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Science et Francophonie
Aot 2016 bis No 052
Paraissant le 31 aot 2016 bis
Version du 24 VIII 2016
Rdacteur en chef Pierre Demers. Science et Francophonie parat en ligne.
Dpt lgal volontaire la BaNQ.
Parat sous lÕautorit de la LISULF. Ligue Internationale des Scientifiques pour lÕUsage de la
Langue Franaise.
Gnrique, cotisation. Voyez SF051
LIGUE INTERNATIONALE DES
SCIENTIFIQUES POUR L'USAGE DE LA LANGUE FRANCAISE Enregistre
1981-01-01 MONTREAL QC
INSN.0825.9879. ditions Pierre Demers. PPD
Science et Francophonie. Contenu du
No 052, AOóT 2016 BIS, paraissant le 31 aot 2016
*Sur la dette de
lÕOntario envers le Qubec.
Louis Gill.
Admis par lÕARC comme
Organisme de bienfaisance enregistr OBE.
**IEDM LÕInstitut
conomique de Montral.
Lorraine Dub et Marie Pelchat.
.
GREENPEACE CANADA
CHARITABLE FOUNDATION
OBE et activits
politiques.
***Socit
franco-manitoba.
Pierre Demers.
.
OBE et activits
politiques.
****Saskatchewan
franais.
Pierre Demers.
.
Une OBE avec des activits politiques.
*****Alberta franais.
Pierre Demers
Vedette.
Est-elle une OBE et
a-t-elle une activit politique?
*****
*Colombie-Britannique franaise.
Pierre Demers.
OBE et activits
politiques?.
OBE juge trop
politique, rvocation en 2016.
***** **La LISULF.
Pierre Demers
Un appui au compartimentage en faveur du franais.
Ė lÕUniversit Laval.
***** ***Sur le bilinguisme franais-anglais au Canada.
J. Leclerc.
***** ****De la part du
Juge en chef de la Cour suprme du Canada en 2004.
Le juge John D.
Richard.
Votre cotisation 2016.
***** *****Grande
campagne de cotisations.
LISULF.
bis CONVOCATION 31VIII2016 14h. Merci confirmer votre prsence 514
747 2308
pierre.demers@lisulf.quebec,
***** ***** *bis Assemble gnrale de la LISULF du 31 aot 2016
14h.
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. .
Fig. 1. Louis Gill en compagnie de Pierre Demers
12VIII2016 PaD
Commentaires
sur lÕarticle de Pierre Demers intitul Ē Cette dette, un aperu
chronologique sur 149 ans Č, paru en juin 2016 dans le numro 050 de Science et francophonie (pages 12-19).
Louis Gill
conomiste, professeur retrait de lÕUQAM
le 22 aot 2016
Dans le numro 050 de Science et francophonie (p. 15), Pierre Demers tablit quelque 264 000 milliards de dollars le montant atteint en 2016 par une dette de lÕOntario envers le Qubec rsultant de lÕUnion en 1841 du Haut et du Bas-Canada, qui aurait alors t de 6,1 millions de dollars.
Le montant prcis tabli par Pierre Demers est 263 696 466,3 millions de dollars, cÕest--dire, en arrondissant, 264 millions de millions de dollars, ou 264 billions de dollars, soit 264 suivi de douze zros, ou encore 264 000 suivi de neuf zros, cÕest--dire 264 000 milliards.
JÕutilise cette dernire dnomination, en milliards de dollars, parce que le milliard est lÕunit gnralement utilise dans les finances publiques pour valuer notamment la dette et le Produit intrieur brut (PIB) dÕun pays.
Pour prendre la mesure de ce montant, il est utile de mentionner quÕil reprsente environ trois fois le Produit mondial brut, de quelque 80 000 milliards de dollars des tats-Unis en 2014, cÕest--dire trois fois la somme des Produits intrieurs bruts (production de tous les biens et services) de tous les pays du monde pour lÕanne 2014. Pour lÕOntario qui aurait rembourser une telle dette, ce montant reprsente 365 fois son PIB de lÕanne 2015 (710 fois celui du Qubec) !
La raction normale devant un tel gigantisme des chiffres est de sÕinterroger sur la mthode de calcul qui y a men. La faon dÕtablir, en date dÕaujourdÕhui, le montant dÕune dette qui tait value 6,1 millions de dollars en 1841, il y a 175 ans, dont aucune portion nÕa t rembourse et dont les intrts annuels, nÕayant pas t pays, sÕy sont ajouts au fil des annes, est simple. Le seul facteur qui intervient, est celui de lÕintrt compos, dpendant du temps et du taux dÕintrt.
En retenant le taux de 5 %, qui a t inscrit lÕarticle 112 de lÕActe de lÕAmrique du Nord britannique (British North America Act) de 1867 pour le paiement des dettes du Qubec et de lÕOntario envers le gouvernement du Canada, ce facteur est de 1,05 lev la puissance 175, cÕest--dire 5107. En multipliant la dette de 6,1 millions de 1841 par ce facteur de 5107, nous obtenons sa valeur cumule en 2016, soit 31,2 milliards. CÕest le montant qui apparat au bas du Tableau 1 du texte de Pierre Demers (page 12 de SF050).
Si on reconnat que lÕOntario devait effectivement un montant de 6,1 millions de dollars au Qubec en 1841, ce sur quoi il faudra revenir plus loin, voil o doit sÕarrter le calcul. Pierre Demers introduit quant lui des calculs dont lÕobjectif est de tenir compte dÕun facteur Ē inflation Č et dont la mthode a pour effet de gonfler la dette aux niveaux astronomiques dj mentionns.
On sait que lÕinflation est favorable aux emprunteurs parce quÕelle rduit le poids relatif des dettes et le cot rel de leur remboursement, et quÕelle est en consquence dfavorable aux cranciers. Si nous rclamions lÕintroduction dÕun facteur de correction la hausse de la dette de lÕOntario envers le Qubec pour compenser lÕeffet de lÕinflation subi par le crancier qubcois, en dÕautres termes si nous rclamions une forme dÕindexation de cette dette au cot de la vie, nous serions sans doute une exception mondiale. Mais cette logique, si elle devait sÕappliquer de manire gnrale, se retournerait contre le Qubec en tant quÕemprunteur sur les marchs financiers o il serait normal de penser que ses cranciers seraient eux aussi en droit de rclamer, en toute cohrence, lÕindexation au cot de la vie de lÕensemble de leurs prts, ce qui augmenterait considrablement le fardeau de la dette du Qubec. On ne peut tre partisan dÕune logique lorsquÕelle nous est favorable et sÕy opposer lorsquÕelle ne lÕest pas.
Dans
les lignes qui prcdent, j'ai pris pour
acquise lÕexistence dÕune dette de l'Ontario envers le Qubec value 6,1
millions de dollars en date de 1841, dÕo procdent les calculs de Pierre
Demers dans son texte de SF050. Aprs relecture de lÕarticle de dcembre 2000
de lÕhistorien Pierre Corbeil, intitul Ē La dette fdrale dans une
perspective historique Č[1], sur
lequel Pierre Demers sÕappuie et quÕil dsigne comme un Ē admirable
travail de pionnier Č, jÕen arrive
la conclusion que cette valuation est incorrecte.
Ė la
page 2 de cet article, Pierre Corbeil cite lÕarticle 112 de lÕActe de
lÕAmrique du Nord britannique de 1867, en vertu duquel lÕOntario et le Qubec
sont dsigns comme conjointement responsables du montant de la dette du Canada
dpassant 62,5 millions de dollars, et du paiement des intrts sur cette dette
un taux de 5 %, ainsi que lÕarticle 142 qui confie trois arbitres,
reprsentant le Canada, le Qubec et lÕOntario, le soin de partager la dette et
les actifs du Haut et du Bas-Canada.
Le
juge Charles Dewey Day qui reprsentait le Qubec a fait valoir le fait que,
pour procder ce partage, il fallait prendre en compte la situation qui
existait au moment de lÕUnion des deux provinces, en 1841. Corbeil rsume la
situation ainsi :
Le Haut-Canada, le 10 fvrier 1841, avait une dette de
5 925 779,54 $. Ė la mme date, le Bas-Canada possdait un
crdit de 189 306,41 $. En additionnant les deux chiffres, nous en
arrivons la conclusion suivante : le Haut-Canada a apport au
partenariat une contribution ngative de 6 115 085,95 $ (page 3
de lÕarticle).
En
somme, le montant de 6,1 millions de
1841 ne reprsentait pas une dette contracte par lÕOntario auprs du Qubec au
moment de lÕUnion, mais lÕcart entre leurs contributions respectives la dette de la nouvelle
entit politique quÕtait lÕUnion de 1841. La question de lÕincidence sur
le Qubec de ces positions financires initiales ingales des deux provinces
sÕest pose au moment de la dissolution de lÕUnion de 1841 et de la cration de
la Confdration de 1867. Le juge Day du Qubec lÕexprimait ainsi :
Lors de la dissolution dÕun partenariat, il faut soustraire la dette du
partenaire dficitaire avant de faire le partage [É] (page 3 de lÕarticle de
Corbeil)
Devant
le refus de ses collgues de tenir compte de cette question pralable, poursuit
Corbeil, lÕarbitre du Qubec nÕeut dÕautre choix que de remettre sa dmission,
le 9 juillet 1870. Ayant rejet les prtentions du juge Day, les arbitres
reprsentant le Canada et lÕOntario, dcidrent seuls de simplement rpartir
entre lÕOntario et le Qubec, en proportion de leurs populations respectives
(52,7 % pour lÕOntario et 47,3 % pour le Qubec), le montant de la
dette dpassant les 62,5 millions de dollars prvus lÕarticle 112 de lÕAANB.
Ce montant a t tabli 18,6 millions de dollars, sans soustraction pralable
de la dette du Ē partenaire dficitaire Č au moment de la formation
de lÕUnion en 1841, soit les 6,1 millions de dollars dj mentionns. Les 18,6
millions ont t rpartis comme suit : 9,8 millions pour lÕOntario et
8,8 pour le Qubec, respectivement 52,7 % et 47,3 % du montant.
Si les
6,1 millions de dollars de la dette de 1841 du Haut-Canada avaient t
entirement pris en charge par lui, devenu lÕOntario, et avaient t soustraits
de la dette commune de 18,6 millions tablie en 1867 avant de procder
son partage, le montant partager aurait t de 12,5 millions au lieu de 18,6
millions. En proportion de sa population, lÕOntario en aurait assum 6,6
millions, en plus des 6,1 millions de sa dette de 1841 soustraits du partage.
Le Qubec en aurait assum 5,9 millions, au lieu des 8,8 dcids par les
arbitres de lÕOntario et du Canada, soit une diffrence de 2,9 millions.
On
vrifie facilement partir des calculs qui prcdent, que cette majoration de
2,9 millions de la fraction de la dette commune attribue au Qubec en 1867 est
la part qui lui a t impute en proportion du poids de sa population
(47,3 %), dcoulant de la non-prise en compte, avant le partage de la
dette commune, du solde non pay par lÕOntario de sa dette de 6,1 millions de
1841 (47,3 % de 6,1 millions = 2,9 millions).
De par
la Ē Constitution Č de 1867, la Ē contribution ngative Č
de 6,1 millions apporte par le Haut-Canada lÕUnion de 1841 sÕest trouve
conjointement absorbe par lÕOntario et le Qubec en proportion de leurs
populations respectives (3,2 et 2,9 millions de dollars). Seul responsable de cette Ē contribution ngative Č,
lÕOntario sÕest trouv soulag de 47,3 % de ce fardeau, ou 2,9 millions de
dollars, qui ont t imputs au Qubec.
JÕen conclus que cÕest ce montant de 2,9
millions qui constitue la dette de lÕOntario envers le Qubec en date de 1867. Par
lÕeffet de lÕintrt compos un taux de 5 % sur une priode de 149 ans
(entre 1867 et 2016), cette dette sÕlverait aujourdÕhui 4,2 milliards.
Si on supposait, comme le fait Pierre Demers, que la dette de lÕOntario envers le Qubec a pris naissance en 1841 plutt quÕen 1867[2], et que la Ē contribution ngative Č de 6,1 millions de dollars apporte par le Haut-Canada lÕUnion de 1841 sÕest rpartie, de 1841 1867, entre les deux composantes de lÕUnion dans les mmes proportions quÕ partir de 1867, cÕest--dire en fonction du poids relatif des populations des deux provinces en 1867 (47,3 % - 52,7 %)[3], pour sÕtablir 2,9 millions pour le Bas-Canada et 3,2 millions pour le Haut-Canada, la dette cumule de lÕOntario envers le Qubec sur la priode de 175 ans qui court de 1841 2016, sÕlverait, dans lÕhypothse dÕun taux dÕintrt de 5 %, 2,9 millions multiplis par 1,05 lev la puissance 175, soit 2,9 multipli par 5107, ou 14,8 milliards.
Le montant de 14,8 milliards qui serait ainsi d au Qubec par lÕOntario serait de lÕordre de 2 % du PIB de 2015 de lÕOntario, et de 4 % de celui du Qubec. La dette brute du Qubec, qui tait de 204 milliards en 2015 et reprsentait 55 % de son PIB, serait diminue de 14,8 milliards et son rapport au PIB chuterait 51 %. Ė lÕinverse, la dette brute de lÕOntario, qui tait de 332 milliards en 2015 et reprsentait 46 % de son PIB, serait augmente de 14,8 milliards et son rapport au PIB passerait 48 %. LÕcart entre les rapports de la dette au PIB du Qubec et de lÕOntario qui est actuellement de 9 points de pourcentage (55 % - 46 %) serait rduit 3 points de pourcentage (51 % - 48 %), le Qubec demeurant lgrement en tte sur ce plan.
*****
Nul doute que mes propos exprims dans ce texte ont pu provoquer de lÕtonnement, voire de lÕincrdulit ou de la dception, en particulier chez ceux et celles qui avaient lu les contributions de Pierre Demers et adhr ses rsultats et conclusions. Je souhaite pour ma part avoir suscit de lÕintrt pour la question et une disposition favorable la poursuite de la rflexion. Je remercie Pierre Demers dÕavoir sollicit mon avis et de mÕavoir ainsi permis de me pencher sur cet pisode que je connaissais peu de lÕhistoire de notre dette publique.
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Rfrences. LÕInstitut conomique de Montral.
Bonjour
En faisant des recherches dans mes archives volumineuses,
j'ai retrouv cette information. Nous souhaitons remdier l'inconvnient que
LISULF du physicien centenaire Pierre Demers n'est plus considre OBE
Organisme de bienfaisance enregistr depuis mai dernier.
Merci de votre attention.
Lorraine
De : Lorraine Dub <lorraine.dube@hotmail.com>
Envoy : 16 aot 2016 08:18
Ė : Pierre Demers
Objet : IMPORTANT MR DEMERS Rappel: LÕInstitut
conomique de Montral. Un organisme charitable? au
service de Power corporation. De l'autre ct, on vous retire LISULF des OBE,
comme ils l'ont fait avec Greenpeace et d'autres qu'ils jugent trop politiques!
"...En fait, malgr ce quÕa dit
lÕIEDM lÕAgence des douanes et du Revenu, ces interventions publiques et
ces dossiers avaient tous comme objectif de tenter dÕinfluencer lÕopinion
publique ou dÕobtenir des modifications des lois ou des politiques.
LÕInstitut conomique de Montral prsente pourtant son travail comme Ē une
contribution lÕducation conomique des Qubcois... Č
Monsieur Demers
Ė voir svp -
Amiti
Lorraine Dub
LÕInstitut conomique de
Montral.
Marie Pelchat
Depuis sa cration en 1999, lÕInstitut conomique de
Montral (IEDM) bnficie dÕun numro dÕorganisme de charit mis par Revenu
Canada (876185877RR0001). Cet enregistrement lui permet de recevoir des dons
qui permettront par la suite aux donateurs dÕobtenir dÕimportants dgrvements
dÕimpts.
Au cours de lÕanne 2006, ce numro a permis lÕIEDM
dÕaller chercher 1 271 979 $ en dons dÕindividus, dÕentreprises et de
fondations — soit six fois plus quÕen 1999. Mme si la liste complte des
donateurs est impossible consulter tant sur le site de lÕIEDM que sur celui
de Revenu Canada, nous pouvons tout de mme savoir qui sont les principaux
donateurs puisque ceux-ci occupent les postes dÕadministrateurs de lÕInstitut.
Parmi les plus connus, signalons la prsence de Mme Hlne Desmarais (de la
famille de Power Corporation), Lon Courville, de la Banque Nationale du
Canada, Marcel Dutil, de Canam,
Donald D. Johnston, ancien prsident du Conseil du Trsor, Bernard Lord,
ex-premier ministre du Nouveau-Brunswick, ainsi que Jeremy Reitman
de Reitmans Canada.
LÕobligation de
ne pas tenter dÕinfluencer lÕopinion publique.
Les organismes qui dtiennent de tels numros sÕengagent
ne pas Ē tenter dÕinfluencer lÕopinion publique ou dÕobtenir la modification
dÕune loi ou dÕune politique en recourant lÕun des moyens suivants : annonces
dans les mdias, congrs, allocutions, confrences, publications ou
dclarations dans la presse, rencontres avec des reprsentants lus ou exposs
et mmoires des reprsentants lus ou nomms Č.
Une fausse
dclaration.
Paradoxalement, dans son dernier rapport annuel (2006),
lÕIEDM dclare avoir publi plus de 130 textes dÕopinion. Ē Notre conomiste,
Nathalie Elgrably, continue de tenir sa chronique
dans le Journal de Montral et le Journal de Qubec Č, dclare sans gne
lÕInstitut. LÕIEDM, explique-t-on, Ē a aussi une prsence rgulire dans des
quotidiens tels le National Post Č. Le think tank de
droite admet de mme, trs ouvertement, avoir prsent des mmoires aux lus.
Le 17 mai 2006, la Commission des affaires sociales, lÕInstitut dposait un
mmoire intitul : Ē Pour une relle ouverture de lÕassurance-maladie prive au
Qubec Č et le 15 juin, devant le Comit snatorial permanent des banques et du
commerce Ottawa, un mmoire portant sur Ē Les obstacles au commerce
interprovincial Č. De son ct, lÕancien directeur de lÕInstitut a dj affirm
au journal The Gazette que des rencontres entre lÕIEDM, lÕADQ ou le PLQ avaient
lieu sur une base rgulire. DÕailleurs, le programme de lÕADQ est presque en
tous points conforme aux propositions mises de lÕavant par lÕIEDM depuis sa
fondation.
Les thmes de
prdilection de lÕIEDM.
Les thmes ayant retenu lÕattention de lÕIEDM en 2006
sont trs varis : les Ē monopoles dÕtat et syndicaux Č, le systme de sant
et celui de lÕducation, la flexibilit du march du travail, la dette, la
gestion de lÕassurance automobile, la fiscalit, le Ē fardeau fiscal Č, les
effets pervers du contrle des prix, le rseau des garderies, la
drglementation de lÕindustrie arienne, la gestion de lÕoffre laitire, les
accords interprovinciaux, etc. Comme on peut le constater, toutes ces
thmatiques concernent directement les grandes politiques publiques du Qubec
et du Canada.
En fait, malgr ce quÕa dit lÕIEDM lÕAgence des douanes
et du Revenu, ces interventions publiques et ces dossiers avaient tous comme
objectif de tenter dÕinfluencer lÕopinion publique ou dÕobtenir des
modifications des lois ou des politiques. LÕInstitut conomique de Montral
prsente pourtant son travail comme Ē une contribution lÕducation conomique
des Qubcois Č.
La complaisance de Revenu Canada.
Deux questions se posent immanquablement. La premire :
comment se fait-il que Revenu Canada nÕait jamais pris la peine de consulter le
site Internet de lÕInstitut ou plus simplement encore de lire les journaux afin
de contre-vrifier les affirmations contenues dans sa Ē Dclaration de
renseignements annuelle Č. La deuxime : si des actions politiques sont
permises pour les organismes dits charitables, comment se fait-il que
Greenpeace, par exemple, se soit vu retirer son numro cause de ses actions,
que le gouvernement fdral jugeait trop politiques.
DÕailleurs, faut-il le rappeler, bon nombre de groupes
communautaires du Qubec nÕont jamais eu accs un tel numro ou lÕont perdu
pour les mmes raisons que Greenpeace a perdu le sien.
Tout cela peut nous laisser dÕautant plus perplexes quÕen
octobre 2003, la Coalition Solidarit Sant publiait un dossier complet sur
cette question [1]. Ce dossier avait t post Ottawa, mais il est demeur
lettre morte et aucun parti politique fdral nÕa jug bon de le porter.
Les seuls
gagnants
Une chose est en tout cas certaine : ceux qui financent
les caisses de lÕInstitut conomique de Montral ne sont pas dsintresss. Ils
seront les vritables gagnants de la dconstruction de nos outils collectifs.
Il nÕy a donc aucun dsintrt – de ce dsintrt qui est la base mme
de la notion de charit – dans leurs actions. Pire encore : ce suppos
paradis conomique quÕils nous proposent de construire sera rig sur un
cimetire social. Est-ce l la nouvelle dfinition de la charit ?
ARTICLE CRIT PAR
Marie Pelchat
P.-S.
Marie Pelchat
Rfrences.
Rf. 1. www.solidaritesante.qc.ca introuvable. Qui est Marie Pelchat ?
http://www.cssante.com/node/538
Rf. 2. http://www.cra-arc.gc.ca/ebci/haip/srch/basicsearchresult-fra.action?k=greenpeace&s=revokedAudited&p=1&b=trueGREENPEACE
CANADA CHARITABLE FOUNDATION Rvoqu
ON TORONTO 1998-10-03
Numro
d'enregistrement/d'entreprise :
124207341RR0001
Statut de l'organisme de bienfaisance :
Date d'entre en vigueur du statut :
1998-10-03
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. .
Fig. 1. Le Parlement Winnipeg. De qui la statue, Victoria ou lisabeth?
. .
Fig. 2. Le sige social de la Socit Franco-manitobaine, rue Provencher Winnipeg.
Valeureux militants pour le franais
OBE depuis 1967.
Les
dernires annes, avait 19 employs temps plein ou partiel , qui faisaient du
lobbying entre autres et semble-t-il des travaux de conseil et de rdaction au
sein des ministres du gouvernement provincial. Ils ont russi, aprs tout ce
temps faire changer la lgislation par des votes unanimes du Parlement
manitobain en 2016 malgr ou cause plutt de la situation minoritaire du
franais, laquelle ne risque gure de devenir majoritaire dans un avenir
prochain !
De
la sorte, par un principe fort discutable et ridicule de rciprocit, lÕanglais
en situation minoritaire locale au Qubec fait lÕobjet de la sollicitude du
Commissaire aux langues FraserÉ
Subventions
de plus dÕun million de $ du Gouvernement fdral par son ministre du
Patrimoine canadien, le mme qui subventionne des muses et des ftes
commmoratives, des anniversaires tels ceux de la Confdration, de la bataille
de Vimy, de John A. Macdonald, de George-tienne Cartier etc.
Je nÕai pas
t capable de me documenter aussi pleinement sur les OBE comparables, et il en
est, dans les 3 autres provinces de lÕOuest soit Saskatchewan, Alberta et
Colombie-Britannique. Dans mon
esprit, ces 4 provinces trs canadiennes sont marques par un btiment pour leur
Assemble nationale, une gare ferrovaire et une
socit de franais bilingue minoritaire maintenue par Patrimoine canadien.
. .
Fig. 3. Gare de Winnipeg.
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. .
Fig. 1. Le Parlement Rgina., capitale de la Saskatchewan.
. .
Fig. 2. La gare de Rgina 1915.
. .
.
Fig. 3 La gare de Saskatoon
en Saskatchewan. Trois trains par semaine dans chaque sens.
Rfrences.
Afin de se doter d'une
voix collective et d'tre reprsents auprs du gouvernement de la Saskatchewan
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..
Fig. 1. Le Parlement Edmonton vers 1923. Merci Muse McCord.
Rfrences.
Rf. 1 .
https://education.alberta.ca/%c3%a9ducation-en-fran%c3%a7ais-en-alberta
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Fig. 1. Le Parlement Victoria.
Le grand rve canadien de 1867, il est l! Grce entre autres au chemin de fer du Pacifique.
Le non-paiement au Qubec de la dette de lÕOntario, non encore paye en 2016, aura contribu le matrialiser.
Au fait, combien vaut-elle de nos jours?...
Et voici en cherchant les gares terminus de cette prcieuse voie ferre chaque extrmit.
. .
Fig. 2. Terminus de la voie ferre transpacifique Vancouver.
. .
Fig. 3. Terminus de la voie ferre transpacifique Halifax en 2008.
. .
Fig.4, Via Rail Halifax Vancouver,
Renseignements introuvables.
Rfrences.
Rf. 1. https://www.ffcb.ca
Nous
tenons remercier nos bailleurs de fondsFOOTER GOOD2Copyright
© 2016 - Fdration des francophones de la Colombie-Britannique
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Le Canada pourrait jouer un rle heureux envers une minorit universelle.
Sur cette rvocation, voyez les numros passs et ceux venir de Science et Francophonie. LÕARC ne rpond pas nos questions. Elle nous a cach les activits politiques quÕelle admet et favorise au Manitoba et au Qubec mme, dans des OBE.
Les objectifs affichs par la LISULF sont promouvoir lÕusage du franais surtout en science et lÕaccs du Qubec lÕindpendance.
Primo. La LISULF projette sa rflexion et ses actions la Francophonie toute entire et sa sympathie envers toutes les langues du monde, hormis lÕanglais crasant, surtout en science. I majuscule pour international.
Secundo. Le Canada a cr un compartimentage exprs pour justifier de considrer la minorit anglophone du Qubec comme digne dÕun secours linguistico-politique particulier, mme si cette minorit fait partie dÕune majorit immense ambiante au Canada et aux tats-Unis
Tertio. Alors, pourquoi ne cre-t-il pas un compartimentage selon lÕactivit de dcouverte scientifique. Car cÕest un fait universel, si un auteur ne publie pas en anglais, il est vou lÕobscurit. Le Canada a appuy ce compartimentage depuis des dizaines dÕannes, il serait sa louange quÕil le dclare dsormais rvolu et quÕil dclare plutt que lÕusage du franais en sciences au Canada mrite un appui particulier. La population touche se rpartit en de nombreux lots tels des universits, des laboratoires, des siges sociaux tel celui de la LISULF et des domiciles individuels.
Quarto. Et partout aussi, en dehors du Canada, en France et ailleurs. CÕest la mission que la LISULF sÕest donne. Au Canada de la favoriser.
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Intressantes lÕUniversit Laval.
Rfrences.
Rf. 1. Rf. 2030. www.axl.cefan.ulaval.ca/monde/adresse_url_JLeclerc.htm
JLeclerc@branchez.net,
Rf. 2. Rf. 2029. http://www.axl.cefan.ulaval.ca/amnord/cnd-bilinguisme-cout.htm
Le cot du bilinguisme au Canada d'aprs l'institut Fraser (2012)
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Surprenant.
Le Qubec serait dans le Canada 1982.
Une bavure partisane de la part du magistrat suprme!
Quant une telle association, le Qubec a une Assemble Nationale et elle a parl. Elle a dit NON.
Vedette.
Ē L'article 2 protge les liberts fondamentales : la libert de conscience et de religion; la libert de pense, de croyance, d'opinion et d'expression; la libert de runion pacifique; la libert d'association. Le Canada, qui runissait quatre provinces l'origine, est maintenant compos de dix provinces et de trois territoires. Č
dix provinces? Ou 9? PuisquÕil y a libert dÕassociation. ?
Le respectable juge Richard a–tÕil parl tort et travers? LÕAN du Qc a parl.
Le fdralisme canadien. Discours du juge en chef John D. Richard. Au sminaire international l'intention des avocats des tats-Unis les 12 et 13 novembre 2004.
Le fdralisme canadien
Discours du juge en chef John
D. Richard
Au sminaire international l'intention des
avocats
des tats-unis les 12
et 13 novembre 2004
Ē J'aimerais donner aujourd'hui un aperu du fdralisme canadien en traitant des circonstances historiques qui y ont donn naissance, de l'volution de la constitution sur laquelle il repose et de la faon dont il a pu faonner et protger certains aspects fondamentaux de la socit canadienne moderne, savoir le bilinguisme, le bijuridisme, le multiculturalisme et le respect des droits de la personne. Il convient cependant, avant de me tourner vers le pass, que je dise quelques mots du Canada d'aujourd'hui.
Le Canada, qui runissait quatre provinces l'origine, est maintenant compos de dix provinces et de trois territoires. Le pays est devenu une fdration en 1867, ce qui en fait la troisime fdration la plus vieille du monde moderne, aprs les tats-Unis et la Suisse. Ē
Rfrences.
Rf. 1. cas-cdc-www02.cas-satj.gc.ca/portal/page/portal/fca-caf_fra/speeches-discours_fra/speech-discours-12nov2004_fra Le fdralisme canadien Discours du juge en chef John D. RichardAu sminaire international l'intention des avocatsdes tats-unis les 12 et 13 novembre 2004
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Tous ensemble en 2016.
Pour le franais en science.
Pour la libration nationale.
Nous avons des chances de russir.
Ci-dessus adresse du site est incorrecte. LÕadresse correcte est : http://lisulf.quebec/lisulf.htm,
Et
adresse courriel incorrecte. LÕadresse correccte est : pierre.demers@lisulf.quebec,
Imprimez et employez ce formulaire ou encore,
envoyez votre chque 25$ Can ou 25 Euros avec vos adresse,
No de tlphone et adresse courriel ordre LISULF 1200 Latour, St. Laurent Qc H4L
4S4 --- adresse courriel Pierre.Demers@lisulf.quebec,
Cotisation corporative 200$ Can ou 200 Euros
arrondissements, communes, municipalits, universits, coles, institutions,
membres corporatifs.
tudiant 10$ Can ou 10 Euros.
Don : illimit.
Sincre mais trop pauvre? Quand mme! 0$ Can ou
0 Euro.
„
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Tous invits. Une garden party. On pourra se cotiser sur place.
L'heure avance d't a commenc le Dimanche, 13 Mars 2016, 02:00 heure
lgale locale
L'heure avance d't termine le Dimanche, 06 Novembre 2016, 02:00 heure dÕt
locale
14h00 HAE Me 31VIII 2016 su
ige social PV de la runion du lundi 30 V
2016. Prsents. JRMS, AL, YSD, YM, PiD ; YCozic, HT excuss.
Le
11 aot 2016 13:48, Demers Pierre <pierre.demers@lisulf.quebec>
a crit :
Cher
Ren-Marcel, cher secrtaire,
1.
Le lundi 30V dernier, notre dernier Directoire.
Voulez-vous
mÕen envoyer le PV?
Ė
cette rencontre, Jol sÕtait annonc, comme il ne se prsentait pas, je lÕai appel
et il sÕest dit malade, je lui ai dit dÕaller lÕhpital, ...
Il
devait mourir son domicile le lendemain mardi 31V vers 7h HAE. Rf SF050 et
SF051.
Saluts,
merci dÕavance.
Votre
systme tlphonique ne permet pas de vous laisser un message. 514
813 6391
Sant.
Amical.
PiD LISULF 514 747 2308
2. Rapport financier 2015.
3. Rvocation ARC OBE ; la
SFManitoba OBE, ARC et Patrimoine canadien viss
4. Centenaire 102 ans PiD fter? Rf. comit SSJB
G. Chnard et Maxime Laporte. JBota 8XI est
un mardi, PiD 102 ans.
5. Px du Qc.
GHL PiD ?
Īuvre J ¬ D.
6. Px du Qc.
PEB MDay
serait 2017. Fter M. Day jubil rf. YCozic.
Fig, 1. iday.
7. 16h on passe au jardin.
17h30 leve, quand la suite ?
8. Docu de HT.
Le 8 aot
2016 14:24, Hlne Trudeau <trudeau.helene@videotron.ca> a crit :
Bonjour
Monsieur Demers
Je nÕai pas reu
votre courriel au sujet de SF051. Veuillez noter que lÕadresse helene_1@sympatico.ca
nÕest plus en service. Bell a refus de la transfrer mon nouveau domicile
Longueuil et jÕai annul tout ce que jÕavais de services chez Bell. Je crois
quÕil sÕest form des chasses gardes dans le domaine des tlcoms. Ė tout
hasard, je vous rpte mes coordonnes actuelles :
Hlne Trudeau
1235, chemin
Du Tremblay, app. 1307
Longueuil QC
J4N 1T7
450.640.3165
trudeau.helene@videotron.ca
Les nouvelles
sont inquitantes propos dÕYves Saint-Denis. Il semble entre bonnes mains
mdicalement parlant, mais nous devons constater que son tat se dgrade petit
petit. JÕai beaucoup dÕadmiration pour le courage et la dtermination quÕil
manifeste. Mmes remarques pour M. Sauv, qui semble avoir repris la plume
aprs son intervention en cardiologie. Sans compter que je suis en
chimiothrapie et que jÕignore sur quoi dbouchera ce traitement de six mois,
dont jÕai franchi le cap des trois mois la semaine dernire.
Cela fait un
directoire de la LISULF passablement affaibli. Je crois quÕil faudrait songer
passer la main. Ce cher Jol avait amorc le comit Pierre-Demers la SSJB. Ne
serait-il pas possible dÕy ajouter le nom et la vocation de la LISULF, ce qui
pourrait donner le comit Pierre-Demers – LISULF ? La SSJB dispose de
ressources solides et dÕun personnel plus jeune. Maxime Laporte est un
prsident dynamique et je connais galement éve Montpetit,
avocate, qui se charge de recueillir des fonds sous forme de donations
pour la cause du franais. éve tait prsente la fte de votre centenaire en
2014 ainsi quÕau lancement du film de Jol en novembre dernier.
Il y aurait
lieu de sonder le terrain afin de voir si la SSJB consentirait adopter les
fonctions de la LISULF en endossant sa succession dans la continuit. Vous
pourriez assumer pleinement votre rle de conscience scientifique francophone
et poursuivre la publication de Science et Francophonie. Je vous invite rflchir
cette possibilit.
Une telle
question pourrait tre porte lÕordre du jour dÕune prochaine runion du CA
ou assemble gnrale de la LISULF. Vous mÕinterrogiez il y a une dizaine de
jours au sujet de la date dÕune prochaine runion. Peut-tre voudriez-vous la
fixer entre la Fte du Travail (lundi 5 septembre) et lÕAction de Grce (lundi
10 octobre). Cela donnerait le temps de cueillir de lÕinformation sur les
aspects juridiques dÕun transfert de la LISULF la SSJB ou tout autre
organisme que vous auriez lÕesprit. Quant moi, je serai absente les 30
septembre et 1er et 2 octobre.
Des
dispositions sont prendre si vous ne souhaitez pas que la LISULF sÕteigne
avec votre disparition. Je mets vos fils en cc.
Bonne et fructueuse
rflexion.
HlneT
9. Offre dÕAlbert Salon.
Ė : Demers Pierre
Cc : Avenir langue franaise Sophie.chevreuse@wanadoo.fr
Alain RIPAUX Darlot Darlot,
Christian (Darlot, Christian)
Ė Pierre Demers (Qubec)/RE: Message LISULF 12VIII2016
SF051.
Ami
Je vous
propose un change : ALF adhre la LISULF et celle-ci adhre ALF.
Pas d'change d'argent, mais change de nos publications rgulires ; et
information interne de l'une sur les activits de l'autre.
Par
ailleurs, j'ai demand Christian Darlot, charg des
sciences chez nous, de vous recruter des adhrents parmi nos scientifiques
franais.
Portez-vous
bien ! Bon t !
Amicalement.
Albert Salon.
Bonne ide, je
lÕajoute comme un point lÕodj du 31VIII2016. CÕest
honneur pratique pour la LISULG. LÕALF devient un Membre corporatif permanent
de la LISULF.
LISULF
Procs
verbal de la runion du 30 Mai 2016
Prsents
Pierre Demers
Yves Saint-Denis
Andr Lpine
Yvan Morin
Ren Marcel Sauv, secrtaire
1.
Lecture du procs-verbal de la runion du 14
septembre 2015. Propos par Yves
Saint Denis et Andr Lpine que le pv soit adopt. Adopt.
2.
Domination de lÕAgence de Revenu du Canada.
Document rfrence.
3.
Explication de la dette de lÕOntario envers le
Qubec. Document rfrence.
4.
Nomination dÕYvan Morin, mathmaticien, sur le
Comit de la LISULF. Propos par Yves Saint Denis. Second par Pierre Demers. Adopt lÕunanimit.
5.
Adoption des items du document rfrence de
lÕAgence du Revenu du Canada.
6.
Discussion sur lÕAgence de Revenu du Canada.
7.
Propos par Yves Saint Denis et Andr
Lpine que la runion soit close.
adopt lÕunanimit.
La runion est
close 1500H.
REn Marcel Sauv, secrtaire
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[1] Voir le lien internet http://vigile.quebec/IMG/pdf/dette_canada_quebec.pdf
[2] Comme cette dette, pour Pierre Demers, est de 6,1 millions de dollars en 1841, elle atteint, sous lÕeffet dÕun intrt compos de 5 % pendant 26 ans (de 1841 1867), la valeur de 21,7 millions en 1867 (p. 12 de SF050). Pour lÕhistorien Pierre Corbeil, cette dette est de 6,1 millions en 1867. Il en calcule dÕabord la valeur en Ē dollars de 1995 Č, puis la valeur accumule la mme date en supposant un taux dÕintrt de 5 %, pour arriver un montant de 63 220 milliards. Vingt-et-un ans plus tard, en 2016, les intrts continuant sÕaccumuler, cette valeur serait de 176 130 milliards. Si elle avait commenc sÕaccumuler partir de 1841, soit 26 ans plus tt, elle serait de 626 260 milliards, un montant plus de deux fois plus lev que celui auquel parvient Pierre Demers. Cette diffrence est le rsultat des techniques diffrentes utilises par les deux auteurs pour corriger lÕeffet de lÕinflation.
[3] Cela est bien sr une approximation, les rapports entre les populations ayant chang entre 1841 et 1867.