QbGoPan5X9quater.htm

Système du Québécium

Suite du Québécium. Le 30-osséisme dans les membres des Primates.

Pierre Demers EAPD

Traduction interdite

Résumé. La suite du Québécium, que j’ai définie récemment à partir de la classification symétrique des éléments chimiques (1, 4, 9, 16)*4 est réalisée exactement dans le nombre des os constants des membres humains. Ces os sont au nmbre de 120, soit 30 dans chaque membre. C’est ce que j’appelle le 30-osséisme des membres du genre Homo. Dans quelle mesure est-il réalisé chez les autres genres de Primates? Par une analyse de la documentation disponible, j’essaie de répondre à cette question, entre autres touchant les genres Gorilla, Pongo et Pan. Les décomptes nécessaires sont troublés par la présence d’os non constants (scaphoïdes) dans le carpe et le tarse. - Théorie de l’évolution. Mes résultats confirment la théorie d’Owen et de Denton des MODÈlLES PRéEXISTANTS et l’isolement du genre Homo à cause de sa bipédie dans la chaîne évolutive.- Ma  méthodologie : une recherche de symétrie réunissant les structures de l’atome et celles de la vie.

 

Dénombrements dans les squelettes des membres

Certains dénombrements en biologie du genre Homo sont bien visibles, remarquables et si évidents qu’on n’y porte guère attention : 4 membres; 5 doigts ou 5 orteils par membre, au total 20 doigts et orteils. Ils sont des caractéristiques importantes de l’anatomie humaine, inchangées depuis des millénaires et bien visibles. Les autres primates les plus connus présentent les mêmes dénombements. On a ainsi créé les expressions tétramembrisme et pentadactylisme. (Faudrait-il plutôt parler de 20-dactylisme?)

Mais voyons les dénombrements dans les membres complets, supérieurs et inférieurs, comprennt bras et jambes. Et voilà un tableau pour le genre Homo et les autres genres des Primates, tous genres confondus ayant 2 membres supérieurs et 2 membres inférieurs. Pour le genre Homo, les auteurs semblent  d’accord pour compter 30 os constants dans chacun des membres. En conséquence, je propose de créer l’expression 30-osséisme. (Faudrait-il plutôt parler de 120-osséisme?)

Les os sésamoïdes. En plus des os constants, les auteurs ont créé la catégorie des os sésamoïdes pour y ranger une multitude d’os la plupart de petite taille, présents ou  absents selon les individus et leur paraissant jouer un rôle accessoire. Il peut se trouver une dizaine de sésamoïdes dans une main. La distinction entre os sésamoïdes et os constants est parfois difficile à établir.

 

Fig. 1. Les os constants dans les membres des Primates. Errata corrige! à la ligne se terminant par 30+x, au lieu de 27 il faut lire 27+x; à la ligne se terminamt par 30+y, au lieu de 26, il faut lire 26+y.

 

Fig. 1. Les auteurs que j’ai consultés s’accordent sur les dénombrements du genre Homo, établissant la réalisation du 30-osséisme pour ce genre, comme je l’ai signalé précédemment.

Pour les autres genres de Primates, et spécialement Pan, Gorilla et Pongo, il reste à établir les valeurs de x et de y, mises en évidence en rouge et en bleu respectivement. Elles se rapportent aux os du carpe et du tarse, que les photos qui m’ont été disponibles ne m’ont pas permis de dénombrer commodémnt. Quant à y, la lecture des tableaux de Deloison me suggère y = 0. Quant x, il vaudrait 2 selon un passage de Grassé : “Le carpe des mammifères pentadactyles se compose normalement de dix os courts”.

Ce pendant cet auteur n’examine pas la possibilité que deux de ces os soient des os sésamoïdes.

À suivre le 30 XI 2009.

 

Références

Pierre Louis Grassé, tome XVI vol. 1, p. 787; et passim

MqbAnato1bis.htm, 00FiboPentaquinte%20.htm,

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