Nouscherter
Systme
du Qubcium.
Obtenir
le tableau priodique des lments partir des 1ers principes.
Une
tentative de gomtrie quantique.
Pierre
Demers.
Traduction
interdite
18-29XII2010
Ë suivre
Obtenir. 2118
Systme du Qubcium. Obtenir le tableau priodique des
lments chimiques partir des 1ers principes. Une tentative de gomtrie
quantique.
Rsum. Je recommence, ayant
tent plusieurs fois depuis 1995 de formuler un cadre thorique qui
expliquerait le tableau priodique des lments dans son entier alors que
lĠatome de Bohr-Schrodinger ne sĠapplique tel quel quĠ lĠhydrogne. Scerri a
rappel quĠaucun principe nĠexplique la suite connue de peuplement des
priodes. Mon prsent essai insiste sur 2 conditions sĠajoutant aux rgles
dĠinterdiction connues sur snlm et ne fait aucune rfrence des conditions
nergtiques. 1o Il existe dĠavance une grille gomtrique de cases codes
remplir, selon un trajet muni de conditions quantiques ; 2o les lments sont
associs en ttrades, rgle justifie par des associations saturantes des cnes
de prcession des spins. Ainsi se trouve impose lĠapparition de 4 strates de 2
priodes gales, sĠaccordant avec le peuplement connu
des priodes. Ces conditions conduisent la formation naturelle de la
suite numrique 4, 16, 36 et 64, que jĠappelle suite du qubcium. On
arriverait peut-tre les formuler en termes analytiques. Je suggre quĠelles
sont des premiers principes, continuant ceux des mcaniques ondulatoire et
quantique. La question des lments irrguliers sera examine part. DÔaprs
Rf. 1.
image2118.gif (Image GIF, 230x539 pixels)
Introduction.
Avec lĠaddition du
passage en bleu Ç sĠaccordant avec le peuplement
connu des priodes È, le rsum ci-dessus reproduisant le texte
soumis lĠACFAS en 2010 pour 2011 sĠapplique la prsente publication.
– Je recommence la recherche dĠune rcriture nouvelle, qui me conduit
lĠnonc de premiers principes quantiques et gomtriques dĠo dcoule
le tableau priodique des lments avec son peuplement connu, que la plupart
des auteurs considrent prsentement comme un problme inexpliqu au del de z
= 20. Ce problme est apparu divers auteurs vers 1920. Convenons de lĠappeler
le problme quasi-sculaire (le problme du peuplement connu des
priodes du tableau priodique des lments.
Nous cherchons des
principes premiers. Nous les appellerons simplement principes. Certains de mes
noncs intituls principes sont en ralit des conventions plus que de
vritables principes. En tout premier lieu, nous acceptons les rgles
connues concernant les 4 paramtres ou nombres quantiques snlm avec leurs
interdictions, on ajoute z, ces 5 nombres tant inscrits dans une case
numrote z. Un lment est dfini par 5 nombres zsnlm, le paramtre z dpendant des 4 autres. Ces
4 ou ces 5 paramtres forment ce quĠon appelle le caractre dĠun atome.
caractre
= (zsnlm), symbole
Les 4 paramtres snlm
variables indpendantes dfinissant un atome sont ceux de son lectron de
valence. On ajoute aussi le paramtre z et le symbole, soit 6 donnes utiles au
total.
Remarquez que ces 5
paramtres ne sont pas des variables continues, telle masse ou vitesse. Ils ne
peuvent prendre que des valeurs discrtes dans les units convenues, en accord
avec la thorie, ce qui est le propre dĠune quantification. Cette particularit
facilite leurs reprsentations graphiques, qui peuvent tre discontinues.
Le problme dĠun seul
lectron autour du noyau, celui de lĠatome H, est fort bien connu et rsolu. Le
problme de plus quĠun lectron autour dĠun noyau est celui de leur
cohabitation dans un espace restreint. Les rgles dĠinterdiction admises
jusquĠ maintenant ne suffisent pas. JĠen propose dĠautres.
Principe
1. Les rgles admises concernent les 4 nombres quantiques avec leurs
interdictions.
Ces rgles sont des
principes qui justifient exactement le contenu de chaque case prise isolment
mais pas le peuplement des priodes, cd la succession des cases ralises. Je
vais essayer de les complter en trouvant dĠautres principes.
Construction. Ce qui veut
dire occuper une case aprs lĠautre. Une espce atomique z est dfinie par ce
contenu dĠune case z augment de celui des cases de 1 z-1 non rcrit par
conomie. z est la fois numro dĠordre de lĠlment, nombre de protons dans
le noyau et nombre dĠlectrons alentour de celui-ci.
Cela signifie que le
peuplement doit commencer par z=1 et non par une valeur arbitraire de z. Il
doit continuer par z=2, 3 etc.
Je rappelle le principe dĠexclusion.
Ë lĠintrieur dĠun atome, il ne peut pas exister 2 lectrons ayant le mme
quadruplet de valeurs de snlm.
nergie. Et le principe
de moindre nergie potentielle. Dans un atome stable, chaque lectron possde
la moindre nergie potentielle compatible avec les contraintes qui lui sont
imposes. LĠhydrogne donne lĠexemple dans le diagramme de Grotrian, tats s.
La rgle sĠapplique la statique des systmes macroscopiques. Hormis ce
principe nergtique universel, je crois possible dĠlaborer une thorie de
lĠatome sans invoquer les nergies des niveaux dĠnergie individuels mesurs
exprimentalement de lĠatome H excit comme je lĠai fait jusquĠ mon
avant-dernire publication sur le sujet.
Rappelons que le niveau
dĠnergie est, en units appropries, la masse de lĠatome diminue de la masse
des lectrons au repos et de celle du noyau. Il est connu pour lĠatome H :
-13,56 ev. Les autres sont infrieurs 0, sinon lĠatome ne serait pas stable.
Principe
1bis. Le nombre 4, le spin.
Le nombre 4 intervient
plusieurs fois. Cette ncessit me parat associe au plus simple des solides
de Platon, le ttradre. Quatre est le plus petit nombre de faces planes
suffisant pour enfermer un espace 3D. Quatre spins sĠassocient de faon
saturante pour dessiner un ttradre. JĠai suggr que le nombre 4 mrite bien
quĠon lĠappelle magique en reconnaissance des services rendus la structure de
la matire.
Les paramtres s, l, m.
Principe
2. Nous figurons les valeurs de l en colorant les cases aux 4 couleurs
fondamentales.
BVJR au lieu de l=3210,
symboles fdps. Rappelons l<n, l et n entiers. Cette convention conomise les
critures.
Principe
2bis. Dans une grille de carrs, nous plaons une colonne de 4 cases colores
figuratives du quantum azimutal l. Ce sont les cases initiales.
CĠest ce qui apparat
dans Fig. 1. La distance entre une case et lĠorigine est gale au quantum
azimutal l, qui est un entier infrieur n quantum principal, entier lui
aussi. Nous procdons en admettant sans discussion lĠusage dĠune grille carre.
Comme les carrelages dans certaines stations du mtro montralais, et bien
dĠautres. Il sera notre usage. Le carr est une projection principale dĠun
ttradre rgulier, cette projection donnant 8 portions de droite dont 4
dfinissent un carr et 4, les demi-diagonales de celui-ci.
Fig.
1. Dans une grille dont on voit ici le seul quadrant NO, dont une colonne aux
couleurs BVJR synonymes des notations du quantum azimutal fdps ou l= 3210. Grille2.png
Grille2.ai
CĠest la
colonne de dpart. Nous posons cette exigence que lĠoccupation de la grille
doit commencer par lĠune ou lĠautre de ces 4 cases. Il y aura 4 grilles.
Principe
3. Mise en querre. Nous modifions la grille Fig. 1 en faisant apparatre des
querres remplissant le quadrant NO. Chaque case est un binme lm, m quantum
magntique.
Ceci est plus quĠune
convention. Dans cette mise en querre, nous obtenons un nombre 2l+1 cases de
chaque couleur. Ce nombre est li lĠeffet Zeeman. Comme l est un entier, ce
nombre est ncessairement impair et forme naturellement une querre symtrique.
LĠquerre s nĠa pas de bras. Ces querres sont le signe de lĠoccupation, et
donc de la ncessit, dĠun espace 2D pour dcrire lĠatome. Les querres
sĠembotent selon la rgle arithmtique que la somme des impairs est gale la
suite des carrs des entiers. Le quantum magntique m va de -l l, zro
compris. Il est inscrit dans chaque case. Fig. 2.
Fig.
2. Dans cette grille rduite un quadrant, figurent les 16 valeurs possibles
du binme lm. On lit l par la couleur, m par les chiffres augments du signe
– au besoin. Chaque binme occupe une position uniquement dfinie. Les
paramtres colors de lĠimage dans le logiciel Illustrator. Grille3.ai Grille3.png
Principe
2bis. La condition de la moindre nergie fait que les cases mises en vidence
sont munies dĠun nombre quantique principal.
Cess nombres sont les
plus petits compatibles avec la contrainte impose, que l ait la vaelur
propose.
Fig.
2bis. Les valeurs de n dans les cases initiales. Grille3bis.ai Grille3bis.png
Les binmes sont ainsi
B4, V3, J2, R1. Fig. 2bis.
Principe
3ter. Nous posons cette exigence que lĠoccupation de la grille doit commencer
par lĠune de ces 4 cases et se poursuivre par les valeurs croissantes de m et
dcroissantes de l.
La colonne de dpart,
mise en vidence, devient celle des cases binmes. B-3, V-2, J-1, R0. La suite
des valeurs de m dans chaque querre a quelque chose en commun avec la rgle
empirique de Hund et autres qui dclare que le tableau des lments se remplit
par blocs ayant mme valeur de l, demi-blocs spins – dĠabord, demi-blocs
spins + ensuite. Mais il nĠest pas question des spins dans Figs 2 et 2bis.
Voil pour les paramtres
l et m. Occupons-nous dĠun 3e paramtre, le spin, en ajoutant un
quadrant NE la grille restant toutefois incomplte.
Principe
4. Dans la grille figurative encore incomplte, le spin – occupe le
quadrant Ouest, le spin +, le quadrant Est. On passe dĠOuest en Est et
rciproquement, par une symtrie miroir.
Ce que reprsente Fig. 3.
Le plan du miroir passe par lĠaxe contenant le nord N. La mise en vidence
dĠune colonne est propre au quadrant NO et nĠest pas rpte dans le quadrant
NE.
Fig.
3. La symtrie du miroir passant par lĠaxe N sĠaccorde avec la symtrie -+ des spins.
Il nĠy a pas de mise en vidence dans le quadrant NE. Grille 4.ai Grille4.png
Atttention : miroir.
A plusieurs sens selon le contexte. 1. Objet plan rflchissant quĠon peut
utiliser pour se mirer, tel nappe dĠeau tranquille (fable de Narcisse), galerie
des glaces Opra Garnier de Paris, miroir de toilette, miroir des grces
(vanit). 2. Objet idal gomtrique plan contenant v.g. 2 axes, v.g. x et y,
transformant (versant) un ensemble de points xyz en une image rsultante xy-z.
3. LĠensemble des points de cette image rsultante.
Miroirs didres, didre
de miroirs. 1. Deux miroirs 1, 2 v. g. ayant un axe x en commun dont lĠun contient y et lĠautre, lĠaxe z.
Encore une fois, nous
disons que la suite des valeurs de m dans chaque querre a quelque chose en
commun avec la rgle empirique de Hund qui dclare que le tableau des lments
se remplit par blocs ayant mme valeur de l, demi-bloc spins – dĠabord,
demi-bloc spins+ ensuite. Il est question des spins dans Fig. 3, de sorte que
le rapprochement est plus complet que dans Fig. 2. JusquĠici, les cases ne
reprsentent pas des lments puisquĠil y manque lĠaffichage des valeurs de z
et de n, mais elles sont prsentes et disponibles dans les nombres voulus pour
reprsenter, par exemple, les 6 lments du bloc p en jaune J (3 lments du
demi-bloc spin – et les 3 autres lments du demi-bloc spin +) dĠune
priode.
Retrouvons la symtrie
carre. Le carr NO quadrant des Figs 1 et 2 est devenu rectangle N dans Fig.
3. Pour complter la figuration de la grille complte et du coup retrouver la
symtrie carre, nous utilisons un miroir haut–bas, le plan du miroir
passant par lĠaxe OE. Ce sera alors notre grille figurative complte Principe
5.
Principe
5. La grille figurative complte en un carr sĠobtient en ajoutant au demiant N
prcdent son miroir S.
En principe la grille
sĠtend indfiniment aux 4 points cardinaux. Fig. 4. Il nĠy a pas de mise en
vidence dans le demiant S. La grille renferme les 64 valeurs possibles du
trinme slm des 3 paramtres spin, moment cintique azimutal, moment
magntique. LĠaxe NS est verseur du spin.
Fig.
4. La grille des moments cintiques l et m et des spins, avec ses 64 cases.
LĠaxe NS, trace dĠun plan miroir, est verseur de spin. Grille5.ai Grille5.png
Symtries. Cette grille complte,
sauf la mise en vidence qui affecte le demiant O, admet un 2e axe de symtrie
miroir qui est lĠaxe horizontal OE, prservant le spin, orthonormal celui
verseur du spin. JusquĠ plus amples codifications, cela suggre quĠil nĠy a
pas lieu de distinguer entre les rles ventuels des quadrants NE et SE. Cela
suggre aussi que le miroir axe horizontal OE lui aussi pourrait tre verseur
dĠun paramtre analogue au moment cintique spin.
Une case tant dfinie
par nslm, ce paramtre ne peut tre que n. Ë certains points de vue, n serait
assimilable un vecteur. PuisquĠil doit sĠappliquer ds la 1re case
de toutes, o n=1, il faut que lĠeffet de ce verseur soit dĠaugmenter n
dĠune unit en passant du quadrant NO au quadrant SO.
LĠaxe OE
est un miroir versant selon NS n dĠune unit, de +1 dans le demiant O, (de -1
dans le demiant E).
Cette grille admet encore
2 autres symtries miroirs touchant les octants opposs en diagonales
principales. Les quadrants NE et SO ne sont pas miroirs diagonaux lĠun de lĠautre,
cd, par lĠeffet dĠun miroir plan align selon SO et NE. Mais ces quadrants
sont miroirs didres lĠun de lĠautre, cd, par lĠeffet de 2 miroirs plans
aligns lĠun NS et lĠautre OE. De mme les quadrants NO et SE. (Fig. XXX
venir).
Principe
5bis. Nous posons cette exigence que lĠoccupation de la grille doit commencer
par lĠune de ces 4 cases et se poursuivre par les valeurs croissantes de m,
puis de s et dcroissantes de l.
Cette
proposition est explicite.
Principe
5ter. Ncessit du pairage des priodes.
Peuplement. Nous
rencontrons une suggestion que les priodes viennent par paires gales. Voil
pourquoi.
Paires de priodes. La
grille Fig. 4 renferme 64 cases, cd autant que la population globale des 2
plus longues et dernires priodes, ayant lĠune et lĠautre des nombres gaux de
cases, lĠune et lĠautre 32 cases. Cette grille renferme 12 cases J, ce qui est
le double du nombre de cases J apparaissant dans une priode qui en contient.
Il est assez vident
quĠun exemplaire de notre grille figurative offre ce quĠil faut pour accueillir
une paire de telles priodes. Le fait du pairage des priodes parat ainsi
dcouler invitablement de la sorte de gomtrie quantique ici propose. On
peut apercevoir une analogie de notre raisonnement en gomtrie quantique avec
celui concernant les projections m
dĠun vecteur l sur un axe qui est le champ magntique, dans lĠexplication de
lĠeffet Zeeman. Ils sont gomtriques 3D lĠun et lĠautre ; notre
raisonnement se dcrit en 2D mais requiert une 3e dimension pour
effectuer lĠopration du miroir ; celui concernant lĠeffet Zeeman requiert
3D pour sa description.
Ce pairage des priodes
apparat comme une obligation, il est examin nouveau plus loin.
Principe
5ter. Nous pouvons nous dispenser des critures slm dans les cases de notre
grille figurative et admettre que chaque case est code selon sa position en
termes de slm.
Ayant en mmoire et
consultable volont la grille Fig. 4, voici plutt sa rptition dans Fig. 5
en omettant les critures dans les cases, critures devenues redondantes par
suite des synonymies avec couleurs et positions tant quĠon prserve couleurs,
quadrillages et contours. Je retiens cependant les critures de la colonne
initiale en position latrale comme aide-mmoire. Fig. 5. De la sorte, lĠespace
lĠintrieur des cases est entirement disponible pour y entrer les paramtres
autres que slm tels que n et z.
Fig.
5. La grille figurative dbarrasse dĠcritures dans les cases. Elle est code.
Voir texte. Les espaces de la 1re priode sont mis en vidence.
Grille6.png Grille6.ai
Le paramtre n.
Principe
6. Un diagramme pour 2 priodes. Des ttrades dĠlments.
LĠadresse du dbut des 2
priodes est fixe : elle doit se placer dans les spins -, donc dans le
demiant O. La 1re priode
dbute dans le quadrant NO , la 2e, dans le quadrant SO. Il
faut ensuite choisir pour la suite de lĠcriture des priodes, entre les 2
quadrants lĠintrieur du demiant E. Ou bien au mme niveau, ou bien crois.
JĠai choisi crois. Fig. 6noytr.
Fig.
6. Schma dĠutilisation croise des quadrants par les 2 priodes dĠune paire.
Le cheminement de lĠutilisation se comprend partir de Fig. 7bis plus bas. Les
cases disponibles pour loger une ttrade de cases dessinent un X aux branches
gales ; cette grille peut contenir 16 telles ttrades. Grille7.ai Grille7.png
Principe
6. Les ttrades dĠlments
Dans notre diagramme, une
case est vicariante de 3 autres, les 4 cases ainsi associes ont mme binme lm
et appartiennent 2 priodes distinctes. Leurs centres dessinent un rectangle
et ses 2 diagonales croises en X. On peut isoler chaque ttrade et lĠafficher.
Une ttrade est caractrise par un binme lm identique dans ses 4 cases, ses
cases O sont spin-, ses cases E sont spin + ; ses cases NO et SE portent
n1 pour la 1re priode,
ses cases SO et NE portent n2=n1+1 pour la 2e priode. Voyez Fig. 6
et 7bis plus bas. Fig. 6bis.
Fig.
6bis. Exemple dĠune ttrade, la ttrade l=0, m=0. Il existe 30 ttrades
(dĠlments). Grille12.ai
Grille12.png
Voil dans quel ordre les
cases sont occupes. Fig. 6ter.
Fig.
6ter. Les cases sont occupes partir de la case initiale dans lĠordre de
lĠalphabet minuscules suivies de majuscules. Remarquer le miroir dĠaxe OE.
Chacune de ces cases possde un binme lm. Grille6ter.ai Grille6ter.png
Principe
7. Les cases initiales. Valeurs de n.
Nous savons que les cases
initiales portent respectivement les valeurs n=1234. Pour chacune dĠelles,
cĠest la valeur minimale de n compatible avec la contrainte dĠtre la 1re
occupe dans lĠatome avec la valeur de l assigne. Fig. 7.
Fig.
7. Les cases initiales portant les valeurs de n. On sait la relation l<n, l
et n entiers. Ë chaque case initiale correspond une couronne de lĠune des
couleurs RJVB. LĠoccupation des cases se fait selon Fig. 6ter. Grille8.png Grille8.ai
Vouci une prsentation
des cases dans lĠordonnance des niveaux dĠnergie de liaison. Rappelons que ce
niveau dĠnergie est, en units appropries, la masse de lĠatome diminue de la
masse des lectrons au repos et de celle du noyau. Il est connu pour lĠatome
H : -13,56 ev. Les autres sont infrieurs 0, sinon lĠatome ne serait pas
stable. Pour les atomes les plus massifs, il avoisine -0,5 Mev
Les strates sont
supposes superposes dans leur ordre numrique, la strate 1 en bas. Dans un 1er
temps, nous montrons slm seulement, m seul est crit dans les cases. Fig. 7bis.
Fig.
7bis. Le contenu des grilles prcdentes organises dans un tagement
nergtique figurant s et l, dans les cases, m est crit. Les strates sont
supposes superposes dans lĠordre 1234, la strate 1 en bas. LĠnergie de
liaison crot de bas en haut et de gauche droite. On reconnat ici le
cheminement de lĠoccupation des cases, discontinu dans les diagrammes
prcdents, voir Fig. 6ter, ici continu. La case de la plus faible nergie de
liaison est -0 de la strate 1, son niveau est -13,6 ev. La case la plus haute
est +0 de la strate 4 et son
niveau, qui est le plus grand de tous, est de lĠordre de -0,5 Mev. Grille18.ai Grille18.png
Dans Fig. 7bis, font dfaut
les paramtres n et z. Essayons dĠen organiser lĠintroduction dans les cases
Pour ce qui est de z, rappelons le principe 7. Les strates commencent
ainsi : 1re par n=1, 2e par n=2, 3e par n=3 et 4e par n=4.
1re et 2e
strates. De la sorte, les cases de la 1re strate 1 sont
ncessairement n=1, 1, 2 et 2, dans lĠordre, puisque le principe de Pauli
permet 2 lectrons, lĠun s=-, lĠautre s=+, avec le mme trinme nlm. La strate
1 a donc les lments z=1 4. LĠlment suivant a z=5, en accord avec notre
principe 2bis. Il amorce un demi-bloc –p suivi dĠun autre +p, ayant lĠun
et lĠautre n=2, totalisant 6 lments. Puis viennent 2 lments s ayant le plus
petit n disponible qui est n=2, 6 lments p ayant n=3 dĠaprs la rgle du plus
petit n disponible et enfin 2 lments s ayant n=4 dĠaprs cette mme
rgle, et la strate 2 est complte. Le dnombrement des cases donne z=19 et 20
pour ces 2 lments et donne les valeurs de z pour les lments prcdents de
la strate 2.
Le problme quasi-sculaire.
Dans la logique des principes que nous proposons, il nĠy a pas sĠtonner de ce
rsultat. Une manire de le prsenter est come suit. LĠlment 19 de la
priode 4 fait partie de la ttrade comprenant n=11 et 12 de la priode 3
prcdente dans la strate 2. Une ttrade amorce doit obligatoirement tre
complte lĠintrieur de la mme strate avant de passer la strate suivante.
LĠintrieur dĠune strate est limit par la 1re couronne remplie, ici
l=1.
Ce rsultat rsout le
problme quasi-sculaire pos par lĠabsence dĠlments d3 (V3) dans la 3e
priode traditionnelle (la priode contenant z=14 (Si).
3e et 4e
strates. Le remplissage de ces strates suit la logique expose en dtail
pour les 2 strates prcdentes. Le tableau plus loin rpte Fig. 7bis avec
addition de z, du symbole et de n. Fig. 7ter
Ë
venir.
Fig.
7ter. Comme la prcdente, mais avec criture de z, symbole, n dans les cases.
Ë
venir.
Fig.
7quater. Comme Fig. 7ter, mais les strates places cte cte. Elles dessinent
sensiblement une demi-ellipse. Grille9ter.ai Grille9ter.png
Ë
venir.
Fig.
7quinte. Comme Fig. 7bis, mais les strates places cte cte. Elles dessinent
sensiblement une demi-ellipse. Grille9ter.ai Grille9ter.png
Principe
8. Nous nous donnons 4 exemplaires de la grille figurative, contenant les 4
strates.
Dans chaque strate nous
dsignons lĠune des couronnes RJVB. Fig. 8.
Fig.
8. Notre grille figurative apparat ici en 4 exemplaires, des critures ont t
omises. Ce sont les grilles des 4
strates (, chacune avec sa
couronne de mme numro. Grille9.ai
Grille9.png
Notre description
prcdente du remplissage peut nous convaincre que certaines couronnes de cases
parmi les 256 apparaissant Fig. 8 sont superflues. En les supprimant, nous
gardons 120 cases sur 256 et nous obtenons Fig. 8bis.
Fig.
8bis. Les 4 grilles comme Fig. 8, mais en omettant les cases superflues.Les
demiants N et S viennent par paires miroirs lĠun de lĠautre. Grille9bis.ai Grille9bis.png
Ë
venir.
Fig.
8ter. Comme la prcdente, mais les strates places cte cte. Elles
sĠinscrivent sensiblement une demi-ellipse. Grille9ter.ai Grille9ter.png
Ë
venir.
Fig.
8quater. Comme la prcdente, mais les spins – tous lĠouest et les
spins – tous lĠest. Le demiant ouest et le demiant est sont miroirs
lĠun de lĠautre, de mme les demiants nord et sud. Il y a une ttrade de
quadrants, chacun a 3 vicariants identiques quant l cd la couleur, et m. Il
y a 30 ttrades dĠlments. Ces ttrades de quadrants rpondent un miroir
didre au centre de figure. Grille9quater.ai Grille9quater.png
Ë
venir.
Fig.
8quinte. Comme la prcdente, mais les ttrades dĠlments places cte cte.
Elles sĠinscrivent sensiblement en un quart-ellipse. Grille9quinte.ai Grille9quinte.png
Ë
venir.
Civilits.
Je
remercie Patrick Demers, expert informaticien, pour son aide.
Conclusion en 2010.
La bonne fortune a souri
2 gomtres mathmaticiens qui taient Mendeleev et Janet. LĠun et lÔautre
ont raisonn sur la base dĠune dimension seulement attribue chaque priode
et sur des ncessits imposes par le respect des symtries. La prsente publication
continue dans cette voie en ajoutant les querres pour cause de nombres impairs
et la ncessit de 2 dimensions pour chaque priode. Puis le respect de la symtrie 4 suggre dĠajouter
un rectangle son symtrique et de considrer toute priode en relation avec
son symtrique en une seule entit occupant un carr et cĠest la source du
systme des strates. Et il faut 4 strates par respect de la symtrie 4.
Mais
ce qui prcde est imparfait et incomplet. Je le livre sans tarder la
rflexion de qui me lira. JĠarrte en cette avant-veille dÔune autre
Saint-Sylvestre et jĠajoute Ë suivre en lĠanne 2011 bientt. Je la souhaite
Bonne et heureuse mes lecteurs et lectrices!
-30-