NCodeCoulm

Systme du QuŽbŽcium.

Nouveau code couleur l et m dans le tableau pŽriodique des ŽlŽments.

Pierre Demers

1er-12IV 2010

Traduction interdite.

Termes de rŽfŽrence : 

RŽsumŽ. Au tableau pŽriodique de MendŽlŽev des ŽlŽments chimiques rŽcrit en tableau elliptique, jĠai assignŽ les 4 couleurs principales RJVB pour dŽsigner les 4 couronnes dĠŽquerres ou les moments cinŽtiques l = 0, 1, 2, 3 spdf, ces couleurs Žtant celles des cases des divers ŽlŽments, de leur fond ou de lĠŽcriture quĠelles contiennent. La valeur de s Žtant associŽe au demiant, Ouest pour – et Est pour +. Je propose maintenant que ces couleurs, pour chaque valeur de l, soient pourvues dĠune gradation pouvant tre en degrŽs teinte, clartŽ ou saturation. Les degrŽs vont par exemple de trs p‰le pour la valeur la plus nŽgative de m ˆ trs saturŽ pour la valeur la plus positive de m. En dŽfinitive, ce code prŽsente une correspondance uni-univoque couleur-colonne avec les 18 ou 32 colonnes du tableau pŽriodique traditionnel. Ce projet prolonge des essais datant de 2003 avec la collaboration de Maurice Day, Žtablissant alors une correspondance couleur-z ˆ travers tout le tableau. RŽf. 1.

 

Choix des couleurs.

Je rappelle le plan universel des valeurs lm. Le spin est – dans la moitiŽ O et + dans la moitiŽ E. Fig. 1.

Fig. 1. Plan universel des valeurs lm. Le spin est – dans la moitiŽ O et + dans la moitiŽ E. Planstrate2IV2010.psd

 

Voici un 1er choix de couleurs, dans lĠŽchelle TSL-CSB teinte saturation luminance du logiciel Illustrator. Il est basŽ sur une gradation en saturation et luminance ˆ teinte constante. La saturation est associŽe aux demi sous-couches compltes, dont les 2 rangŽes horizontales centrales marquent la colonne vertŽbrale du tableau. Fig. 2.

Fig. 2. Un 1er choix de couleurs, dans lĠŽchelle TSL teinte saturation luminositŽ (CSB chroma saturation brillance du logiciel Illustrator). codage.png

 

Fig. 3. Tableau demi-elliptique des ŽlŽments avec code de couleurs des cases lm et bande rappelant le codage des spins -+. Choix des couleurs de Fig. 2. Les Žcritures sont mises en Žvidence; elles gnent la perception des suites des couleurs.

 

Fig. 4. Comme Fig. 3, mais ici les Žcritures plus petites aident ˆ mieux percevoir les suites des couleurs. Tableau demi-elliptique des ŽlŽments avec code de couleurs des cases lm et bande rappelant le codage des spins -+. Choix des couleurs de Fig. 2.

 

Fig. 5. Empilement des strates, une supŽrieure cachant sa portion des infŽrieures.

 

Fig. 6. Suite de Fig. 5. Les colonnes (traditionnelles) ou groupes. La dŽfinition des colonnes est adaptŽe de celle de lĠUICPA Union internationale de chimie pure et appliquŽe. Selon lĠUICPA il y a 18 colonnes paraissant ici en RJV, jĠen ajoute 14 en B, total 32. Je classe He dans la colonne 2. Chaque colonne appara”t comme 2 cases de mme couleur dans un demiant. Le demiant O renferme 16 couleurs 16= 9+7, 9 reprŽsentant les colonnes 1, 3 ˆ 7, 13 ˆ 15, 19 ˆ 25. Le demiant E renferme 16 couleurs les colonnes 16= 9+7, reprŽsentant les colonnes 2, 8 ˆ 12, 13 ˆ 15, 16 ˆ 18,  26 ˆ 32.

Ne pas confondre avec la colonne vertŽbrale, unique dans le tableau.

 

Voici un 2e code colorŽ, dans lequel les cases des valeurs les plus nŽgatives de m sont lŽgrement teintŽes de la couleur suivante dans lĠordre BVJR. Fig. 7.

Fig. 7. Deuxime choix des couleurs. BVJ sont saturŽes ˆ gauche, dŽsaturŽes et tendant vers la teinte suivante, ˆ droite. Choixcoul2e png

 

Fig. 8. Le tableau semi-elliptique avec le 2e choix des couleurs de Fig. 7.

 

 

-3

-2

-1

0

1

2

3

Teinte

240

212

200

192

179

162

139

Saturation

100

85

93

70

46

41

22

LuminisotŽ

100

100

100

96

92

96

100

 

Fig. 9. Suite B dans le 2e choix. S=93 pour m=-1 para”t tre une anomalie. Coul2echx4estrTSL.png

 

Couleurs et quanta.

Le codage colorŽ ici rŽalisŽ possde des correspondances physiques avec les nombres quantiques s, l et m, cˆd avec des moments cinŽtiques. Le fait que lĠon puisse Žtablir de telles correspondances dŽcoule ˆ la fois de la thŽorie de lĠatome et de celle de la couleur, leur Žtude peit Žclairer ces 2 thŽories. Il existe des codes colorŽs plus ou moins comparables ˆ propos des rŽsistances Žlectriques et en chromodynamique des particules ŽlŽmentaires.

Il y a une motivation physique aux couleurs choisies : les photons causant les perceptions B et V sont plus pesants que ceux causant les perceptions J et R, alors que le prŽsent code les associe surtout aux atomes les plus pesants aussi, en fin du tableau.

Dans chacune des 3 suites BVJ, le codage Žtablit une saturation S croissante, pour une valeur dŽterminŽe de l, avec m, de la valeur la plus nŽgative de m ˆ sa valeur la plus positive.

Il para”t exister une exception dans le 2e choix, pour l=3, m=1; pour cette valeur, il faudrait-il parler dĠune saturation apparente Sa distincte de la quantitŽ S figurant dans le logiciel Illustrator ? Fig. 9. Puisque Sa ne sĠidentifie pas partout avec S. On sait que m est fonction croissante du nombre dĠŽlectrons l prŽsents dans lĠatome concernŽ. – On sait que la perception colorŽe varie selon les individus et la CIE Commission internationale de lĠŽclairage a dŽfini un observateur normal. Un observateur daltonien : que verrait-il dans les prŽsents tableux?

En plus des 2 choix prŽsentŽs ci-dessus, on peut Žvidemment en imaginer une multitude. Ë suivre.

 

Note sur les ŽlŽments f l=3.

CĠest lĠoccasion de porter attention ˆ ces ŽlŽments, qui furent pendant longtemps la bte noire des classificateurs. Par leurs propriŽtŽs chimiques, ils forment un groupe homogne et ˆ part des autres. Ce sont des lanthanides terres rares de La57 ˆ Yb70, puis des actinides de Ac89 ˆ No102. Plusieurs dĠentre eux sont irrŽguliers, un Žlectron prŽvu f Žtant d. La sagesse de lĠUICPA a jusquĠici, en lĠan 2010, refusŽ de leur attribuer des colonnes, ce que que Charles Janet avait pratiquement fait dŽjˆ en 1925. LĠUICPA les classe en dehors du domaine Ç colonnable È.

Dans un tableau 3D tŽtradrique, ces 28 ŽlŽments f l=3 sĠassocient en une barre ˆ angle droit avec celle des 16 ŽlŽments s l=0. En thŽorie quantique, deux fonctions orthogonales ont trs peu en commun. Doublement ˆ suivre.

 

Remerciements.

Je remercie Maurice Day, scŽnographe et expert coloriste, pour de nombreuses conversations Žclairantes et mon fils Patrick Demers, expert informaticien, pour son aide.

 

RŽfŽrences.

RŽf. 1. Pierre Demers 2010, Site, http://www.lisulf.quebec/quebecium.html

 

Ë mon cher Maurice.

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En ce jour du poisson dĠavril.

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