Nombresquelettehumainevolution, http://www.lisulf.quebec/Nombresquelettehumainevolution.htm
Systme du
Qubcium
Le nombre, le
squelette humain
et lÕvolution
biologique
Pierre Demers
Traduction
interdite.
3I2013. 10I2013.
Sommaire. On montre que le squelette humain ralise au moins 4 suites arithmtiques de nombres. Chacune constitue un plan prcis, ternel et omniprsent. A. La 1re suite sÕapplique aux 4 membres, suprieurs et infrieurs; elle dpend du nombre 30 et de la symtrie 4 qui lÕaccompagne. BC La 2e et la 3e sont les progressions arithmtique et gomtrique, lÕune et lÕautre de 1er terme 2 et de raison 2, sÕappliquant la dentition. D La 4e est la suite de Fibonacci applique aux rappports des longueurs des membres. E On voque des applications dÕautres parties du squelette telles que la colonne vertbrale, le crne, le thorax et les grands os plats. F Cela suggre que lÕvolution biologique ne sÕest pas faite par pur hasard, puisque les nombres et leurs rappprts ont exist de tout temps et ont prcd lÕapparition de squelettes humains. Rfrence Jacques Monod Le Hasard et la Ncessit Seuil. G Cela conduit des rflexions sur ce que sont un nombre et un nombre figur.
A Nombre magique 30: les 120 os du
squelette des membres. Rfs 1 7.
Fig. 1. Squelettes des membres. Les 30 os de chaque membre suprieur, les 30 os de chaque membre infrieur. Noter les 8 os du carpe dans la main et les 7 os du tarse dans le pied. Noter les os ssamodes, en supplment au squelette et prsents occasionnellement comme ici, la base du pouce. Zehen : orteil.
Ç On a toute raison dÕappeler 30 nombre magique. Parmi tous les entiers, il se distingue. Pythagore se rjouirait, lui qui disait Ç Tout dans le monde est nombre È. Y compris prcisment lÕtre humain que tous les enfants dessinent partout et toujours avec 2 membres suprieurs et 2 membres infrieurs, et tous ces enfants et toutes les grandes personnes ont chacun 30 os dans le squelette de chacun de ces 4 membres.
Ce nÕest pas un hasard sÕil en est ainsi. Chaque personne humaine ralise son tour un plan ternel et omniprsent, celui qui dpend du nombre 30 et de la symtrie 4 qui lÕaccompagne.È Extrait de Rf. 3.
La suite dÕentiers qui se manifeste est celle de 1, 4, 9, 16 rpte 4 fois.
Fig. 2. Main gauche (et bras gauche). 22013.png.
Dnombrements.
1 phalange terminaledu pouce.
4 phalanges terminales des autres doigts.
9 autres phalanges.
16 autres os de la paume, du poignet et du bras.
------------------------------------------------
30 os total dans le membre suprieur gauche.
X 4 membres = 120 os total gnral.
Les membres infrieurs rptent exactement les dnombrements des membres suprieurs, avec une particularit qui ne change pas la suite 1, 4, 9, 16. La voici : alors que chaque bras compte 3 des 16 lments et la main 13, la jambe compte 4 lments et le pied 12.
Le prsent expos ajoute la Rf. 4, dont voici un extrait.
Ç L'existence de ces 120 os et leur organisation mutuelle, est une consquence de lois naturelles, et le systme du qubcium en manifeste les aspects apparaissant dans cette figure. En confondant les lois et leur manifestation, le systme du qubcium "impose" l'existence de ces 120 os et leur organisation ou il en est la raison d'tre. È
Leur organisation peut sÕexprimer dans la suite 1, 4, 9, 16 multiplie par 4.
Le dcompte des groupes 1, 4 et 9 dans les mains se fait sans peine par chacun sÕil sÕarrte examiner ses doigts. Celui du groupe 16 est moins immdiat et lÕimage aux rayons X rend alors service. Fig. 3. Mme alors les 8 lments du poignet formant le carpe sont difficiles discerner.
Une remarque semblable vaut pour le dcompte dans le pied. Le dcompte des 7 lments formant le tarse exige attention.
BC Nombre magique 30, progressions de raison 2: la dentition. Rfs 8 11.
Symtrie 4. Les dents occupent 4 demi-arcades sur les gencives. Elle manifestent une double symtrie binaire : haut-bas et droite-gauche, cÕest--dite quadruple, aussi bien que les 4 membres, dans la 1re dentition et dans la 2e. La 1re dentition, celle des dents de lait, commence habituellement vers 6 mois par deux incisives en bas, suivies bien vite par 2 autres en haut, il y a finalement 5 dents de lait dans chaque demi-arcade. Elles tombent vers 12 ans pour tre remplaces par les dents dÕadulte. dont les dernires ou dents de sagesse apparaissant parfois seulement 26 ans. La 1re dentition compte 4 fois 5 dents, la 2e, 4 fois 8 dents. Rfs 11, 12.
Les types de dents sont ainsi : i pour incisive, c pour canine, p.m. pour petites molaires parmi les dents de lait, p pour prmolaire, m pour molaire.
Fig. 3. La 1re dentition et quelques tapes de son apparition. Elle ralise successivement, sauf 18, tous les termes de la progression arithmtique de base 2 et de raison 2, depuis 2 jusquÕ 20.
Fig.
4. Les dents dfinitives. Au nombre total de 32 vers 21 ans.
LÕorganisation des 1res dents suggre lÕintervention des 2 1ers termes de la srie 1, 4, (9, 16), total 5 comme pour les phalanges des doigts et des orteils, cÕest--dire dÕun plan li au nombre magique 30.
LÕorganisation des dents dfinitives suggre lÕintervention dÕun plan diffrent li la progression gomtrique ayant 2 comme 1er terme et 2 comme raison. On y aperoit en effet les 5 1ers termes de cette progression, de 2 32.
2, 4, 8,16, 32.
Ainsi se trouve mis en vidence nouveau le nombre entier 5, lequel apparat dans lÕorganisation des 1res dents.
Ne pas confondre 32 = 2*2*2*2*2 = 25 et 36 = 2*2*3*3 =22*32.
D Suite de Fibonacci dans les mains et les pieds (longueurs) . Rf. 12.
La suite
des phalanges se continue dans la paume par un 4e os pour 4 doigts
et par un 3e os pour le pouce. Les doigts ainsi prolongs
sÕappellent des rayons. Fig. 2, on reconnat la vrit approximative de cet
extrait : Ç La longueur des composantes de chacun des rayons
s'inscrit dans la srie de Fibonacci dcouverte en 1202 voulant que chaque
lment est gal la somme des deux prcdents.È (0, 1), 1, 2, 3, 5É.
La srie de Fibonacci fut dcrite par son auteur en termes de nombres entiers puisquÕil lÕappliquait des portes de lapins. Ici elle est applique des longueurs. Fig. 5.
Le pied, compar la main, renferme le mme nombre dÕlments dans ses rayons. On remarque en outre que le 4e lment est de beaucoup suprieur la somme du 3e et du 2e. Rf. 4.
Fig. 5. Radiographie dÕune main humaine. Dans les rayons des doigts, on reconnat la suite des longueurs 5, 3, 2, 1.
Fig. 6. Un pied humain.
Les rapports sont ainsi.
43/22/28, 62/17/11/10, 58/15/7/11, 59/15/6/10, 54/18/6/8,
1,5/0,8/1, 6,2/1,7/1,1/1, 5,3/1,4/0,6/1, 5,9/1,5/0,6/1, 6,8/2,3/0,8/1,
en arrondissant lÕentier le plus proche :
É..2/1/1, 6/2/1/1, 5/1/1/1, 6/2/1/1 , 7/2/1/1.
Fibonacci serait :
É..3/2/1, 5/3/2/1, 5/3/2/1, 5/3/2/1, 5/3/2/1.
On souhaiterait tablir des statistiques par de telles mensurations pratiques sur plusieurs individus.
E Les entiers dans le squelette du crne, du thorax et de la colonne vertbrale. Ë venir.
Dans le crne on reconnat 4 paires dÕorifices : le nez, les yeux, les oreilles et les gencives.
Dans le squelette thoracique, on reconnat 24 ctes.
Dans la colonne vertbrale, on reconnat prs de 33 vertbres.
Entre la colonne vertbrale et les os des membres on reconnat les grands os plats : les 2 omoplates et les 2 os iliaques, total 4 os.
Une analyse venir.
FG. Jacques Monod et quÕest un nombre? Les ides de Platon. Rfs 13 18.
¥ Dans son Ïuvre mmorable, Jacques Monod fait la part du hasard et celle de la ncessit dans lÕapparition des tres vivants et en particulier, celle de lÕtre humain. La seule ncessit quÕil semble reconnatre ce propos parat tre celle des phnomnes physico-chimiques. Voici son texte.
Ç les phnomnes biologiques sont rductibles
aux lois de la physico-chimie, donc rgis par leur ncessit, ils ne sont
cependant pas dductibles de ces lois car seul le hasard les a
crsÉ È
Veut-il dire : cr les phnomnes, ou les
phnomnes et les lois aussi?
De toute faon, cet auteur semble indiffrent aux
lois des mathmatiques. Les lois de la physico-chimie sont assurment lies
la matire et on peut prtendre quÕelles nÕexistent pas en dehors de la
matire. Mais peut-on avancer la mme prtention pour les lois des
mathmatiques ?
Les lois des mathmatiques commencent avec la notion de nombre, et celle-ci, avec la discernabililit de rgions de lÕespace-temps pemettant de compter un, deuxÉ Les mathmatiques, fondamentalement, jouent avec des nombres, qui sont des abstractions et qui nÕont en elle-mmes aucune consistance matriielle, mais que les humains ont trouv ncessaire de symboliser pas des objets concrets, cailloux, chiffres, figures gomtriques 2 ou 3 dimensions. Ou par des formes dÕun langage crit ou parl. Ces formes ne sont pas des nombres, ils les voquent et on les appelle Ç des nombres imags È. Le squelette des membres est 120 nombre imag.
Les nombres sont des ides, des abstraits.
Ils ont toujours exist, ils existent partout et leurs vrits sont aussi solidement tablies que celles des lois de la physico-chimie.
Si Jacques Monod en rdigeant son livre prestigieux avait ajout son expression ci-dessus, en crivant physico-mathmatico-chimie plutt que physico-chimie, aurait-il poursuivi son expos de la faon que lÕon sait? La question se trouve pose ses admirateurs dÕaujourdÕhui.
¥¥ Ç Que le Dieu d'Amour s'incarne en nos coeurs en
cette sainte saison et chaque jour de l'anne venir. È Voil le message
quÕadressait, lÕauteur de le prsente publication, le professeur mrite du
Dpartement de mathmatiques et de statistiques de lÕUniversit de Montral
Paul Gauthier, la suite dÕune rencontre de Nol dans le Hall dÕhonneur de
cette universit, hall baptis au nom de Roger Gaudry.
Il mÕa appport un terme qui me
manquait dans mon vocabulaire: Ç incarnation È. Dans son sens
religieux bien appropri pour le temps festif des chrtiens, mais aussi dans
son sens propre dÕintroduction, dans une chair, de quelque chose dÕimmatriel
et pour moi cette chose est lÕide toute naturelle et mathmatique du nombre 30
que je dveloppe ci-dessus.
Dans mon enfance, jÕentendais
dire autour de moi : ÇCharlot est l, en chair et en os ! È
Devant la crche de nos glises, les fidles chantent : Ç Chantons tous son avnement. È
Le disciple aim, saint Jean lÕaptre, crivait la 1re ligne de son vangile : Ç Au dbut de tout tait le VerbeÈ, et la dernire : Ç Et le Verbe sÕest fait chairÉ È
Le Verbe, la parole, lÕide qui a toujours exist.
Est-ce l une homlie? CÕest en tout cas une manire dÕaffimer que sans le Verbe ide du nombre, nous ne serions pas l.
Les Rois 2013.
Rrmerciements.
Je remercie Maurice Day qui mÕa aid dans la recherche des rfrences,
Rfrences.
A Squelette des membres.
Rf. 1. Ren
Saint-Jacques 2012, Anatomie,
http://www.corpshumain.ca/index_fr.php et et cherchez dans Squelettique, Bras
et mains; Jambes et pieds. Un bouton en forme dÕÏil affiche les lgendes.
http://www.corpshumain.ca/images/Squelette_bras_full.jpg
http://www.corpshumain.ca/Os_jambe.php
Rf. 2. Zehen, a/s Maurice Day. http://www.futura-sciences.com/fr/definition/t/medecine-2/d/metatarse_8309/
Rf. 3. Pierre Demers 2012. Systme du Qubcium. Le
Plan de lÕætre humain est inscrit dans le Nombre 30 de toute ternit. Traduction
interdite.14XII2012. PlanHumain30Eternite
Rf. 4. Pierre Demers 2012. Systme du Qubcium. Voir aprs Fig,. 7. Ç L'existence de ces 120 os et leur organisation mutuelle, est une consquence de lois naturelles, et le systme du qubcium en manifeste les aspects apparaissant dans cette figure. En confondant les lois et leur manifestation, le systme du qubcium "impose" l'existence de ces 120 os et leur organisation ou il en est la raison d'tre. È
http://www.er.uqam.ca/nobel/c3410/QbPlaEvoAtoXI2007bis.htm
Rf. 5. Pierre Demers 2012. Systme du Qubcium. Le nombre magique 30 et
la finalit de lÕvolution biologique jusquÕau genre Homo. Traduction interdite. 3X2012. Magique30finaliteevolutioneehomo.htm
Rf. 6. Pierre Demers 2012. Systme du Qubcium. Embryologie et thorie des nombres. Dominance de 1, 2, 4.
31VIII2010. EmbryoNombres.htm
Rf. 7. Pierre Demers 2012. Systme du Qubcium. Modle du Qubcium et anatomie
compare des vertbrs. Suite de Fibonacci chez quelques vertbrs
pentadactyles : Humain, Gorille, Orang-Outang, Chimpanz, Bonobo, Loris grle.
24VI2009 00FiboPentaquinte%20.htm
BC Dentition.
Rf. 8. Ordre des dentistes
du Qubec.
http://www.ohdq.com/Sante/Conseils/Eruption.aspx
Rf. 9. http://www.doctissimo.fr/html/sante/dentaire/sa_dents2.htm
Rf. 10 http://www.doctissimo.fr/html/grossesse/bebe/bobos/articles/dents-de-lait.htm
Rf.
11. http://www.9mois-emoi.com/bebe-est-la/les-examens-de-bebe/les-dents-de-lait.html
D Fibonacci.
Rf. 12. http://manus.crchul.ulaval.ca/anatomie/html/squelette.html
Ç La longueur des composantes de chacun des rayons s'inscrit dans la srie de Fibonacci dcouverte en 1202 voulant que chaque lment est gal la somme des deux prcdents. È
FG volution Nombre figur.
Rf. 13. Paul Gauthier 2012, Le 26
dc. 2012 10:18, gauthier a crit :
Saluts Pierre,
Que le Dieu d'Amour s'incarne en
nos coeurs en cette sainte saison et chaque jour de l'anne venir.
Rf. 14. Jean Choay
29XI2010,
Jacques
Monod, Ç Le hasard et la ncessit : L'homme n'est qu'un ...
Rf. 15. Guy Delaporte 3II2001.
L'homme n'est qu'un accident,
Hasard, ncessit, finalit - Grand Portail Philosophie Thomas d'Aquin
http://www.thomas-d-aquin.com/Pages/Articles/Hasard.pdf
Ce numro montre que le livre de Monod
Ç Le Hasard et la Ncessit È sert toujours de rfrence
fondamentale.
Extraits: Ç les phnomnes biologiques sont rductibles
aux lois de la physico-chimie, donc rgis par leur ncessit, ils ne sont
cependant pas dductibles de ces lois car seul le hasard les a
crsÉ È
LÕhomme non seulement nÕest plus
le centre du monde, mais il nÕest plus insr dans un rseau de
dterminations qui rendait sa prsence dductibleÉLes systmes
post-hgliens de Marx et de Engels ne sont pas davantage pargns...Ó
NDLR.
Faut-il encore accepter ces affirmations concernant seul le hasard, lÕhomme
centre du monde, et sa prsence dductible?
Rf. 16. G. Eschbach, Fils du hasard et de la
ncessit http://www.meta-noia.org/anthropologie/5/h01.HTM Ç lÕabsolue ÔobjectivitÕ du
ÔdiscoursÕ chimique constitu par hasard et par ncessit. È
www.meta-noia.org/Auteur.htm G.Eschbach@meta-noia.org
Rf. 17. Villemin Nombres
figurs. http://villemin.gerard.free.fr/aNombre/FIGURE/Figure.htm
Rf. 18. Jacques Monod, Le Hasard et la Ncessit, Seuil 1970.
books.google.com/books/about/Le_hasard_et_la_ncssit.html?id...
Title, Le hasard et la ncssit. Author, Jacques Monod. Publisher, Editions Du Seuil,
1970. Original from, the University of Michigan. Digitized,
Oct 8, 2007 ...
http://books.google.ca/books?id=-sVLAAAAMAAJ&hl=fr&source=gbs_similarbooks
Traduction
en anglais.
-
30 –