Annexe à
Mme Yvette Dabet DGM Montréal, complexe D. cp 4000 H5B 1A5
et qui de droit 705, ch du trait carré
Laval H7N 1B3 13 mai 2001
Impôt Pierre Demers 1997, 1998, 1999 210 098 398, 200, Latour SLaurent H4L 4S4, 514 7472308, c3410@er.uqam.ca, réf YD du 16 janvier 2001
Dabetetl3mai.htmlfaisant suite au RAPPORT D'ACTIVITÉ 2001
RA2001V15.htmlMon entreprise a pour but de poursuivre cette activité et d'en mettre en valeur les résultats. 4 thèmes principaux.
1o Socio-linguistique de la langue française en science, surtout par ma participation à la LISULF.
2o Biomathématique.
3o Écologie et ses aspects juridiques, une étude engagée.
4o Arts plastiques.
PR2001 Pierre Demers 12 juin 2001
PROSPECTUS 2001
http://www.lisulf.quebec/PR2001.html
1o SOCIO-LINGUISTIQUE DE LA LANGUE FRANÇAISE EN SCIENCE
LISULF
lisulf.html, ww.lisulf.qc.caLes succès récents de la LISULF sont de bon augure et pourraient déterminer une participation accrue de personnes physiques et morales à son activité. La possibilité existe qu'elle devienne alors rentable et qu'elle finance ses activités par les cotisations de membres nombreux. Le seuil d'une telle rentabilité peut être fixé à au moins 500 membres dont 50 entités morales, soit 5 ou 10 fois les effectifs actuels. Malgré les succès mentionnés, cette éventualité paraît lointaine, et il paraît assez évident qu'elle aura encore pour plusieurs années besoin du financement que je lui apporte.
Analysons un peu ces succès.
Le rôle de la LISULF dans l'émission par l'UQAM de la réglementation du 5 mars 2001 exigeant le français sur le site de l'UQAM n'a reçu aucune publicité, ni de la part de l'UQAM, ni des médias.
Le rôle de la LISULF n'a pas été mentionné dans les discours officiels lors de l'inauguration du monument Pasteur sur le square Pasteur à Montréal, le 4 mai 2001. À cette occasion, la plaque de bronze qui était partie du trottoir a été relevée et apposée sur le socle du monument. La LISULF a réclamé le relèvement de cette plaque depuis 1994 auprès des autorités municipales.
Même si la cérémonie s'est déroulée entièrement en français, les mots "langue française" n'ont pas été prononcés dans les discours. Cette absence est d'autant plus étonnante que l'UQAM signale dans sa publicité son attachement à l'usage de la langue française. Une telle absence ne peut pas être fortuite. Le bailleur de fonds pour la réalisation du monument était la Fondation canadienne Louis Pasteur.
L'usage scientifique du français est presque un sujet indécent, même dans les milieux les plus sympathiques à la promotion du français, qu'ils soient consulaires, municipaux ou universitaires, on préfère ne pas en parler publiquement même dans les occasions les plus appropriées. Peut-être par diplomatie vis-à-vis des souscripteurs de langue anglaise à ladite fondation et à la fondation analogue aux États-Unis.
Les succès de la LISULF - et les miens, sont des succès discrets! L'intensité de cette discrétion renforce ma conviction que la LISULF est une nécessité chronique pour le progrès du Québec face à l'impérialisme de l'anglais dans notre vie universitaire.
L'aspect médiatisation de l'événement du 4 mai dernier est donc, pour les fins de cette section, complètement manqué. Je n'ai pas encore vu le cahier de presse de l'événement, s'il en est.
En revanche, le même événement a permis d'établir un contact qui pourrait être précieux pour l'avenir. Dans une conversation bienveillante avec le délégué de l'Institut Pasteur de Paris le prof. Cazenave, j'ai évoqué la possibilité que le prochain rendez-vous PPF à Paris, le samedi 23 mars 2002, puisse se tenir non pas en face de l'Institut Pasteur, mais à l'intérieur de ses murs. La LISULF établirait ainsi un lien amical précieux avec l'Institut Pasteur. J'espère rencontrer le prof. Cazenave en septembre 2001 à Paris à ce sujet. Si j'ai bien retenu ses paroles, les Annales de l'Institut Pasteur n'existent plus.
En revanche également, le succès discret de la LISULF concernant la réglementation du 3 mars 2001, même s'il n'a pas été médiatisé, me paraît beaucoup plus significatif et riche de conséquences pour l'avenir. C'est tout le monde de la communication par Internet qui est en cause. Ce monde est naturellement ouvert au libre usage de la langue française, sans le contrôle des comités des "grandes revues internationales" dominées par l'usage de l'anglais. L'événement du 4 mars, qui ne semble pas avoir suscité de protestations, montre qu'une réglementation à ce sujet est possible dans toutes les universités francophones du Québec et d'ailleurs.
La LISULF devra poursuivre son oeuvre dans la voie ouverte par cet événement : valoriser la publication par Internet ; réclamer que les textes sur les sites universitaires soient rédigés en français. Si elle réussit en cela, sa réputation devrait s'accroître.
Immigration.
Si la population du Canada n'était pas composée principalement d'anglophones, le problème des publications scientifiques en français se poserait différemment. L'affirmation peut paraître banale, mais je suis d'avis qu'elle pose un problème important, démographique évidemment, méritant un examen attentif. La démographie du Canada et du Québec est le résultat d'aspects historiques qui sont traités très superficiellement dans les livres d'histoire. Curieux de comprendre ces aspects, je me suis livré à une analyse de l'immigation depuis 1760. En dehors de cette immigration, si la population issue de Français, présente en 1760 s'était développée normalement, il y aurait aujourd'hui 25 millions de francophones au Canada. L'analyse montre qu'une immigration calculée s'est réalisée depuis 1760, qui a écrasé numériquement et politiquement la descendance des Français.
En prétextant le respect des races, tous nos politiciens préfèrent ignorer ces aspects éminemment politiques de notre histoire.
Après une mise à jour de cette étude que j'ai délaissée depuis 1995, je me propose de la publier en temps, et ce pourrait être un succès de librairie., sous le titre : "Une immigration calculée".
Mes publications en français.
Indépendamment de ce qui se fait au sein de la LISULF, je m'efforce de prêcher d'exemple en publiant mes travaux en français. Voyez ci-dessous quant au système du Québécium.
Double publication.
Indépendamment encore de ce qui se fait au sein de la LISULF, je m'efforce de faire accepter par "les grandes revues internationales", qu'on appelle encore "les revues prestigieuses", le principe de la double publication, savoir qu'à chaque auteur, on reconnaîtrait le droit de publier 2 fois, en français et en anglais, ses travaux originaux. L'interdiction actuelle résulte d'une interprétation restrictive du principe qu'il ne faut pas faire paraître 2 fois des publicatons équivalentes.
Mon argument est qu'une publication en anglais et la même publication en français ne sont pas équivalentes, parce que le français et l'anglais n'ont pas des statuts identiques et ne sont pas équivalents au point de vue publication. Les publications scientifiques actuelles au Canada, par exemple dans la Revue canadienne de physique, se font beaucoup plus fréquemment en anglais qu'en français. Si publier en français était l'équivalent de publier en anglais, il y aurait égalité de ces fréquences.
Témoin aussi de cette non-équivalence, la liste des communications annoncées à un congrès scientifique au Canada, celui de l'ACP Association canadienne des physiciens, tenu du 5 au 9 juin 1999 à l'Université du Nouveau-Brunswick à Fredericton, province du Nouveau-Brunswick : aucune n'avait un titre en français. Cela est d'autant plus marquant que dans cette même province du Canada, à Moncton, en septembre de la même année, se tenait avec grand éclat un autre congrès, le 8e Sommet de la francophonie. Le Nouveau- Brunswick, patrie des Acadiens, est réputé à juste titre comme la plus francophone de toutes les provinces du Canada (hors Québec).
Moins marquant mais aussi probant, le relevé des résumés en français sur la liste des communications annoncées pour le congrès de l'ACP en 2001 (17-20 juin 2002) à l'Université de Victoria, Colombie-Britannique. 3 en français sur un total de 308, dont 305 en anglais.
http://www.cap.ca/Témoin enfin, les réunions du Conseil des ministres à Ottawa, qui se tiennent en anglais, la communication en français au sein de ce conseil éminemment exemplaire de la bonne conduite au Canada, n'étant pas équivalente à la communication en anglais.
Je poursuis des démarches personnelles à ce sujet, en essayant de faire accepter en anglais un texte original qui a été publié en français. Jusqu'ici, la Revue canadienne de physique m'a refusé de considérer cette publication pour la raison expliquée. J'ai repris les démarches auprès d'un bureau renouvelé de cette revue, je n'ai reçu aucune réponse. Voyez La 4e force..., par Pierre Demers ; The 4th force..., by Pierre Demers, dans ma bibliographie à partir de 1991. Je me propose de renouveler ces démarches en temps opportun.
Si le principe de la double publication devenait accepté dans la communauté scientifique mondiale, nos scientifiques pourraient publier sans inquiétude leurs résultats en français sur papier ou sur Internet, sans nuire à leurs chances de faire accepter leurs résultats en anglais s'ils le désirent dans les "grandes revues internationales". Et autant serait gagné pour la renommée de la langue française et de ses usagers au Québec et ailleurs.
En affaires, on sait que "Bonne renommée vaut ceinture dorée".
2o BIOMATHéMATIQUE
Québécium.
Je fonde, sur le système du Québécium que j'ai découvert en 1995, de grandes espérances au point de vue théorique comme au point de vue pratique. Cette découverte me paraît beaucoup plus importante que les autres que j'ai pu faire précédemment, et pour cette raison, je néglige d'autres formes de mon activité au profit de celui-ci. Elle peut apporter des retombées commercialement.
Le grand point est de faire connaître et comprendre ce système par les personnes clés, qui sont du domaine de l'enseignement secondaire et supérieur et de la recherche. Conscient et persuadé de la valeur de ma découverte, j'ai choisi de procéder à la divulgation de mes résultats en français, mettant de côté les "grandes revues internationales" qu'on qualifie aussi de "revues prestigieuses", où le succès ne survient qu'en communiquant en anglais. Je n'ai d'ailleurs guère le choix, car j'ai essayé systématiquement, pendant plusieurs années, de faire accepter d'autres de mes travaux d'avant-garde par une demi-douzaine de ces revues prestigieuses, sans succès. C'est une voie périlleuse, dans un monde où la consécration d'un scientifique ne survient guère s'il ne rallie pas les publics anglophones. Mais toute entreprise d'avant-garde est périlleuse. J'espère que mes compatriotes comprendront mes aspirations socio-politiques en même temps que proprement scientifiques.
Il y a un prix à payer pour l'originalité et l'innovation d'avant-garde. J'ai expérimenté cette vérité applicable à mon cas, au début de ma carrière vers 1930, alors que le choix d'une carrière de physicien m'attirait plus de dérision que d'approbation. Maintenant, mon problème est de me faire comprendre.
Les personnes clés.
Je ne manquerai pas une occasion de présenter mes résultats oralement ou par écrit à des auditoires pertinents. Il y a là une opération de relations publiques et de publicité auprès du grand public, mais surtout, des sociétés savantes, des collègues des universités, des ministères du Québec, des établissements secondaires, collèges et cégeps et de quelques commerces. Je cherche des rencontres et des contacts dans le monde de l'enseignement mais aussi dans celui des affaires.
Congrès.
Je reviens du 69e congrès de l'ACFAS, où j'ai atteint des auditeurs attentifs spécialistes de la biologie moléculaire : c'était à l'Université de Sherbrooke, 16 mai 2001. Je me dirige vers le 19e congrès de biomathématique à Paris au début de septembre 2001, où je rencontrerai un groupe de collègues encourageants avec qui je travaille depuis 22 ans. C'est auprès des sociétés savantes que j'ai le plus de succès. Depuis 1995, la Société internationale de biomathématique a accepté toutes mes communications et les a publiées dans sa revue. L'ACFAS a accepté 7 des 11 projets de communications que j'ai soumis et en a refusé 4. Le dernier refus, touchant le 69e congrès, résulte d'une erreur technique d'un comité de l'ACFAS et j'espère que l'ACFAS me donnera un témoignage en conséquence.
Ministères, universités, CEGEPS.
Il faut que je sois invité à donner des conférences rétribuées sur le sujet dans les départements des universités : physique, chimie, mathématiques, biologie, au Québec, en France et en Belgique. Telle série a commencé le 4 avril 2001 à l'UQAM, sur l'invitation de Paul Lavallée, animateur du Département de physique
Je compte beaucoup sur Jacques L'Écuyer, évaluation de l'enseignement au collégial, MEQ, qui a convenu de me mettre en relation avec le service d'évaluation des programmes au collégial. Il a recueilli récemment l'opinion du prof. Pierre Boucher : Pierre Boucher serait sceptique quant aux avantages du système du Québécium par rapport au tableau de Mendeleev. Voilà depuis 1996 que je demande rendez-vous, sans succès, à Pierre Boucher, alors Directeur du département de physique et au prof. Claude Abraham, Directeur du département de chimie dans ce même CEGEP, situé dans la ville même où j'habite. Pierre Boucher est maintenant Directeur des études de ce CEGEP.
Routine et innovation.
Il est assez évident qu'une certaine routine règne chez les enseignants de tous les degrés favorise l'attachement exclusif au tableau périodique des éléments de Mendeleev, qui est devenu un objet commode, consacré par l'usage, respecté, intouchable. Sa forme actuelle, qui remonte à sa création en 1869, a été fixée en 1950. Les auteurs de manuels le reproduisent depuis ce temps dans cette forme que nous appellerons traditionnelle, sans changement majeur et sans critique de l'organisation mutuelle des cases, dont chacune désigne l'un des 118 éléments. Les progrès que je remarque dans ces tableaux depuis quelques années consistent surtout à charger les cases de renseignements supplémentaires, et d'en faire ainsi une sorte de recueil de constantes.
L'histoire de ce tableau est glorieuse puisqu'il a permis des prévisions confirmées expérimentalement et qu'avec des adaptations, il a survécu aux découvertes sur l'atome et sa structure. Les variantes que d'autres auteurs ont pu proposer sont accessoires, ne touchent pas à l'organisation mutuelle des cases, n'ont pas de signification scientifique profonde et n'aident pas beaucoup à l'enseignement.
Le tableau de Mendeleev occupe une surface plane, il est à 2 dimensions. Mais il faut mentionner la variante proposée par Fernando Dufour, qu'il appelle l'arbre des éléments, qui est à 3 dimensions et qui a eu un succès mitigé.
L'organisation que je propose dans le tableau nouveau est radicalement différente de celle du tableau traditionnel. Le tableau nouveau renferme les mêmes éléments mais placés autrement. On ne peut pas être différent et pareil à la fois, on ne peut pas progresser et ne rien modifier, il faudra bien que les usagers du tableau des éléments changent un jour leurs habitudes. Le plus tôt sera le mieux. Expliquons un peu en quoi consiste l'innovation.
Un tableau nouveau ...
Le principe incontestable, parfaitement plausible sous bénéfice d'inventaire, du tableau de Mendeleev est d'effectuer un rangement par colonnes et rangées, en suivant l'ordre des numéros atomiques de 1 à 118. Mais son idée de base, elle, est contestable : c'est que les colonnes sont contiguïtés, que les propriétés des éléments varient continûment dans chacune des rangées et sont semblables dans chacune des colonnes. Cette idée s'applique si on limite le tableau à une sélection de 16 éléments sur 118, ceux ayant les numéros 3 à 18. Elle ne s'applique pas telle quelle au tableau traditionnel, elle ne s'y applique qu'à la condition de multiples aménagements : 2 éléments sont mis à part (les numéros 1 et 2, l'hydrogène et l'hélium), 68 éléments sont traités à part et qualifiés d'éléments de transition, etc.
De plus, le tableau traditionnel n'a aucune symétrie, même s'il a des régularités dont la mémorisation demande un effort certain. Ne pourrait-on pas le rendre symétriqueÊ?
Puisque la disposition des cases par colonnes et rangées aboutit - l'expérience est faite, au résultat dissymétrique connu, ne pourrait-on pas essayer une disposition différente des cases ? Bien sûr, il faudra s'écarter plus ou moins de la disposition en colonnes et rangées, on ne peut pas changer et ne pas changer à la fois.
En remaniant la disposition traditionnelle, peut-être aboutirait-on à un tableau vraiment doué de symétrie et plus aisément mémorisable. C'est l'idée qui m'a guidé dans mes tentatives de 1995.
Le remaniement m'a bientôt donné un résultat intéressant, sous l'aspect de 4 grilles carrées successives. Au point de vue mémorisation, quoi de plus facile à se rappeler : 4 grilles carrées ayant chacune les symétries d'un carré !
Le tableau des éléments dans le système du Québécium se signale par ses symétries évidentes : il est formé de 4 grilles carrées (totalisant 120 cases dont 118 occupées), l'une d'entre elles, la plus grande, ayant exactement le quadrillage de l'échiquier du jeu d'échecs. (Il s'agit là du tableau à 2 dimensions). Les 3 autres grilles sont des réductions graduelles de la plus grande. Les colonnes du tableau de Mendeleev ne sont pas tout à fait perdues : leur répondent, dans le système du Québécium, des îlots et des archipels d'îlots semblablement placés dans les carrés successifs. Quant aux rangées, elles sont remplacées chacune par 2 petits carrés placés en diagonale.
http/er.uqam.ca/nobel/c3410/QbInterna..BONJOUR.htmlCeux qui ont réfléchi aux symétries disent que les symétries se justifient d'elles-mêmes, sans le recours à un principe qui leur serait supérieur. La présence de symétries dans le tableau nouveau est en soi un argument en faveur de la justesse du système dont il fait partie. La doctrine des symétries a conduit à des découvertes remarquables sur les particules subatomiques.
... et davantage.
Mais ce n'est pas tout. L'analyse du système du Québécium ajoute à nos connaissances sur les forces entre électrons et noyau au sein de l'atome. Il suggère que ces forces favorisent l'établissement de groupes d'électrons 4 par 4. C'est là une sorte de doublage du principe de Pauli qui affirmait que les électrons tendent à se grouper 2 par 2.
Et plus encore : passons à 3 dimensions. Le tableau traditionnel, le tableau nouveau dans le système du Québécium sont plans, à 2 dimensions. Mais, chose surprenante, le nouveau tableau se prête admirablement à une mise en 3 dimensions.
À ce moment, le tableau plan est remplacé par un assemblage de 120 boules dessinant exactement une pyramide à base triangulaire ou un tétraèdre régulier. Cela ne veut pas dire que les atomes auraient une forme tétraédrique, mais que leur représentation, virtuelle comme toute représentation, est un tétraèdre.
Le tétraèdre est le solide régulier le plus simple qui soit. L'aboutissement à une forme géométrique aussi bien définie et aussi fondamentale apparaît comme extrêmement satisfaisant dans la doctrine des symétries. Ces résultats à 2 et à 3 dimensions devraient convaincre les sceptiques de faire un effort pour comprendre le système nouveau, qui révèle des vérités présentes mais invisibles dans le tableau traditionnel des éléments.
Une comparaison se présente concernant les "aménagements" en matière scientifique. Le géocentrisme faisait de la Terre le centre de l'Univers. Les astres tournaient autour de la Terre, et avec quelques aménagements pour les planètes, la Lune
et le Soleil, tout était satisfaisant à peu de chose près. Cependant, l'héliocentrisme contenait davantage de vérité et a fini, non sans résistances en haut lieu, par être accepté.En biologie moléculaire.
Par-dessus le marché, et cela ne fait qu'ajouter à la valeur établie ci-haut du nouveau système, des applications biologiques apparaissent. La mathématique des grilles carrées et du tétraèdre s'ajuste à la classification de ces molécules essentielles à la vie étudiées en biologie moléculaire, que sont les codons et les acides aminés.
Cette mathématique conduit à prévoir une classe de 36 molécules essentielles à la vie qui restent à découvrir.
Cette dernière prédiction suggère une avenue de recherches en biologie moléculaire, et l'on sait l'intérêt considérable qui s'attache présentement aux biotechnologies. Que cette prédiction soit éventuellement vérifiée ou falsifiée dans l'avenir, un lien se trouve établi de toute façon, par le système du Québécium, entre la matière inerte et la matière vivante.
Les penseurs grecs ont découvert les 5 solides de Platon, seules formes géométriques totalement régulières limitées par des polygones : tétraèdre, hexaèdre ou cube, octaèdre, dodécaèdre, icosaèdre. Ils s'évertuaient à leur trouver une correspondance dans les principes du monde physique. Leurs mânes peuvent se réjouir : la plus simple de ces formes, celle du tétraèdre, se trouve désormais associée à la compréhension de la matière qui nous entoure, grâce au système du Québécium, et pas seulement la matière inanimée, mais l'animée aussi, ce qui dépasse évidemment les ambitions qu'ils entretenaient.
Le système du Québécium renferme une mathématique, celle du tétraèdre, qui a 2 modes d'application : un mode fait comprendre les forces de la matière inerte, l'autre mode, les forces de la matière vivante. Et voilà un pas de plus pour résoudre l'énigme de la vie et de l'existence.
Ces conclusions n'ont-elles pas de quoi susciter l'enthousiasme ou à tout le moins l'attention de toute personne raisonnable et spécialement de tout citoyen du Québec?
Pourquoi Québécium ?
Pour que la grille de 120 ases soit garnie jusqu'au bout, il faut que la case 118 soit occupée. Elle représente un gaz rare, homologue du radon 88 et du xénon 56. Cet élément était hypothétique. Il est le plus complexe de tous, et sa simplification engendre tous les autres éléments. Vu son importance dans le système nouveau, j'ai décidé de lui donner un nom et de nommer le système d'après ce nom.
J'ai suivi l'exemple des découvreurs d'éléments nouveaux et les usages recommandés pour la désignation d'éléments nouveaux. Ainsi, Mlle Pérey en 1936 a nommé francium l'élément 87 qu'elle a fait apparaître ; la désinence -ium doit terminer le nom choisi. J'ai songé naturellement à glorifier par les moyens à ma disposition le nom du Québec ma patrie. Et c'est ainsi que le Québécium est venu au monde. Je ne l'ai pas découvert, j'ai signalé son importance et j'ai développé un système où il joue un rôle prépondérant.
"Québécium" est un néologisme, il s'ajoute au vocabulaire de la langue française, à la suite de "québécisme" et "québécitude". Sa 1re lettre peut être une majuscule pour lui donner la vedette.
D'autres auteurs désignent le même élément par son numéro 118 ou par le nom Uunuoctium. Espérons que le nom Québécium sera reconnu par la communauté scientifique internationale.
Je donne le nom de "système du Québécium" au système que j'ai développé, comprenant les tableaux décrits ci-dessus pour les éléments et les molécules biologiques. Je ne veux pas que le système et les tableaux nouveaux que je présente soient désignés par mon nom. Le nom de Mendeleev sert fort justement à reconnaître le tableau qu'il a créé. Mais je ne veux pas que l'on parle du tableau de Demers, et le seul nom qui se présente alors est tableau du Québécium.
Je propose ainsi la nomenclature que voici :
système du Québécium pour l'ensemble des connaissances présentées;
tableau du Québécium 118 éléments ;
tableau du Québécium 84 biomolécules.
Je propose encore que l'on appelle tableau, pour des raisons historiques, aussi bien la disposition de cases carrées à 2 dimensions que celle de boules à 3 dimensions. Il y a donc :
tableau du Québécium 118 éléments à 2 dimensions (4 grilles carrées)
tableau du Québécium 118 éléments à 3 dimensions (un tétraèdre de boules)
tableau du Québécium 84 biomolécules à 2 dimensions (4 grilles carrées)
tableau du Québécium 84 biomolécules à 3 dimensions (un tétraèdre de boules).
Expositions.
Je m'efforce de persuader la ministre des Relations internationales Louise Beaudoin de réaliser une exposition Québécium à Paris à l'occasion du 75e anniversaire de la fondation de la Maison des étudiants du Canada en octobre 2001. J'ai vécu dans cette maison à plusieurs reprises à compter de 1940. Aucune réponse.
Il y a 3 ans, alors que s'annonçait le Printemps du Québec à Paris, j'ai tenté une démarche analogue, vantant le caractère virtuel du système, alors qu'un motif du Printemps était la virtualité. Sans succès. Certains fonctionnaires à Paris et à Québec m'ont fait des remarques désobligeantes. Mais l'éducation est une longue patience.!
"Québécium" est une marque d'exportation par excellence. Je suis à l'origine de cette marque.
Publications.
Livre. Je me propose d'éditer moi-même bientôt une 2e édition du livre
"Le système du Québécium"
1re édition en 1997. Cette fois, en multimédia, le texte imprimé de quelques pages étant accompagné d'une disquette DC contenant un texte élaboré du système en langage html.
Marchandises.
Publications. Voir ci-dessus et la bibliographie.
Tableaux. J'essaie de vendre des tableaux 2D sur papier. À l'occasion de mon séminaire à l'UQAM, j'en ai vendu 9 à un prix de lancement, recette brute 18$.
Je cherche à m'entendre avec des fournisseurs pour la diffusion des divers articles sur papier et autres. Sur ma liste :
Guérin éditeur,
Brault et Bouthillier objets pédagogiques,
les magasins des universités; les achats de ces magasins dépendent des recommandations des professeurs.
Objets. J'ai réalisé de nombreux objets 3D découlant du système du Québécium, principalement liés au tétraèdre et au rhombododécaèdre. Ils utilisent le bois, le plâtre, des cordonnets élastiques et des matières plastiques massives ou sous forme de feuilles et de tubes.
Je cherche à mettre au point certains de ces objets dans l'espoir de les mettre en vente, les uns d'intérêt proprement scientifique et pédagogique, les autres d'intérêt artistique.
Documents sur le Web. J'ai présentement sur le Web un long texte public hébergé par le site de l'UQAM. Au point de vue commerce, il a une valeur publicitaire qui peut conduire à
des invitations à donner des conférences rétribuées ;
des achats de livres et de divers objets ;
la fréquentation de l'École du Québécium.
École du Québécium.
../PourÉcoleQb/QbEcoleRenc.htmlJe me propose d'offrir des cours de formation intensive rétribués, par exemple 100 $ pour 15 heures, dans les mois qui viennent. L'École du Québécium 2000-2001, gratuite et promotionnelle, a connu une dizaine de leçons. Elle m'a permis d'apprécier ce qui est possible dans un tel mode d'enseignement.
3o Écologie et ses aspects juridiques, une étude engagée.
PierreDemersJuridique
Exposition et dossier.
Je réunis une dcumentation photographique et autre en vue d'une démarche et d'une exposition au titre
Justice et écologie à Saint-Laurent.
J'ai relevé autour de chez moi des dizaines de cas flagrants de violation impunies des réglements, des mêmes réglements qu'on a invoqués pour me condamner depuis 1991.
Les réglements qu'on a invoqués pour me condamner sont de caractère écologique et ont comme thèmes de référence gazon, végétation sauvage, nuisance, zonage, aménagement paysager, mauvais entretien.
Je compte ainsi démontrer que les réglements de caractère écologique et autres, de la Ville ne sont appliqués que très rarement et qu'ils font l'objet de tolérances innombrables, notoirement envers des personnes morales puissantes telles Aviation Bombardier. La Ville n'applique ses réglements que si elle veut s'attaquer à une personne. Ainsi s'cxplique la véritable persécution qu'elle m'a livrée depuis 1991. En exergue de cette exposition :
'Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir".
Et il apparaît que la puissance est liée à une appartenance partisane. Je suis le seul sur ma rue à faire flotter le fleurdelisé.
Comme la loi est la même pour tous, cela me justifie de réclamer une indemnité pour gestion partiale voulue par le conseil et le comité exécutif de Saint-Laurent, qui se sont servi de leurs inspections, de leurs réglements parfois fabriqués exprès et leur cour municipale à mon détriment.
Le départ d'un voisin qui se plaignait sans arrêt de moi et la mort d'un autre qui témoignait contre moi me permet d'espérer que la Ville cessera ses attaques injustifiées désormais.
Lois et réglements à abroger
Certaines lois contraires à l'écologie en milieu urbain devraient disparaître. Elles servent principalement à permettre des poursuites injustifiées et arbitraires par les villes contre des citoyens innocents que le conseil n'aime pas. Je compte faire valoir mes arguments à ce propos devant la commission de transition de Mme Lefebvre qui prépare l'avenir du futur Montréal, lequel englobera le Saint-Laurent actuel.
Il serait bien contraire à l'égalité de tous devant la loi, que les agriculteurs échappent encore aux lois et réglements des villes. Ainsi, placés côte à côte, un citoyen peut faire du compost impunément et le citoyen son voisin est mis à l'amende. Le compostage devrait être libre pour tous.
Égopode couvre-sol idéal.
J'ai enfin réussi à démontrer par une expérience qui a duré une vingtaine d'années les aptitudes d'une plante appelée Herbe aux goutteux, Ègopode, Aegopodium Podagraria, à rendre service comme comme couvre-sol. Il occupe le terrain avec une grande vitalité et détruit les autres herbes. Le constituant habituel du gazon est le Paturin des prés, Poa pratensis. L'Égopode et le Paturin sont classés en certains lieux comme mauvaises herbes, mais pas à Saint-Laurent.
Je songe à offrir en vente des plants d'Égopode, par exemple lors d'une vente trottoir. 5 $ le pot.
4o Arts plastiques.
Je pourrais réaliser et vendre des objets 2D et 3D inspirés
les uns par mes installations couleurs bouteilles;
les autres par le système du Québécium. Soit dans le genre bibelot, soit dans le genre de Québécium monumental pour un lieu public. Peut-être dans une vente de trottoir.
Certains de ces objets devraient se vendre plusieurs centaines de dollars.
Voyez ma bibliographie.
Bibliographie
Je réfère le lecteur à ma bibliographie, qui peut éclairer certains points effleurés ci-dessus. Elle est un document public sur le Web. Elle est divisée en huit décades, la première commençant en 1930, la dernière, en 2000.
http://www.lisulf.quebec/PierreDemersBibl.html
Conclusion sur une citation ministérielle.
"La recherche étant considérée comme la base du développement, tous les types de recherche seront encouragés et soutenus, autant la recherche fondamentale que la recherche appliquée, libre ou orientée"
MRST, Savoir changer le monde. Janvier 2001
http://www.mrst.gouv.qc.ca/_fr/politique/P_pdf/MRST_SavoirChanger.pdf
Extrait tiré de Québec Info, p.15, 7, 2, printemps-été 2001, La science et l'innovation
Je suis confiant que le fisc québécois est du même avis. Je soumets que le prospectus que voilà permet d'anticiper des résultats satisfaisants pour mon activité, et justifie une espérance de rentabilité dans quelques années.
À tous ceux qui m'ont lu jusqu'ici, salut. Pierre Demers, 12 juin 2001.
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