Annexe à Mme Yvette Dabet DGM Montréal, complexe D. cp 4000 H5B 1A5

et qui de droit 705, ch du trait carré Laval H7N 1B3 3 mai 2001

Impôt Pierre Demers 1997, 1998, 1999 210 098 398, 1200, Latour SLaurent H4L 4S4, 514 7472308, c3410@er.uqam.ca, réf YD du 16 janvier 2001

Mon entreprise a pour but de poursuivre cette activité et d'en mettre en valeur les résultats. 4 thèmes principaux.

1o Socio-linguistique de la langue française en science, surtout par ma participation à la LISULF.

2o Biomathématique.

3o Écologie et ses aspects juridiques, une étude engagée.

PLL2001 suite Pierre Demers 27 septembre 2001

http://www.lisulf.quebec/PLLanaloguesuite.html

Pour votre information et ma satisfaction

DÉPENSES

Pour évaluer la fiscalité des universités et la possible imposition de leurs revenus annuels, il y a lieu de tenir compte de leurs dépenses de fonctionnement (dans la plupart des cas, elles égalent ou même dépassent leurs revenus bruts). Moi aussi, je soumets des dépenses de fonctionnement.

"VOIR GRAND"?

Une publicité de l'Université de Montréal en faveur de son fonds de développement met de l'avant cette idée, qu'il faut voir grand. On pourrait discuter longuement sur l'opportunité de la grandeur, celle des institutions et de leurs budgets, celle des immeubles (on a eu un exemple récemment de l'inconvénient désastreux des grands gratte-ciel New-Yorkais); celle des théories et de leurs applications. À certains moments, on prêche l'avantage des PE sur les ME et les GE. La mégalomanie est un vice et non une qualité.

Pour ce qui concerne mes activités, elles prétendent toucher l'ensemble de l'univers, puisque partout dans l'univers, on trouve les mêmes éléments dans les mêmes proportions, pour paraphrases l'imitationde Jésus-Christ. Elles sont donc immenses par leur domaine d'application. Elles sont minuscules par leur budget. Elles démontrent que la doctrine du "voir grand" n'est pas une condition nécessaire pour arriver à des résultats intéressants. Elles démontrent que le Québec aurait intérêt à accorder systématiquement des exemptions fiscales telles que celles que je réclame à d'autres chercheurs individuels qui pourraient être dans un cas semblable au mien.

Dans le passé, les résultats de Képler, d'Einstein, de Louis de Broglie et mëme de Joliot ne découlèrent pas de budgets et de moyens particulièrement grands. En règle générale, les découvertes sont le fruit de la liberté de pensée et de recherche, aidée par le confort de moyens matériels suffisants. Les découvertes pyramidales exigent de grandes ressources.

Les nouvelles du 26 septembre 2001 suggèrent que voir grand peut conduire au malheur sinon au scandale : fermeture de l'usine GM de Sainte-Thérèse, 220 millions de fonds publics (du Québec pour une part), qui ne seront remboursés que dans 15 ans et sans intérêt. Au taux d'intérêt courant, le congé d'intérêt représente à lui seul une perte de 400 millions.

 HÂTE ET DÉBÂCLE FINANCIÈRE 

Le 11 août 2001, la puissante industrie Bayer de Leverkusen annonçait une perte de 800 millions en $ cdn, consécutive à son faux-pas concernant le médicament Baycol anti-cholestérique. "La course aux produits vedettes à forte rentabilité expose les multinationales de la pharmacie à des revers coûteux".

L'article signale, une fois de plus, que la gestation d'un nouveau produit réclame une dizaine d'années et est fort coûteuse (près de 500 millions en $ cdn).

Morale : voir grand et se hâter ont parfois des inconvénients; le succès financier d'une découverte requiert plusieurs années.

AEGERA

Aegera Thérapeutique est financée par l'épargne publique. On note que les exemptions fiscales sont dans son agenda pour les années futures.

DÉPENSES POUR 2000 (QUÉBEC)

Votre avis de cotisation du 17 septembre 2001 pour 2000 m'apprend que vous avez accepté les dépenses d'activités que je vous ai présentées, tel que je vous le demandais dans la mienne du 15 août dernier (Parallèles) : 13700 $. J'en suis heureux et je suggère que l'appellation choisie par vous "Revenus nets d'entreprise" devrait être remplacée par celle de "Dépenses d'activités" dans mon cas et dans le cas de collègues que, dans l'avenir, vous voudriez encourager à faire comme moi.

Mes dépenses d'activités pour 1997, 1998 et 1999 sont de même nature, aussi j'espère qu'en conséquence vous voudrez bien retirer vos avis pour 1997 et 1999 du 30 mars 2001, pour 1998 du 20 avril 2001, et m'accorder pour 1998 le remboursement que je vous demandais dans ma déclaration du 5 février 2000.

DÉPENSES POUR 1997, 1998, 1999, 2000 (OTTAWA)

J'aimerais vous signaler que mes dépenses d'activités pour 1997, 1998, 1999 et 2000 ont été acceptées par le fisc d'Ottawa.

Salutations.

Pierre Demers

À suivre. Références.

NOTE AJOUTÉE LE 28 SEPTEMBRE 2001

Un brouillard tombe sur le célèbre fabricant d'avions Bombardier de Saint-Laurent, que la conjoncture force à licencier des milliers d'employés et à envisager de grandes pertes. Cela ajoute au cas de l'usine GM de Boisbriand évoqué plus haut. Les deux événements suggèrent la prudence devant l'option de voir grand et devant l'option mondialiste.

PS. J'attends encore réponse (j'attends accusé de réception) à 6 envois précédents

J'attends réponse à plusieurs questions pertinentes, depuis le mois de mai 2001. Vous me causez préjudice en refusant de me renseigner sur les articles de la loi qui pourraient s'appliquer à mon cas.

Vos retards à vous expliquer forment une sorte de chantage, puisque tout ce temps vous montez une facture d'intérêts croissants.

 Je réfère le lecteur à mon site Web. La documentation imprimée sur papier dépasserait 200 pages. Elle augmente constamment.

http://www.lisulf.quebec/

À suivre