Nouscherbis
Systme du Qubcium.
Obtenir le tableau priodique des lments
partir des 1ers principes.
Une tentative de gomtrie quantique.
Pierre Demers.
Traduction interdite
18XII2010
Obtenir. 2118
Systme du Qubcium. Obtenir le
tableau priodique des lments chimiques partir des 1ers principes. Une
tentative de gomtrie quantique.
Rsum. Je recommence, ayant tent plusieurs fois depuis 1995 de formuler un
cadre thorique qui expliquerait le tableau priodique des lments dans son
entier alors que lĠatome de Bohr-Schrodinger ne sĠapplique tel quel quĠ
lĠhydrogne. Scerri a rappel quĠaucun principe nĠexplique la suite connue de
peuplement des priodes. Mon prsent essai insiste sur 2 conditions sĠajoutant
aux rgles dĠinterdiction connues sur snlm et ne fait aucune rfrence des
conditions nergtiques. 1o Il existe dĠavance une grille gomtrique de cases
codes remplir, selon un trajet muni de conditions quantiques ; 2o les
lments sont associs en ttrades, rgle justifie par des associations
saturantes des cnes de prcession des spins. Ainsi se trouve impose
lĠapparition de 4 strates de 2 priodes gales, sĠaccordant
avec le peuplement connu des priodes. Ces conditions conduisent la
formation naturelle de la suite numrique 4, 16, 36 et 64, que jĠappelle suite
du qubcium. On arriverait peut-tre les formuler en termes analytiques. Je
suggre quĠelles sont des premiers principes, continuant ceux des mcaniques
ondulatoire et quantique. La question des lments irrguliers sera examine
part. DÔaprs Rf. 1.
image2118.gif (Image GIF, 230x539 pixels)
Introduction. Avec lĠaddition du passage en bleu Ç sĠaccordant avec le peuplement connu des priodes È,
le rsum ci-dessus reproduisant le texte soumis lĠACFAS en 2010 pour
2011 sĠapplique la prsente publication. – Je recommence la recherche
dĠune rcriture nouvelle, qui me conduit lĠnonc de premiers principes
quantiques et gomtriques dĠo dcoule le tableau priodique des lments avec
son peuplement connu, prsenrement inexpliqu au del de z = 20.
Nous cherchons des principes premiers. Nous les
appellerons simplement principes. En tout premier lieu, nous acceptons les
rgles connues concernant les 4 paramtres ou nombres quantiques snlm avec
leurs interdictions, on ajoute z, ces 5 nombres tant inscrits dans une
case numrote z. Un lment est dfini par 5 nombres zsnlm, le paramtre z dpendant des 4 autres. Ces
4 ou ces 5 paramtres forment ce quĠon appelle le caractre dĠun atome.
caractre = (zsnlm), symbole
Les 4 paramtres snlm variables indpendantes
dfinissant un atome sont ceux de son lectron de valence. On ajoute aussi le
paramtre z et le symbole, soit 6 donnes utiles au total.
Remarquez que ces 5 paramtres ne sont pas des
variables continues, telle masse ou vitesse. Ils ne peuvent prendre que des
valeurs discrtes, en accord avec la thorie, ce qui est le propre dĠune
quantification. Cette particularit facilite leurs reprsentations graphiques,
qui peuvent tre discontinues.
Le problme dĠun seul lectron autour du noyau,
celui de lĠatome H, est fort bien connu et rsolu. Le problme de plus quĠun
lectron autour dĠun noyau est celui de leur cohabitation dans un espace
restreint. Les rgles dĠinterdiction admises jusquĠ maintenant ne suffisent
pas. JĠessaie dĠen dfinir dĠautres.
Principe 1. Les rgles admises concernent
les 4 nombres quantiques avec leurs interdictions.
Ces rgles sont des principes justifient exactement
le contenu de chaque case prise isolment mais pas le peuplement des priodes,
cd la succession des cases ralises. Je vais essayer de les complter en
trouvant dĠautres principes.
Construction. Ce qui veut dire occuper une case
aprs lĠautre. Une espce atomique z est dfinie par ce contenu dĠune case z
augment de celui des cases de 1 z-1 non rcrit par conomie. z est la fois
numro dĠordre de lĠlment, nombre de protons dans le noyau et nombre
dĠlectrons alentour de celui-ci.
Cela signifie que le peuplement doit commencer par
z=1 et non par une valeur arbitraire de z. Il doit continuer par z=2, 3 etc.
Je rappelle le principe dĠexclusion. Ë lĠintrieur
dĠun atome, il ne peut pas exister 2 lectrons ayant le mme quadruplet de
valeurs de snlm.
nergie. Et le principe de moindre nergie
potentielle. Dans un atome stable, chaque lectron possde la moindre nergie
potentielle compatible avec les contraintes qui lui sont imposes. LĠhydrogne
donne lĠexemple dans le diagramme de Grotrian, tats s. La rgle sĠapplique
la statique des systmes macroscopiques. Hormis ce principe universel, je crois
possible dĠlaborer une thorie de lĠatome sans invoquer les nergies, par
exemple ceux des niveaux dĠnergie individuels de lĠatome H excit comme je lĠai
fait jusquĠ mon avant-dernire publication sur le sujer.
Principe 1bis. Le nombre 4, le spin.
Ce nombre intervient plusieurs fois. Cette
ncessit me parat associe au plus simple des solides de Platon, le ttradre.
Quatre est le plus petit nombre de faces planes suffisant pour enfermer un
espace 3D. Quatre spins sĠassocient de faon saturante pour dessiner un
ttradre
Les paramtres s,
l, m.
Principe 2. Les valeurs de l sont figures par
la couleur des cases.
BVJR au lieu de l=3210, symboles fdps. Cette
convention conomise les critures.
Principe 2bis. Dans une grille de carrs, nous
plaons une colonne de 4 cases colores figuratives du quantum azimutal l. Ce
sont les cases initiales.
CĠest ce qui apparat dans Fig. 1. La distance
entre une case et lĠorigine est gale au quantum azimutal l, qui est un entier
infrieur n quantum principal, entier lui aussi. Nous procdons en admettant
sans discussion lĠusage dĠune grille carre. Comme les carrelages dans
certaines stations du mtro montralais, et bien dĠautres. Il sera notre
usage. Le carr est une projection principale dĠun ttradre rgulier, cette
projection donnant 8 portions de droite dont 4 dfinissent un carr et 4, les demi-diagonales
de celui-ci.
Fig. 1. Dans une grille montre
ici partiellement, une colonne aux couleurs BVJR synonymes des notations du
quantum azimutal fdps ou l= 3210. Grille2.png Grille2.ai
CĠest la colonne de dpart. Nous
posons cette exigence que lĠoccupation de la grille doit commencer par lĠune de
ces 4 cases. Il y aura 4 grilles.
Principe 3. Mise en querre. Nous modifions la
grille Fig. 1 en faisant apparatre des querres remplissant le quadrant NO.
Chaque case est un binme lm, m quantum magntique.
Ceci est plus quĠune convention. Dans cette mise
en querre, nous obtenons un nombre 2l+1 cases de chaque couleur. Ce nombre est
li lĠeffet Zeeman. Comme l est un entier, ce nombre est ncessairement
impair et forme naturellement une querre symtrique. LĠquerre s nĠa pas de
bras. Ces querres sont le signe de lĠoccupation, et donc de la ncessit, dĠun
espace 2D pour dcrire lĠatome. Les querres sĠembotent selon la rgle que la
somme des impairs est gale la suite des carrs des entiers. Le quantum
magntique m va de -l l, zro compris. Il est inscrit dans chaque case. Fig.
2.
Fig. 2. Dans cette grille rduite
un quadrant, figurent les 16 valeurs possibles du binme lm. On lit l par la
couleur, m par les chiffres augments du signe – au besoin. Chaque binme
occupe une position uniquement dfinie. Grille3.ai
Grille3.png
Principe 3bis. La
condition de la moindre nergie fait que les cases mises en vidence sont
munies dĠun nombre quantique principal.
Fig. 2bis. Les valeurs de n dans
les cases initiales. Grille3bis.ai
Grillebis.png
Les binmes sont ainsi B4, V3, J2, R1. Fig. 2bis.
Principe 3ter. Nous
posons cette exigence que lĠoccupation de la grille doit commencer par lĠune de
ces 4 cases et se poursuivre par les valeurs croissantes de m et dcroissantes
de l.
La colonne de dpart, mise en vidence, devient
celle des cases binmes. B-3, V-2, J-1, R0. La suite des valeurs de m dans
chaque querre a quelque chose en commun avec la rgle empirique de Hund qui
dclare que le tableau des lments se remplit par blocs ayant mme valeur de
l, demi-blocs spins – dĠabord, demi-blocs spins + ensuite. Mais il nĠest
pas question des spins dans Fig. 2.
Voil pour les paramtres l et m. Occupons-nous
dĠun 3e paramtre, le spin, en ajoutant un quadrant NE la grille
restant toutefois incomplte.
Principe 4. Dans la grille figurative encore
incomplte, le spin – occupe le quadrant Ouest, le spin +, le quadrant
Est. On passe dĠOuest en Est et rciproquement, par une symtrie miroir.
Ce que reprsente Fig. 3. Le plan du miroir passe
par lĠaxe contenant le nord N. La mise en vidence dĠune colonne est propre au
quadrant NO et nĠest pas rpte dans le quadrant NE.
Fig. 3. La symtrie du miroir
passant par lĠaxe N sĠaccorde avec la symtrie -+ des spins. Il nĠy a pas de
mise en vidence dans le quadrant NE. Grille 4.ai Grille4.png
Atttention : miroir. 1. Objet plan
rflchissant quĠon peut utiliser pour se mirer, tel nappe dĠeau tranquille (fable
de Narcisse), galerie des glaces Opra Garnier de Paris, miroir de toilette,
miroir des grces (vanit)placs . 2. Objet idal gomtrique plan contenant
v.g. les axes x et y, transformant (versant) un ensemble de points xyz une
image rsultante xy-z. 3. LĠensemble des points de cette image rsultante. –
Miroirs didres, didre de miroirs. 1. Form de 2
miroirs 1, 2 v. g. ayant un axe x en commun dont lĠun contient lĠaxe z et lĠautre, lĠaxes y.
Encore une fois, nous disons que la suite des
valeurs de m dans chaque querre a quelque chose en commun avec la rgle
empirique de Hund qui dclare que le tableau des lments se remplit par blocs
ayant mme valeur de l, demi-bloc spins – dĠabord, demi-bloc spins+
ensuite. Il est question des spins dans Fig. 3, de sorte que le rapprochement
est plus complet que dans Fig. 2. JusquĠici, les cases ne reprsentent pas des
lments puisquĠil y manque lĠaffichage des valeurs de z et de n, mais elles
sont prsentes et disponibles dans les nombres voulus pour reprsenter, par
exemple, les 6 lments du bloc p en jaune J (3 lments du demi-bloc spin
– et les 3 autres lments du demi-bloc spin +) dĠune priode.
Retrouvons la symtrie carre. Le carr NO
quadrant des Figs 1 et 2 est devenu rectangle N dans Fig. 3. Pour complter la
figuration de la grille complte et du coup retrouver la symtrie carre, nous
utilisons un miroir haut–bas, le plan du miroir passant par lĠaxe OE. Ce
sera alors notre grille figurative complte Principe 5.
Principe 5. La grille figurative complte en un
carr sĠobtient en ajoutant au demiant N prcdent son miroir S.
En principe la grille sĠtend indfiniment aux 4
points cardinaux. Fig. 4. Il nĠy a pas de mise en vidence dans le demiant S.
La grille renferme les 64 valeurs possibles du trinme slm des 3 paramtres
spin, moment cintique azimutal, moment magntique. LĠaxe NS est verseur du
spin.
Fig. 4. La grille des moments
cintiques l et m et des spins, avec ses 64 cases. LĠaxe NS, trace dĠun plan
miroir, est verseur de spin. Grille5.ai
Grille5.png
Symtries. Cette grille complte, sauf la mise en
vidence qui affecte le demiant O, admet un 2e axe de symtrie miroir qui est
lĠaxe horizontal OE, prservant le spin, orthonormal celui verseur du spin.
JusquĠ plus amples codifications, cela suggre quĠil nĠy a pas lieu de
distinguer entre les rles ventuels des quadrants NE et SE. Cela suggre aussi
que le miroir axe horizontal OE lui aussi pourrait tre verseur dĠun paramtre
analogue au moment cintique spin.
Une case tant dfinie par nslm, ce paramtre
ne peut tre que n. PuisquĠil doit sĠappliquer ds la 1re case de
toutes, o n=1, il faut que lĠeffet de ce verseur soit dĠaugmenter n dĠune
unit en passant du quadrant NO au quadrant SO.
LĠaxe EO est un miroir versant selon
NS n dĠune unit, de +1 dans le demiant O, (de -1 dans le demiant E).
Cette grille admet encore 2 autres symtries miroirs
touchant les octants opposs en diagonales principales. Les quadrants NE et SO
ne sont pas miroirs diagonaux lĠun de lĠautre, cd, par lĠeffet dĠun miroir
plan align selon SO et NE
Mais ils sont miroirs didres lĠun de lĠautre,
cd, par lĠeffet de 2 miroirs plans aligns lĠun NS et lĠautre OE. De mme les
quadrants NO et SE. (Fig. XXX venir).
Principe 5bis. Nous
posons cette exigence que lĠoccupation de la grille doit commencer par lĠune de
ces 4 cases et se poursuivre par les valeurs croissantes de m, puis de s et
dcroissantes de l.
Cette proposition est explicite plus
loin.
Principe 5ter. Ncessit du pairage des
priodes
Peuplement. Nous rencontrons une suggestion que
les priodes viennent par paires gales. Voil pourquoi.
Paires de priodes. La grille Fig. 4 renferme 64
cases, cd autant que la population globale des 2 plus longues et dernires
priodes, ayant lĠune et lĠautre des nombres gaux de cases, lĠune et lĠautre
32 cases. Cette grille renferme 12 cases J, ce qui est le double du nombre de
cases J apparaissant dans une priode qui en contient.
Il est assez vident quĠun exemplaire de notre
grille figurative offre ce quĠil faut pour accueillir une paire de telles
priodes. Le fait du pairage des priodes parat ainsi dcouler invitablement
de la sorte de gomtrie quantique ici propose. On peut apercevoir une
analogie de notre raisonnement en gomtrie quantique avec celui concernant les projections m dĠun
vecteur l sur un axe qui est le champ magntique, dans lĠexplication de lĠeffet
Zeeman. Ils sont gomtriques 3D lĠun et lĠautre ; notre raisonnement se
dcrit en 2D mais requiert une 3e dimension pour effectuer
lĠopration du miroir ; celui concernant lĠeffet Zeeman requiert 3D pour
sa description.
Ce pairage des priodes est examin nouveau plus
loin.
Principe 5ter. Nous pouvons nous dispenser des
critures dans les cases de notre grille figurative et admettre que chaque case
est code selon sa position en termes de slm.
Ayant en mmoire et consultable volont la
grille Fig. 4, voici plutt sa rptition dans Fig. 5 en omettant les critures
dans les cases, critures devenues redondantes par suite des synonymies avec
couleurs et positions tant quĠon prserve couleurs, quadrillages et contours.
Je retiens cependant les critures de la colonne initiale en position latrale
comme aide-mmoire. Fig. 5. De la sorte, lĠespace lĠintrieur des cases est
entirement disponible pour y entrer les paramtres autres que slm tels que n
et z.
Fig. 5. La grille figurative dbarrasse
dĠcritures dans les cases. Elle est code. Voir texte. Espaces de la 1re
priode Grille6.png Grille6.ai
Le paramtre n.
Principe 6. Un diagramme pour 2 priodes. Des
ttrades dĠlments.
LĠadresse du dbut des 2 priodes est fixe :
elle doit se placer dans les spins -, donc dans le demiant O. La 1re priode dbute dans le
quadrant NO , la 2e, dans le quadrant SO. Il faut ensuite
choisir pour la suite de lĠcriture des priodes, entre les 2 quadrants
lĠintrieur du demiant E. Ou bien au mme niveau, ou bien crois. JĠai choisi
crois. Fig. 5.
Fig. 6. Schma dĠutilisation
croise des quadrants par les 2 priodes dĠune paire. Grille7.ai Grille7.png
Principe 6. Les ttrades dĠlments
Dans le diagramme, une case est vicariante de 3
autres, les 4 cases ainsi associes ont mme binme lm et appartiennent 2
priodes. Leurs centres dessinent un carr et 2 diagonales croises en X. On
peut isoler chaque ttrade et lĠafficher. Une ttrade est caractrise par un
binme lm identiquement dans ses 4 cases, ses cases O sont spin-, ses cases E
sont spin + ; ses cases NO et SE portent n1 pour la 1re priode, ses cases SO et NE portent
n2=n1+1 pour la 2e priode. Voyez Fig. 7 plus bas.
Principe 7. Les cases initiales. Valeurs de n.
Nous posons quĠelles portent respectivement les
valeurs n=1234. Fig. 6. (Ce choix est-il arbitraire, sera-tĠil possible de le
justifier par la suite ?)
Fig. 7. Les cases initiales
portant les valeurs de n. On sait la relation l<n, l et n entiers. Ë chaque
case initiale correspond une couronne de lĠune des couleurs RJVB.
Grille8.png Gtille8.ai
Principe 8. Nous nous donnons 4 exemplaires de
la grille figurative, ce sont les 4 strates.
Dans chaque strate nous dsignons lĠune des
couronnes RJVB. Fig. 7.
Fig. 8. Notre grille figurative
apparat ici en 4 exemplaires, des critures ont t omises. Ce sont les 4 strates (incompltes),
chacune avec sa couronne de mme numro. Grille9.ai Grille9.png
Strate 1.
Principe 9. De construction. Le paramtre n. La
construction des atomes commence par celle de z=1. Strate 1. Une condition
nergtique dterminante.
Notre grille, dj munie du trinme slm a besoin
quĠon y ajoute le paramtre n pour figurer des lments. Avec z paramtre
dpendant des 4 autres.
un lment = (slmnz) + Symbole
Ë cause du principe 1, la construction des atomes
stables commence obligatoirement par un lectron unique, soit par lÔlment H
z=1, dans une case NO qui fait partie de la 1re ttrade, comme suit.
Cette ttrade sĠinscrit dans les 4 cases R de la strate 1, que voil isole.
Fig. 9.
Fig. 9. Les cases de la ttrade R
dans la strate 1. Dans une case, le 1er nombre est n, le 2e,
z. Grille12.ai Grille 12.png
Afin de continuer, il nous faut un moyen de passer
la strate 2. Ce moyen est un miroir des strates.
Strate 2.
Principe 10R. Un miroir des strates. La strate
1 envoie un miroir versant de ses cases R dans les cases R de la strate 2, en
augmentant n de 2 units dans chaque case. CĠest un miroir ascendant
Ce principe dcoule du principe dĠexclusion. Ce
miroir est un plan mi-chemin entre ceux des strates 1 et 2. Fig. 10.
Fig. 10. De la strate 1 vers la
strate 2, un miroir verseur ascendant de 2 units sĠapplique aux valeurs du
quantum principal n des cases R de la strate 1. Le paramtre z et les symboles
restent dterminer. Le miroir est vu lvation, les strates sont vues en projection
plane.
Principe 11. La strate 2. Une condition
nergtique dterminante.
La couronne J. De Fig. 8, nous isolons les cases
J. Faisant suite la 4me case de la strate 1, la 1re rencontre
ici est z=5 dans la colonne initiale. Remarquer lĠagencement des valeurs dans
la case, z droite et n gauche. Fig. 11.
Fig.11. Les cases J de la strate
2, munies des valeurs de z... Grille14.ai
Grille14.png
Ajoutons les cases R de Fig. 10. Fig. 12.
Fig.12. Les cases de la strate
2... Grille15.ai Grille15.png
La case initiale J est n=2. Quant aux cases R,
elles viennent aprs les cases J10 et ont par suite z =11 et 12 et la case J
suivante est z=13. Les 16 paramtres n et z de la strate se trouvent ainsi tous
dtermins. Fig. 13.
Fig. 13. ...La strate 2
compltement remplie sauf les symboles... Grille16.ai Grille16.png
Et nous ajoutons les symboles usuels. Fig. 14.
Fig. 14. ...La strate 2 complte.
Grille17.ai Grille17.png
Strate3.
Principe 12RJ. Un miroir des strates. La strate
2 envoie un miroir de ses cases R et J dans les cases R et Jde la strate 3, en
augmentant n de 2 units dans chaque case. CĠest un miroir ascendant.
Ce miroir est un plan mi-chemin entre ceux des
strates 2 et 3. Figs 15, 16.