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Communiqués de presse

Rapport annuel 1999-2000 de l’UQAM :
pleins feux sur les activités internationales
et la recherche

Montréal, le 15 février 2001 -- L’Université du Québec à Montréal rend public aujourd’hui son Rapport annuel 1999-2000. M. Gilbert Dionne, recteur intérimaire entré en poste au début de l’an 2000, déclare dans sa brève présentation : « Mes rencontres avec tous les groupes de l’UQAM m’ont convaincu que la conjoncture extrêmement difficile que nous traversons n’a pas tempéré les enthousiasmes et la volonté manifeste de la communauté uqamienne de relever des défis exigeants ».

En 1999-2000, le budget de fonctionnement de l’Université s’élevait à 231,6 millions de dollars et révélait un déficit d’opération de l’ordre de 17,9 millions,en raison de l’accumulation des compressions et de la faiblesse de sa base de financement, pour un déficit accumulé de 19,1 millions au 31 mai 2000. Par ailleurs, les produits ont augmenté de 5,2 % et la subvention du gouvernement du Québec n’a représenté que 66 % de l’ensemble des produits de l’Université, alors qu’elle comptait pour près de 69 % en 1998-1999. Les autres revenus se sont accrus de 13 %.

« La question du déficit accumulé demeure un sérieux frein au développement de l’UQAM et nous entendons poursuivre nos discussions avec le gouvernement du Québec afin d’y apporter une solution définitive » déclare M. Dionne. La résorption de ce déficit, qui devrait passer de 19 à 25 millions au 31 mai 2001, fait d’ailleurs partie des demandes de l’UQAM dans le projet d’entente de réinvestissement qu’elle a soumis au ministre de l’Éducation du Québec en décembre 2000. L’UQAM souhaite toujours conclure cette entente dans les meilleurs délais afin de poursuivre sa mission sur des bases financières solides et d’atteindre les objectifs de performance qu’elle s’est fixés dans la foulée du projet de contrat de performance du gouvernement.

Une importante augmentation des fonds de recherche

Le financement de la recherche a augmenté de 2 millions de dollars pour atteindre 30 millions, dont 28,6 millions proviennent de sources externes, notamment des trois grandes agences subventionnaires. Ainsi, les fonds reçus du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) ont crû de 14,5 % et ceux du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) ont fait une remontée encore plus spectaculaire de 67 %, après une hausse de 34 % l’année précédente. Cette croissance place maintenant l’UQAM au premier rang des universités francophones et au troisième rang des universités canadiennes subventionnées par cet organisme.

Pour ce qui est du Fonds pour la formation de chercheurs et l’aide à la recherche (FCAR), l’UQAM a reçu 3,7 millions de dollars, par rapport à 2,9 l’an dernier. De plus, l’Université a décroché quatre subventions du même organisme dans le cadre des deux premiers concours stratégiques de professeurs-chercheurs, avec un taux de succès de 80 %. Du côté de la recherche contractuelle, les revenus de l’année sont demeurés relativement stables, à 6,1 millions de dollars.

L’UQAM et les activités internationales

L’année 1999-2000 a été particulièrement fertile du côté de la coopération internationale, puisque le nombre de projets s’est accru de 75, tandis que leur valeur est passée de 2,7 à 4,2 millions de dollars. Notamment, un important projet d’éducation relative à l’environnement a été financé par le Fonds francophone des inforoutes, un Centre Wallonie-Bruxelles a été créé et une trentaine de nouveaux protocoles avec des établissements étrangers ont été signés, permettant ainsi une plus grande mobilité étudiante. Enfin, l’internationalisation des cours et des programmes est devenue une préoccupation majeure de l’institution, permettant ainsi aux étudiants d’avoir une formation mieux adaptée aux changements qu’engendre la mondialisation dans toutes les sphères d’activités.

Encore une fois cette année, le rapport brosse le portrait de sept professeurs &emdash; un pour chaque faculté &emdash; dont les activités de recherche et de formation s’étendent à l’échelle internationale. Il s’agit de François Bédard, (études urbaines et touristiques), Bonnie Campbell (science politique), Claude-Yves Charron, (communications), Marc H. Choko (Centre de design de l’UQAM), Alain Grandbois (sciences de l’éducation), Marc Lucotte (Institut des sciences de l’environnement) et Régine Robin (sociologie).

Autres faits saillants

Le rapport dresse la liste des faits marquants, des nominations et distinctions accordées à des professeurs, chargés de cours, cadres, employés et étudiants, de même qu’à diverses unités ou services de l’Université. Il fournit des données sur les diplômes décernés (8 163 cette année, pour un total de 157 220 depuis la création de l’Université en 1969), et sur la population étudiante (qui totalisait 38 770 en 1999-2000). Enfin, on y retrouve la liste des membres du Conseil d’administration et de la Commission des études, ainsi que ceux de la direction.

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Source : Francine Jacques, conseillère en relations de presse
Service de l’information et des relations publiques, UQAM
Téléphone : (514) 987-3000, poste 7954
Courriel : jacques.francine@uqam.ca

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