RSetDEadrcQc2005

Projet Québécium (2005)

Ceci est une réécriture duProjet Québécium (2004) avec remplacement des millésimes 2005 par 2006 et 2004 par 2005 et addition des mises à jour (1) à (9)

Pierre Demers

T661 Partie 2 Étape 1 description détaillée des projets

 

A Objectifs scientifiques ou technologiques

L'objectif est principalement de recherche scientifique, il consiste à développer le système du québécium que j'ai imaginé en 1995.

Le système du québécium est essentiellement mathématique. Il est apparu à l'auteur lors d'une étude de la classification des éléments. Québécium est le nom donné par l'auteur à l'élément spéculatif 118 qui serait le gaz rare terminant la 7e et dernière période du tableau périodique de Mendeleev. Cet élément joue un rôle important dans le système portant son nom. Lors de cette étude, l'auteur a trouvé une nouvelle manière de classifier graphiquement les éléments, et cette manière, qui relève de la géométrie et la topologie et plus généralement des mathématiques, est le système du québécium Dans sa version la plus récente, en 2005, le nouveau tableau des éléments est le tableau elliptique (des éléments).

Avec le temps et la réflexion, il est apparu à l'auteur une généralisation du système du québécium, dépassant la seule classification des éléments chimiques : des applications inattendues du système en chimie et en physique, en théorie de l'atome, en théorie des symétries, mais aussi en cristallographie et même en biologie, biologie moléculaire et systématique des vivants. Il existe des applications en linguistique.

Le système du québécium paraît avoir une portée universelle ou unitaire dans le domaine des classifications.

 

B Savoir technologique ou base des connaissances

Le savoir scientifique que je recherchais au tout début était d'améliorer le tableau de Mendeleev, mon point de départ étant l'amélioration réalisée par Fernando Dufour sous le nom d'arbre des éléments dès 1980 et celle réalisée vers 1970 par Jean-Paul Giguère sous la forme d'un tableau en 4 tablettes tournantes. La suite de mes travaux a largement dépassé le but initial de rendre le tableau des éléments plus élégant et plus pratique de consultation.

 

C Avancement scientifique ou technologique

Les nouvelles connaissances que je recherchais dans mes travaux n'étaient naturellement connues qu'en termes généraux, à la manière d'un pressentiment ou d'un rêve, que la réflexion aidée de manipulations avec des modèles allait préciser. Comme dans toute recherche, je peux parler dans celle-ci du rôle précieux de la liberté de penser et d'expérimenter, de laisser libre cours à l'imagination créatrice et anticipatrice.

Mon intention primitive était d'établir un parallèle entre les perceptions humaines telles que la couleur et notre compréhension du monde inerte tel que molécules, atomes, particules élémentaires. J'ai développé cette intention qui remonte à plus de 30 années. "Perceptions humaines", cela s'est graduellement étendu à "compréhension des êtres vivants".

Depuis 10 ans (1), cette intention s'est précisée dans une recherche tendant à révéler et à comprendre les symétries rencontrées dans la classification des éléments. Le système du québécium fait apparaître ces symétries, nullement discernables dans le tableau de Mendeleev.

Or ces symétries sont d'ordre 4. Elles sont apparentes dans le tableau elliptique

Puis le système du québécium a mis en évidence et fait remarquer des symétries d'ordre 4 en biologie, aussi bien dans l'anatomie macroscopique des êtres vivants, que dans leur biochimie et spécialement dans leur biologie moléculaire. La symétrie d'ordre 4 du carbone, élément fondamental de la vie, et de son tétraèdre, est bien connue.

Dans cette longue recherche, je veux rendre hommage à la Société internationale de biomathématique qui a accueilli critiquement mes présentations depuis 1980 et qui m'a ainsi grandement encouragé. Elle est dirigée par le Dr Francis Collot.

 

D Description des travaux menés dans l'année visée par la demande

Cône de précession du spin des électrons. Le résultat le plus important que j'ai acquis en 2004 concerne le spin des électrons contenus dans les atomes. Les électrons ont un spin capable de décrire un trajet conique, mis en évidence sous l'influence d'un champ magnétique, au moyen de détecteurs électromagnétiques. Le spin des atomes d'hydrogène avec leur mouvement conique est utilisé pour la détection RMN dans les hôpitaux.

Or le trajet conique des électrons résulte d'une précession à laquelle sont attachés les noms de Larmor et de Dirac, et le cône décrit a une ouverture de 109,4712 o. Cette précession est un phénomène quantique et n'aurait pas de réalité physique. Je n'a pas encore trouvé une source expliquant la théorie de cette précession et l'angle d'ouverture de son cône.

Cet angle a un grand intérêt pour le système du québécium, car il est intimement associé à la symétrie 4 dans l'espace 3D. Apparemment, personne n'en avait fait la remarque jusqu'ici. Quatre tels cônes s'associent jointivement en occupant la sphère des angles solides. En d'autres termes, cet angle est celui qui existe entre 2 faces d'un tétraèdre régulier, et encore, entre les valences du tétraèdre du carbone. On le réalise aisément en assemblant jointivement 4 boules égales.

Il est naturel d'associer cet angle d'ouverture du cône de précession du spin des électrons dans les atomes à la tendance qu'ont ces derniers à manifester une symétrie 4. Mes recherches sur les modalités de cette association se poursuivent.

Livres, tableaux, modèles, prototypes, publications, conférence, communications aux congrès, vidéo sur le système du québécium. En 2004, j'ai rédigé et édité 2 livres sur le système du québécium. L'un d'eux explique la relation entre les niveaux de l'atome d'hydrogène et la suite des atomes. Leur lancement a donné lieu à des discussions fructueuses. J'ai rédigé plusieurs documents sur internet.

J'ai réalisé un grand tableau qui pourra être diffusé et être affiché dans les laboratoires et les salles de classe et partout y compris en public. Un exemplaire de ce tableau se trouve affiché dans le local de l'Association des anciens de la Cité universitaire de l'Université de Paris. (4)

Utilisant du matériel d'artisanat, j'ai réalisé et présenté un modèle 3D permettant de mieux comprendre le système du québécium.

J'ai présenté le résultat de mes recherches dans une conférence devant la Société de paléontologie du Québec à l'UQAM et dans une communication devant la Société internationale de biomathématique à Versailles, France. Cette dernière est sous presse dans Revue internationale de biomathématique.

En collaboration avec Patrick Callet l'alchimiste à l'École centrale de Paris, début de la réalisation d'un vidéo sur le système du québécium. (5. 6, 7, 8, 9)

 

E Renseignements à l'appui

Voyez ma bibliographie sur internet dans mon site : former quebecium.qc.ca et suivre les liens. Principalement ma bibliographie 2000-2010 récemment mise à jour.

Visitez un mini musée du Québécium de prototypes et modèles occupant une partie de mon domicile. Se visite sur rendez-vous. 514 747 2308 c3410@er.uqam.ca

 

MISE À JOUR POUR 2005

  1. (1) Depuis 1995, càd, depuis 11 ans fin 2005.

  2. (2) L'électron possède une masse mesurable. Par ailleurs, sa théorie quantique propose qu'il est ponctuel et néanmoins pourvu d'un moment cinétique propre appelé spin, aussi bien que des particules comme le proton auquel on attribue trois dimensions. Il y a contradiction, puisqu'un moment cinétique, dans sa définition macroscopique, résulte du mouvement d'une masse tournant à quelque distance de l'axe de rotation. La valeur de son spin j est 1/2 en unités relatives.

(3) Quant à l'angle du cône de la précession de l'électron autour d'un champ orienteur, il résulte aussi de la théorie quantique. Selon cette théorie, le module du spin j vaut √[j(j+1)) et sa projection sur le champ orienteur vaut 1/2. L'angle compris entre le spin et sa projection est par suite la moitié de 109,4712 o, l'ouverture du cône est 109,4712 o.

(4) Un deuxième exemplaire a été déposé en 2005 au Collège Jean de Brébeuf à Montréal. Réf. Chantale d'Auteuil.

 

  1. (5) Géométrie quantique. Au cours de 2005, j'ai découvert qu'il existe des correspondances remarquables entre la théorie quantique des cônes de précession des spins des particules d'une part et la théorie en géométrie tridimensionnelle d'une catégorie étendue des solides de Platon . http://fr.wikipedia.org/wiki/Polyèdre_régulier Cette catégorie comprend, outre les solides de Platon (au nombre de cinq), les solides étoilés de Képler et de Poinsot dérivés de ceux de Platon (au nombre de quatre); elle comprend aussi le rhombododécaèdre régulier (total dix solides). La correspondance s'établit par l'identité des angles d'ouverture des cônes de précession des spins des diverses valeurs d'une part, et des angles dièdres entre les faces des solides, d'autre part.. Schématiquement, les cônes associés à un spin choisi "génèrent" l'une des figures mentionnées. Par exemple, le spin un demi de l'électron génère un tétraèdre régulier; le spin unité du photon, lumineux ou autre, génère un cube. C'est là un chapitre nouveau qui réunit la théorie quantique et la géométrie traditionnelle. D'une certaine façon, on peut envisager que l'une et l'autre se justifient mutuellement, on ne peut désormais envisager et comprendre l'une sans autre : c'est la géométrie quantique

  2.  

  3. (6) Géométrie pure. L'étude sur la géométrie quantique m'a conduit à formuler des théorèmes peu connus et probablement nouveaux pour la science, appartenant à la géométrie et à la topologie dans l'espace tridimensionnel. - Depuis quelques années, la conjecture de Poincaré proposée en 1903 a attiré l'attention des mathématiciens du monde et elle a été apparemment résolue en 2003 par le Russe Grigorov Perelman. Elle appartient précisément à la géométrie et à la topologie dans l'espace tridimensionnel. - On remarque que ce dernier auteur publie ses résultats exclusivement sur internet.

  4.  

  5. (7) Je place ici des remerciements à quelques collègues, avec qui, depuis le début de 2005, j'ai échangé des communications verbalement ou par internet et qui m'ont encouragé. - En France, Patrick Callet, professeur à l'École centrale de Paris, Maurice A. Kibler; professeur à Lyon; - au Québec, Louis Thibaudeau, D.Sc, professeur retraité du CEGEP Marie Victorin., deux professeurs honoraires de l'Université de Montréal du CRM Centre de recherches mathématiques : Aubert Daigneault et Jean Le Tourneux. Et mon collègue, retraité comme moi du Département de physique de la même université et décédé depuis peu, Paul Lorrain†. - De plus Maurice Day, scénographe, m'a aidé à faire des figures.- Encouragement fiscal du Canada (Ottawa). Je suis heureux que l'ACDR, Agence canadienne de douane et revenu m'ait fait bénéficier, pour 2004, de l'Aide fiscale à la R&D (recherche scientifique et développement technologique).

(8) Je signale ici par anticipation des résultats qui se sont finalisés en 2006 sur les éléments irréguliers, qui suggèrent le bien fondé de la symétrie d'ordre quatre dans l'organisation électronique des éléments.

(9) Rédaction arrêtée en septembre 2006, couvrant 2005 et en partie 2006.

Référence à mes travaux récents : http://www.lisulf.quebec/quebecium.qc.ca

Référence générale à mes travaux : http://www.lisulf.quebec/PierreDemersBibl2000-9.html

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Le présent formulaire : t661-03f.pdf

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