EquerreJanetScerri
Systme du QuŽbŽcium.
Mise en Žquerres du tableau de
Janet-Scerri des ŽlŽments chimiques.
Pierre Demers
26II-8III2010
Traduction interdite.
Termes de rŽfŽrence :
RŽsumŽ. ƒric Scerri a recommandŽ un tableau pŽriodique 2D des ŽlŽments chimiques z=1 ˆ 120 en rŽcrivant sur 7 lignes celui de Janet. Je montre que ce tableau, par des manipulations gŽomŽtriques, donne facilement naissance ˆ 40 Žquerres ŽquilatŽrales, qui sÕassemblent naturellement en 4 strates carrŽes. Ces strates, divisŽes selon les spins – et +, donnent le tableau elliptique du quŽbŽcium 2D. - On remplace dans les strates les cases carrŽes par des sphres, on les rŽorganise par des glissements pour obtenir des strates losanges, puis par des retournements, des empilements 3D en forme de troncs de tŽtradres ayant 2 niveaux par strate. Les 4 troncs obtenus se superposent pour sÕinscrire dans un tŽtradre rŽgulier 3D ayant 8 sphres de c™tŽ et 8 niveaux. – Si on remplace les cases carrŽes par des triangles ŽquilatŽraux, on aboutit ˆ 4 surfaces triangulaires occupŽes par les cases, inscrites dans un tŽtradre rŽgulier. – On voit une fois de plus que la gŽomŽtrie quantique offre une explication globale de lÕorganisation du tableau, inexpliquŽe jusquÕˆ maintenant au-delˆ de la pŽriode 2 traditionnelle. RŽf. 1, 2.
Le tableau Janet-Scerri et ses transformations.
Le tableau Janet-Scerri se trouve ˆ la figure 3 rŽfrence 1. Il comporte 7 lignes, la 1re contenant la 1re et la 2e ligne de celui de Janet. Je le rŽcris avec les couleurs RJVB pour les ŽlŽments spdf, et des additions le complŽtant jusquÕˆ z = 120.
Les figures 1 ˆ 4 montrent le tableau de Janet-Scerri, puis
sa rŽŽcriture en cubes au lieu de cases. LÕusage de ces cubes a ŽtŽ dŽcrit RŽf.
3. Ces cubes sont ensuite formŽs en Žquerres symŽtriques.
Fig. 1. Le tableau Janet-Scerri. Les lignes 1 et 2 du tableau de Janet sont ici rŽunies en une seule. RŽf. 1. Ces 2 lignes sont montrŽes distinctes dans lÕencart.
Fig. 2. . Le tableau Janet-Scerri en cubes, dont les parois sont vert p‰le ou rose pour les spins - ou +. Le code est RJVB pour spdf. LÕassemblage est divisŽ en 16 blocs dÕun cube, 12 de 3, 8 de 5, 4 de 7, un bloc par demi sous-couche. Remarquez les impairs.
Fig. 3. Seize Žquerres symŽtriques formŽes dÕun cube-ŽlŽment, 12 de 3. Les Žquerres dÕun cube nÕont pas de bras.
Fig. 4. Huit Žquerres symŽtriques formŽes de 5 cubes-ŽlŽments, 4 de 7.
Ces 40 Žquerres peuvent sÕassembler de multiples faons. Celles de mme pŽriode peuvent ainsi donner 8 assemblages compacts rectangulaires, renfermant chacun 2 quadrants Žgaux. De la sorte, appara”t une sorte de symŽtrie gŽnŽrale ˆ tout le tableau des ŽlŽments. Fig. 5. Ces rectangles forment 4 paires que jÕai appelŽes des strates. Je prŽfre la disposition selon la figure 6 en strates carrŽes, les quadrants dÕune pŽriode Žtant de symŽtrique par rapport aucentre du carrŽ La structure de la strate 4 se rŽpte dans les autres avec des suppressions.
Fig. 5. Assemblages des cubes en 8 rectangles, un par pŽriode. Les rectangles forment 4 paires semblables 2 ˆ 2. Ils sont composŽs chacun de 2 quadrants carrŽs.
Fig 6. Systme du quŽbŽcium. Tableau semi-elliptique. Seize quadrants en 4 strates. Les spins -+ alternent de lÔouest verslÕest. On peut empiler les strates On voit dans chaque case, en haut ˆ droite, le numŽro de la colonne traditionnelle. Ce numŽro est rŽpŽtŽ 2 fois dans lÕempilement.
Les 4 strates sÕinscrivent sensiblement dans une demi-ellipse. RŽpondant au programme idŽal de Nemmi No‘ther de recherche de symŽtries fondamentales, le tableau semi-elliptique prŽsente une symŽtrie de structure concentrique autour du centre de figure de chaque strate. On peut atteindre une symŽtrie de structure autour du centre de figure.de lÕensemble du tableau en dŽplaant 6 quadrants vers lÕest. La figure est un double miroir, les miroirs sont lÕaxe nord-sud et lÕaxe ouest-est. CÕest le tableau elliptique des ŽlŽments Fig. 7.
Dans ce tableau, les 4 ŽlŽments placŽs symŽtriquement selon des X ont les mmes valeurs de l et m, ils diffrent par les valeurs de n et s.
Fig. 7. Systme du quŽbŽcium. Tableau elliptique. Seize quadrants en 8 demi-strates, spins -+ ouest est.Tableau elliptique.
Tableau 1, relatif au tableau elliptique Fig. 7.
valeurs l et m dans les cases du quadrant NO
Strate 1.....2................3...............................4
RangŽe du haut
...............................................................f0,
f-1, f-2, .f-3 ;
..................................d0,
d-1, d-2, f1, d0, d-1, d-2 ;
...............p0,
p-1, d1,
p0, p-1, f2, d1, p0, p-1 ;
s0, p1, s0, d2, p1, s0, f3, d2,
p1, s0.
RangŽe
du bas
Ces
valeurs se rŽptent avec symŽtries miroirs dans les 3 autres quadrants
Les
ŽlŽments rŽpŽtŽs par symŽtries miroirs forment une tŽtrade. En groupant les
ŽlŽments par tŽtrades, on obtient un tableau quart dÕellipse de 30 tŽtrades.
Fig. 8
Fig. 8. Systme du quŽbŽcium. Tableau en quart dÕellipse de 30 tŽtrades. Dans une tŽtrade on inscrit les 4 ŽlŽments dÕune strate ayant les mmes valeurs de l et de m.
Ë lÕintŽrieur dÕune tŽtrade, les 4 ŽlŽments ont les mmes valeurs de l et de m, , ils diffrent par les valeurs de n et s. Voici les valeurs de l et m dans les 30 tŽtrades en commenant par la rangŽe supŽrieure. Tableau 1.
Tableau 2, relatif au tableau en quart dÕellipse Fig. 8.
valeurs l et m dans les tŽtrades
Strate 1.....2................3...............................4
RangŽe du haut
...............................................................f0,
f-1, f-2, .f-3 ;
..................................d0,
d-1, d-2, f1, d0, d-1, d-2 ;
...............p0,
p-1, d1,
p0, p-1, f2, d1, p0, p-1 ;
s0, p1, s0, d2, p1, s0, f3, d2,
p1, s0
RangŽe
du bas
Passage ˆ 3D.
Dans
le tableau semi-elliptique, je remplace les cases en carrŽs ou en cubes par des
boules sÕy logeant. Dans chaque strate elles forment en arrangement carrŽ ayant
n boules de c™tŽ et comptant n2 boules = 4, 16, 36 ou 64, et je
les contrains ˆ prendre un arrangement losange. Cet arrangement possde, ˆ sa
plus grande largeur, une suite rectiligne de n boules. Autour de cette suite, je fais pivoter
vers le haut lÔensemble des [n(n-1)]/2 boules situŽes dÕun c™tŽ, et elles
viennent sÕappliquer au dessus des autres, Žtablissant une structure de 2
Žtages. Fig. 9. Cette structure 3D sÕinscrit dans un tronc de tŽtradre
rŽgulier. Les 4 structures superposŽes avec leurs 8 niveaux sÕinscrivent dans
un tŽtradre rŽgulier. Fig. 10.
Fig. 9. Exemple de passage ˆ 3D. Les 16 casesde la strate 2 sont devenues
16 boules en arrangement carrŽ. Par contrainte, elles sÔarrangent en losange.
Par pivotement, 6 boules se placent au dessus des 10 autres. Il rŽsulte un
empilement en tronc de tŽtradre.
Fig. 10.Tableau en tŽtradre de boules. Il sÕincrit dans un cube, une arte par face du cube. La strate 4 avec ses 64 boules commence dans les deux niveaux de boules B et sÕŽtend vers le bas de la figure. JÕai rŽalisŽ ce tableau fin 1998. RŽf. 4.
Fig. 11. Tableau en 4 feuilles triangulaires portant les cases
triangles des ŽlŽments, inscrites dans un tŽtradre rŽgulier. Les ŽlŽments sont
figurŽs par des triangles en tte-bche. La strate 4 est ˆ gauche. Mars 2010.
RŽf. 14
La
gŽomŽtrie du tŽtradre rŽgulier lui permet de loger exactement des carrŽs, des
rectangles et plus gŽnŽralement, des trapzes, sÕappuyant sur 2 faces didres,
ayant une arte commune, comme je lÕai dŽcrit dans ma publication RŽf. 14.
Gr‰ce ˆ ce principe, Tsimmermann a pu reprŽsenter la totalitŽ des 120 ŽlŽments
par des cartes rectangulaires logŽes dans un tŽtradre ; chaque carte
portant des cases rectangulaires portant le nom dÕun ŽlŽment. Une carte pour
chaque valeur de l, il y 4 cartes : spdf. En modifiant sa prŽsentation, je
prŽsente les 4 strates sous lÕaspect dÕun empilement de cartes carrŽes logŽes
dans un didre dÕun tŽtradre. Fig. 12.
Fig. 12. Ë lÕintŽrieur dÕun tŽtradre rŽgulier, les 4 strates sont
reprŽsentŽes chacune par une carte carrŽe assises sur 2 faces didres. LÕarte
didre est en haut. Mars 2010.
Pourquoi lÕexistence des strates?
Dans le langage du systme traditionnel, pourquoi les pŽriodes 3, 4, 5, 6 et 7 ont-elles respectivement 8, 16, 16, 32 et 32 termes, alors que, conformŽment ˆ une certaine extension du modle de Bohr de lÕatome H, la prŽvision est quÕelles devraient en avoir 18, 32, 50, 72 et 96? Cette prŽvision erronŽe est trs loin de la rŽalitŽ, et cÕest peut-tre pour cette raison quÕelle est rarement exposŽe dans la littŽrature; elle discrŽdite en quelque sorte le modle de Bohr lorsquÕon essaie de lÕappliquer aux atomes autres que H. Et encore, pourquoi, lorsquÕon observe le tableau de Mendeleev traditionnel solidement implantŽ partout, peut-on observer que les pŽriodes se prŽsentent en paires de mmes longueurs aprs la 1re , soit 8 et 8, 18 et 18, 32 et 32?
1. JÕai dÕabord formalisŽ lÕaffirmation empirique et jÕen ai fait une rgle, quitte ˆ la justifier plus tard, et cÕest mon 1er postulat:
Çles pŽriodes se prŽsentent par paires dÕŽgales longueurs È, que jÕappelle strates.
2. Et voici mon 2e postulat :
Ç la suite de ŽlŽments finit sur un gaz rare que jÕai appelŽ quŽbŽcium, de numŽro z = 118. È
3.
Il me fallait ajouter une remarque ou un 3e postulat :
Ç pour
des raisons inconnues, la rgle ne sÕapplique pas ˆ la 1re strate,
qui ne contient quÕune pŽriode, de 2 ŽlŽments, H et He. È
De
la sorte, il y a 4 strates.
Je
tiens pour importante la notion gŽnŽralisŽe de strate pour assurer telle
symŽtrie dÕensemble dÕordre 4 du tableau, afin quÕon puisse le considŽrer comme
formŽ de 4 parties similaires. Il serait dificilement concevable que les 2
premiers ŽlŽments Žchappent ˆ une rgle aussi Žvidemment vŽrifiŽe dans les
nombreux ŽlŽments qui les suivent. CÕŽtait ma conclusion en 1997. RŽf. 5.
Il
fallait donc impŽrativement corriger cette erreur de la nature, me disais-je.
Un peu plus, jÕaurais proclamŽ : Ç SymŽtrie dÕabord, expŽrience
ensuite È ! Il faut 2 pŽriodes et 4 ŽlŽments dans la strate 1
JÕai
tentŽ de placer les 2 ŽlŽments spŽculatifs 119 et 120 dans une pŽriode
virtuelle prŽcŽdant celle contenant H et He. Cette tentative pouvant se
justifier par une hypothŽtique nouvelle rgle de symŽtrie, qui affirmerait que
la disposition des ŽlŽments constituerait un cycle fermŽ sur lui mme au nombre
120. Mais cette nouvelle rgle para”t extravagante, car, pourquoi imposer
lÕidŽe ad hoc dÕun cycle fermŽ
Et
je je me trouvais confrontŽ ˆ une prŽvention que je voulais respecter, je
voulais respecter une tradition qui me paraissait intouchable, remontant ˆ
Mendeleev lui-mme savoir que 1re pŽriode soit obligatoirement
confinŽe ˆ 2 ŽlŽments, et suivie dÕune 2e pŽriode de 8 ŽlŽments et
non de 2. La tradition exigeant en outre que toute pŽriode commence par un
alcalin et se termine sur un gaz rare.
JÕai
commensŽ ˆ penser quÕil nÕy avait pas une erreur de la nature, mais une erreur
humaine. Une erreur humaine ou disons plut™t un mauvais choix dans la
reprŽsenttion du commencement du tableau.
JÕai
connu le tableau de Charles Janet par le livre de Van Spronsen, qui le prŽsente
sans le recommander. Ce tableau crŽŽ une 2e ligne contenant les 2
ŽlŽments Li et Be enlevŽs ˆ la 2e pŽriode traditionnelle, et qui
termine ses lignes sur un ŽlŽment s+, et que jÕappelle invariablement un
alcalino-terreux mme sÕil sÕagit de He. RŽf. 9, 10.
Cela
mÕa encouragŽ ˆ passer outre ˆ ma prŽvention ci-dessus et ˆ envisager une 2e
pŽriode contenant Li et Be et des pŽriodes se terminant sur un
alcalino-terreux. Le caractre de lÕŽlŽment au dŽbut dÕune pŽriode varie selon
la strate, il est le mme pour les 2 pŽriodes dÕune strate. Une raison de
symŽtrie supplŽmentaire se prŽsente : dans une pŽriode de la nouvelle
Žcriture, la valeur de l est fonction dŽcroissante de z et la valeur de n est
fonction croissante de z.
JÕai
alors modifiŽ mon 2e postulat et je me suis attachŽ ˆ 120 pour le
nombre dÕŽlŽments. Ce nombre est remarquable car il est le produit des 5 1ers
nombres : 1X2X3X4X5 = 120. Regardez non les lis des champs mais les doigts
de la main. Fig. 13.
Fig. 13. De ma main gauche. Le produit des 5 premiers nombres est Žgal
ˆ 120.
Le
quŽbŽcium perd son attrait de dernier ŽlŽment de la liste, mais conserve celui
de dernier gaz rare. Le dernier ŽlŽment z=120 appelŽ officiellement et
temporairement Ubn pourrait sÕappeler Janetium symbole Jt.
Janet
lÕanticipateur a donc prŽvu ds 1928 la rŽpartition de la suite des ŽlŽments
telle que je la propose : huit lignes que jÕappelle des pŽriodes, quÕil a
montrŽes formant des paires ayant mme longueur, auxquelles il nÕa pas attachŽ
une appellation , que jÕappelle des
strates. Cela se trouve dans notre point de dŽpart Fig. 1.
Reste
ˆ trouver le pourquoi des strates assurant la symŽtrie 4 du tableau. On
lÕappelle universellement pŽriodique et elle lÕest ˆ sa manire, mais cette
appellation sŽcurisante a peut-tre empŽchŽ quÕon dŽcouvre plus t™t une
rŽŽcriture convenable rŽvŽlant sa symŽtrie. Je crois opportun de conserver
lÕappellation historique de systme du quŽbŽcium, ce qui est son nom de
baptme, mais de parler au besoin de tableaux symŽtriques des ŽlŽments.
JÕai
proposŽ en 2004 une explication fondŽe sur les c™nes de prŽcession virtuels des
spins des Žlectrons caractŽristiques appartenant aux ŽlŽments successifs. En
plus du doublage imaginŽ par Pauli et liŽ aux spins – et +, il
existerait une tendance au quadruplage, 4 spins sÕengageant dans une
structure saturante, gŽomŽtriquement identique ˆ celle qui dŽtermine la
prolifŽration, si utile ˆ la vie, des structures tŽtraŽdriques du carbone. RŽf.
11, 13, 14.
Fig. 14. Extrait page 17 de RŽf. 13. Je propose dÕattribuer un c™ne de
prŽcession dÕouverture 109,471o = 2arccos(1/Ã3) ˆ lÕŽlectron caractŽristique de chacun des ŽlŽments
dÕune tŽtrade (ici Mn, Zn, Tc, Cd). Les 4 c™nes accolŽs avec centres communs
saturent la sphre des angles solides 4pi. Cette saturation est rŽalisŽe
exactement et non sensiblement comme il est Žcrit. Saturation ne veut
pas dire remplissage. Les axes des c™nes et leurs faces planes dŽcrivent un
tŽtradre aussi bien que les 4 valences Žgales du carbone tŽtraŽdrique.
Conclusion.
Voilˆ.
Le tableau de Janet-Scerri possde certaines symŽtries, mais surtout, il recŽle
des symŽtries latentes que la mise en Žquerres, suivie de manipulations
gŽomŽtriques, permet de mettre en Žvidence dans des prŽsentations bi- et
tridimensionnelles. Ces manipulations, ˆ la lumire de la thŽorie du spin de
lÕŽlectron, suggrent un principe nouveau, doublement de celui de Pauli disant que les ŽlŽments
existent en orbitales, cˆd par paires. Le principe nouveau dit que les ŽlŽments
existent en tŽtrades associant 2 orbitales, cˆd par paires de paires.
La
suite numŽrique des ŽlŽments dans le tableau est expliquŽe et sÕŽtablit
ainsi : 4 strates de 2 pŽriodes de mme longueur chacune. Les strates
successives renferment les nombres suivants dÕŽlŽments : 4, 16, 36 et 64.
JÕai
montrŽ quelques reprŽsentations logiques du tableau, dÕautres encore sont
possibles et sÕajouteront sans doute.
CivilitŽs.
ƒric
Scerri mÕayant annoncŽ son passage prochain au QuŽbec, cette annonce mÕa
conduit ˆ porter une attention spŽciale ˆ son Ïuvre, consacrŽe en partie ˆ
lÕŽtude des triades. La mienne est plut™t orientŽe vers les tŽtrades et je la
lui soumets.
Je
remercie mon fils Patrick Demers, expert-informaticien pour son, aide assidue.
RŽfŽrences.
1. ƒric Scerri 2008, (R™le des triades dans lÕŽvolution du systme pŽriodique des ŽlŽments, au passŽ et au prŽsent)
The
Role of Triads in the Evolution of the Periodic System, Past and Present, Journal of Chemical Education, 85, 585-589, 2008
NDLR. Les triades reprŽsentent une sorte de symŽtrie.
2. ƒric Scerri 2007, (LÕhŽritage
MendŽlŽŽvien : le systme pŽriodique) MendeleevÕs Legacy: The Periodic
System, ©2007 Chemical Heritage Magazine, printemps 2007, Vol. 25, No 1
http://www.chemheritage.org/pubs//ch-v25n1-articles/feature_mendeleev_print.html
Traduction
et soulignŽs NDLR.
Les
rgles gouvernant lÕattribution des nombres quantiques furent rigoureusement
expliquŽes par la thŽorie quantique, de sorte que les 2 1res couches
contiennent au maximum 2 et 8 Žlectrons – et on eut ainsi enfin une
explication des longueurs des 2 1res pŽriodes du tableau ! Des
considŽrations semblables appliquŽes aux couches 3 et 4 annoncent 18 et 32
Žlectrons respectivement, mais cela ne sÕaccorde pas avec la rŽpartition des
ŽlŽments dans le tableau pŽriodique. Et cÕest lˆ tout un problme : la 3e
pŽriode contient 8 Žlectrons au lieu de 18.
Tout
compte fait, les nombres quantiques paraissent fournir une explication
dŽductive satisfaisante du nombre total que chaque couche peut
renfermer, mais en revanche la correspondance de ces valeurs avec les nombres
dÕŽlŽments dans les pŽriodes est en quelque sorte une co•ncidence
fortuite. LÕordonnance bien connue du remplissage des orbitales spdf*
(*diagramme manquant) a ŽtŽ dŽterminŽe essentiellement de faon empirique.
Bohr
a ŽchouŽ ˆ dŽduire lÕordre du remplissage des orbitales, et comme certains
auteurs lÕont reconnu, cÕest lˆ un des grands problmes de la mŽcanique
quantique.
É
Concernant le systme de Mendeleev, a question nÕest plus de savoir sÕil est valide, mais plut™t, de trouver quelle serait la meilleure manire de le reprŽsenter**É
ÉThe rules that govern the assignment of quantum numbers are rigorously explained by quantum theory, with the outcome that the first 2 shells contain a maximum of 2 and 8 electrons—at long last an explanation for the lengths of the first two periods of the table! Similar considerations for the 3rd and 4th shells predict 18 and 32 electrons respectively, but this is not in accordance with the arrangement of the elements in the periodic table.
The problem is this: the third row of the periodic table contains 8, not 18, electrons. It turns out that while quantum numbers provide a satisfying deductive explanation of the total number of electrons that any shell can hold, the correspondence of these values with the number of elements that occur in any particular period is something of a coincidence. The familiar sequence in which the s, p, d, and f orbitals are filled (see diagram, left) has essentially been determined by empirical means. Indeed, BohrÕs failure to derive the order for the filling of the orbitals has been described by some as one of the outstanding problems of quantum mechanics.
É
The problem is no longer the validity of MendeleevÕs system, but the
best way to represent it.
NDLR. ** La validitŽ du sytme de MendŽlŽev est-elle vraiment hors de question ?La reprŽsentation serait-elle donc sans grande importance dans un systme tel que celui de Mendeleev ? Un systme reprŽsentŽ par un tableau est de ce fait nŽcessairement associŽ ˆ la topologie et ˆ la gŽomŽtrie, et, de nos jours, ˆ la thŽorie quantique ; toutes disciplines que jÕinvoque dans le systme du quŽbŽcium. LÕintroduction dÕune reprŽsentation nouvelle peut conduire ˆ rŽviser le systme. - Il nÕy a pas un tableau idŽal unique, une multitude de tableaux sont possibles qui sont scientifiquement corrects, mais inŽgaux devant notre besoin de comprendre la structure de lÕatome et en particulier sa symŽtrie dÕordre 4. Le systme du quŽbŽcium et ses tableaux, ˆ la diffŽrence de ce qui Žtait admis jusquÕici, mettent en Žvidence pour la 1re fois cette symŽtrie et annoncent une comprŽhension meilleure de lÕorganisation de lÕatome.
Fig 15. Systme du quŽbŽcium. Tableau elliptique dÕaprs RŽf. 3 ACFAS.
Il dŽmontre une symŽtrie double miroir des valeurs l et m. RŽf. 5,
6, 7, 8.
Tableau pŽriodique
elliptique_2.png
RŽf. 3. Pierre Demers 2004, Un jeu de blocs qui enseigne la nouvelle classification des ŽlŽments Chapitre 3, LeSystme du QuŽbŽcium, 2e Ždition,
http://www.lisulf.quebec/QbSyst2e.23quater.html,; mme titre, projet ACFAS, http://www.lisulf.quebec/ACFAS2004jeublocsQb.html
Fig. 16. Bo”tes cubiques. Archives Alpha Plastiques 1998.
RŽf. 4. Alpha Plastiques 1998, MŽmoire, bo”te cubique 14 1/4 dÕarte, datŽ de septembre 1998. Bo”te employŽe ˆ lÕŽpoque tableau 3D de 120 boules Fig. 10. - Fig. 16.
RŽf. 5. Pierre Demers 2010 (Pierre Demers 1997), Systme du QuŽbŽcium, Le tableau pŽriodique des ŽlŽments est un double miroir, ˆ venir
RŽf. 6. Pierre Demers 1997), Systme du QuŽbŽcium, Le tableau pŽriodique des ŽlŽments ISBN 2-9802454-4-5, PUM 4e trimestre 1997, traduction interdite,
RŽf. 7. Pierre Demers 2004, Systme du QuŽbŽcium La nouvelle classification des ŽlŽments, ISBN 2-9802454-7-X, PUM 2e trimestre 2004, traduction interdite,
RŽf. 8. Pierre Demers 2004, Systme du QuŽbŽcium La nouvelle classification des ŽlŽments, ISBN 2-9802454-7-X, PUM 5. Pierre Demers 2010, Systme du QuŽbŽcium, traduction interdite, site : http://www.lisulf.quebec/quebecium.html
RŽf.
9. Lo•c Casson 2009, CTHS, 134e congrs, Bordeaux, 2009
,
CŽlbres ou obscurs. Hommes et femmes dans leurs territoires et leur histoire
Charles Janet (1849-1932), un savant obscur en passe de sortir de l'ombre, http://cths.fr/co/communication.php?id=4009,
RŽf. 10. Lo•c Casson 2009, Charles Janet, un savant oubliŽ,
Soc. AcadŽmique de lÕOise, MŽmoires, Mars 2008,
http://soc.acad.oise.free.fr/bulletin.htm
RŽf. 11. Pierre Demers 2005, Systme du QuŽbŽcium, C™nes de prŽcession du spin des Žlectrons. TŽtrades de cesc™nes, http://www.lisulf.quebec/PrecessionSpinhtml, 18-Dec-2005
RŽf.
12. Pierre Demers 2007, Systme du QuŽbŽcium. GŽomŽtrie quantique */**
http://www.lisulf.quebec/GQ1sur2, 28-Jan-2007
RŽf. 13. Pierre Demers 2004, Systme du QuŽbŽcium Le Tableau elliptique des ŽlŽments par Pierre
Demers. Une collection de tableaux, ISBN 2-9802454-8-8, PUM2004
http://www.er.uqam.ca/nobel/c3410/Catalogue11XII2004.html
RŽf. 14. Pierre Demers 2010 Systme du QuŽbŽcium. Le
tŽtradre dans la classification des ŽlŽments chimiques. Une note historique.
Une version nouvelle du tableau tŽtraŽdrique des ŽlŽments,12-26I2010 QbtetraNveau.htm
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