, PUF, 1995, p.31.
Or, Çle tout infini constitu par les carrs est une partie du
tout infini constitup par les entiers naturels, ce qui viole
lĠaxiome euclidien et la notion commune de grandeur qui lui est associpe. CĠest
le paradoxe mis en pvidence par GalilpeÈ, de sorte que ÇLeibniz voit en cela
lĠimpossibilitp dĠun nombre infini car il serait alors pgal et inpgal,
sĠappliquant pgalement au tout et la partie. La notion dĠun nombre infini
implique donc contradiction, tout comme ce quoi elle sĠapplique, un tout
infini, un infini catpgorpmatiqueÂ, tandis que ÇLa conclusion de Galilpe est
diffprente en ce quĠelle consiste pviter le paradoxe en rpservant les
attributs de grandeurs impliqupes dans lĠaxiome euclidien aux quantitps finies.Â.
Voir Spbastien Poirier, LĠinfini dans la
mtaphysique et la mathmatique
leibniziennes, Archives 2012, volume 12, note 30 et corps du texte en
comportant la rfrence.
Plus encore, si considrs comme ELN, savoir Expansion Linaire
Numrique, les nombres entiers positifs, en plus de pouvoir tre mis en
correspondance biunivoque avec leur mme liste mais au carr (1, 4, 9, 16, 25,
etc) sous la forme dĠun sous-ensemble infini contenant autant dĠplpments que le
leur, peuvent aussi tre par surcrot considrs comme EPNs (Expansions
Planaires Numriques), savoir comme sous-spries sĠy dpgageant de lĠELN en
question (1, 1-4, 1-9, 1-16, 1-25, etc) au gr de
22222
leurs nombres au carr
respectivement en cause (1, 2, 3, 4, 5, etc) et sĠy distribuant selon des
sommes gales en tous sens planaires Horizontal/Vertical/Diagonal en tant que
ces nombres au carr sont dĠabord eux-mmes planairement exprims comme tels en
des figures carres correspondantes qui constituent les grilles composes de
cases o les distribuer (1x1, 2x2, 3x3, 4x4, 5x5, etc).
Le tout surgit sur fond du seuil
numrique (constitu par 1=12, autant par 1x1 que par le seul
contenu 1 lĠoccupant) que de son pmergeante (par 1+1=2) singularit numrique
(22=2x2=2+2=4) laquelle se mesurer (car procurant la forme
par laquelle additionner les contenus numriques deux par deux mais
nĠinstaurant elle-mme une pgalitp rpfprentielle quĠen un seul des trois sens
planaires H/V/D, soit 1+4=5 et 2+3=5, en regard dĠpcarts sommatifs en ∟1,
soit 1+3 et 2+4, et en ħ2, soit 1+2=3 et 3+4=7, dans les deux autres sens).
Sur un tel fond, ces distributions peuvent sĠpnoncer compter de
32 pour les EPNimpaires,
puis 42 pour les EPNpaires, selon des sommes alors et seulement
alors susceptibles dĠy tre pgales en ces trois sens planaires H/V/D. Par
exemple, 32 donne un 3x3 dont les 1-9 ont 5
comme nombre mdian autant
mettre en son centre quĠ complpter en tous ces sens planaires par
des sommes (1+9=2+8=3+7=4+6)
de 10 pour un commun et identique total de 15. Par contre 42 ne peut comporter un tel nombre
mpdian et toute la rpsistance de la singularitp numprique se fait
dĠemblpe sentir, au point dĠexiger dĠen faire jouer les inpgalisants pcarts
sommatifs de faoon les compenser les uns par les autres et
arriver nanmoins ainsi un commun et identique total de 34 (soit
des paires de paires faisant
chacune 17 ou sĠpquilibrant en des pcarts sommatifs ∟1, soit
16 et 18, ou encore ∟2, soit 15 et 19, les trois scpnarios se combinant
en sĠpgalisant selon des trois axes H/V/D). Etc
L'ELN d'abord constitu par les nombres entiers positifs
(1, 2, 3, 4, 5...), non seulement
22222
peut se poursuivre par leurs carrs (1, 2,
3, 4, 5...) comme en un autre infini (1, 4, 9, 16, 25...) s'y trouvant tonnamment
inclus comme l'avait dj remarqu Galile, mais peut se dgager de leurs
figurations gomtriques en des plans correspondants (1x1, 2x2, 3x3, 4x4, etc):
|
Or, ces nombres entiers
positifs au carr comportent chacun une sous-srie d'ELN: 12
222
comporte 1, 2la sous-srie de 1 4, 3la
sous-srie de 1 9, 4la sous-srie de 1 16, etc. Chacune de ces sous-sries
se distribue en ces figures planaires et s'y constitue en Çnombres planairesÈ
selon des sommes Horizontale, Verticale et Diagonale qui, compter de 32, puis 42, etc, sous certaines conditions
opratoires (appariants pairages ensemblistes et carts sommatifs proportionns
sur le mode de la singularit numrique) peuvent s'avrer toutes gales H/V/D
et constituer autant d'Expansions
planaires numriques (EPN) correspondantes:
|
Graphe 3 x 3 Somme H/V/D 15 = 5
+ 10 = nmdian x N3 Graphe 4 x 4 : 15 versions illustratives Somme H/V/D 34 =
17 N4/2 = 17 N2 9x9
|
|
17x17
|
Par contre, du 4x4 au 6x6 une
autre problmatique surgit dans le cas des EPN paires et oblige de viser une
double srie dveloppementale, pleinement cerne dans le 10 x 10 comme solution
gnralisable aux EPN paires
6x6 Somme 74=37N2(i.e4/2) = 37x2 111 = 37 N3(i.e.6/2) = (37 x 2) + 37
n.b. : cette version de 6 x 6
peut inspirer les graphes ultrieurs des EPN paires prservant un centre numrique
4 x 4 (lequel est dornavant ais et fort multiple par ses au moins 15
versions) mais elle reste confronte la problmatique du contour (qui ne se
prte pas aussi aisment une telle solution gnrale), malgr cet effort de
crer une apparence de parent avec les EPN impaires (ayant toujours un centre
numrique mais spficique, savoir nmdian), car, pour ce faire, ayant inclure autant les graphes des
multiples du 4x4 ( savoir 8x8, 12x12, 16x16, etc), alors que ce nĠest pas ncessaire
(puisquĠils peuvent se former de simples blocs de 4x4) que les autres graphes
(du 6x6 au 10x10, 14x14, etc) pour lesquels il en va autrement.
Autre version possible
de 6 x 6
Versions de 6 x6 qui incluent une hypothse
susceptible dĠalimenter un essai exploratoire dĠun pattern gnralisable ds10
x 10, puis 14 x 14, 18 x 18, etc
|
Un exemple plus clat de 6 x6 (sans carr
central de 4 x 4 somme 74 par deux paires et contour correspondant)
10 x 10 comme solution gnrale (gnralisable)
aux expansions planaires numriques paires
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10 x 10 Solution gnrale alternative, par carts
intrapaires priphriques non plus minimuns (paires les plus mdianes) mais
maximums, mais encore inspire par le modle 6 x 6 (ici aussi en caractre
gras)
Ces Graphes sĠinscrivent (en caractqre gras) dans la
Table des EPN, selon des expansions qui sĠeffectuent non seulement
interplanairement mais, par-del 3x3 et 4x4, intraplanairement et, ce titre,
sous-tendent, en particulier dans les EPN impaires, lĠpmergence de lĠeffet
papillon.
Si
l'ELN varie, par exemple en substituant les nombres entiers ngatifs aux
nombres entiers positifs, l'EPN varie de la mme faon. Les EPN peuvent aussi
prendre forme de feuillets, par exemple si 32 ne se constitue plus seulement de 1-9 mais se
rplique en son pattern en 10-18, ainsi quĠen 19-27, bien que les trois ne
peuvent sĠintpgrer en un cube qui serait sommativement pgal en tous sens
(incluant ses
grandes
diagonales) et constituent seulement trois feuillets; idem mais sa faon pour
42,
etc. De mme, les EPN peuvent prendre forme de nombres imaginaires, en faisant
correspondre la progression sur la base des nombres entiers positifs (selon
1=i0=i4) celle sur la base des nombres entiers ngatifs (selon 1=i2) sur lĠaxe
horizontal restant sur la droite rpelle, mais aussi celles sur lĠaxe imaginaire
vertical menant, de haut en bas, de i –i (ou i3), bien que 0 reste
alors en dehors et au centre entre de telles EPN se disposant orthogonalement
son entour. Le tout peut aussi se poursuivre en nombres complexes de forme
a+bi, o a correspond lĠaxe horizontal et bi lĠaxe vertical, i y variant
ainsi autant en exposant de 0 4 que figurativement en quarts de tour
antihoraires. Tous les dploiements H/V/D qui s'effectuaient au sein des EPN
tendent ainsi s'extrioriser entre elles au fur et mesure que leur teneur
numrique imaginaire devient de plus en plus marque.
Par exemple, le passage de 3 32 ne se rflchit
imaginairement de 32 en ħ3, avec axe vertical en i et -i, qu'en donnant
l'EPN suivante, en l'occurrence sous forme d'une expansion quadriplanaire numrique:
Il faudrait sans doute nuancer et souligner que la
dissociation axiale est seulement initiale et temporaire ou du moins non complte,
en particulier quant aux nombres mdians en cause (en l'occurrence 5 avec ses
variantes imaginaires) qui restent stables alors que tout le reste peut se
modifier, de sorte qu'un systme de coordonnes peut en resurgir et se doter
d'un contenu coordonn correspondant: