sf028ref

LISULF: http://lisulf.quebec/lisulf.htm, SF032

SCIENCE ET FRANCOPHONIE hors série

DOCUMENT DE RÉFÉRENCEShttp://www.ledevoir.com/politique/quebec/419564/transport-du-petrole-parent-pauvre-le-quebec-doit-faire-sa-part

VIII2013...XI2013...I2014RéférencesSF028VIII2013. Temporaire, NE DOIT PAS ÊTRE DIFFUSÉ TEL QUELmidi HAE 9X201

Réf. 478. http://www.erudit.org/revue/haf/2002/v56/n2/007316ar.html

54]À partir de 1953-1954, l’Office attribua aux facultés de sciences de l’Université de Montréal et de l’Université Laval des montants de 2 500 $ qui devaient être alloués à la recherche. McGill, pour sa part, recevait 1 500 $. Procès-verbal de la 31e réunion plénière de l’Office des recherches scientifiques, tenue au Château Frontenac, à Québec, le vendredi 9 mai 1952, Fond Georges Préfontaine (P0001), /A, 283, Archives de l’Université de Montréal. C’est aussi dans ce contexte que les travaux sur les émulsions photographiques du physicien Pierre Demers ont reçu un appui financier de l’Office.

Réf. 477. http://www.archiv.umontreal.ca/p0000/P0006DS.html

Guide par séries du fonds - Description des sériesFONDS IRÉNÉE LUSSIER (P 6)Retour à la notice du fondsRemerciementsLa description des séries a été réalisée par Catherine Boily dans le cadre du stage de maîtrise en bibliothéconomie et sciences de l'information, à l'hiver 2003.P0006/A Correspondance.P0006/B Collation des grades et doctorats honorifiques.P0006/C Allocutions diverses.P0006/D Allocutions de personnalités.P0006/E Autres documents.

Dans le grand Hall du Centre Social de l'UdeM, rue Édouard Montpetit, eut lieu le lancement de l'oeuvre de Pierre Demers Ionographie, paru aux Presses Universitaires de Montréal. Le Recteur de l'UdeM Mgr Irénée Lussier prononça une allocution rédigée par Abel Gauthier, Doyen de la Faculté des Sciences.

Ma mère Mme Alfred Demers, Blanche Legris était présente.

Réf.476. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/430289/un-juge-reaffirme-la-pertinence-de-la-loi-101

Un juge réaffirme la pertinence de la loi 101Un groupe de commerçants qui souhaitent afficher en anglais portera sa cause en appel29 janvier 2015 |Karl Rettino-Parazelli | Actualités en société À l’opposé, l’expert du gouvernement du Québec, Marc Termotte, a insisté sur le déclin du français observé sur l’île de Montréal, notamment en raison du faible taux de natalité et de l’afflux annuel d’environ 50 000 immigrants. M. Tyler. « Il n’y a aucun article de littérature scientifique dans le monde occidental qui établit un lien entre la langue d’affichage et les facteurs démographiques », a-t-il expliqué en entrevue au Devoir.

Réf. 475. http://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/157/publi_pdf1_pop_et_soc_francais_365.fr.pdf

Vivre au-delà de 100 ansJacques Vallin et France Meslé* 28I2015

Réf. 474. http://www.ledevoir.com/international/europe/430039/grece-les-creanciers-entrebaille-la-porte

« On ne veut pas faire des catégories spéciales pour tel ou tel pays », a déclaré au quotidien Le Monde sur cette question la directrice générale du FMI, Christine Lagarde qui se sont engagés à lui prêter le montant colossal de 240 milliards d’euros de.

Réf. 473. http://www.ledevoir.com/societe/education/429878/quebec-ne-doit-pas-faire-de-coupes-dans-la-recherche-clame-l-inrs

Québec ne doit pas faire de coupes dans la recherche, clame l’INRS24 janvier 2015 |Lisa-Marie Gervai

ÉducationPhoto: PurestockCraignant la venue d’une autre vague de compressions dans les universités, le recteur de l’Institut national de recherche scientifique (INRS) exhorte Québec à ne pas sabrer le financement en recherche. Il s’inquiète aussi de l’éventuelle hausse des droits de scolarité des étudiants étrangers, qui ferait beaucoup de tort à des établissements comme le sien.« Je comprends que le gouvernement du Québec fait son effort de rationalisation et que les universités doivent y participer, mais il ne faudrait pas qu’on jette le bébé avec l’eau du bain, a déclaré Daniel Coderre, recteur de l’INRS, en entrevue au Devoir. On est capables de courber le dos encore cette année, mais il ne faudra pas que ça dure parce que ça va mettre à risque notre université. […] En 2015-2016, ça va être impossible s’il nous arrive d’autres compressions. Ça va être extrêmement difficile de continuer à bien faire ce qu’on fait. »Jouissant d’une excellente réputation, l’INRS, qui accueille des étudiants en recherche aux 2e et 3e cycles, doit réduire de 1,3 million un budget de fonctionnement de 100 millions. Cette fois-ci, le budget a pu être bouclé, mais c’est le plan de développement stratégique qui est passé à la trappe. « Ça nous aurait permis de nous positionner encore mieux dans notre domaine, explique ce biologiste de formation. La recherche, c’est une des deux missions essentielles des universités. Nous, on n’est pas une université si on ne fait pas de la recherche. »Étudiants étrangersLa majoration des droits de scolarité pour les étudiants étrangers aux cycles supérieurs préoccupe aussi grandement M. Coderre, et pour cause : son institut compte 45 % d’étudiants étrangers qui y font une maîtrise ou un doctorat. « C’est majeur ! », lance-t-il. Les étudiants étrangers hors Canada qui étudient au Québec déboursent 12 000 $ par année en droits de scolarité.Si on augmente leur facture, cela se répercutera sur l’INRS, qui, en plus de leur fournir un revenu décent pour que les étudiants étrangers puissent se consacrer à leurs études et à la recherche, paie aussi une partie des droits de scolarité de ces étudiants, pour qu’ils soient au même niveau que les étudiants québécois. Il en va ainsi dans de nombreuses universités québécoises et canadiennes qui font de la recherche. « L’enjeu est là : si les frais de ces étudiants sont majorés, ça va se ressentir sur notre budget de fonctionnement, car on va être obligés de [dédommager] encore plus les étudiants. »L’attractivité en sera aussi affectée, croit M. Coderre. De tous les étudiants étrangers qui fréquentent son université, environ 60 % s’installent au Québec et s’intègrent directement au marché du travail. C’est le « moteur même du développement économique » qui est en péril, souligne-t-il. « Il y a cette incertitude face aux étudiants étrangers. Et on aimerait savoir si on va épargner [de la hausse] les étudiants aux cycles supérieurs parce que ça va influencer nos stratégies pour la suite des choses. On est dans une période mouvante et difficile à gérer », déplore-t-il.Rapport Tremblay-RoyDans le rapport définitif sur la politique de financement des universités, rendu public en décembre dernier et réalisé par Hélène Tremblay et Pierre Roy, l’un des trois volets portait uniquement sur les droits de scolarité des étudiants étrangers. Il ouvrait toute grande la porte à une modulation des droits de scolarité en fonction des disciplines pour les étudiants étrangers et des autres provinces, ce qui avait inquiété les représentants étudiants, qui craignaient que cela n’attire que les étudiants les plus riches et non les meilleurs. « Les universités tournées vers l’international vont pouvoir facturer le plein prix et les petites universités vont se retrouver désavantagées », avait déploré Jonathan Bouchard, président de la Fédération étudiante universitaire.M. Coderre s’est dit déçu du rapport Tremblay-Roy, qu’il juge incomplet. « Ce qui manque cruellement dans ce rapport, c’est le “benchmark”. Quelles sont les meilleures pratiques qui se font ailleurs ? On dirait qu’on nous présente plus une vision des choses qu’un vrai effort de bonification du système. »Les recteurs des universités tiendront une rencontre à la mi-février pour établir un « plan de match collectif », souligne M. Coderre. Ils se demanderont comment ils peuvent faire mieux avec leurs budgets actuels, comment mettre en commun des ressources — le partage des espaces au nouveau campus situé à l’ancienne gare de triage à Outremont est un bon exemple — et comment alléger leur lourd fardeau de la reddition de comptes.Voter 5 votesHautVeuillez prendre note que ce texte n'est pas ouvert aux commentaires.Sur le même sujetUniversitésCoiteux juge les impacts des coupes acceptables22 janvier 2015 | Lisa-Marie GervaisCompressionsCouperet imminent dans les universités21 janvier 2015 | Lisa-Marie GervaisL’UQ dispensée du gel des effectifs3 décembre 2014 | Philippe OrfaliMots clésfinancement,étudiant étranger,universités,compression budgétaire,Institut national de la recherche scientifique (INRS)Chercher sur le même sujetBloguesFabien DegliseLes mutations tranquilles20 janvier 2015 14h15| Fabien DegliseMoshe Safdie pourfend l’architecture par ordinateurJeanne CorriveauLe blogue urbain8 janvier 2015 18h18| Jeanne CorriveauChauffage: un projet de règlement pourrait menacer certains oiseauxAntoine RobitailleMots et maux de la politique31 décembre 2014 13h31|

Antoine RobitailleQuelques trophées de fin d'annéeArticles les plus : Commentés|Aimés70Le sophisme odieux des «vrais coupables»15 janvier 201565Bolduc invite à la prudence20 janvier 201561Une niaiserie en trop19 janvier 201555Couperet imminent dans les universités21 janvier 2015

Réf. 472. http://www.vigile.net/Monsieur-Charest-si-vous-etes - forum

Les Prix scientifiques du QuébecMonsieur Charest, si vous êtes sérieux...Par Pierre DemersPierre DemersTribune libre de Vigilemardi 14 novembre 2006441 visites 1 message En effet, les quatre grands savants honorés par le Québec ont publié tous leurs importants travaux dans la langue anglaise.

Les notices officielles gardent silence sur ce point.

Réf. 471. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/429377/grece-une-dette-est-une-dette-previent-christine-lagarde

«Une dette est une dette», prévient Christine LagardeLa numéro 1 du FMI réagit à la perspective de l’élection d’un parti anti-austérité20 janvier 2015 |Agence France-Presse | Actualités économiques

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1.

2. Photo: Louisa Gouliamaki Agence France-Presse À Athènes, un homme passe devant une affiche appelant à voter pour le parti Syriza d’Alexis Tsipras, une formation anti-austérité en avance dans les sondages .

Réf. 470 http://www.ledevoir.com/international/europe/429082/un-dimanche-a-paris

La France ne se laisse pas marcher sur les pieds. Tout le monde le sait.

Un dimanche à Paris

16 janvier 2015 |Lise Payette | Europe

C’était le dimanche du grand rassemblement.

Réf. 469. spiral.univ-lyon1.fr/3-gestionmodule/module.asp

On trouvera sur ce site les transparents d'une série de six conférences données, dans le cadre de l'Université ouverte, à l'Université Claude Bernard Lyon 1 en 2005 sur le thème de l'élémentarité dans la structure de la matière de l'antiquité à nos jours.Les transparents des six conférences sont consultables et téléchargeables au format pdf. On trouvera également dans "Documents téléchargeables" un ensemble de cinq articles scientifiques sur la constitution de la matière. Ces articles téléchargeables au format pdf viennent en complément des conférences.contact : kibler@ipnl.in2p3.fr

Réf. 468. http://www.orizon.ca/category/conferenciers/

Alain DubucAlain DubucÉconomiste, auteur, journaliste et conférencier professionnel.La création de richesse et des défis du QuébecPerspectives politiques et conjoncture économiqueLes enjeux sociaux: éducation, santé, démographieLes grands dossiers économiques: énergie, innovation, productivitéRôle des médias, changement de valeursAlain SaulnierAlain SaulnierJournaliste et conférencier professionnel.

Réf. 467. usudbury.ca/index.php/fr/nouvelles/item/774-m-jacques-farine-serie-recherches-du-sens-la-quete-du-sens-perspective-d-un-physicien-des-particules-le-14-janvier-2015

En français seulemnt.

nu.phys.laurentian.ca/~farine/Abstract_ACFAS_dec1.pdf

Matière sombre et neutrinos: sons et lumières Dr.Jacques FarineProfesseur titulaire du Département de Physique de l’Université LaurentienneLa physique des neutrinos a connu un essor considérable ces dernières décades, et a permis delever le voile sur des propriétés fondamentales de la nature parfois surprenantes. Le Canada s'estdistingué par la construction d'une expérience et d'un laboratoire uniques au monde, l'Observatoire Neutrino de Sudbury et SNOLAB. Situés à deux kilomètres de profondeur dans lamine de Creighton, des expériences y sont en cours ou en préparation à l'affût de la lumière desneutrinos et à l'écoute de la matière sombre, littéralement. Leur but est de comprendre de quoi estconstitué l'univers. Le potentiel de découvertes à Sudbury tient la communauté en haleine.

Réf. 466. ericscerri.blogspot.ca/2012/07/anomalous-configuration-of-chromium.html

The problem with the aufbau principle for finding electronic configurationsWednesday, July 11, 2012The anomalous configuration of the chromium atom and related issuesEric ScerriUCLADepartment of Chemistry & BiochemistryLos Angeles, CAWebsite: http://ericscerri.com/

ericscerri.blogspot.ca/2012/07/anomalous-configuration-of-chromium.html

. .

Tableau irréguliers15I2015

Réf. 465. fr.canoe.ca/infos/international/archives/2015/01/20150112-102148.html

12-01-2015 | 10h21Dernière mise à jour: 12-01-2015 | 14h28WASHINGTON - La Maison-Blanche a regretté lundi de ne pas avoir envoyé un responsable de premier plan à la «marche républicaine» dimanche à Paris qui a rassemblé plus d'un million de personnes parmi lesquels une cinquantaine de dirigeants.«Nous aurions dû envoyer quelqu'un de plus haut niveau», a admis Josh Earnest, porte-parole de l'exécutif américain, répondant à de nombreuses critiques dans la presse américaine sur l'absence du président Barack Obama, de son vice-président ou de l'un de ses ministres lors de ce rassemblement sans précédent.«Ceci étant dit, il ne fait aucun doute que les Américains et cette administration sont pleinement aux côtés de la France», a ajouté M. Earnest, saluant la «remarquable démonstration d'unité» dont les Français ont fait preuve lors de la manifestation de dimanche.«Si les circonstances avaient été différentes, le président lui-même aurait aimé pouvoir se rendre sur place», a-t-il ajouté, mettant en avant le court délai entre le moment où cette marche a été annoncée et son déroulement, ainsi que les contraintes logistiques liées à un déplacement présidentiel.

Une cinquantaine de dirigeants étaient présents lors de cette marche à laquelle ont participé un million et demi de personnes. Le président François Hollande était entouré de son homologue malien Ibrahim Boubacar Keita et de la chancelière allemande Angela Merkel. Le président palestinien Mahmoud Abbas marchait à quelques mètres du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.Les États-Unis, eux, étaient représentés par leur ambassadrice, Jane Hartley. Le ministre de la Justice Eric Holder, présent à Paris pour une réunion sur le terrorisme, n'a pas rejoint le cortège.En déplacement en Inde, le secrétaire d'Etat John Kerry a annoncé qu'il se rendrait à Paris vendredi. Il avait été le premier au sein du gouvernement américain à exprimer, en français, sa solidarité et sa compassion après l'attentat contre le magazine satirique Charlie Hebdo qui a fait 12 morts, avant d'être suivi par deux attaques contre une policière et un supermarché casher qui ont fait cinq autres victimes. Cliquez sur "J'aime" pour ajouter nos articles à votre fil FacebookManifestations monstres en FranceVoir en plein écran1 /

Réf. 464. 09h49 : Interrogé sur BFMTV et RMC, le Premier ministre Manuel Valls a déclaré que Amedy Coulibaly, le tueur de la supérette casher de la porte de Vincennes, avait probablement bénéficié de complicités. Il a par ailleurs annoncé qu'un hommage aux victimes des attentats serait rendu dans le courant de la semaine à l'hôtel des Invalides à Paris. Le Premier ministre a également fait part de sa "fierté d'être Français".

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#BourdinDirect @manuelvalls : "Quelle fierté d'être français!"

http://bit.ly/1FK4FgS 

02:45 - 12 Janv 2015

Réf. 463. journals.aps.org/edannounce/cern-and-aps-announce-partnership-for-open-access

LIBRE ACCÈS

APS JournalsPhysical Review Letters, Physical Review, and Reviews of Modern Physics

Réf. 462. http://www.senseaboutscience.org/pages/our-work.html

http://www.senseaboutscience.org/pages/translations-policy.html

http://www.senseaboutscience.org/pages/peer-review.html

The arbiter of scientific quality. There is a system called peer review that is used by scientists to decide which research results should be published in a scientific journal. The peer review process subjects scientific research papers to independent scrutiny by other qualified scientific experts (peers) before they are made public. More than one million scientific research papers are published in scientific journals worldwide every year.- See more at:

http://www.senseaboutscience.org/pages/peer-review.html - sthash.032AD7qt.dpuf

The approved text of all Sense About Science publications is that published by Sense About Science in the English language.h) The reproduced material should also contain the following copyright information:Copyright under Creative Commons Creative Commons Attribution-Noncommercial-No Derivative Works 2.0 UK: England & Wales License. Published in [Month and Year] by Sense About Science. Used with permission of Sense About Science. Contact enquiries@senseaboutscience.org for permission to reproduce or translate the document.- See more at:

http://www.senseaboutscience.org/pages/translations-policy.html - sthash.95qBd5dj.dpuf

Réf. 461. http://www.lalibre.be/galerie/en-images-vos-dessins-en-soutien-a-charlie-hebdo-54ae2e533570d587e32c2ac5

IGNORANCEzoufri2015-01-09 à 03.46.17.png

Réf. 460 http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=5728

L’intégrisme s’est attaqué au droit à l’irrévérence, à la polémique et à la moquerie 08 janvier 2015 Mario Beaulieu« En s’attaquant à Charlie Hebdo, l’intégrisme s’est attaqué à ce que la liberté d’expression a de plus pur, de plus difficile, de plus controversé aussi : le droit à l’irrévérence, le droit à la polémique, le droit à la moquerie. Charlie Hebdo, comme Hara Kiri avant elle, était un exutoire, un magnifique lieu où l’impertinence était de mise, sans vache sacrée, sans censure.Il faut du courage, voire de la témérité, pour dire tout haut ce qui appartient bien souvent au domaine des tabous. Il faut un amour fou de la liberté pour caricaturer l’indicible, pour refuser de se taire malgré les menaces de mort, pour rire du tragique et dénoncer avec une plume moqueuse les dérives de notre monde. C’était là le courage de Charlie Hebdo.Nous refusons que le silence gagne sur le droit à la parole. Écœurés par cette violence vulgaire et barbare, par cette tragédie qui touche tous les démocrates de partout sur la planète, nous offrons nos plus profondes sympathies à la nation française, aux familles et aux amis des victimes et à toutes celles et tous ceux qui croient à la liberté d’expression. »

Réf. 459. fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2015/01/20150107-094801.html

«En s'attaquant à Charlie Hebdo, l'intégrisme s'est attaqué à ce que la liberté d'expression a de plus pur, de plus difficile, de plus controversé aussi : le droit à l'irrévérence, le droit à la polémique, le droit à la moquerie» a réagi le chef du Bloc québécois, Mario Beaulieu.

Réf. 458. http://www.cf-couleur.fr/

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Dernière mise à jour :
20 décembre 2014

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Actualités

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Appel à communications pour la XI Conferenza del Colore - Milan 2015

Ce colloque, qui se tiendra à Milan les 10 et 11 septembre 2015 est co-organisé par :
- Gruppo del Colore - Associazione Italiana Colore
- Centre Français de la Couleur
- Colour Group Great Britain
- Groupe Français de l’Imagerie Numérique Couleur

La date limite pour envoyer une proposition de communication (résumé en anglais ou en italien) est le 7 février 2015.

Pour plus d’informations, merci de consulter :
www.gruppodelcolore.it (onglet “conference 2015")

Réf. 457. charette.corg.umontreal.ca/cours/cours.html

www.webelements.com/chromium/atoms.html Electronic configuration of neutral atomic chromiumElectronic configuration of chromiumThe electronic configuration of chromium

Réf. 456. IUPAC Les noms: http://www.chem.qmul.ac.uk/iupac/AtWt/element.html

Commission on the Nomenclature of Inorganic ChemistryRecommendations for the Naming of Elements of Atomic Numbers Greater than 100(Rules Approved 1978)http://www.chem.qmul.ac.uk/iupac/AtWt/element.htmlWorld Wide Web version Prepared by G. P. MossDepartment of Chemistry, Queen Mary and Westfield College,Mile End Road, London, E1 4NS, UKg.p.moss@qmul.ac.uk

Réf. 455. centenairepierredemers.com/Film/BA

Mon père, Pierre Demers, Artiste des Sciences Bande annonce du film documentaire sur Pierre Demers 2014æ

Réf. 454. centenairepierredemers.com/Film/Callet

Pierre Demers et le système du QuébéciumExtraits du film de Patrick Callet

4,04 min,

Réf. 453. lisulf.quebec/gqajuin2.html

lisulf.quebec/gqajuin1.html

Système du Québécium Nombres et géométrie dans la classification des éléments.1 sur 2 Pierre Demers

puis 2sur 2.

Réf. 452. chemphys.u-strasbg.fr/mpb/teach/OM2/OM2.pdf

Les OrbitalesMoléculairesMariePaule Bassez

http://chemphys.ustrasbg.fr/mpb/teach

7. Représentations des OrbitalesAtomiques et Moléculaires Universitéde Sheffield, United Kingdom

http://winter.group.shef.ac.uk/orbitron/Universitédu

Colorado http://www.smallscalechemistry.colostate.edu/PowerfulPictures/Orbitals.pdf.Universitéde

Darmstadt http://csi.chemie.tudarmstadt.de/ak/immel/graphics/molarch/images/index.html

Réf. 451. http://www.editionsboreal.qc.ca/catalogue/livres/histoire-quebec-contemporain-2091.html

Couverture du livre Depuis 1930, le Québec a connu l'une des périodes les plus mouvementées de son histoire et sans aucun doute l'une des plus fertiles en transformations de toutes sortes. Quel que soit le point de vue d'où on l'observe, la société québécoise d'aujourd'hui présente une image entièrement différente de celle des années trente. On peut avoir l'impression que tout a changé de fond en comble: la structure économique, les enjeux politiques, la composition même de la population, sans parler de la question linguistique, du statut des femmes, du rôle de l'État et des médias d'information, de l'évolution des mentalités et des mœurs. Pourtant, le Québec actuel n'est pas né soudainement avec la révolution tranquille; les changements qui l'ont modelé plongent leurs racines loin dans le passé.Voir l'édition en Boréal Compact. no 15.Parution : 15 octobre 1986, 740 pagesISBN-13 : 9782890521773Code barre : 9782890521773 29.95 $

La nuit des longs couteaux en 1982?

Réf. 450. http://www.upsaintlaurent.org/Unite_pastorale_Saint-Laurent/Semaine_21_decembre_2014.html

LA VIE DANS L’UNITÉ PASTORALE Dans l’Unité pastorale Saint-Laurent cette semaine…Dimanche 21 décembre: 4e dimanche de l’AventCatéchèse en quatre temps (3e) rencontres des enfants avec leurs catéchètes de 9 h à 10 h 15, paroisses NDBF/SH\SSAssemblée des paroissiens, après la messe de midi à la paroisse Saint-LaurentCélébration communautaire du Pardon, à 15 h - Paroisse Saint-LaurentMercredi 24 décembre :Messes familiales à 19 h 30, paroisses Notre-Dame-du-Bois-Franc, Saint-Hippolyte et Saint-Laurent

Réf. 449. ranjithreddy2k.blogspot.ca/2013/07/aufbau-principle-fully-modelled-through.html

Tetryonic geometry of periodic elements

aufbau electron orbital filling can be fully modelled through the exploded tetryonic geometry of the atomic nucleus

friedrich hermann hund

Réf. 448. www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/7597/l-outremont-de-pierre-dansereau-en-remontant-dans-le-temps

L'Outremont de Pierre Dansereau - En remontant dans le temps21 août 2002 |Pauline Gravel | Actualités en société. Pierre Dansereau devant l’église Saint-Viateur: un des plus anciens baptisés de la paroisse.

Réf. 447. https://www.youtube.com/watch?v=XVyaWCDwwCY&feature=youtu.be

le texte s'affiche

Publiée le 2012-08-27Dr. Eric Scerri from the Chemistry Department at UCLA giving a distinguished invited lecture at the Oscar Peterson auditorium of Concordia University, in Montreal. The topic is the history and iconic nature of the Periodic Table (in high quality video).eric scerri lecture

Eric Scerri

Réf. 446. https://www.youtube.com/watch?v=XVyaWCDwwCY&feature=youtu.be

59:55 Dr. Eric Scerri - The Mysteries of the Periodic Table - University of Kansas de KUChemistryClub 776 visionnementsPeriodic_Table_History_Part_1-A.mp4 de davidvblack 9 683 visionnem

Réf. 445. www.anneechimie.upmc.fr/modules/resources/download/anneechimie/pdf/tableau_mendeleiev.pdf

http://www.science.gouv.fr

Réf. 444. proulxj.wordpress.com/page/3/

Jean-Pierre Proulx 3- La possibilité pour la nation québécoise de « lever tous ses impôts, d’adopter toutes ses lois et de signer tous ses traités », selon la formule consacrée, est un noble idéal. Mais son pouvoir mobilisateur est insuffisant parce qu’abstrait. Les Québécois sont infiniment plus sensibles aux arguments économiques tels les avantages que le Québec tire de la péréquation, à l’avenir de leurs fonds de retraite, à la stabilité de leur monnaie, etc.

Réf. 443. http://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/otages-au-niger/serge-lazarevic-libere/serge-lazarevic-la-seule-discussion-que-mes-geoliers-connaissaient-cetait-les-coups_772281.html

• #CIA Dick Cheney, l'ancien vice-président américain, estime que la CIA doit continuer la torture, et que les agents qui l'ont pratiquée "devraient être décorés".

Réf. 442. www.cdrummond.qc.ca/cegep/scnature/chimie/NotesDeCours/ChimieNYA/chapitre2.pdf

Structure électronique 41Les valeurs des niveaux d’énergie calculées par Bohr correspondent parfaitement à celles du spectre d’émission de l’hydrogène. Cependant, le modèle de Bohr présente desérieuses lacunes. Par exemple, quand on tente de l’appliquer à d’autres atomes quel’hydrogène, rien ne va plus. Le modèle de Bohr ne fonctionne que pour les espèceschimiques contenant un seul électron! Après diverses tentatives infructueuses pour tenterde l’améliorer, on a dû admettre qu’il n’y avait rien à faire: le modèle de Bohr était fondamentalement erroné.

Réf. 441. proulxj.wordpress.com/page/2/

Le Devoir m’envoya à Ottawa interviewer M. Denis, le député de Verchères et ministre fédéral responsable de ces derniers programmes pour lui poser une seule question : « Expliquez-moi de quel droit Ottawa intervient directement dans un champ de compétence provinciale ? ». Présent à l’entrevue, son sous-ministre me déclara, doucereusement, que le Canada était le seul État fédéral au monde qui ne possédait pas de ministère de l’Éducation. Oui! Bien sûr! En fait, la pression vient, aujourd’hui comme hier, de la grande entreprise, qui craint comme tout la concurrence économique internationale. Dans les années 80, elle craignait de rater « le virage technologique ». Aujourd’hui, la mondialisation justifie tout. J’ai hâte de voir si et comment le gouvernement Couillard et son ministre de l’Éducation M. Bolduc réagiront à cette nouvelle.

Réf. 440. http://www.aprum.umontreal.ca/Bulletins/Bulletin29.pdf

Jean-Pierre Proulx avec la collaboration de Christian Dessureault et Paul Aubin,La Genèse de l’école publique et de la démocratie scolaire au Québec, Les écoles desyndics 1814-1838,Les Presses de l’Université Laval, 2014, 503 p.

Réf. 439. http://www.bivi.fonctions-documentaires.afnor.org/content/view/full/3113

DOC-I-30-10Accès perpétuel et archivage pérenne aux ressources électroniquesThèmes de l'article : ,

Réf. 438. www.aprum.umontreal.ca/Courriels/2013_08_30/Courriel130830.html

BandeauNouvelles de l'APRUM : 30 août 2013LETTRE DU PRÉSIDENT Gilles Rondeau. L’APRUM a trente ans!

Réf. 437. www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=1&file=38581.PDF

Partie 2 GAZETTE OFFICIELLE DU QUÉBEC, 3 juillet 2002, 134eannée, no274553Gouvernement du QuébecDécret 707-2002,12 juin 2002

Réf. 436. https://www.google.ca/search?q=www.mayanperiodic.com

+++Why+have+an+alternate+version+of+the+Periodic+Table+of+the+Elements%3FThe+Mayan+Periodic+Table+of+Elements,+named+for+its+similarity+to+theancient+Mesoamerican+calendar,+is+based+on+electron+shells.++Theshells+are+shown+as+concentric+circles.++Each+row+in+the+tabular+formis+shown+as+a+ring.This+arrangement+shows+some+aspects+of+the+elements+better+than+thetraditional+table.++But+first+some+background.In+the+world+of+chemistry,+all+the+atoms+want+to+be+a+noblegas.&ie=utf-8&oe=utf-8&gws_rd=cr&ei=_qaKVOCuKYSWNrOFg6gC Send me, Mitch Fincher, comments at MayanPeriodic@gmail.com

Réf. 435. http://www.rsc.org/education/eic/issues/2012January/trouble-in-the-periodic-table.asp

Trouble in the periodic table In ShortVarious approaches decide the shape of the periodic table we recognise today. The placement of some elements is disputed. As chemists we see the periodic table as an icon but its design continues to evolve and is the source of much debateEric ScerriThe periodic table has been around for almost 140 years and has survived many revolutionary discoveries including that of subatomic structure and the development of quantum mechanics and relativity. circulaire

Réf. 434. http://www.rsc.org/eic/2013/11/aufbau-electron-configuration

The trouble with the aufbau principle7 November 2013Eric ScerriFeatureGenerations of teachers are misleading their charges by teaching a sloppy version of the aufbau principle, claims Eric ScerriThe use of the aufbau principle to predict electronic configurations of atoms, and therefore explain the layout of the periodic table, is a key point when teaching chemistry. However, the version of this method that has been taught to generations of students is actually deeply flawed. The error is rather subtle and may well have arisen from an attempt to simplify matters.Illustration of electron orbitals© Science Photo Library

Réf. 433. http://www.calendrier.umontreal.ca/?com=detail&eID=535826

DateMercredi 17 décembre 2014Débute à 16:00PrixEntrée libre pour la communauté universitaireContactNadine Khairallahnadine.khairallah@umontreal.ca514 343-6111, poste 8829LieuUdeM - Pavillon Roger-GaudryHall d'honneur2900, chemin de la TourMontréal, QC CanadaH3T 1J6 514 343-611Site Web | Itinéraire et carteCatégoriesRetrouvez également cet événement surLe Mur MitoyenConsulté 503 fois L’année 2014 se terminera sur une note festive avec la célébration « Noël en bleu » à laquelle est conviée la communauté universitaire. Les talents de la communauté seront à l’honneur : CHORUM, la chorale de l’UdeM, interprétera des airs de circonstance. Des installations festives seront montées par les étudiants de la Faculté de l’aménagement. Portez du bleu!

Réf. 432. http://www.lachimie.net/55.nombres_quantiques_et_orbitales.htm

"deux électrons d'un même atome différeront toujours d'au moins un nombre quantique. (principe de Pauli)""

Dans un atome 2 électrons ne peuvent pas avoir les mêmes 4 nombres quantiques spin, n, l, m

Miseur Ludovic

http://www.awt.be/web/edu/index.aspx?page=edu,fr,foc,100,127

Différenciation et technologies font bon ménage à l'Ecole Internationale Le VerseauL'enfant est au coeur du projet pédagogique de l'école, en individualisant au maximum les apprentissages. Ce besoin de différenciation se concrétise désormais grâce aux TIC. Salles informatisées, e-mail pour les parents, tableaux interactifs, e-learning font désormais partie du quotidien de l'écoleTwitter Facebook DeliciousMis à jour le 22/02/2013 | Imprimer | EnvoyerUne école ouverte sur le mondeL'école Internationale Le Verseau (EILV) est une école primaire et secondaire de l'enseignement libre subventionné fondée en 1969.

Réf. 431. http://www.diplomes.umontreal.ca/form/maj_coord.html

Pour recevoir par la poste la Revue Les Diplômés (2 parutions par an), veuillez fournir une adresse postale valide et vous assurer de nous transmettre tout changement d’adresse ultérieur.Pour recevoir par courrier électronique le Bulletin des diplômés (5 à 8 parutions par an), veuillez nous transmettre votre adresse courriel, de type personnelle de préférence (@hotmail, @yahoo, @gmail, etc.).

www.diplomes.umontreal.ca/form/maj_coord.html Pour recevoir par la poste la Revue Les Diplômés (2 parutions par an), veuillez fournir une adresse postale valide et vous assurer de nous transmettre tout changement d’adresse ultérieur.Pour recevoir par courrier électronique le Bulletin des diplômés (5 à 8 parutions par an), veuillez nous transmettre votre adresse courriel, de type personnelle de préférence (@hotmail, @yahoo, @gmail, etc.).Mise à jour de vos coordonnées

Réf. 430. fr.wikipedia.org/wiki/Configuration_électronique

Dénombrement des électrons par couche électroniqueCompte tenu de la définition des quatre nombres quantiques n, l, m et s, le nombre d'électrons déduit du nombre de cases quantiques (valeurs de m) par sous-couches (valeurs de l) des cinq premières couches électroniques (valeurs de n) s'élève à :

Réf. 429. media.wiley.com/product_data/excerpt/81/04716802/0471680281.pdf

page 20 tableau

Orchin_ch01.qxd 4/14/2005 8:59 PM Page 1

1.44 THE PERIODIC TABLE

An arrangement in tabular form of all the known elements in rows and columns in

sequentially increasing order of their atomic numbers. The Periodic Table is an

expression of the periodic law that states many of the properties of the elements (ion-

ization energies, electron affinities, electronegativities, etc.) are a periodic function

of their atomic numbers. By some estimates there may be as many as 700 different

versions of the Periodic Table. A common display of this table, Fig. 1.44

a

, consists

of boxes placed in rows and columns. Each box shown in the table contains the sym-

bol of the element, its atomic number, and a number at the bottom that is the aver-

age atomic weight of the element determined from the natural abundance of its

various isotopes. There are seven rows of the elements corresponding to the increas-

ing values of the principal quantum number

n

, from 1 to 7. Each of these rows begins

with an element having one electron in the

ns

orbital and terminates with an element

having the number of electrons corresponding to the completely filled K, L, M, N,

and O shell containing 2, 8, 18, 32, and 32 electrons, respectively. Row 1 consists of

the elements H and He only; row 2 runs from Li to Ne; row 3 from Na to Ar, and so

on. It is in the numbering of the columns, often called groups or families, where

there is substantial disagreement among interested chemists and historians.

Réf. 428. http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/in-memoriam/20141208-lise-fortier-1925-2014.html

AccueilRechercheEnseignementCampusInternationalCultureSportsMultimédiaFixez l'objectifForum en clipsLa Grande ÉquationMoteur de rechercheRegards croisésTEDxUdeMRevue de presseCalendrierEnglishAccueil Campus In memoriamLise Fortier (1925-2014)Lundi, 08 Décembre 2014 10:50 Journal FORUM In memoriamImprimerLise FortierLise FortierLa mort de la Dre Lise Fortier, survenue le 8 novembre 2014 à Beaumes-de-Venise, en France, a été une surprise pour tous. À 89 ans, elle gardait une fougue, une mémoire et une vivacité d'esprit hors du commun.Ayant terminé avec succès des études de médecine en 1950, elle a été en 1958 la première Canadienne française diplômée en gynécologie-obstétrique par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, qui l'avait aussi nommée associée. Elle a travaillé à l'hôpital Notre-Dame jusqu'en 1980. La Dre Fortier a été reconnue pour ses qualités d'enseignante et de chirurgienne. Elle s'est de plus intéressée à la qualité des soins en obstétrique et gynécologie dans le département et au sein d'organismes provinciaux et nationaux. Elle a été en 1974 secrétaire générale d'un congrès international francophone d'obstétriciens-gynécologues présidé par le Dr Pierre Audet Lapointe. Elle a livré une lutte épique à ses confrères médecins et au conseil d'administration pour ouvrir, en mai 1967, la première clinique de planification familiale et d'avortement en milieu hospitalier francophone québécois. Cette clinique universitaire a offert dès les débuts des services complets, médicaux et sociaux, en plus de contribuer à l'Université de Montréal à l'enseignement et à la recherche médicale subventionnée par l'Organisation mondiale de la santé, le Conseil médical de recherche du Canada et des entreprises pharmaceutiques.Son expertise, sa compétence et ses recherches en contraception, planification familiale et avortement lui ont valu d'être élue en 1973, pour un mandat de trois ans, au poste de présidente de la Fédération de planning familial du Canada. Mais elle a dû se battre pour accéder à la présidence de la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada en 1975. Durant son passage à la Société, la médecine périnatale a été reconnue comme une sous-spécialité de l'obstétrique-gynécologie. De plus, elle s'est formellement opposée au renouvellement obligatoire et périodique par examen de la compétence des membres que le Collège royal voulait instituer.En 1978, elle a reçu le titre de professeure titulaire de clinique de l'Université de Montréal. Deux ans plus tard, elle s'installe en Californie pour y poursuivre sa carrière en planification familiale, obstétrique et gynécologie. Elle y est demeurée jusqu'en 2000.En 1995, la Dre Fortier a reçu le prix Abbott-Pellan-Brissette, décerné conjointement par l'Association des médecins de langue française du Canada et le Collège des médecins du Québec, en reconnaissance de sa contribution particulière à la santé des femmes du Québec.En l'an 2000, son fils et sa belle-fille ont élu domicile en France et Lise a décidé de prendre une semi-retraite et de s'établir à Beaumes-de-Venise tout en se consacrant aux arts et aux expertises médicales. À son fils Thierry et à sa conjointe nous désirons offrir nos plus sincères témoignages de sympathie.Dr Yves Lefebvre,professeur titulaire au Département d'obstétrique-gynécologie.

Réf. 427. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/426276/chefferie-du-pq-alexandre-cloutier-promet-d-abolir-le-serment-a-la-reine

Chefferie du PQAlexandre Cloutier promet d’abolir le serment à la reine10 décembre 2014 | Robert Dutrisac - Correspondant parlementaire à Québec | Québec Le professeur en droit constitutionnel de l’Université Laval Patrick Taillon abonde dans le même sens que le candidat.

Réf. 426. http://www.cslf.gouv.qc.ca/prix-et-distinctions/ordre-des-francophones-damerique/liste-des-membres-de-lordre-des-francophones-damerique/

Bergeron, Michel, Québec, 1992 Drapeau, Arnold J., Québec, 1988 Hamelin, Louis-Edmond, Québec, 1994 (Jennifer cslf0h36 10XII2014

Réf. 425. rue89.nouvelobs.com/sites/news/files/assets/document/2014/11/marche_elsevier.pdf

archivages pérennes Accès et archivage pérennes.Un droit d'accès pérenne sur l’ensemble des titres dela Base de données « Complete Freedomcollection » et aux titres sur le mode « Titre-à-Titre »est accordé à l’ensemble des Abonnés sur lapériode 2014-2018.L’Institut Pasteur bénéficie d'une extension des droits d'accès pérennes pour les contenus pu-bliés sur la période 2001-2013 equel ne pourra excéder 33 481 728 € (trente-trois millions quatre cent quatre-vingt-un mille sept cent vingt-huit euros)

Réf. 424. https://fr-ca.finance.yahoo.com/actualites/equifax-la-dette-à-la-consommation-atteint-un-101943219.html

Équifax: la dette à la consommation atteint un nouveau sommet à 1513 milliards $Presse CanadiennePar La Presse Canadienne | Presse Canadienne – il y a 19 heuresPartagerImprimerImmobilierLa Banque du Canada maintient son taux d'intérêt directeur à 1%Le profit de la Banque Royale a bondi de 11 pour cent au quatrième tri …Equifax: la dette à la consommation atteint un nouveau sommet à 1513 milliards …Les prix des maisons aux États-Unis augmentent à un rythme plus import …TORONTO - Les Canadiens viennent d'établir un record avec plus de 1513 milliards $ en dettes lors du troisième trimestre de 2014.Le rapport national d'Equifax Canada sur les tendances du crédit rappelle que la dette à la consommation était de 1448 milliards $ au deuxième trimestre de 2014 et de 1409 milliards $ une année auparavant.Les secteurs des prêts automobiles et des prêts à tempérament ont affiché les hausses les plus marquées, à 6,8 pour cent et à 5,8 pour cent respectivement sur 12 mois.La dette moyenne des Canadiens, excluant les hypothèques, a augmenté de 2,7 pour cent pour atteindre 20 891 $.Regina Malina, directrice chez Equifax Canada, croit qu'en prévision du tout prochain magasinage de Noël, la dette à la consommation devrait grimper davantage.Cependant, malgré la hausse de la dette des Canadiens, le taux de défaillance national à 90 jours et plus a continué d'afficher une tendance à la baisse pour atteindre son niveau le plus bas depuis 2008.Note to readers: Version corrigée. La dette des Canadiens s'élève à 1513 milliards $, et non à 1,513 milliard $, tel qu'écrit dans une version précédente.

Réf. 423. http://www.ledevoir.com/international/europe/425683/grande-bretagne-londres-paye-ses-dettes

Grande-BretagneLondres paye ses dettes4 décembre 2014 |Agence France-Presse | EuropeDes troupes britanniques arrivent en France par bateau en août 1914. Photo: Agence France-Presse Des troupes britanniques arrivent en France par bateau en août 1914.Londres — Le Royaume-Uni va rembourser l’intégralité de ses dettes datant de la Première Guerre mondiale, soit 1,9 milliard de livres (près de 3 milliards $), a annoncé mercredi le gouvernement.« Nous pouvons, finalement, payer les dettes contractées pour combattre pendant la Première Guerre mondiale », a annoncé le ministre des Finances, George Osborne. « C’est le signe de notre crédibilité budgétaire et c’est également une bonne affaire pour les contribuables actuels », a-t-il assuré.Le gouvernement va en effet profiter des taux actuellement très bas pour refinancer sa dette sur les marchés.Plus de 120 000 personnes disposent d’emprunts datant de cette époque et devraient être contactés afin d’être remboursés. Selon des estimations officielles, le Royaume-Uni a payé depuis 1917 quelque 5,5 milliards de livres d’intérêts sur les emprunts datant de la Grande Guerre.Le pays va également rembourser des obligations datant du XVIIIe siècle. Le pays s’était alors lourdement endetté à la suite de l’éclatement en 1720 d’une bulle spéculative restée dans l’histoire comme la Bulle des mers du Sud.Le gouvernement avait déjà annoncé en octobre le remboursement de dettes anciennes mais pour des sommes bien moindres que celles annoncées mercredi.

. Photo: Agence France-Presse Des troupes britanniques arrivent en France par bateau en août 1914.

Londres — Le Royaume-Uni va rembourser l’intégralité de ses dettes datant de la Première Guerre mondiale, soit 1,9 milliard de livres (près de 3 milliards $), a annoncé mercredi le gouvernement.

Réf. 422. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/425491/quebec-injecte-150-millions-dans-l-innovation

Québec injecte 150 millions dans l’innovation2 décembre 2014 |Le Devoir | Actualités économiques Jacques Daoust

Réf. 421. gric.univ-lyon2.fr/Equipe2/coast/recherche/CR/CR-16-99.pdfACTIVITÉ N° 4

- De nombreux formats ont été proposés pour la classification périodique ; quel est le format le plus adapté à l’enßeignement ?

gric.univ-lyon2.fr/Equipe2/coast/recherche/CR/CR-16-99.pdf

Classification périodique.v3.2 - janvier 991lemarech@ens-lyon.frLa classification périodique des éléments chimiquesJean-François Le Maréchal 1- janvier 1999 lemarech@ens-lyon.fr Université Lyon 2 - UMR GRIC équipe COAST

Réf. 420. http://www.webelements.com/ununseptium/

117 Du Fernando Dufour NB: 119 Uue 119 By Barthélémy

Isolation: un article publié dans Physical Review Letters le 5 Avril 2010 ("Synthèse d'un nouvel élément chimique de numéro atomique Z = 117") prétend l'identification de six atomes de les isotopes 111 Uus (cinq atomes) et 114 Uus (un atome ) dans les réactions de fusion entre 48 et 249 Ca Bk

Réf. 419. http://www.webelements.com/ununpentium/

115 Gi Giguérium

Les résultats sont publiés dans le numéro de Physical Review en C 1 Février 2004: "Les expériences sur la synthèse de l'élément 115 dans la réaction 243 Am (48 Ca, x n) 291- x 115", Yu. Ts. Oganessian,

Réf. 418. http://www.webelements.com/ununtrium/

113 Lt Lortium

Physical Review C: "Experiments on the synthesis of element 115 in the reaction 243Am(48Ca,xn)291–x115"

Réf. 417. http://biology.mcgill.ca/faculty/lasko/publications.html

lab members Paul Lasko, Principal Investigator, Bellini 277, 514-398-6721 email: paul.lasko@mcgill.ca

Publications

Hernández, G., Han, H., Gandin, V., Fabian, L., Ferreira, T., Zuberek, J., Sonenberg,N., Brill, J. A., and Lasko, P. (2012) Eukaryotic initiation factor 4E-3 is essential for meioticchromosome segregation, cytokinesis, and male fertility in Drosophila. Development 139: 3211-3220.

Kobayashi, S., Amikura, R., Nakamura, A., and Lasko, P. F. (1999) Techniques for analyzing protein and RNA distribution in Drosophila ovaries and embryos at structural and ultrastructural resolution. In: Richter, J., ed., Advances in molecular biology: a comparative methods approach to the study of oocytes and embryos. Oxford Universit Press.

Réf. 416. http://www.polymtl.ca/recherche/rc/professeurs/details.php?NoProf=110&showtab=PUB

CoordonnéesTél.: (514) 340-4711 poste 5991Téléc.: (514) 340-5892Local: M-6021 ke.wu@polymtl.ca

1 Li, D., Khaddaj Mallat, N., Wu, K. (2014). Quasi-TEM Rectangular Waveguides With Frequency Selective Surface Walls: Part II-Physical Mechanism. International Journal of Numerical Modelling: Electronic Networks, Devices and Fields, 27(2), p. 353-368.

794 Wu K., Yu M., Vahldieck R. (1994). Rigorous Analysis of 3-D Planar Circuits Discontinuities Using the Space-Spectral Domain Approach (SSDA). Analysis and Design of Planar Microwave Components. USA: IEEE Press.

Publications à PolytechniqueCes données sont extraites du Répertoire des publications de Polytechnique Montréal. La liste ci-dessous contient seulement les publications auxquelles a participé le professeur ou le chercheur depuis son entrée en fonction à Polytechnique. De plus, certaines publications ne sont pas dans cette liste, notamment les notes de cours et les rapports techniques internes. Vous pouvez aussi consulter le répertoire des publications scientifiques et techniques de Polytechnique Montréal.

Réf. 415. http://www.prixduquebec.gouv.qc.ca/ceremonie/index.html?ceremonie

CérémonieLa cérémonie de remise des Prix du Québec, édition 2014, a eu lieu le mardi 4 novembre à l’hôtel du Parlement. Quatorze prix ont été remis à quinze personnalités au parcours exceptionnel.Photo à l'intention de la presse (2,57 Mo)Les lauréates et les lauréats des Prix du Québec 2014La ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française, Mme Hélène David, et l'adjoint parlementaire du ministre de l'Économie, de l'Innovation et des Exportations, M. Saul Polo, lors de la cérémonie de remise des Prix du Québec 2014 qui s'est tenue à l'hôtel du Parlement.De gauche à droite : Saul Polo, adjoint parlementaire du ministre de l'Économie, de l'Innovation et des Exportations, Ke Wu, Jean Royer, Denis Marleau, Camil Bouchard, François Soumis, Manon Barbeau, Marc Le Blanc, Lise Payette, Denis Vaugeois, Jacques Mathieu, Michael Meaney, Gilles Saucier, Dominique Blain, Paul Lasko, André Perrotte et Hélène David, ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française.Photographe : Rémy BoilyStudio de Photographie et Banque d'imagesTél: 514 914-1005remy@laboiteaimages.cawww.remyboilyphotographe.comPour obtenir le droit de reproduction des photographies des récipiendaires des Prix du Québec 2014, adressez-vous au photographe.

Les Prix du Québec relèvent conjointementdu ministère de la Culture et des Communicationset du ministère de l'Économie, de l'Innovation et des ExportationsPolitique de confidentialité | Réalisation du site | AccessibilitéDernière mise à jour faite le 2014-11-04Portail Québec© Gouverneme

Réf. 414. http://www.3dfernando.com/Periodic_Table.html

514481 7116 604 886 0833

Réf. 414. http://www.iupac.org/publications/ci/2009/3101/1_leigh.html

chemheritage feature mendeleev scerri

IUPAC does not concern itself with electronic structure.

Scerri, E.R. (2007), Chemical Heritage Magazine, 25(1),

www.iupac.org/publications/ci/2009/3101/1_leigh.html

However, in this context, IUPAC does not concern itself with electronic structure. IUPAC’s primary concern is with unequivocal and unambiguous communication.

http://www.chemheritage.org/pubs/ch-v25n1-articles/feature_mendeleev.htm

Jeffery Leigh <jeffery.leigh@sky.com> is a member of the Chemical Nomenclature and Structure Representation Division (IUPAC Division VIII). He is an emeritus professor of Environmental Science at the University of Sussex

Scerri, E.R. (2008), J. Chem. Ed., 85, 585; Collected Papers on the Philosophy of Chemistry, Imperial College Press, p. 179; International Journal of Quantum Chemistry, 109, in press..

Réf. 413. lisulf.quebec/EquerreJanetSc.htm

2. Éric Scerri 2007, (L’héritage Mendéléévien : le système périodique) Mendeleev’s Legacy: The Periodic System, ©2007 ¢, No 1

http://www.chemheritage.org/pubs//ch-v25n1-articles/feature_mendeleev_print.html

Traduction et soulignés

NDLR.Les règles gouvernant l’attribution des nombres quantiques furent rigoureusement expliquées par la théorie quantique, de sorte que les 2 1res couches contiennent au maximum 2 et 8 électrons – et on eut ainsi enfin une explication des longueurs des 2 1res périodes du tableau !

Des considérations semblables appliquées aux couches 3 et 4 annoncent 18 et 32 électrons respectivement, mais cela ne s’accorde pas avec la répartition des éléments dans le tableau périodique. Et c’est là tout un problème : la 3e période contient 8 électrons au lieu de 18.

Tout compte fait, les nombres quantiques paraissent fournir une explication déductive satisfaisante du nombre total que chaque couche peut renfermer, mais en revanche la correspondance de ces valeurs avec les nombres d’éléments dans les périodes est en quelque sorte une coïncidence fortuite. L’ordonnance bien connue du remplissage des orbitales spdf* (*diagramme manquant) a été déterminée essentiellement de façon empirique.Bohr a échoué à déduire l’ordre du remplissage des orbitales, et comme certains auteurs l’ont reconnu, c’est là un des grands problèmes de la mécanique quantique.…Concernant le système de Mendeleev, a question n’est plus de savoir s’il est valide, mais plutôt, de trouver quelle serait la meilleure manière de le représenter**……

The rules that govern the assignment of quantum numbers are rigorously explained by quantum theory, with the outcome that the first 2 shells contain a maximum of 2 and 8 electrons—at long last an explanation for the lengths of the first two periods of the table! Similar considerations for the 3rd and 4th shells predict 18 and 32 electrons respectively, but this is not in accordance with the arrangement of the elements in the periodic table.The problem is this: the third row of the periodic table contains 8, not 18, electrons.

It turns out that while quantum numbers provide a satisfying deductive explanation of the total number of electrons that any shell can hold, the correspondence of these values with the number of elements that occur in any particular period is something of a coincidence. The familiar sequence in which the s, p, d, and f orbitals are filled (see diagram, left) has essentially been determined by empirical means. Indeed, Bohr’s failure to derive the order for the filling of the orbitals has been described by some as one of the outstanding problems of quantum mechanics.…The problem is no longer the validity of Mendeleev’s system, but the best way to represent it.

NDLR. ** La validité du sytème de Mendéléev est-elle vraiment hors de question ?La représentation serait-elle donc sans grande importance dans un système tel que celui de Mendeleev ? Un système représenté par un tableau est de ce fait nécessairement associé à la topologie et à la géométrie, et, de nos jours, à la théorie quantique ; toutes disciplines que j’invoque dans le système du québécium. L’introduction d’une représentation nouvelle peut conduire à réviser le système. - Il n’y a pas un tableau idéal unique, une multitude de tableaux sont possibles qui sont scientifiquement corrects, mais inégaux devant notre besoin de comprendre la structure de l’atome et en particulier sa symétrie d’ordre 4. Le système du québécium et ses tableaux, à la différence de ce qui était admis jusqu’ici, mettent en évidence pour la 1re fois cette symétrie et annoncent une compréhension meilleure de l’organisation de l’atome.

Réf. 412. http://www.chem.ucla.edu/dept/Faculty/scerri/ - pubs

Complete Publications134. The Role of Triads in the Evolution of the Periodic System, Past and Present, Journal of Chemical Education, 85, 585-589, 2008

Réf. 411. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/425370/manifestations-contre-les-politiques-d-austerite-samedi-a-quebec-et-montreal

Manifestations contre les politiques d’austérité samedi à Québec et Montréal29 novembre 2014 10h30|La Presse canadienne| Actualités en société Selon le collectif, le refus du gouvernement Couillard de considérer des solutions fiscales pour aller chercher des revenus supplémentaires démontre «qu’il ne sert absolument pas les intérêts de la grande majorité de la population, mais bien ceux d’une minorité de privilégiés».

Ce pelé ce galeux...

Jouer au pauvre gueux, assis sur un coffre plin de ptièces d'or, dont on détient la clé!

Ladette de lOntarion envers le Québec!

R.f, 410. gvallver.perso.univ-pau.fr/?p=195 Fichier source : series_atome_H.texFichier pdf : series_atome_H.pdf

Germain Salvato-Vallverdu

.

.

Réf. 409. fr.wikipedia.org/wiki/Atome_d'hydrogène#Couche_K

"Au-delà de l'argon, il y a une anomalie due à la répulsion électrostatique entre les électrons : le mode 4s se met à la place de 3d. Le modèle de l'atome d'hydrogène ne s'applique donc que jusqu'à l'argon. Au-delà, l'ordre des sous-couches diffère de celui prévu par le modèle de la cavité sphérique comme de celui de Schrödinger. Pour prévoir l'ordre réel on a des règles empiriques (Aufbau, Hund, Klechkowski ou Madelung). Connaissant ces anomalies, on peut construire la Table périodique des éléments ou bernardschaeffer.canalblog.com"

Réf. 408. http://www.u-picardie.fr/~dellis/TpMaitrise/Rx.htm

séries de H Lyman, Balmer, Paschen. Brackett

..

L'atome d'hydrogène. Voilà 6 de ses niveaux d'énergie.

Les transitions entre ces niveaux sont à l'origine des rayonnements qu'il émet.

Les niveaux individuels ont des correspondances avec l'organisation des 120 atomes du tableau des éléments.

Merci Université de Picardie. Réf. http://www.u-picardie.fr/~dellis/TpMaitrise/Rx.htm

. .

Réf. Lalanne.

Réf. 407. http://hal.archiSURL’ÉQUATIONDEDIRACparAL. PROCAInstitutduRadium,Paris.ves-ouvertes.fr/file/index/docid/233025/filename/ajp-jphysrad_1930_1_7_235_0.pdf

https://hal.archives-ouvertes.fr/file/index/docid/233025/filename/ajp-jphysrad_1930_1_7_235_0.pdf

Al. Proca. Sur l'equation de Dirac. J. Phys. Radium, 1930, 1 (7), pp.235-248.<10.1051/jphys-rad:0193000107023500>.<jpa-00233025>

Réf. 406. http://centenairepierredemers.com/Film/Voeux par Joël Demers bande annonce

Mon père, Pierre Demers, Artiste des SciencesExtraits des voeux d'anniversaire pour le 8 novembre 2014Retour à la page : Les films

Réf. 405. publications.gc.ca/Collection-R/LoPBdP/BP/bp241-f.htm

BP-241 FLES SERMENTS D'ALLÉGEANCE ET LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA. Rédaction : James R. Robertson Division du droit et du gouvernement Octobre 1990.

Quelques années plus tard, Louis Riel fut élu à la Chambre des communes pour représenter la circonscription de Provencher, d’abord à l’occasion d’une élection partielle, en 1873, et, par la suite, aux élections générales de 1874. À la suite de sa victoire de 1874, Riel, qui cherchait à éviter d’être arrêté, se rendit à Hull. Le 30 mars 1874, il traversa la rivière des Outaouais avec un autre député, Romuald Fiset, et se rendit à la Chambre des communes pour signer le registre des députés et prêter le serment d’office. Cela étant fait, il s’empressa de retourner à Hull où il fut arrêté. Il semble que le greffier de la Chambre, qui faisait prêter le serment, n’a pas reconnu Riel jusqu’à ce qu’il parte(12).Riel avait été élu conformément à la loi et avait été assermenté; son nom avait été inscrit au procès-verbal, mais il n’a pas eu recours à l’un ou l’autre de ses privilèges de député(13). La Chambre des communes lui ordonna de comparaître en Chambre, ce qu’il ne pouvait faire de crainte d’être arrêté, et, après un débat orageux, il faut expulsé sous prétexte qu’il n’avait pas respecté l’ordre donné. De toute manière, on ne l’a jamais accusé d’avoir refusé de prêter serment ni d’avoir manqué à son serment.

Bien que la Chambre expulse rarement un membre élu, elle l’a quand même fait deux fois dans le cas de Louis Riel, en 1874-1875, ainsi qu’en 1891 pour Thomas McGreevy et en 1947 pour Fred Rose. Dans deux de ces cas, la Chambre n’a pas adopté officiellement une motion d’expulsion. À l’occasion de la seconde expulsion de Riel, la Chambre a simplement fait remarquer qu’il semblait avoir « été déclaré hors-la-loi pour trahison, » et qu’il était par conséquent privé de l’exercice de ses droits; dans le cas de Rose, elle a simplement déclaré celui-ci «incapable de siéger ou de voter dans cette Chambre » lorsqu’il a été emprisonné (16). Dans aucun de ces cas, même dans celui de Rose, qui avait été reconnu coupable de trahison, la question du viol du serment d’allégeance n’a pas été soulevée. En prêtant le serment d’allégeance, elles promettent de se conduire de façon « patriotique » et conforme à l’intérêt supérieur du pays. Le serment rappelle également aux personnes qui le prêtent les obligations et les fonctions sérieuses qu’elles assument.

Depuis 1982, on demande aux membres de l’Assemblée nationale du Québec de prêter un deuxième serment. L’article 15 de la Loi sur l’Assemblée nationale, L.R.Q., ch. A-23.1, porte que : « Un député ne peut siéger à l’Assemblée avant d’avoir prêté le serment ou fait la déclaration solennelle prévue à l’annexe I. » L’annexe I contient le serment ou la déclaration solennelle qui suit :

Je, (nom et prénom du député), jure (ou déclare solennellement) que je serai loyal envers le peuple du Québec et que j’exercerai mes fonctions de député avec honnêteté et justice dans le respect de la constitution du Québec.

Selon le Manuel des membres de l’Assemblée nationale :Les auteurs de droit parlementaire (Beauchesne, 4e éd., p. 14) affirment que le serment d’allégeance à la reine prescrit par l’article 128 de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique signifie l’allégeance à la Patrie, tandis que le serment prévu à l’article 15 de la Loi sur l’Assemblée nationale en est un de loyauté au peuple et à la constitution du Québec(18).Cette distinction entre les deux serments, ainsi que la signification donné au serment exigé en vertu de la Constitution, permet probablement aux députés qui pourraient autrement s’y opposer de prêter le serment en question.

Réf. 405. http://www.meta-synthesis.com/webbook/35_pt/pt_database.php?Button=Spiral+Formulations

Muradjan's Mathematical Structure of The Periodic Table

Réf. 404. gsjournal.net/Science-Journals/Research Papers-Quantum Theory / Particle Physics/Download5755

08.11.2014 Aco Z. Muradjan maks06@gmail.com

Réf. 403. images.math.cnrs.fr/Alexandre-Grothendieck.html

« Survivre et Vivre » (qui s’appelait d’abord « Survivre » sans plus) est le nom d’un groupe, à vocation d’abord pacifiste, ensuite également écologique, qui a pris naissance en juillet 1970 (en marge d’une « Summer School » à l’Université de Montréal), dans un milieu de scientifiques (et surtout, de mathématiciens).

Réf. 402. link.springer.com/article/10.1007%2Fs10698-006-9026-6

Foundations of ChemistryJuly 2007, Volume 9, Issue 2, pp 189-214Date: 04 Nov 2006Mathematical Aspects of the Periodic LawGuillermo Restrepo,Leonardo Pachón AbstractWe review different studies of the Periodic Law and the set of chemical elements from a mathematical point of view. This discussion covers the first attempts made in the 19th century up to the present day. Mathematics employed to study the periodic system includes number theory, information theory, order theory, set theory and topology. Each theory used shows that it is possible to provide the Periodic Law with a mathematical structure. We also show that it is possible to study the chemical elements taking advantage of their phenomenological properties, and that it is not always necessary to reduce the concept of chemical elements to the quantum atomic concept to be able to find interpretations for the Periodic Law. Finally, a connection is noted between the lengths of the periods of the Periodic Law and the philosophical Pythagorean doctrine.

Réf. 401. images.math.cnrs.fr/Alexandre-Grothendieck.html

[27] Initialement baptisé Survivre, ce groupe a été fondé par Grothendieck en juillet 1970, à Montréal. Il le quittera en 1973, en allant s’installer dans le sud de la France. À ce sujet, on lira avec intérêt le mémoire que lui a consacré Céline Plessis (EHESS).

http://images.math.cnrs.fr/Alexandre-Grothendieck.html

Réf. 400. · Alexandre Grothendieck — Wikipédia

fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Grothendieck

Alexandre ou Alexander Grothendieck, né le 28 mars 1928 à Berlin, mort le 13 novembre 2014 à Saint-Lizier, près de Saint-Girons (Ariège), est un ...

Biographie - Travaux et influence - Œuvre - Notes et références

· Alexander Grothendieck - Wikipedia, the free encyclopedia

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Alexander Grothendieck was a German-born French mathematician, and the leading figure in creating modern algebraic geometry. His research program vastly ...

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Dans les actualités

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Mort d'Alexandre Grothendieck, le mathématicien qui vivait reclus

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8 févr. 2012 - Alexandre Grothendieck, 83 ans [2], ne veut voir personne et ceux qui veillent sur lui, à distance, refusent de vous donner le nom de son village ...

· Grothendieck Circle

www.grothendieckcircle.org/

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URL: www.grothendieckcircle.org. The long-term goal of the Grothendieck Circle is to make publicly available (and in some cases translate) published and ...

· Alexandre Grothendieck : le génie secret des ... - GQ

www.gqmagazine.fr/pop-culture/gq-enquete/...grothendieck.../13425

Retiré sur les contreforts des Pyrénées, Alexandre Grothendieck a reçu (et dénigré) les plus hautes récompenses de la planète. Ce mathématicien aussi génial ...

· Mort d'Alexandre Grothendieck, le plus grand ...

www.huffingtonpost.fr/.../alexandre-grothendieck-grand-mathematicien...

Il y a 3 jours - DISPARITION - Alexandre Grothendieck, l'un des plus grands mathématiciens du XXe siècle, est décédé à l'hôpital de Saint-Girons (Ariège) à ...

· Mort d'Alexandre Grothendieck, génie solitaire des ... - Rue89

rue89.nouvelobs.com/.../mort-dalexandre-grothendieck-genie-solitaire-...

Il y a 3 jours - Adolescent, Alexandre Grothendieck découvre les mathématiques alors qu'il est interné au camp de concentration de Rieucros, près de ...

· Alexander Grothendieck , sur les routes d'un génie

grothendiecklefilm.tumblr.com/

Grothendieck est un inconnu célèbre qui fait infiniment parler, surtout depuis son silence. Ce très grand mathématicien de la seconde moitié du vingtième siècle ...

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Réf. 399. http://www.ledevoir.com/societe/science-et-technologie/423941/alexandre-grothendieck-geant-des-mathematiques-et-ermite-radical

Alexandre Grothendieck 1928-2014Un géant des mathématiques et ermite radical n’est plus15 novembre 2014 | Myriam Chaplain Riou - Agence France-Presse à Paris | Science et technologie

Réf. 398. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/424076/la-babelisation-des-univers-numeriques

Vers une «babélisation» des univers numériques17 novembre 2014 |Fabien Deglise | Actualités en société

Réf. 397. http://webusers.imj-prg.fr/~leila.schneps/grothendieckcircle/GrothBiblio.pdf

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En français.

Réf. 396. http://educ.csmv.qc.ca/mgrparent/Psi-periodique/periodique.html - tableau

La classification périodique: En chimie, loi selon laquelle de nombreuses propriétés physiques et chimiques des éléments tendent à se répéter de façon systématique dans l'ordre croissant des numéros atomiques. Le terme classification périodique ou tableau périodique désigne également la représentation graphique de la loi sous forme de tableau regroupant tous les éléments connus. Dans le tableau périodique, les propriétés des éléments se reproduisent avec une certaine périodicité. Ainsi, les atomes séparés par 2, 8, 18 et 32 éléments ont certaines propriétés semblables. Par exemple, le second élément (hélium) a une réactivité chimique semblable au 10e élément (néon), au 18e (argon), au 36e (krypton), au 54e (xénon) et au 86e élément (radon). Par exemple, la famille chimique des halogènes, constituée des éléments 9 (fluor), 17 (chlore), 35 (brome), 53 (iode) et 85 (astate), regroupe des composés extrêmement réactifs Revenir au site de l'école secondaire Mgr-A.-M.-Parent. Revenir au site du Programme de Sciences assisté par Informatique (PSI)Copyright © 1999-2003 [École secondaire Mgr-A.-M.-Parent] Site élaboré par Cliff Ayotte, Éric Migneault et leurs élèves de PSI SEC. 2.

Tous droits réservés. Copyright © 2003 [École secondaire Mgr-A.-M.-Parent] Infographie remodelée par Edmond-Claude Pelletier, alors étudiant en PSI Sec 2 - Gr. 271. Tous droits réservés.

Réf. 395. www.technologyreview.com/view/415613/a-new-graphical-representation-of-the-periodic-table/

A New Graphical Representation of the Periodic Table. But is the latest redrawing of Mendeleev’s masterpiece an improvement?

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Réf. 394.

http://arxiv.org/abs/0910.0273

1. arXiv:0910.0273 [pdf] An Alternate Graphical Representation of Periodic table of Chemical Elements Mohd Abubakr Comments: 8 pages, 4 figures Subjects: General Physics (physics.gen-ph)

arxiv.org/ftp/arxiv/papers/0910/0910.0273.pdf Fig 2: Long form of periodic table. Recently, Maurice Kibler proposed the application of group SO(4,2)SU(2) to the periodic table of chemicalelements [5-6].If true, this is an important discovery as it opens doors for revealing new symmetries within elements.

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Réf. 393. www.wseas.org/wseas/cms.action?id=5705

copyright is transferred to WSEAS. language. Pierre Borne, IEEE France the integrity of the academic record. anonymity

Réf. 392. www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/423279/une-chaire-d-etude-sur-le-beluga

Une chaire d’étude sur le bélugaTransCanada veut s’associer à l’Institut des sciences de la mer de Rimouski7 novembre 2014 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement

NDLR. L'UQAR, son financement est-il québécois ou canadien?

Réf. 391. www.ledevoir.com/societe/science-et-technologie/423444/pierre-demers-veteran-de-la-bombe-a-malgre-lui

Pierre Demers, vétéran de la bombe A malgré lui10 novembre 2014 |Mélanie Loisel

| Science et technologie À quelques mois de la sortie du film sur sa vie, Artiste des sciences, Le Devoir a rencontré le physicien québécois Pierre Demers. Nouvellement centenaire, ce grand témoin du siècle dernier a, bien malgré lui, contribué à l’invention de la bombe atomique.

Nicole Faucher - Abonné10 novembre 2014 10 h 17Nicole J.Quel belle découverte que ce grand homme québécois indépendantiste ! Bravo pour cet article sur sa vie.Bernard TerreaultRépondreSignaler

Bernard Terreault - Abonné10 novembre 2014 11 h 25Tout un numéroPierre Demers est probablement le premier Québécois francophone à obtenir un doctorat en physique, en physique nucléaire en tout cas. C'était un original sympathique, certains diraient excentrique. Mais dire qu'il a été le prof du célèbre Hubert Reeves est un peu racoleur dans le sens où M. Demers, comme quelques autres pionniers (par exemple les professeurs Lorrain et Rouault), a enseigné certains des cours de physique de l'UdeM au temps héroiques (années 50) où Hubert Reeves et plusieurs autres moins connus ont fréquenté cette institution. Et Hubert Reeves n'a pas fait son doctorat à l'UdeM, mais à l'Université Cornell sous la direction du célèbre astrophysicien Salpeter, qui peut être appelé son véritable maître. Il a ensuite enseigné quelques années à l'UdeM pour le plus grand bonheur de ma génération d'étudiants. Puis il est parti en France, toute une perte pour le Québec, qui ne lui offrait pas à cette époque la possibilté de mener des recherches à la mesure de son talent.

NDLR

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Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Le physicien Pierre Demers travaillait dans un laboratoire secret de l’Université de Montréal lors de la Seconde Guerre mondiale. .

Réf. 390. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/423516/reseau-de-la-sante-ottawa-finance-l-essor-de-l-anglais

Réseau de la santéOttawa finance l’essor de l’anglais. Le gouvernement libéral cautionne une intrusion dans un champ de compétence du Québec11 novembre 2014 | Robert Dutrisac - Correspondant parlementaire à Québec | Québec éseau de la .Robert Dutrisac - Correspondant parlementaire à Québec | Québec

. Photo: Jacques Nadeau Archives Le Devoir Plutôt que de rendre bilingue l’ensemble du réseau de la santé, les établissements devraient se concentrer sur «la relation patient-soignant», préconise l’IREC. .

Réf. 390. http://fr.wikipedia.org/wiki/Concile_de_Trente

"Rapidement, cependant, les Pères conciliaires entendent s'affranchir de la tutelle impériale.

il débute le 13 décembre 1545 et se termine le 4 décembre 1563. Étalées sur dix-huit ans

Réf. 389.

www.ledevoir.com/politique/quebec/423015/philippe-couillard-defend-son-usage-exclusif-de-l-anglais-a-l-etranger

Le premier ministre Philippe Couillard ne voit aucun problème à s’exprimer exclusivement en anglais dans les forums internationaux.M. Couillard estime que l’usage exclusif de l’anglais s’impose parfois lorsqu’il s’agit d’«une intervention importante» devant des interlocuteurs internationaux. En fin de semaine dernière, le premier ministre libéral s’est attiré des critiques pour avoir complètement ignoré le français dans une allocution à la conférence Arctic Circle à Reykjavik en Islande.En Chambre, mercredi, M. Couillard a dit trouver «exagérées» les remontrances du chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, qui invoquait le «devoir des élus» de faire la promotion du français dans leurs fonctions officielles.Le premier ministre a expliqué qu’il avait choisi de s’exprimer uniquement en anglais en Islande parce qu’il n’y avait pas de service de traduction simultanée pour accommoder l’auditoire.Comme il s’agissait d’une intervention importante portant sur le développement économique du Québec, il fallait s’assurer que l’auditoire comprenne le message, a justifié M. Couillard.Voter 1 voteHautVous devez être connecté pour rédiger un commentaire.Connectez-vous ou Créer un profilVeuillez prendre note que ce texte n'est pas ouvert aux commentaires. Philippe Couillard défend son usage exclusif de l’anglais à l’étranger5 novembre 2014 18h53 | Martin Ouellet - La Presse canadienne à Québec | Québec

Réf. 388. www.ledevoir.com/politique/quebec/419564/transport-du-petrole-parent-pauvre-le-quebec-doit-faire-sa-part

26 septembre 2014 | Robert Dutrisac - Correspondant parlementaire à Québec | Québec

Pierre Demers - Abonné 26 septembre 2014 15 h 29Parent pauvre, le Québec? L’Ontario, mauvaise payeuse, nous doit une fortune.===Parent pauvre, le Québec? L’Ontario, mauvaise payeuse, nous doit une fortune. Parent pauvre, le Québec? Or, en 2014, l’Ontario, mauvaise payeuse, nous doit une fortune. En 1841, la dette de l'Ontario envers le Québec, jamais réglée depuis ce temps, était de 6 115 085,95 $. Pour en savoir davantage, cherchez Science et Francophonie LISULF en ligne.Pierre Demers 1914 LISULF 26IX2014

L'Ontario se résoudra-t-elle à devenir bonne payeuse, pour sauver son honneur et son avenir?

Réf. 387. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/422989/quebec-hollande-veut-voir-naitre-une-alliance-visionnaire

Réf. 386. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/422862/couillard-le-francais-et-champlain-indigne

Couillard, le français et ChamplainIndigne 4 novembre 2014 |Antoine Robitaille Québec

On savait Philippe Couillard peu sensible au fait français. À de multiples reprises, il l’a démontré. Avec son discours unilingue anglais en Islande, il a dépassé les bornes, projetant son inconscience sur la scène internationale. Le même jour, il a accueilli benoîtement le changement de nom du pont Champlain qu’impose Ottawa. Deux gestes indignes du premier ministre du Québec. On dirait que M. Couillard, lui, n’a pas compris que, devant des étrangers, tant qu’il sera le chef du gouvernement québécois, il n’est pas le docteur Couillard, citoyen du monde au mirifique parcours. Il est « plus » que lui-même : il représente, voire incarne le Québec. Il doit parler sa langue officielle, le français, sacrée telle par le libéral Robert Bourassa en 1974. Depuis son élection, en plusieurs circonstances, l’habit de premier ministre allait comme un gant à Philippe Couillard. Samedi à Reykjavik, il semblait flotter dedans. Même Jean Charest, pourtant plus à l’aise en anglais qu’en français, n’a jamais commis un tel impair.

Réf. 385. http://www.ledevoir.com/politique/canada/422832/ottawa-francois-hollande-parle-securite-et-environnement

L'éducation

Tôt en début de journée, le président Hollande a pris part à une séance de travail autour du gouverneur général David Johnston, représentant de la reine Elizabeth, sur l’éducation et la recherche. Une séance en présence de la ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem, de présidents d’université et de chercheurs.

L’éducation devait également être un volet majeur de l’étape au Québec en raison de la volonté du gouvernement provincial de tripler les droits d’inscription des 12 000 étudiants français dans les universités de la province francophone.

Ottawa: François Hollande parle sécurité et environnement 3 novembre 2014 16h24 | CanadaAgence France-Presse à OttawaLa Presse canadienne

¨parent pauvre, le Québec"?

S'il en est ainsi, c'est dû en grande partie à la circonstance historique sur laquelle tous les politiciens de nos jours gardent silence, d'une dette énorme de l'Ontario envers le Québec en 1867, jamais réglée.

Je note:

L'éducation

Tôt en début de journée, le président Hollande a pris part à une séance de travail autour du gouverneur général David Johnston, représentant de la reine Elizabeth, sur l’éducation et la recherche. Une séance en présence de la ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem, de présidents d’université et de chercheurs.

L’éducation devait également être un volet majeur de l’étape au Québec en raison de la volonté du gouvernement provincial de tripler les droits d’inscription des 12 000 étudiants français dans les universités de la province francophone.

Je dis.

Dommage qu'il s'adresse au gouvernement d'Ottawa à propos d'éducation et de recherche, alors que

1o Le Québec n'est plus dans le Canada depuis 1982, et le Canada est un intrus au Québec depuis ce temps. Le Québec ne fait plus partie de la Confédération.

2o Jusqu'en 1982, éducation et recherche en enseignement supérieur étaient du domaine provincial. le Canada était déjà un intrus au Québec dans ce temps-là..

Réf. 384

http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/opinions/200811/18/01-801825-une-disgrace-pour-luqtr.php

Publié le 18 novembre 2008 à 09h02 | Mis à jour le 18 novembre 2008 à 09h15

Une disgrâce pour l'UQTR. L'auteur, Jean-Luc Dion, est titulaire retraité et professeur associé au... (Photo: Stéphane Lessard)AgrandirPhoto: Stéphane LessardAjouter à Ma PresseTaille du texteImprimerEnvoyerÀ lire aussiUne bière qui a la poigne à Jean ChrétienRien ne va plusDestination Gatineau, un projet à revoirPatient orphelin cherche examen annuelSur le même thèmeBill ClennettLe NouvellisteL'auteur, Jean-Luc Dion, est titulaire retraité et professeur associé au département de génie électrique et de génie informatique de l'UQTR.

Je salue le courage de mon excellent collègue, Pierre-André Julien, qui a osé, dans sa lettre d'opinion du 10 novembre, s'élever contre la décision du conseil d'administration de l'UQTR de décerner un doctorat honoris causa à Jean Chrétien. Comme de très nombreux membres du personnel de l'Université, j'endosse entièrement les arguments de monsieur Julien, car un seul des faits qu'il rappelle devrait suffire à disqualifier M. Chrétien pour un tel honneur...Si, au cours de ses 40 années de carrière comme résident d'Ontario et ministre à Ottawa, cet ancien citoyen de Shawinigan a bien posé quelques gestes normaux et bienvenus de la part d'un député, la somme de ses actions négatives et perverses envers le Québec et les Québécois est écrasante.

Notre devise étant «Je me souviens», il importe de se souvenir de la continuité des gestes dévalorisants, provocateurs et parfois grossiers du personnage.Octobre 1970: Jean Chrétien joue un rôle important dans le gouvernement Trudeau qui décrète sous de faux prétextes l'occupation militaire du Québec et la suspension des libertés civiles: près de 500 Québécois, intellectuels et autres de tous les milieux, sont emprisonnés pendant des semaines sans aucune raison démontrée, autre que de faire peur à la population dans une opération prévue dès 1968.

Novembre 1981: Jean Chrétien téléphone pendant la nuit à neuf des dix premiers ministres du Canada et conclut un pacte avec ces chefs pour imposer une nouvelle Constitution qui exclura le Québec et enlèvera des droits à notre Assemblée nationale. Cette Constitution a été unanimement rejetée par cette dernière.Juin 1990: Jean Chrétien, aidé de quelques personnes, dont Clyde Wells alors premier ministre de Terre-Neuve, fait avorter l'Accord du lac Meech. Au cours de cet été-là, des Mohawks armés occupent la pinède d'Oka pendant des semaines et créent ainsi une diversion qui fait bien l'affaire du gouvernement canadien, alors qu'environ 70% des Québécois étaient prêts à voter pour la pleine souveraineté du QuébecOctobre 1995: le «Oui» perd le référendum par moins de 1% des voix exprimées. Après avoir affirmé qu'il en reconnaîtra le résultat, on apprend par le journal «The Gazette», le 24 novembre 2003, que Chrétien avait un «plan B» prévoyant l'envoi de l'armée au Québec sous le prétexte de la protection des édifices fédéraux, ainsi que le refus de toute négociation, même s'il y avait 55% de Oui.À partir de ce moment, Chrétien met tout en oeuvre pour acheter la conscience des Québécois: c'est le triste épisode des commandites et d'un terrible détournement de fonds publics.

Des centaines de millions de dollars seront empochés par les p'tits amis du régime. La Commission d'enquête du juge Gomery permettra de fouiller un peu dans ce panier de crabes et d'en pincer quelques-uns. Mais le grand responsable lui-même se moquera publiquement du juge Gomery en offrant une balle de golf autographiée achetée avec l'argent des «commandites». Il s'en tire honteusement.Tout au long de sa carrière, il fait honte au Canada et au Québec dans plusieurs gestes d'inculture et de grossièreté, ici et à l'étranger. Il faut se souvenir de sa tournée du Proche-Orient en 2000, de l'altercation disgrâcieuse avec Bill Clennett en 1996, l'affaire du «flag su'l hood», etc.C'est, en résumé, quelques-unes des raisons pour lesquelles l'UQTR devrait revenir sur cette décision malheureuse qui ternirait sa réputation. Nos administrateurs éclairés trouveront sans doute facilement une excuse.

Réf. 383. http://fr.canoe.ca/infos/international/archives/2014/11/20141102-013345.html

OTTAWA - La Francophonie vit un «tournant»

http://fr.canoe.ca/infos/international/archives/2014/11/20141102-013345.htmlhttp://fr.canoe.ca/infos/international/archives/2014/11/20141102-013345.html

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Réf. 382. fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiqueprovinciale/archives/2014/11/20141101-161639.html

Charles Lecavalier01-11-2014 | 16h16Dernière mise à jour: 01-11-2014 | 17h07EYKJAVIK, Islande - Philippe Couillard croit que «le monde entier sait que le Québec est francophone» et qu'il n'a pas besoin de parler le français dans les forums internationaux.«L'important pour nous est que l'auditoire comprenne le message, a dit le premier ministre lors d'un point de presse à Reykjavik. Il n'y a pas de traduction simultanée ici. Je suis là pour parler du Plan Nord, pour parler du Québec, parler des occasions de développer ça en commun. Je pense que le message a bien passé et c'est ça le plus important.»Généralement, les premiers ministres du Québec prononcent toujours quelques phrases en français lorsqu'ils font une allocution publique à l'étranger, même lorsqu'ils s'adressent à un auditoire anglophone.M. Couillard a plutôt choisi de faire un discours uniquement en anglais lors de son passage à la conférence Artic Circle, qui a lieu dans la capitale de l'Islande.Lorsqu'un journaliste lui a demandé si, comme leader de la francophonie, il ne devrait pas en faire davantage pour faire rayonner la langue française comme langue internationale, il a répondu, irrité, que «le monde entier sait que le Québec est francophone».«De la même façon que le monde entier sait que l'Islande parle islandais, que la Finlande parle... la langue de la Finlande et que leurs chefs d'État sont venus ici présenter en anglais», a lancé le premier ministre.«Tout le monde sait que le Québec est francophone. Si on est rendu au point où il faut dire aux gens que le Québec est francophone, on a un problème», a ajouté M. Couillard, qui a ensuite mis fin abruptement au point de presse.E

Réf. 381. front.math.ucdavis.edu/9512.7031,

Front for the arXivThu, 30 Oct 2014Front > physics > atom-ph > 9512 > atom-ph/9512001 search | register | submitjournals | about | iFAQatom-ph/9512001[pdf] [ps] [dvi] [src] [arxiv]Title: The Periodic Table in FlatlandAuthors: T. Negadi, M. KiblerCategories: physics.atom-ph Atomic Physics (physics.chem-ph Chemical Physics; physics.quant-ph Quantum Physics)Comments: 18 pages, Latex File, to be published in Int. J. Quantum ChemReport number: LYCEN 9506Abstract: The $D$-dimensional Coulomb system serves as a starting point for generating generalized atomic shells. These shells are ordered according to a generalized Madelung rule in $D$ dimensions. This rule together with an {\it Aufbau Prinzip} is applied to produce a $D$-dimensional periodic table. A model is developed to rationalize the ordering of the shells predicted by the generalized Madelung rule. This model is based on the introduction of an Hamiltonian, invariant under the $q$-deformed algebra $U_q($so$(D))$, that breaks down the SO($D+1$) dynamical symmetry of the hydrogen atom in $D$ dimensions. The $D=2$ case (Flatland) is investigated with some details. It is shown that the neutral atoms and the (moderately) positive ions correspond to the values $q=0.8$ and $q=1$, respectively, of the deformation parameter $q$.Owner:Version 1: Sat, 2 Dec 1995 09:38:27 GMT[help e-mail] - for questions or comments about the FrontarXiv contact page - for questions about downloading and submitting e-prints

Réf. 380. lisulf.quebec/SF028.htm

La dette du Haut-Canada, le scandale Torontois.***** **L'étude de Pierre Corbeil, une analyse comptable.Pierre Demers. Réf. 1. 2000. Pierre Corbeil Ph.D. Drummondville. La dette fédérale dans une perspective historique.Pierre Corbeil Ph.D. Drummondville. Décembre

Réf. 379.

? chercher capauxdiamants

https://capauxdiamants.org/medailles/

Le compte rendu du Congrès en deux volumes a été publié en 1913. On a aussi frappé pour l’occasion, une médaille dont la description officielle est la suivante :

« La médaille porte, à l’avers, la figure d’une jeune mère de famille canadienne, personnification idéale de notre nationalité, dans une noble posture, le bras droit reposant affectueusement sur l’épaule de son fils aîné, à qui elle interprète les hautes leçons de patriotisme rayonnant au livre de notre histoire, que, de la main gauche, elle tient appuyé sur ses genoux et ouvert à l’endroit où se détachent les noms aimés de Champlain, de Laval, de Montcalm et de Lévis. Sur le sol, aux pieds de la mère canadienne, le fils cadet, un tout jeune enfant, a interrompu les débats de son âge et tournant vers le groupe qui le domine une figure où brille un air d’intelligence et de précoce attention, il prête aussi l’oreille aux enseignements maternels. Dans le lointain de la perspective apparaît la modeste église canadienne-française, avec son clocher à la pointe effilée, se détachant sur le fond des premiers contreforts de nos Laurentides. Au bas de ce délicieux tableau, on lit ces simples mots, très expressifs : PARLONS FRANÇAIS!

Réf. 378. http://www.lapresse.ca/arts/201405/05/01-4763638-helene-david-lelegance-de-la-bucheuse.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS1

http://www.recteur.umontreal.ca/equipe-de-direction/vice-rectrice-aux-relations-internationales-a-la-francophonie-et-aux-partenariats-institutionnels/biographie/

. .

Réf. 377. http://www.ledevoir.com/international/etats-unis/422216/douze-nobel-de-la-paix-appellent-obama-a-faire-la-lumiere-sur-la-torture

Douze Nobel de la paix appellent Obama à faire la lumière sur la torture27 octobre 2014 10h39 |Agence France-Presse | États-Unis Début août, M. Obama, lui-même prix Nobel de la Paix, avait reconnu en termes très directs que les États-Unis avaient pratiqué la torture. « Nous avons torturé des gens », avait-il lancé. La publication du rapport du Sénat sur ces pratiques a été maintes fois repoussée en raison d’un bras de fer avec la CIA qui s’oppose à la déclassification de certaines informations.

Photo: Brendan Smialowski Agence France-Presse Début août, Barack Obama, lui-même prix Nobel de la Paix, avait reconnu en termes très directs que les

Réf. 376. www.polymtl.ca/recherche/rc/professeurs/details.php?NoProf=108&showtab=PUB

534, St-Amand, R., Savaria, Y., Sawan, M. (1994). Design Optimization of a Current Source for Microstimulator Applications. Proceedings of the 37th Midwest Symposium on Circuits and Systems, p. 129-13

,...

1, Lakkis, S., Younes, R., Alayli, Y., Sawan, M. (2014). Review of Recent Trends in Gas Sensing Technologies and Their Miniaturization Potential. Sensor Review, 34(1), p. 24-35.

Réf. 375. professeurs.uqam.ca/component/savrepertoireprofesseurs/ficheProfesseur?mId=xqgg5fJE5Pk_

PublicationsPublications en lignehttp://www.lacim.uqam.ca/~brlek/Recherche/ListePublis/ListePublis.htmlArticles scientifiquesA41.

A. Blondin-Massé, S. Brlek, A. Garon, S. Labbé, Two infinite families of polyominoes that tile the plane by translation in two distinct ways, Theoretical Computer Science (2010) (Accepted)A40. S. Brlek, C. Reutenauer, Complexity and palindromic defect of infinite words, Theoretical Computer Science (2010) (Accepted)A39. S. Brlek, M. Koskas, X. Provençal, A linear time and space algorithm for detecting 2D path intersection, Theoretical Computer Science (2010) (Accepted)A38. A. Blondin-Massé, S. Brlek, A. Garon, S. Labbé, Equations on palindromes and circular words, Theoretical Computer Science (2010) (In Press)A37. A. Blondin Massé, S. Brlek, S. Labbé and L. Vuillon, Return words in codings of rotations, Theoretical Computer Science (2010) (Submitted)A36. E. Barcucci, S. Brlek, S. Brocchi, PCIF : An algorithm for lossless true color image compression, Software Practice and Experience (2010) (Submitted)A35. A. Blondin-Massé, S. Brlek, S. Labbé, M. Mendès France, Fibonacci snowflakes, Special Issue dedicated to Paulo Ribenboim, Annales des Sciences Mathématiques du Québec (2009) (In Press)A34. V. Berthé, S. Brlek, P. Choquette, A new characterization of the Fibonacci word, Proceedings of the Eleventh International Conference on Fibonacci Numbers and their Applications. Congressus Numerantium 194 (2009) 67-76A33. S. Brlek, J.-O. Lachaud, X. Provençal, C. Reutenauer, Lyndon+Christoffel = digitally convex, Pattern Recognition 42 (2009) 2239-2246A32. S. Brlek, J.-M Fédou, X. Provençal, On the Tiling by Translation Problem, Discrete Applied Mathematics 157 (2009) 464-475A31. A. Blondin-Massé, S. Brlek, A. Garon, S. Labbé, Combinatorial properties of f-palindromes in the Thue-Morse sequence, Pure Mathematics and Applications 19 Issues 2-3 (2008) 39-52A30. S. Brlek, G. Labelle, A. Lacasse, Discrete sets with minimal moment of inertia, Theoretical Computer Science 406 Issues 1-2 (2008) 31-42A29. S. Brlek, D. Jamet, G. Paquin, Smooth words on 2-letter alphabets having same parity, Theoretical Computer Science 393 Issues 1-3 (2008) 166-181A28. S. Brlek, G. Labelle, A. Lacasse, Shuffle operations on discrete paths, Theoretical Computer Science 391 Issues 1-2 (2008) 75-89A27. A. Blondin-Massé, S. Brlek, A. Glen, S. Labbé, On the critical exponent of generalized Thue-Morse sequences, Discrete Mathematics and Theoretical Computer Science vol. 9:1 (2007) 293-304A26. S. Brlek, S. Hamadou, J. Mullins, A probabilistic scheduler for the analysis of cryptographic protocols, Electronic Notes in Theoretical Computer Science Volume 194, Issue 1, (2007) 61-83A25. S. Brlek, C. Reutenauer, Preface, Theoretical Computer Science 380:3 (2007) 219A24. G. Paquin, G. Melançon, S. Brlek, Properties of the extremal infinite smooth words, Discrete Mathematics and Theoretical Computer Science DMTCS vol. 9:2 (2007) 33-50A23. S. Brlek, G. Labelle, A. Lacasse, Properties of the contour path of discrete sets, International Journal of Foundations of Computer Science, Vol. 17, No. 3 (2006) 543-556A22. S. Brlek, E. Pergola, O. Roques, Non Uniform Random Generation of Generalized Motzkin Paths, Acta Informatica 42 number 8-9 (2006) 603-616A21. S. Brlek, A. Frosini, S. Rinaldi, L. Vuillon, Tiling by translations: enumeration by a rational language approach, Electronic Journal of Combinatorics 13 (2006), #R15A20. S. Brlek, S. Dulucq, A. Ladouceur, L. Vuillon, Combinatorial properties of smooth infinite words, Theoretical Computer Science 352 Issues 1-3 (2006) 306-317A19. S. Brlek, S. Hamadou, J. Mulllins, A Flaw in the Electronic Commerce Protocol SET, Information Processing Letters (available online October 28, 2005) 97 no.3 (2006) 104-108A18. S. Brlek, G. Labelle, A. Lacasse, The Discrete Green Theorem and some Applications in Discrete Geometry, Theoretical Computer Science 346 no. 2-3 (2005) 200-225

Srecko Brlek

Département d'informatique

Faculté : Faculté des sciences

Poste de professeur : Professeur

Courriel : brlek.srecko@uqam.ca

Téléphone : (514) 987-3000 poste 7775

Local : PK-4715

Domaines d'expertises

• Combinatoire des mots / Théorie des langages
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Publications

• Publications en ligne

http://www.lacim.uqam.ca/~brlek/Recherche/ListePublis/ListePublis.html

• Articles scientifiques

A41. A. Blondin-Massé, S. Brlek, A. Garon, S. Labbé, Two infinite families of polyominoes that tile the plane by translation in two distinct ways, Theoretical Computer Science (2010) (Accepted)
A40. S. Brlek, C. Reutenauer, Complexity and palindromic defect of infinite words, Theoretical Computer Science (2010) (Accepted)
A39. S. Brlek, M. Koskas, X. Provençal, A linear time and space algorithm for detecting 2D path intersection, Theoretical Computer Science (2010) (Accepted)
A38. A. Blondin-Massé, S. Brlek, A. Garon, S. Labbé, Equations on palindromes and circular words, Theoretical Computer Science (2010) (In Press)
A37. A. Blondin Massé, S. Brlek, S. Labbé and L. Vuillon, Return words in codings of rotations, Theoretical Computer Science (2010) (Submitted)
A36. E. Barcucci, S. Brlek, S. Brocchi, PCIF : An algorithm for lossless true color image compression, Software Practice and Experience (2010) (Submitted)
A35. A. Blondin-Massé, S. Brlek, S. Labbé, M. Mendès France, Fibonacci snowflakes, Special Issue dedicated to Paulo Ribenboim, Annales des Sciences Mathématiques du Québec (2009) (In Press)
A34. V. Berthé, S. Brlek, P. Choquette, A new characterization of the Fibonacci word, Proceedings of the Eleventh International Conference on Fibonacci Numbers and their Applications. Congressus Numerantium 194 (2009) 67-76
A33. S. Brlek, J.-O. Lachaud, X. Provençal, C. Reutenauer, Lyndon+Christoffel = digitally convex, Pattern Recognition 42 (2009) 2239-2246
A32. S. Brlek, J.-M Fédou, X. Provençal, On the Tiling by Translation Problem, Discrete Applied Mathematics 157 (2009) 464-475
A31. A. Blondin-Massé, S. Brlek, A. Garon, S. Labbé, Combinatorial properties of f-palindromes in the Thue-Morse sequence, Pure Mathematics and Applications 19 Issues 2-3 (2008) 39-52
A30. S. Brlek, G. Labelle, A. Lacasse, Discrete sets with minimal moment of inertia, Theoretical Computer Science 406 Issues 1-2 (2008) 31-42
A29. S. Brlek, D. Jamet, G. Paquin, Smooth words on 2-letter alphabets having same parity, Theoretical Computer Science 393 Issues 1-3 (2008) 166-181
A28. S. Brlek, G. Labelle, A. Lacasse, Shuffle operations on discrete paths, Theoretical Computer Science 391 Issues 1-2 (2008) 75-89
A27. A. Blondin-Massé, S. Brlek, A. Glen, S. Labbé, On the critical exponent of generalized Thue-Morse sequences, Discrete Mathematics and Theoretical Computer Science vol. 9:1 (2007) 293-304
A26. S. Brlek, S. Hamadou, J. Mullins, A probabilistic scheduler for the analysis of cryptographic protocols, Electronic Notes in Theoretical Computer Science Volume 194, Issue 1, (2007) 61-83
A25. S. Brlek, C. Reutenauer, Preface, Theoretical Computer Science 380:3 (2007) 219
A24. G. Paquin, G. Melançon, S. Brlek, Properties of the extremal infinite smooth words, Discrete Mathematics and Theoretical Computer Science DMTCS vol. 9:2 (2007) 33-50
A23. S. Brlek, G. Labelle, A. Lacasse, Properties of the contour path of discrete sets, International Journal of Foundations of Computer Science, Vol. 17, No. 3 (2006) 543-556
A22. S. Brlek, E. Pergola, O. Roques, Non Uniform Random Generation of Generalized Motzkin Paths, Acta Informatica 42 number 8-9 (2006) 603-616
A21. S. Brlek, A. Frosini, S. Rinaldi, L. Vuillon, Tiling by translations: enumeration by a rational language approach, Electronic Journal of Combinatorics 13 (2006), #R15
A20. S. Brlek, S. Dulucq, A. Ladouceur, L. Vuillon, Combinatorial properties of smooth infinite words, Theoretical Computer Science 352 Issues 1-3 (2006) 306-317
A19. S. Brlek, S. Hamadou, J. Mulllins, A Flaw in the Electronic Commerce Protocol SET, Information Processing Letters (available online October 28, 2005) 97 no.3 (2006) 104-108
A18. S. Brlek, G. Labelle, A. Lacasse, The Discrete Green Theorem and some Applications in Discrete Geometry, Theoretical Computer Science 346 no. 2-3 (2005) 200-225

Réf. 374. cegep de S. laurent Réf. Claude Abraham

www.periodni.com/fr/bibliography.html

<http://www2.cegep-st-laurent.qc.ca/depar/chimie/tp1.html>.

Citation de cette page:

Generalic, Eni. "Forme longue du tableau périodique." EniG. Tableau périodique des éléments. KTF-Split, 26 Sep. 2014. Web. 24 Oct. 2014.

<http://www.periodni.com/fr/forme_longue_du_tableau_periodique.html>.

. .

Réf. 373. http://www.souverainetelasolution.com/documents/dette_canada_quebec.pdf

et aussi dans SF en 2014

19.Ibid. Notons que jusqu'en 1874, on pouvait être député à la fois à Ottawa et à Québec. Cela permettait aux chefs comme George-Etienne Cartier d'avoir un oeil sur ce qui se passait à Québec et cela obligeait l'Assemblée législative de siéger à la convenance des ministres fédéraux. Par contre, comme dans ce cas, cela permettait parfois de les mettre en cause.

Malgré leur dépendance évidente sur les «subsides» du Dominion, c'est-à-dire plus de la moitié, des revenus de la Province, le gouvernement du Québec a protesté vigoureusement contre le geste arbitraire et illégal des deux arbitres. Le 12 décembre, 1870, l'Assemblée législative adoptait six résolutions condamnantcette façon de procéder, parce que les arbitres n'avaient pas le droit de procéder en l'absence de l'arbitredu Québec et parce que les arbitres n'avaient pas tenu compte de la dette du Haut Canada dans son partage [17].Lors du débat sur cette résolution, le chef de l'Opposition, Henri-Gustave Joly, souligna l'impuissance ou l'incompétence des représentants du Québec au conseil des ministres à Ottawa: Lors de mes remarques sur l'arbitrage, j'ai regretté, de ne pas voir un des Le Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage 6 de 13ministres fédéraux dans cette chambre.

"Aujourd'hui, comme je vois M. Cartier à son siège et deux de ses collègues, je dois les répéter. Je dis donc, en parlant à nos ministres fédéraux, lorsque le gouvernement local vous demandait d'intervenir l'été dernier, pourquoi n'avez-vous pas forcé lecabinet fédéral à intervenir ? A cette époque vous aviez quatre ministres de Québec contre [sic] quatre d'Ontario. Sir John était absent et les autres ministres étaient neutres. C'était le tempsd'intervenir. Je dis que les membres du gouvernement fédéral n'ont pas fait leurdevoir. Ce sont eux qui sont coupables. D'un seul mot,les ministres fédéraux de Québec pouvaient arrêter l'arbitrage et forcer leur arbitre à se démettre de ses fonctions. Je fais ces remarques en présencede Sir [George-Etienne] Cartier, le plus important des ministres fédéraux [18]."

Les députés soulignèrent aussi que l'arbitre fédéral était depuis longtemps un résident effectif de l'Ontario, et que sa nomination violait au moins l'esprit de l'article 142.

La protestation du Québec mit le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, dans l'embarras .D'une part, il n'était pas souhaitable de provoquer l'ire des électeurs québécois, alors que les appartenances et les alliances politiques issues du nouveau régime manquaient des solidité. D'autre part, la base politique de Macdonald était en Ontario, et ses rivaux «Grits», dirigés par George Brown, ne demandaient pas mieux que de défendre les intérêts de l'Ontario.

Le grand temporisateur qu'était Macdonald réussît à convaincre à la patience le gouvernement Chauveau, fragile à la fois par sa dépendance sur les «subsides» fédéraux et l'instabilité de ses appuis à l'Assemblée législative. Une fois les élections de 1872 passées, la criseconnut une solution typiquement politique, si la politique est, comme on le dit, l'art du possible. Mettant de côté toutes les considérations juridiques et légales, Macdonald fit assumer par le Dominion la totalité de la dette de l'ancienne Province du Canada. La Nouvelle-Écosse et leNouveau-Brunswick, parties prenantes aux ententes créant le Dominion, reçurent une compensation [19]. Les nouvelles provinces de la Colombie britannique et du Manitoba furent confortées elles aussi, bien qu'elles n'aient pas été présentes lors des négociations originales en 1865 et 1866.

Cette épisode représente, notons le, le début du processus sans fin des transfertsde fonds, de points d'impôts, ou de budgets spéciaux qui est le caractère distinctif du fédéralisme canadien. [20 ]2 Le dû du Québec 2.1 Le Québec sans ses écus. Pour le Québec, et pour les Québécois, ce résultat politique représente une spoliation financière. De guerre lasse, et heureux de pouvoir enfin mettre en route leurs projets de colonisation et dechemins de fer, les gouvernements à Québec acceptèrent le compromis de Macdonald. La question du partage de l'actif occupa par contre longuement les gouvernements, et ce n'est qu'en 1910 que les britannique: qu'on se souvienne seulement du Le Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage. 7 de 13 désastre de la frontière avec le Labrador en 1927. Il faut bien admettre aussi que pour un Québec membre de la fédération, contester le refus de l'Ontario de payer sa dette acquise enversle Québec en 1841 est une affaire plus ou moins rentable. L'Ontario irait se plaindre à Ottawa, qui lui offrirait, à elle déjà boudeuse de ne recevoir aucune péréquation, une compensation. Ottawa se reprendrait ensuite par ses impôts, sur le dos des citoyens. Changer l'argent de la poche droite à la poche gauche n'a jamais été une opération financière très avantageuse. Mais alors que le Québec reprend sa liberté d'action et fait une vérification des comptes avec leCanada, la question du juge Day, en suspens depuis un siècle, reprend toute son importance.Qu'advient-il des $6 115 085,95, en dollars de1841, que l'Ontario doit au Québec ?Le Québec en 1838, alors que l'Union de 1841 fut adoptéepar le Parlement britannique, était sous occupation militaire et était impuissant à exprimer son avis. Le Québec de 1867 avait la laisse courte, étant donnée sa dépendance envers les subventions du Dominion, et on comprend que ses dirigeants aient choisi la discrétion plutôt que la lutte. Aujourd'hui, toutefois, le Québec n'a aucune raison d'abandonner son dû. Malgré leur dépendance évidente sur les «subsides» du Dominion, c'est-à-dire plus de la moitié, des revenus de la Province, le gouvernement du Québec a protesté vigoureusement contre legeste arbitraire et illégal des deux arbitres. Le 12 décembre, 1870, l'Assemblée législativeadoptait six résolutions condamnantcette façon de procéder, parceque les arbitres n'avaient pasle droit de procéder en l'absence de l'arbitredu Québec et parce que les arbitres n'avaient pastenu compte de la dette du HautCanada dans son partage [17].Lors du débat sur cette résolution, le chef de l'Opposition, Henri-Gustave Joly, soulignal'impuissance ou l'incompétence des représentantsdu Québec au conseil des ministres à Ottawa:Lors de mes remarques sur l'arbitrage, j'ai regretté, de ne pas voir un desLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage 6 de 13ministres fédéraux dans cette chambre.Aujourd'hui, comme je vois M. Cartier àson siège et deux de ses collègues, je dois les répéter. Je dis donc, en parlant à nosministres fédéraux, lorsque le gouvernementlocal vous demandait d'intervenir l'étédernier, pourquoi n'avez-vous pas forcé lecabinet fédéral à intervenir ? A cetteépoque vous aviez quatre ministres de Québec contre [sic] quatre d'Ontario.Sir John était absent et les autres ministres étaient neutres. C'était le tempsd'intervenir. Je dis que les membres dugouvernement fédéral n'ont pas fait leurdevoir. Ce sont eux qui sont coupables. D'un seul mot,les ministres fédéraux deQuébec pouvaient arrêter l'arbitrage et forcer leur arbitre àse démettre de sesfonctions. Je fais ces remarques en présencede Sir [George-Etienne] Cartier, le plusimportant des ministres fédéraux [18].Les députés soulignèrent aussique l'arbitre fédéral étaitdepuis longtemps un résidenteffectif de l'Ontario, et que sa nomination violait au moins l'esprit de l'article 142.La protestation du Québec mit le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, dansl'embarras .D'une part, il n'était pas souhaitablede provoquer l'ire des électeurs québécois, alorsque les appartenances et les alliances politiques issues du nouveaurégime manquaient desolidité. D'autre part, la base politique de Macdonald était en Ontario, et ses rivaux «Grits»,dirigés par George Brown, ne demandaient pas mieux que de défendre les intérêts de l'Ontario.Le grand temporisateur qu'étaitMacdonald réussît à convaincreà la patience le gouvernementChauveau, fragile à la fois par sa dépendance sur les «subsides» fédéraux etl'instabilité de sesappuis à l'Assemblée législative.Une fois les élections de 1872 passées, la criseconnut une solution typiquement politique, si lapolitique est, comme on le dit, l'art du possible. Mettant de côté toutes les considérationsjuridiques et légales, Macdonald fit assumer par leDominion la totalité de la dette de l'ancienneProvince du Canada. La Nouvelle-Écosse et leNouveau-Brunswick, parties prenantes auxententes créant le Dominion, reçurent une compensation [19]. Les nouvelles provinces de laColombie britannique et du Manitoba furent confortées elles aussi, bien qu'elles n'aient pas étéprésentes lors des négociations originales en1865 et 1866. Cette épisode représente, notons le,le début du processus sans fin des transfertsde fonds, de points d'impôts, ou de budgetsspéciaux qui est le caractère distinctif du fédéralisme canadien. [20]2 Le dû du Québec2.1 Le Québec sans ses écusPour le Québec, et pour les Québécois, ce résultatpolitique représente unespoliation financière.De guerre lasse, et heureux de pouvoir enfin mettreen route leurs projetsde colonisation et dechemins de fer, les gouvernements à Québecacceptèrent le compromis de Macdonald. Laquestion du partage de l'actif occupa par contrelonguement les gouvernements, et ce n'est qu'en1910 que les derniers jugements seraient rendus par le Conseil privé à Londres[21]. Le Québec,il faut dire, n'a généralement pas eu de chance avec cette «Cour suprême» de l'empirebritannique: qu'on se souvienne seulement duLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage.7 de 13désastre de la frontière avec le Labrador en 1927.Il faut bien admettre aussi que pour un Québec membre de la fédération, contester le refus del'Ontario de payer sa dette acquise enversle Québec en 1841 est une affaire plus ou moinsrentable. L'Ontario irait se plaindre à Ottawa, qui lui offrirait, à elle déjà boudeuse de nerecevoir aucune péréquation, une compensation. Ottawa se reprendrait ensuite par ses impôts, surle dos des citoyens. Changer l'argent de la pochedroite à la poche gauche n'a jamais été uneopération financière très avantageuse.Mais alors que le Québec reprend sa liberté d'action et fait une vérification des comptes avec leCanada, la question du juge Day, en suspens depuis un siècle, reprend toute son importance.Qu'advient-il des $6 115 085,95, en dollars de1841, que l'Ontario doit au Québec ?Le Québecen 1838, alors que l'Union de 1841 fut adoptéepar le Parlement britannique, était sousoccupation militaire et était impuissant à exprimerson avis. Le Québec de1867 avait la laissecourte, étant donnée sa dépendance envers les subventions du Dominion, et on comprend queses dirigeants aient choisi la discrétion plutôt que la lutte. Aujourd'hui, toutefois, le Québec n'aaucune raison d'abandonner son dû.Malgré leur dépendance évidente sur les «subsides» du Dominion, c'est-à-dire plus de la moitié,des revenus de la Province, le gouvernement du Québec a protesté vigoureusement contre legeste arbitraire et illégal des deux arbitres. Le 12 décembre, 1870, l'Assemblée législativeadoptait six résolutions condamnantcette façon de procéder, parceque les arbitres n'avaient pasle droit de procéder en l'absence de l'arbitredu Québec et parce que les arbitres n'avaient pastenu compte de la dette du HautCanada dans son partage [17].Lors du débat sur cette résolution, le chef de l'Opposition, Henri-Gustave Joly, soulignal'impuissance ou l'incompétence des représentantsdu Québec au conseil des ministres à Ottawa:Lors de mes remarques sur l'arbitrage, j'ai regretté, de ne pas voir un desLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage 6 de 13ministres fédéraux dans cette chambre.Aujourd'hui, comme je vois M. Cartier àson siège et deux de ses collègues, je dois les répéter. Je dis donc, en parlant à nosministres fédéraux, lorsque le gouvernementlocal vous demandait d'intervenir l'étédernier, pourquoi n'avez-vous pas forcé lecabinet fédéral à intervenir ? A cetteépoque vous aviez quatre ministres de Québec contre [sic] quatre d'Ontario.Sir John était absent et les autres ministres étaient neutres. C'était le tempsd'intervenir. Je dis que les membres dugouvernement fédéral n'ont pas fait leurdevoir. Ce sont eux qui sont coupables. D'un seul mot,les ministres fédéraux deQuébec pouvaient arrêter l'arbitrage et forcer leur arbitre àse démettre de sesfonctions. Je fais ces remarques en présencede Sir [George-Etienne] Cartier, le plusimportant des ministres fédéraux [18].Les députés soulignèrent aussique l'arbitre fédéral étaitdepuis longtemps un résidenteffectif de l'Ontario, et que sa nomination violait au moins l'esprit de l'article 142.La protestation du Québec mit le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, dansl'embarras .D'une part, il n'était pas souhaitablede provoquer l'ire des électeurs québécois, alorsque les appartenances et les alliances politiques issues du nouveaurégime manquaient desolidité. D'autre part, la base politique de Macdonald était en Ontario, et ses rivaux «Grits»,dirigés par George Brown, ne demandaient pas mieux que de défendre les intérêts de l'Ontario.Le grand temporisateur qu'étaitMacdonald réussît à convaincreà la patience le gouvernementChauveau, fragile à la fois par sa dépendance sur les «subsides» fédéraux etl'instabilité de sesappuis à l'Assemblée législative.Une fois les élections de 1872 passées, la criseconnut une solution typiquement politique, si lapolitique est, comme on le dit, l'art du possible. Mettant de côté toutes les considérationsjuridiques et légales, Macdonald fit assumer par leDominion la totalité de la dette de l'ancienneProvince du Canada. La Nouvelle-Écosse et leNouveau-Brunswick, parties prenantes auxententes créant le Dominion, reçurent une compensation [19]. Les nouvelles provinces de laColombie britannique et du Manitoba furent confortées elles aussi, bien qu'elles n'aient pas étéprésentes lors des négociations originales en1865 et 1866. Cette épisode représente, notons le,le début du processus sans fin des transfertsde fonds, de points d'impôts, ou de budgetsspéciaux qui est le caractère distinctif du fédéralisme canadien. [20]2 Le dû du Québec2.1 Le Québec sans ses écusPour le Québec, et pour les Québécois, ce résultatpolitique représente unespoliation financière.De guerre lasse, et heureux de pouvoir enfin mettreen route leurs projetsde colonisation et dechemins de fer, les gouvernements à Québecacceptèrent le compromis de Macdonald. Laquestion du partage de l'actif occupa par contrelonguement les gouvernements, et ce n'est qu'en1910 que les derniers jugements seraient rendus par le Conseil privé à Londres[21]. Le Québec,il faut dire, n'a généralement pas eu de chance avec cette «Cour suprême» de l'empirebritannique: qu'on se souvienne seulement duLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage.7 de 13désastre de la frontière avec le Labrador en 1927.Il faut bien admettre aussi que pour un Québec membre de la fédération, contester le refus del'Ontario de payer sa dette acquise enversle Québec en 1841 est une affaire plus ou moinsrentable. L'Ontario irait se plaindre à Ottawa, qui lui offrirait, à elle déjà boudeuse de nerecevoir aucune péréquation, une compensation. Ottawa se reprendrait ensuite par ses impôts, surle dos des citoyens. Changer l'argent de la pochedroite à la poche gauche n'a jamais été uneopération financière très avantageuse.Mais alors que le Québec reprend sa liberté d'action et fait une vérification des comptes avec leCanada, la question du juge Day, en suspens depuis un siècle, reprend toute son importance.Qu'advient-il des $6 115 085,95, en dollars de1841, que l'Ontario doit au Québec ?Le Québecen 1838, alors que l'Union de 1841 fut adoptéepar le Parlement britannique, était sousoccupation militaire et était impuissant à exprimerson avis. Le Québec de1867 avait la laissecourte, étant donnée sa dépendance envers les subventions du Dominion, et on comprend queses dirigeants aient choisi la discrétion plutôt que la lutte. Aujourd'hui, toutefois, le Québec n'aaucune raison d'abandonner son dû.Malgré leur dépendance évidente sur les «subsides» du Dominion, c'est-à-dire plus de la moitié,des revenus de la Province, le gouvernement du Québec a protesté vigoureusement contre legeste arbitraire et illégal des deux arbitres. Le 12 décembre, 1870, l'Assemblée législativeadoptait six résolutions condamnantcette façon de procéder, parceque les arbitres n'avaient pasle droit de procéder en l'absence de l'arbitredu Québec et parce que les arbitres n'avaient pastenu compte de la dette du HautCanada dans son partage [17].Lors du débat sur cette résolution, le chef de l'Opposition, Henri-Gustave Joly, soulignal'impuissance ou l'incompétence des représentantsdu Québec au conseil des ministres à Ottawa:Lors de mes remarques sur l'arbitrage, j'ai regretté, de ne pas voir un desLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage 6 de 13ministres fédéraux dans cette chambre.Aujourd'hui, comme je vois M. Cartier àson siège et deux de ses collègues, je dois les répéter. Je dis donc, en parlant à nosministres fédéraux, lorsque le gouvernementlocal vous demandait d'intervenir l'étédernier, pourquoi n'avez-vous pas forcé lecabinet fédéral à intervenir ? A cetteépoque vous aviez quatre ministres de Québec contre [sic] quatre d'Ontario.Sir John était absent et les autres ministres étaient neutres. C'était le tempsd'intervenir. Je dis que les membres dugouvernement fédéral n'ont pas fait leurdevoir. Ce sont eux qui sont coupables. D'un seul mot,les ministres fédéraux deQuébec pouvaient arrêter l'arbitrage et forcer leur arbitre àse démettre de sesfonctions. Je fais ces remarques en présencede Sir [George-Etienne] Cartier, le plusimportant des ministres fédéraux [18].Les députés soulignèrent aussique l'arbitre fédéral étaitdepuis longtemps un résidenteffectif de l'Ontario, et que sa nomination violait au moins l'esprit de l'article 142.La protestation du Québec mit le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, dansl'embarras .D'une part, il n'était pas souhaitablede provoquer l'ire des électeurs québécois, alorsque les appartenances et les alliances politiques issues du nouveaurégime manquaient desolidité. D'autre part, la base politique de Macdonald était en Ontario, et ses rivaux «Grits»,dirigés par George Brown, ne demandaient pas mieux que de défendre les intérêts de l'Ontario.Le grand temporisateur qu'étaitMacdonald réussît à convaincreà la patience le gouvernementChauveau, fragile à la fois par sa dépendance sur les «subsides» fédéraux etl'instabilité de sesappuis à l'Assemblée législative.Une fois les élections de 1872 passées, la criseconnut une solution typiquement politique, si lapolitique est, comme on le dit, l'art du possible. Mettant de côté toutes les considérationsjuridiques et légales, Macdonald fit assumer par leDominion la totalité de la dette de l'ancienneProvince du Canada. La Nouvelle-Écosse et leNouveau-Brunswick, parties prenantes auxententes créant le Dominion, reçurent une compensation [19]. Les nouvelles provinces de laColombie britannique et du Manitoba furent confortées elles aussi, bien qu'elles n'aient pas étéprésentes lors des négociations originales en1865 et 1866. Cette épisode représente, notons le,le début du processus sans fin des transfertsde fonds, de points d'impôts, ou de budgetsspéciaux qui est le caractère distinctif du fédéralisme canadien. [20]2 Le dû du Québec2.1 Le Québec sans ses écusPour le Québec, et pour les Québécois, ce résultatpolitique représente unespoliation financière.De guerre lasse, et heureux de pouvoir enfin mettreen route leurs projetsde colonisation et dechemins de fer, les gouvernements à Québecacceptèrent le compromis de Macdonald. Laquestion du partage de l'actif occupa par contrelonguement les gouvernements, et ce n'est qu'en1910 que les derniers jugements seraient rendus par le Conseil privé à Londres[21]. Le Québec,il faut dire, n'a généralement pas eu de chance avec cette «Cour suprême» de l'empirebritannique: qu'on se souvienne seulement duLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage.7 de 13désastre de la frontière avec le Labrador en 1927.Il faut bien admettre aussi que pour un Québec membre de la fédération, contester le refus del'Ontario de payer sa dette acquise enversle Québec en 1841 est une affaire plus ou moinsrentable. L'Ontario irait se plaindre à Ottawa, qui lui offrirait, à elle déjà boudeuse de nerecevoir aucune péréquation, une compensation. Ottawa se reprendrait ensuite par ses impôts, surle dos des citoyens. Changer l'argent de la pochedroite à la poche gauche n'a jamais été uneopération financière très avantageuse.Mais alors que le Québec reprend sa liberté d'action et fait une vérification des comptes avec leCanada, la question du juge Day, en suspens depuis un siècle, reprend toute son importance.Qu'advient-il des $6 115 085,95, en dollars de1841, que l'Ontario doit au Québec ?Le Québecen 1838, alors que l'Union de 1841 fut adoptéepar le Parlement britannique, était sousoccupation militaire et était impuissant à exprimerson avis. Le Québec de1867 avait la laissecourte, étant donnée sa dépendance envers les subventions du Dominion, et on comprend queses dirigeants aient choisi la discrétion plutôt que la lutte. Aujourd'hui, toutefois, le Québec n'aaucune raison d'abandonner son dû.Malgré leur dépendance évidente sur les «subsides» du Dominion, c'est-à-dire plus de la moitié,des revenus de la Province, le gouvernement du Québec a protesté vigoureusement contre legeste arbitraire et illégal des deux arbitres. Le 12 décembre, 1870, l'Assemblée législativeadoptait six résolutions condamnantcette façon de procéder, parceque les arbitres n'avaient pasle droit de procéder en l'absence de l'arbitredu Québec et parce que les arbitres n'avaient pastenu compte de la dette du HautCanada dans son partage [17].Lors du débat sur cette résolution, le chef de l'Opposition, Henri-Gustave Joly, soulignal'impuissance ou l'incompétence des représentantsdu Québec au conseil des ministres à Ottawa:Lors de mes remarques sur l'arbitrage, j'ai regretté, de ne pas voir un desLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage 6 de 13ministres fédéraux dans cette chambre.Aujourd'hui, comme je vois M. Cartier àson siège et deux de ses collègues, je dois les répéter. Je dis donc, en parlant à nosministres fédéraux, lorsque le gouvernementlocal vous demandait d'intervenir l'étédernier, pourquoi n'avez-vous pas forcé lecabinet fédéral à intervenir ? A cetteépoque vous aviez quatre ministres de Québec contre [sic] quatre d'Ontario.Sir John était absent et les autres ministres étaient neutres. C'était le tempsd'intervenir. Je dis que les membres dugouvernement fédéral n'ont pas fait leurdevoir. Ce sont eux qui sont coupables. D'un seul mot,les ministres fédéraux deQuébec pouvaient arrêter l'arbitrage et forcer leur arbitre àse démettre de sesfonctions. Je fais ces remarques en présencede Sir [George-Etienne] Cartier, le plusimportant des ministres fédéraux [18].Les députés soulignèrent aussique l'arbitre fédéral étaitdepuis longtemps un résidenteffectif de l'Ontario, et que sa nomination violait au moins l'esprit de l'article 142.La protestation du Québec mit le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, dansl'embarras .D'une part, il n'était pas souhaitablede provoquer l'ire des électeurs québécois, alorsque les appartenances et les alliances politiques issues du nouveaurégime manquaient desolidité. D'autre part, la base politique de Macdonald était en Ontario, et ses rivaux «Grits»,dirigés par George Brown, ne demandaient pas mieux que de défendre les intérêts de l'Ontario.Le grand temporisateur qu'étaitMacdonald réussît à convaincreà la patience le gouvernementChauveau, fragile à la fois par sa dépendance sur les «subsides» fédéraux etl'instabilité de sesappuis à l'Assemblée législative.Une fois les élections de 1872 passées, la criseconnut une solution typiquement politique, si lapolitique est, comme on le dit, l'art du possible. Mettant de côté toutes les considérationsjuridiques et légales, Macdonald fit assumer par leDominion la totalité de la dette de l'ancienneProvince du Canada. La Nouvelle-Écosse et leNouveau-Brunswick, parties prenantes auxententes créant le Dominion, reçurent une compensation [19]. Les nouvelles provinces de laColombie britannique et du Manitoba furent confortées elles aussi, bien qu'elles n'aient pas étéprésentes lors des négociations originales en1865 et 1866. Cette épisode représente, notons le,le début du processus sans fin des transfertsde fonds, de points d'impôts, ou de budgetsspéciaux qui est le caractère distinctif du fédéralisme canadien. [20]2 Le dû du Québec2.1 Le Québec sans ses écusPour le Québec, et pour les Québécois, ce résultatpolitique représente unespoliation financière.De guerre lasse, et heureux de pouvoir enfin mettreen route leurs projetsde colonisation et dechemins de fer, les gouvernements à Québecacceptèrent le compromis de Macdonald. Laquestion du partage de l'actif occupa par contrelonguement les gouvernements, et ce n'est qu'en1910 que les derniers jugements seraient rendus par le Conseil privé à Londres[21]. Le Québec,il faut dire, n'a généralement pas eu de chance avec cette «Cour suprême» de l'empirebritannique: qu'on se souvienne seulement duLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage.7 de 13désastre de la frontière avec le Labrador en 1927.Il faut bien admettre aussi que pour un Québec membre de la fédération, contester le refus del'Ontario de payer sa dette acquise enversle Québec en 1841 est une affaire plus ou moinsrentable. L'Ontario irait se plaindre à Ottawa, qui lui offrirait, à elle déjà boudeuse de nerecevoir aucune péréquation, une compensation. Ottawa se reprendrait ensuite par ses impôts, surle dos des citoyens. Changer l'argent de la pochedroite à la poche gauche n'a jamais été uneopération financière très avantageuse.Mais alors que le Québec reprend sa liberté d'action et fait une vérification des comptes avec leCanada, la question du juge Day, en suspens depuis un siècle, reprend toute son importance.Qu'advient-il des $6 115 085,95, en dollars de1841, que l'Ontario doit au Québec ?Le Québecen 1838, alors que l'Union de 1841 fut adoptéepar le Parlement britannique, était sousoccupation militaire et était impuissant à exprimerson avis. Le Québec de1867 avait la laissecourte, étant donnée sa dépendance envers les subventions du Dominion, et on comprend queses dirigeants aient choisi la discrétion plutôt que la lutte. Aujourd'hui, toutefois, le Québec n'aaucune raison d'abandonner son dû.Malgré leur dépendance évidente sur les «subsides» du Dominion, c'est-à-dire plus de la moitié,des revenus de la Province, le gouvernement du Québec a protesté vigoureusement contre legeste arbitraire et illégal des deux arbitres. Le 12 décembre, 1870, l'Assemblée législativeadoptait six résolutions condamnantcette façon de procéder, parceque les arbitres n'avaient pasle droit de procéder en l'absence de l'arbitredu Québec et parce que les arbitres n'avaient pastenu compte de la dette du HautCanada dans son partage [17].Lors du débat sur cette résolution, le chef de l'Opposition, Henri-Gustave Joly, soulignal'impuissance ou l'incompétence des représentantsdu Québec au conseil des ministres à Ottawa:Lors de mes remarques sur l'arbitrage, j'ai regretté, de ne pas voir un desLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage 6 de 13ministres fédéraux dans cette chambre.Aujourd'hui, comme je vois M. Cartier àson siège et deux de ses collègues, je dois les répéter. Je dis donc, en parlant à nosministres fédéraux, lorsque le gouvernementlocal vous demandait d'intervenir l'étédernier, pourquoi n'avez-vous pas forcé lecabinet fédéral à intervenir ? A cetteépoque vous aviez quatre ministres de Québec contre [sic] quatre d'Ontario.Sir John était absent et les autres ministres étaient neutres. C'était le tempsd'intervenir. Je dis que les membres dugouvernement fédéral n'ont pas fait leurdevoir. Ce sont eux qui sont coupables. D'un seul mot,les ministres fédéraux deQuébec pouvaient arrêter l'arbitrage et forcer leur arbitre àse démettre de sesfonctions. Je fais ces remarques en présencede Sir [George-Etienne] Cartier, le plusimportant des ministres fédéraux [18].Les députés soulignèrent aussique l'arbitre fédéral étaitdepuis longtemps un résidenteffectif de l'Ontario, et que sa nomination violait au moins l'esprit de l'article 142.La protestation du Québec mit le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, dansl'embarras .D'une part, il n'était pas souhaitablede provoquer l'ire des électeurs québécois, alorsque les appartenances et les alliances politiques issues du nouveaurégime manquaient desolidité. D'autre part, la base politique de Macdonald était en Ontario, et ses rivaux «Grits»,dirigés par George Brown, ne demandaient pas mieux que de défendre les intérêts de l'Ontario.Le grand temporisateur qu'étaitMacdonald réussît à convaincreà la patience le gouvernementChauveau, fragile à la fois par sa dépendance sur les «subsides» fédéraux etl'instabilité de sesappuis à l'Assemblée législative.Une fois les élections de 1872 passées, la criseconnut une solution typiquement politique, si lapolitique est, comme on le dit, l'art du possible. Mettant de côté toutes les considérationsjuridiques et légales, Macdonald fit assumer par leDominion la totalité de la dette de l'ancienneProvince du Canada. La Nouvelle-Écosse et leNouveau-Brunswick, parties prenantes auxententes créant le Dominion, reçurent une compensation [19]. Les nouvelles provinces de laColombie britannique et du Manitoba furent confortées elles aussi, bien qu'elles n'aient pas étéprésentes lors des négociations originales en1865 et 1866. Cette épisode représente, notons le,le début du processus sans fin des transfertsde fonds, de points d'impôts, ou de budgetsspéciaux qui est le caractère distinctif du fédéralisme canadien. [20]2 Le dû du Québec2.1 Le Québec sans ses écusPour le Québec, et pour les Québécois, ce résultatpolitique représente unespoliation financière.De guerre lasse, et heureux de pouvoir enfin mettreen route leurs projetsde colonisation et dechemins de fer, les gouvernements à Québecacceptèrent le compromis de Macdonald. Laquestion du partage de l'actif occupa par contrelonguement les gouvernements, et ce n'est qu'en1910 que les derniers jugements seraient rendus par le Conseil privé à Londres[21]. Le Québec,il faut dire, n'a généralement pas eu de chance avec cette «Cour suprême» de l'empirebritannique: qu'on se souvienne seulement duLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage.7 de 13désastre de la frontière avec le Labrador en 1927.Il faut bien admettre aussi que pour un Québec membre de la fédération, contester le refus del'Ontario de payer sa dette acquise enversle Québec en 1841 est une affaire plus ou moinsrentable. L'Ontario irait se plaindre à Ottawa, qui lui offrirait, à elle déjà boudeuse de nerecevoir aucune péréquation, une compensation. Ottawa se reprendrait ensuite par ses impôts, surle dos des citoyens. Changer l'argent de la pochedroite à la poche gauche n'a jamais été uneopération financière très avantageuse.Mais alors que le Québec reprend sa liberté d'action et fait une vérification des comptes avec leCanada, la question du juge Day, en suspens depuis un siècle, reprend toute son importance.Qu'advient-il des $6 115 085,95, en dollars de1841, que l'Ontario doit au Québec ?Le Québecen 1838, alors que l'Union de 1841 fut adoptéepar le Parlement britannique, était sousoccupation militaire et était impuissant à exprimerson avis. Le Québec de1867 avait la laissecourte, étant donnée sa dépendance envers les subventions du Dominion, et on comprend queses dirigeants aient choisi la discrétion plutôt que la lutte. Aujourd'hui, toutefois, le Québec n'aaucune raison d'abandonner son dû.Malgré leur dépendance évidente sur les «subsides» du Dominion, c'est-à-dire plus de la moitié,des revenus de la Province, le gouvernement du Québec a protesté vigoureusement contre legeste arbitraire et illégal des deux arbitres. Le 12 décembre, 1870, l'Assemblée législativeadoptait six résolutions condamnantcette façon de procéder, parceque les arbitres n'avaient pasle droit de procéder en l'absence de l'arbitredu Québec et parce que les arbitres n'avaient pastenu compte de la dette du HautCanada dans son partage [17].Lors du débat sur cette résolution, le chef de l'Opposition, Henri-Gustave Joly, soulignal'impuissance ou l'incompétence des représentantsdu Québec au conseil des ministres à Ottawa:Lors de mes remarques sur l'arbitrage, j'ai regretté, de ne pas voir un desLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage 6 de 13ministres fédéraux dans cette chambre.Aujourd'hui, comme je vois M. Cartier àson siège et deux de ses collègues, je dois les répéter. Je dis donc, en parlant à nosministres fédéraux, lorsque le gouvernementlocal vous demandait d'intervenir l'étédernier, pourquoi n'avez-vous pas forcé lecabinet fédéral à intervenir ? A cetteépoque vous aviez quatre ministres de Québec contre [sic] quatre d'Ontario.Sir John était absent et les autres ministres étaient neutres. C'était le tempsd'intervenir. Je dis que les membres dugouvernement fédéral n'ont pas fait leurdevoir. Ce sont eux qui sont coupables. D'un seul mot,les ministres fédéraux deQuébec pouvaient arrêter l'arbitrage et forcer leur arbitre àse démettre de sesfonctions. Je fais ces remarques en présencede Sir [George-Etienne] Cartier, le plusimportant des ministres fédéraux [18].Les députés soulignèrent aussique l'arbitre fédéral étaitdepuis longtemps un résidenteffectif de l'Ontario, et que sa nomination violait au moins l'esprit de l'article 142.La protestation du Québec mit le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, dansl'embarras .D'une part, il n'était pas souhaitablede provoquer l'ire des électeurs québécois, alorsque les appartenances et les alliances politiques issues du nouveaurégime manquaient desolidité. D'autre part, la base politique de Macdonald était en Ontario, et ses rivaux «Grits»,dirigés par George Brown, ne demandaient pas mieux que de défendre les intérêts de l'Ontario.Le grand temporisateur qu'étaitMacdonald réussît à convaincreà la patience le gouvernementChauveau, fragile à la fois par sa dépendance sur les «subsides» fédéraux etl'instabilité de sesappuis à l'Assemblée législative.Une fois les élections de 1872 passées, la criseconnut une solution typiquement politique, si lapolitique est, comme on le dit, l'art du possible. Mettant de côté toutes les considérationsjuridiques et légales, Macdonald fit assumer par leDominion la totalité de la dette de l'ancienneProvince du Canada. La Nouvelle-Écosse et leNouveau-Brunswick, parties prenantes auxententes créant le Dominion, reçurent une compensation [19]. Les nouvelles provinces de laColombie britannique et du Manitoba furent confortées elles aussi, bien qu'elles n'aient pas étéprésentes lors des négociations originales en1865 et 1866. Cette épisode représente, notons le,le début du processus sans fin des transfertsde fonds, de points d'impôts, ou de budgetsspéciaux qui est le caractère distinctif du fédéralisme canadien. [20]2 Le dû du Québec2.1 Le Québec sans ses écusPour le Québec, et pour les Québécois, ce résultatpolitique représente unespoliation financière.De guerre lasse, et heureux de pouvoir enfin mettreen route leurs projetsde colonisation et dechemins de fer, les gouvernements à Québecacceptèrent le compromis de Macdonald. Laquestion du partage de l'actif occupa par contrelonguement les gouvernements, et ce n'est qu'en1910 que les derniers jugements seraient rendus par le Conseil privé à Londres[21]. Le Québec,il faut dire, n'a généralement pas eu de chance avec cette «Cour suprême» de l'empirebritannique: qu'on se souvienne seulement duLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage.7 de 13désastre de la frontière avec le Labrador en 1927.Il faut bien admettre aussi que pour un Québec membre de la fédération, contester le refus del'Ontario de payer sa dette acquise enversle Québec en 1841 est une affaire plus ou moinsrentable. L'Ontario irait se plaindre à Ottawa, qui lui offrirait, à elle déjà boudeuse de nerecevoir aucune péréquation, une compensation. Ottawa se reprendrait ensuite par ses impôts, surle dos des citoyens. Changer l'argent de la pochedroite à la poche gauche n'a jamais été uneopération financière très avantageuse.Mais alors que le Québec reprend sa liberté d'action et fait une vérification des comptes avec leCanada, la question du juge Day, en suspens depuis un siècle, reprend toute son importance.Qu'advient-il des $6 115 085,95, en dollars de1841, que l'Ontario doit au Québec ?Le Québecen 1838, alors que l'Union de 1841 fut adoptéepar le Parlement britannique, était sousoccupation militaire et était impuissant à exprimerson avis. Le Québec de1867 avait la laissecourte, étant donnée sa dépendance envers les subventions du Dominion, et on comprend queses dirigeants aient choisi la discrétion plutôt que la lutte. Aujourd'hui, toutefois, le Québec n'aaucune raison d'abandonner son dû.Malgré leur dépendance évidente sur les «subsides» du Dominion, c'est-à-dire plus de la moitié,des revenus de la Province, le gouvernement du Québec a protesté vigoureusement contre legeste arbitraire et illégal des deux arbitres. Le 12 décembre, 1870, l'Assemblée législativeadoptait six résolutions condamnantcette façon de procéder, parceque les arbitres n'avaient pasle droit de procéder en l'absence de l'arbitredu Québec et parce que les arbitres n'avaient pastenu compte de la dette du HautCanada dans son partage [17].Lors du débat sur cette résolution, le chef de l'Opposition, Henri-Gustave Joly, soulignal'impuissance ou l'incompétence des représentantsdu Québec au conseil des ministres à Ottawa:Lors de mes remarques sur l'arbitrage, j'ai regretté, de ne pas voir un desLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage 6 de 13ministres fédéraux dans cette chambre.Aujourd'hui, comme je vois M. Cartier àson siège et deux de ses collègues, je dois les répéter. Je dis donc, en parlant à nosministres fédéraux, lorsque le gouvernementlocal vous demandait d'intervenir l'étédernier, pourquoi n'avez-vous pas forcé lecabinet fédéral à intervenir ? A cetteépoque vous aviez quatre ministres de Québec contre [sic] quatre d'Ontario.Sir John était absent et les autres ministres étaient neutres. C'était le tempsd'intervenir. Je dis que les membres dugouvernement fédéral n'ont pas fait leurdevoir. Ce sont eux qui sont coupables. D'un seul mot,les ministres fédéraux deQuébec pouvaient arrêter l'arbitrage et forcer leur arbitre àse démettre de sesfonctions. Je fais ces remarques en présencede Sir [George-Etienne] Cartier, le plusimportant des ministres fédéraux [18].Les députés soulignèrent aussique l'arbitre fédéral étaitdepuis longtemps un résidenteffectif de l'Ontario, et que sa nomination violait au moins l'esprit de l'article 142.La protestation du Québec mit le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, dansl'embarras .D'une part, il n'était pas souhaitablede provoquer l'ire des électeurs québécois, alorsque les appartenances et les alliances politiques issues du nouveaurégime manquaient desolidité. D'autre part, la base politique de Macdonald était en Ontario, et ses rivaux «Grits»,dirigés par George Brown, ne demandaient pas mieux que de défendre les intérêts de l'Ontario.Le grand temporisateur qu'étaitMacdonald réussît à convaincreà la patience le gouvernementChauveau, fragile à la fois par sa dépendance sur les «subsides» fédéraux etl'instabilité de sesappuis à l'Assemblée législative.Une fois les élections de 1872 passées, la criseconnut une solution typiquement politique, si lapolitique est, comme on le dit, l'art du possible. Mettant de côté toutes les considérationsjuridiques et légales, Macdonald fit assumer par leDominion la totalité de la dette de l'ancienneProvince du Canada. La Nouvelle-Écosse et leNouveau-Brunswick, parties prenantes auxententes créant le Dominion, reçurent une compensation [19]. Les nouvelles provinces de laColombie britannique et du Manitoba furent confortées elles aussi, bien qu'elles n'aient pas étéprésentes lors des négociations originales en1865 et 1866. Cette épisode représente, notons le,le début du processus sans fin des transfertsde fonds, de points d'impôts, ou de budgetsspéciaux qui est le caractère distinctif du fédéralisme canadien. [20]2 Le dû du Québec2.1 Le Québec sans ses écusPour le Québec, et pour les Québécois, ce résultatpolitique représente unespoliation financière.De guerre lasse, et heureux de pouvoir enfin mettreen route leurs projetsde colonisation et dechemins de fer, les gouvernements à Québecacceptèrent le compromis de Macdonald. Laquestion du partage de l'actif occupa par contrelonguement les gouvernements, et ce n'est qu'en1910 que les derniers jugements seraient rendus par le Conseil privé à Londres[21]. Le Québec,il faut dire, n'a généralement pas eu de chance avec cette «Cour suprême» de l'empirebritannique: qu'on se souvienne seulement duLe Partage de la dette Canada-Québec: la troisième périodePage.7 de 13désastre de la frontière avec le Labrador en 1927.Il faut bien admettre aussi que pour un Québec membre de la fédération, contester le refus del'Ontario de payer sa dette acquise enversle Québec en 1841 est une affaire plus ou moinsrentable. L'Ontario irait se plaindre à Ottawa, qui lui offrirait, à elle déjà boudeuse de nerecevoir aucune péréquation, une compensation. Ottawa se reprendrait ensuite par ses impôts, surle dos des citoyens. Changer l'argent de la pochedroite à la poche gauche n'a jamais été uneopération financière très avantageuse.Mais alors que le Québec reprend sa liberté d'action et fait une vérification des comptes avec leCanada, la question du juge Day, en suspens depuis un siècle, reprend toute son importance.Qu'advient-il des $6 115 085,95, en dollars de1841, que l'Ontario doit au Québec ?Le Québecen 1838, alors que l'Union de 1841 fut adoptéepar le Parlement britannique, était sousoccupation militaire et était impuissant à exprimerson avis. Le Québec de1867 avait la laissecourte, étant donnée sa dépendance envers les subventions du Dominion, et on comprend queses dirigeants aient choisi la discrétion plutôt que la lutte. Aujourd'hui, toutefois, le Québec n'aaucune raison d'abandonner son dû.

Réf. 372. www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201410/18/01-4810408-couillard-entend-garder-le-cap-malgre-les-obstacles.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_4570286_article_POS4 Tommy ChouinardLa Presse(TROIS-RIVIÈRES) Devant les militants libéraux réunis à Trois-Rivières samedi, le premier ministre Philippe Couillard a prévenu que son gouvernement gardera le cap même si certaines réformes et compressions sèment la grogne.

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Réf. 371. http://www.biographi.ca/fr/bio/cartier_george_etienne_10F.html

J.-C. Bonenfant

Le gouvernement, ne voulant pas construire lui-même le chemin de fer, décida d’en confier la tâche à une société qui en retour se verrait assurer des subventions et concéder des terres. Au printemps de 1872, Cartier présenta à la chambre des Communes un projet de loi qui décrétait la construction du chemin de fer canadien du Pacifique (35 Vict., c.71). C’est lors de l’adoption de ce projet que Cartier lança le cri euphorique : « En route vers l’Ouest. »Pour réaliser une entreprise aussi gigantesque, le gouvernement eut à choisir entre deux groupes financiers qui se disputaient ses faveurs. La Compagnie du chemin der fer canadien du Pacifique, ayant à sa tête sir Hugh Allan*, président d’une grande société de navigation, obtint le contrat au début de 1873. On savait qu’Allan était un ami politique de Macdonald et de Cartier mais ce fut tout de même une surprise lorsque, au début d’avril 1873, le député libéral Lucius Seth Huntington* se leva à la chambre des Communes non seulement pour dénoncer l’origine américaine des capitaux de la compagnie d’Allan mais surtout pour soutenir que le financier avait en quelque sorte acheté son contrat en fournissant $350 000 à la caisse du parti conservateur au cours des élections de 1872. Dans l’enquête qui suivit, il fut prouvé que Cartier avait écrit à Allan pour lui promettre la construction et l’exploitation du chemin de fer et que, par ailleurs, il lui avait demandé dans d’autres lettres des sommes d’argent qui furent effectivement versées ; Cartier avait lui-même reçu $85 000. De telles pratiques faisaient partie des mœurs politiques de l’époque mais, cette fois, elles étaient quelque peu imprudentes. Elles ne peuvent s’expliquer chez Cartier que par l’habitude du pouvoir, par la croyance que le bien du parti se confond avec celui du pays et peut-être aussi par le début d’une maladie à laquelle il devait succomber au moment où éclatait ce qu’on a appelé le « Scandale du Pacifique ».

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Réf. 370. Une arme secrète se cachait à La Grosse Île | Sylvain ...

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31 mai 2010 - La Grosse Île, située en face de Montmagny, n'a pas uniquement servi de station de quarantaine pour des milliers d'immigrants irlandais venus ...

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Devant le bâtiment de désinfection de La Grosse Île qui a servi de laboratoire secret durant la Seconde Guerre mondiale, André Williams, témoin de cette époque, est entouré du réalisateur et du journaliste du film Le projet N, Yves Bernard et Vincent Frigon.

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Yves Bernard 514 788 1366 telimagin 514 276 7776

Publié le 31 mai 2010 à 05h00 | Mis à jour le 31 mai 2010 à 09h28Une arme secrète se cachait à La Grosse ÎleDevant le bâtiment de désinfection de La Grosse... (Collaboration spéciale Sylvain Fournier)AgrandirDevant le bâtiment de désinfection de La Grosse Île qui a servi de laboratoire secret durant la Seconde Guerre mondiale, André Williams, témoin de cette époque, est entouré du réalisateur et du journaliste du film Le projet N, Yves Bernard et Vincent Frigon.Collaboration spéciale Sylvain FournierMa PresseAjouter à Ma Presse AjouterPartagePartager par courrielTaille de policeImprimer la pageÀ lire aussiRadio-Canada: les pouvoirs d'enquête du commissaire Fraser confirmésUne vie houleuseBiographie: les beaux risques de MulroneyLa biographie de Brian Mulroney revient sur ses «beaux risques»Des élus prêts à revoir leur propre régime de retraiteSur le même thèmeParcs Canada |Radio-Canada |Lois et règlements |Armes biologiques et chimiques |ScientifiquesSylvain Fournier, collaboration spécialeLe Soleil(Montmagny) La Grosse Île, située en face de Montmagny, n'a pas uniquement servi de station de quarantaine pour des milliers d'immigrants irlandais venus en sol canadien. Durant une époque encore jugée mystérieuse au coeur de la Seconde Guerre mondiale, des scientifiques canadiens y ont érigé un laboratoire militaire ultra secret afin de produire du charbon bactérien, un agent de guerre bactériologique aussi connu sous le nom d'anthrax.Après quatre années de recherche, dont deux intensives qui les ont conduits un peu partout au Canada, aux États-Unis et en Allemagne, le journaliste Vincent Frigon et le réalisateur Yves Bernard de la maison de production montréalaise Telimagin lèvent le voile sur une partie de cette histoire inconnue de l'île de la quarantaine. Le documentaire Le projet N, nom de code de cette opération militaire menée par les armées canadienne et américaine, sera diffusé aux Grands Reportages de RDI, demain à 20h.

Réf. 369. plq.org/pdf/Helene_David_CV.pdf

ministre@mcc.gouv.qc.ca

Responsable de l'application de la Poliique de la langue française à l'U de M Responsable du dossier des accommodations raionnables

Réf. 368. www.montreal.gouv.qc.ca/medias/RepertoireMedia.asp?Region=Montreal&Filtre=Tous

Portail Québec >En région >Montréal >Répertoire des médiasPortail QuébecAccueilServices Québec - MontréalImprimer cette page.Grossir la taille du texte.Autres régionsMinistères et organismesPortrait régionalRépertoiresCirconscriptionsMédiasMunicipalitésThèmesServices Québec CitoyensServices Québec EntreprisesRépertoire des médiasRégion de MontréalRépertoire complet

Réf. 367. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/420603/la-greve-a-fait-perdre-500-millions-d-euros-a-air-france

La grève a fait perdre 500 millions d’euros à Air France9 octobre 2014 |Agence France-Presse | Actualités économiquesParis — La grève record des pilotes d’Air France, qui a affecté la compagnie durant deux semaines le mois dernier, pourrait avoir un impact « de l’ordre de 500 millions d’euros » sur les comptes 2014 du groupe Air France-KLM, a annoncé ce dernier

Réf. 366. www.federationgenealogie.qc.ca/avisdeces/avis/pdf?id=690634 Denyse Paquet (450) 667-1565 2495 Bd De Blois Laval QC H7E 1P8

Denyse Paquet (450) 667-1565 2495 Bd De Blois Laval QC H7E 1P8

Arnold J. DRAPEAUNom : DRAPEAUPrénom : Arnold J.Date de décès : 2010-07-22Paru le : 2010-07-31Père : DRAPEAUMère :DRAPEAU, Arnold J. 1928 - 2010 C'est avec tristesse que nous vousannonçons le décès de Arnold J. Drapeau de Laval, survenu le 22juillet, à l'âge de 81 ans et 11 mois. Ing. p. professeur et chercheur à l'ÉcolePolytechnique de Montréal. Décoré de l'Ordre des Francophonesd'Amérique, il était membre de l'Association pour le soutien etl'usage de la langue française (ASULF). Outre son épouse DenysePaquet et son fils Serge, il laisse dans le deuil son frère Bertrand (feuFrançoise Boileau), ses soeurs Yolande (feu Réal Dallaire), Micheline(Yves Cousineau), Liliane et Monique (Roger Lapointe), sa belle-soeurMonique Paquet (Alphonse Lafrance), son beau-frère Jean-Guy Paquet(Suzanne Roger) ainsi que de nombreux neveux et nièces. Selon sesdernières volontés, une cérémonie pour les intimes sera célébréepour lui rendre un dernier hommage, le samedi 7 août de 15 h à 17 h 30,au complexe Alfred Dallaire MEMORIA, 2159 boul. St-Martin Est,Laval, www.memoria.ca Parution: 2010-07-31 au 2010-07-31 dans LaPresse - 229011

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Réf. 365. www.expressoutremont.com/Culture/Activites-culturelles/2012-08-22/article-3058166/Saint-Viateur,-un-patrimoine-a-notre-porte/1

TranscontinentalAutoGO.caJobGO.caLes AffairesPlus de sitesTrouvez une entrepriseFacebookTwitterS'inscrireSe connecter07 octobre 2014Outremont & Ville de Mont-Royal15°C Prévisions météo complètesConditions actuellesL'Express d'Outremont & Mont-RoyalAccueilVie de quartierCultureSportsCollaborateursDécèsClasséesEmploisAutosPromotionsSalon du livreL'Express d'Outremont & Mont-Royal>Culture>Activités culturellesSaint-Viateur, un patrimoine à notre porte . Figure pas le grand virail que je veux!

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Réf. 363. http://www.cercles-naturalistes.be/Association/Pagesbase/contacts.html

Léon WOUÉPrésident du Conseil d'administrationDirecteur du Centre Marie-Victorin rue du Cimetière d'Honneur 35BE-5660 MariembourgTéléphone : 00 32 (0) 60 311 383(de 8h à 9h) 011 32 60 311 383 12h37 ma 7X2014

Réf. 362. http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=5527

...Censure à l’Université du Québec en Outaouais30 septembre 2014Ligue des droits et libertés

www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=5527...Censure à l’Université du Québec en Outaouais30 septembre 2014Ligue des droits et libertés

Réf. 361. . agora.qc.ca

Les trois Écosse Marc Chevrier Comment le Traité d'union de 1707, où l'Écosse renonça à son pouvoir politique au profit de l'Angleterre, servit de modèle pour la constitution canadienne de 1867, ce qui fit un Québec écossais. Et l'Europe, deviendra-t-elle une société civile à l'écossaise?

Réf. 360. cdq.cieq.ca/doc_ono_fiche_info.php?-action=browse&-recid=19680&-skip=0

M. Louis Coderre, sous-ministre de l’industrie et de commerce, reçoit le doctorat honorifique en science commerciales de Mgr Irénée Lussier, recteur de l’Université de Montréal. 1956

Réf. 359. http://www.ledevoir.com/politique/canada/124521/dion-contre-dion

Dion contre DionLéon Dion serait-il déçu en voyant son fils bloquer ce qu'il a cherché à fonder?9 décembre 2006 |Antoine Robitaille | Canada

Réf. 358. www.lettresnumeriques.be/2014/04/25/cecile-chabot-lauto-publication-pose-le-debat-de-la-legitimite/

← Les Presses Universitaires de Montréal publient « Pratiques de l’édition numérique »Kouvertures.com, un site pour réaliser les couvertures des auteurs auto-édités →Cécile Chabot : l’auto-publication pose le débat de la légitimité. Publié le 25 avril 2014 par Stéphanie Michaux. Auteur auto-éditée depuis 2012, Cécile Chabot a publié plusieurs polars 01X2014

Réf. 357. http://www.meltingmots.com/valider-nouveau-ajout.html

PU presses universitaires

Réf. 356. http://www.avonauto.com/press/MGI_Coutier_Acquisition_of_Avon_Automotive_(French).pdf

1COMMUNIQUE DE PRESSELe 27 juin 2011 -8h30CROISSANCE EXTERNEMAJEURE AUX USAACQUISITION D’AVON AUTOMOTIV

Réf. 356. http://www.meltingmots.com/valider-nouveau-ajout.html

pu presses universaitaiires

Réf. 355. http://www.revueforum.fr/2012/06/pour-limpot/

forum est une revue trimestrielle théorique éditée par la confédération Force Ouvrière - See more at: http://www.revueforum.fr/qui-sommes-nous/#sthash.SeEpfeQj.dpuf

Réf. 354. http://www.linguee.fr/francais-anglais/traduction/giron+de+l'église.html

Polynesia to accede to independence, like many neighbouring countries, or for her to remain in the bosom of the French Republic? www.linguee.fr/francais-anglais/traduction/giron+de+l'église.html Polynesia to accede to independence, like

accède à son indépendance, à l'image de nombreux pays voisins, ou qu'elle reste dans le giron de la République française ?

ambafrance-au.org

[...] Polynesia to accede to independence, like many neighbouring countries, or for her to remain in the bosom of the French Republic?

Réf. 353. http://www.notrefamille.com/dictionnaire/definition/giron

2Définition du dictionnaire LittréMediadicoAcadémie Française> GIRONRead more at http://www.notrefamille.com/dictionnaire/definition/giron#eVWE1SKBbgZro6Wq.99 Fig.Fig. Le giron de l'Église, la communion des fidèles.Dans un sens plus étendu. Rentrer dans le giron, revenir à une société, à un emploi qu'on avait quitté. Il a été longtemps éloigné de l'Université ; mais il vient de rentrer dans le giron. Read more at http://www.notrefamille.com/dictionnaire/definition/giron#eVWE1SKBbgZro6Wq.99

Réf. 352. http://www.newfederation.org/PM-2-f.htm

LES PREMIERS MINISTRES DU CANADA -extrait : sir John A. Macdonald par Michael BlissLe très honorable sir John Alexander Macdonald(1815-1891)1867-1873; 1878-1891 il entraîne dans le giron du Canada les vastes Territoires du nord-ouest, la Colombie-Britannique et l’Île-du-Prince-Édouard le scandale du Canadien Pacifique arbitrage absent

Réf. 351. fr.wikipedia.org/wiki/Adhésion_du_Québec_à_la_Constitution_du_Canada#Motifs_du_refus_d.27adh.C3.A9rer

L'adhésion du Québec à la Constitution du Canada désigne le refus par le Québec, depuis 1981, de consentir à l'adoption de la Loi constitutionnelle de 1982 Cette loi est la dernière modification profonde de la Constitution du Canada. Une confédération est un pacte, résultant de la volonté des parties, dont l'Assemblée législative du Québec duQuébec.

Gouvernement Couillard

Article connexe : Gouvernement Philippe Couillard.

Lors de son élection comme chef du Parti libéral du Québec en mars 2013, Philippe Couillard a exprimé son souhait de voir le Québec signer la Constitution du Canada avant le 150^e anniversaire de la fondation du Canada en 2017^3,4. Cette possibilité a été vertement critiquée par les représentants du Parti québécois qui arguaient l'importance de tenir un référendum sur cette question et d'obtenir du Canada des modifications importantes à la Constitution avant d'y adhérer^5,6. L'année suivante, il affirme toutefois que ce dossier n'est pas une priorité⁷ et que des ententes administratives avec le gouvernement fédéral peuvent remplacer l'adhésion à la Constitution⁸.

 Hélène David : ministre de la Culture et des Communications et de la protection et de la promotion de la langue française.

Listes utiles

Réf. 350. http://www.yrub.com/histoire/nuitcouteaux.htm

Le 30 juin 1934 se déroule la sanglante purge de la Nuit des longs couteaux Ces mesures, ainsi que les persécutions dirigées contre les antifascistes, ont contraint, dès les premiers mois du nouveau régime, de très nombreux savants et intellectuels (Einstein, Thomas et Heinrich Mann, Bertolt Brecht) à prendre le chemin de l'exil.

Le 30 juin, sur son ordre, les SS de Heydrich et Himmler arrêtent et exécutent les principaux dirigeants des SA, dont Röhm. La contradiction entre le discours radical du parti nazi, qui avait attiré à lui des larges couches de chômeurs, et la réalité du pouvoir nazi, est enfin réglée. 

SA (Nazi organization) -- Encyclopedia Britannica

www.britannica.com/EBchecked/topic/514736/SATraduire cette page

On June 30, 1934, the Night of the Long Knives (die Nacht der langen Messer), Hitler, using SS forces, carried out a “Blood Purge” of the SA leadership. Röhm ...

Réf. 349. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/419732/souverainete-le-pq-denonce-l-ingerence-de-l-allemagne

Paru. 29IX13h20

Pierre Demers - Abonné 29 septembre 2014 06 h 47M. Gauck et autres, le Québec n'est plus dans le Canada...M. Gauck et autres, le Québec n'est plus dans le Canada......depuis la nuit des longs couteaux canadiens, à Ottawa en 1982. Depuis ce temps, le Canada exerce son autorité au Québec à la manière d'un occupant dans une légalité factice mais illégitime et de facto. Il est grand temps que nos dirigeants le reconnaissent et le déclarent en toute clarté, même aux visiteurs. Saluts. Pierre Demers 1914 LISULF 29IX2014www.ledevoir.com/politique/quebec/419732/souverainete-le-pq-denonce-l-ingerence-de-l-allemagne Pierre Demers -

J'ajoute 13h32: les Allemands se souviennent de leur propre nuit des longs couteaux, sanguinaire celle-là, au cours de laquelle Hitler fit périr des SA pour assurer la prédominance des SS.

Réf. 347. en.wikipedia.org/wiki/History_of_Ontario

1851 952,004

1861 1,396,091 +46.6%

1871 1,620,851 +16.1%

1881 1,926,922 +18.9%

1891 2,114,321 +9.7%

1901 2,182,947 +3.2%

Réf,. 346. www.aprum.umontreal.ca/Constitutions/Historique.htm

Les participants se penchent, par la suite, sur les objectifs qui pourraient être mis de l'avant pour l'Association. On en distingue deux catégories : la protection que l'Association peut apporter à ses membres;

Réf. 345. https://www.google.ca/search?q=atomes+cubiques+de+lewis&client=firefox-a&hs=Ave&rls=org.mozilla:fr:official&channel=fflb&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=SBEnVNH_GYKTyQT4wYHQBw&ved=0CDYQ7Ak&biw=1152&bih=746

atomes cubiques de Lewis

Réf. 344. http://lisulf.quebec/TableauTTR.htm

En construction, 24IX2104,De la science en français.Système du Québécium.Un tableau des éléments tout en rectangles, basé sur les symétries géométriques de l'écriture. Pierre Demers.12IX2014 M. à J. 26IX2014Traduction interdite.

Réf. 343. lisulf.quebec/SF038.htm

http://www.ledevoir.com/politique/quebec/419564/transport-du-petrole-parent-pauvre-le-quebec-doit-faire-sa-part

SF036 ***** **** des carences. 6 115 085,95 $ en 1841. D. Le montant de cette dette était connu publiquement sans besoin d'une enquête. En 1841: 6 115 085,95 $.

Réf. 342. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/419564/transport-du-petrole-parent-pauvre-le-quebec-doit-faire-sa-part

transport du pétroleParent pauvre, le Québec doit faire sa part26 septembre 2014 | Robert Dutrisac - Correspondant parlementaire à Québec | Québec

Réf. 341. fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Lapierre Michel Lapierre est un écrivain et journaliste québécois né à Montréal en 1953. doctorat en histoire littéraire (1993 UdeM

Réf. 340. http://www.crm.umontreal.ca/~physmath/LabPhysMath/letourneux.html

Jean LeTourneux (UdeM)Affiliation:Professeur HonoraireDepartement de PhysiqueUniversite de MontrealC.P 6128, Succursale Centre-VilleMontreal, Qc H3C 3J7Contact information:Email: letourne@crm.umontreal.caPhone: (514) 343-2117

Réf. 339. www.biographi.ca/fr/bio/joly_de_lotbiniere_henri_gustave_13F.html JOLY DE LOTBINIÈRE, sir HENRI-GUSTAVE (il ajouta de Lotbinière à son nom en 1888), avocat, seigneur et homme politique, né le 5 décembre 1829 à Épernay, France, fils de Pierre-Gustave Joly et de Julie-Christine Chartier de Lotbinière ; le 6 mai 1856, il épousa à Québec Margaretta Josepha Gowen, et ils eurent trois fils et trois filles ; décédé le 16 novembre 1908 à Québec.

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Réf. 338 . Bizzetti 20IX2014, p.7, 20IX2014 A Le Devoir

..

Réf. 337. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/419017/loi-constitutionnelle-de-1982-couillard-refuse-de-prendre-l-initiative-de-discussions

Loi constitutionnelle de 1982Couillard refuse de prendre l’initiative de discussions 20 septembre 2014 | Marco Bélair-Cirino Correspondant parlementaire | Québec

Réf. 336. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiqueprovinciale/archives/2014/09/20140919-075453.html

«Tout comme les Québécois, les Écossais ont choisi de conserver leurs lien avec le Royaume-Uni pour des raisons qui leur appartiennent», a déclaré le premier ministre Philippe Couillard vendredi matin, en réaction à la victoire du NON au référendum écossais.M. Couillard n'a pas voulu s'avancer dans les comparaisons entre le Québec et l'Écosse sur la question de l'indépendance.Les contextes sont très différents, c'est très difficile de faire des parallèles entre la situation de l'Écosse et celle du Québec», a-t-il notamment déclaré.

Réf. 335. http://www.ledevoir.com/international/europe/418954/le-non-en-avance

L’Écosse dit Non à l’indépendance19 septembre 2014 | Marco Fortier à Édimbourg | Europe

Yves Gingras - Inscrit19 septembre 2014 07 h 50Même à cela. J'enseigne dans un Cegep et les jeunes ne veulent rien savoir de l'indépendance. Pour eux, la séparation c'est ringard, ça fait trop XXe siècle. Ils vivent aux XXIe siècle. Ils sont préoccupés par des problèmes planétaires (environnement, essor des pays émergents, mondialisation, nouvelles technologies de l'information,etc.) et non par des histoires archaïques (la Conquête, Lord Durham, etc.). Ils veulent s'ouvrir à un nouveau monde qui immerge et non se cantonner à de vielles chicanes. Ils sont plus près des hipters de Brooklyn que des têtes blanches souverainistes qui appuyaient la Charte des valeurs.Yves Gingras « Ha, ha, ha ! Tu me fais rire ! Il ne faut pas croire ce que disent les politiciens,

Réf. 334. https://www2.ulaval.ca/fileadmin/ulaval_ca/gabarit/art-public/Volume_1_-_Art_public.pdf

L'art public sur le campus de l'Université Laval83Comité d'aménagement et de mise en oeuvre (CAMEO)56 - Tableau périodique des éléments Giguère Plamondon Figure 101

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Réf. 333 http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/418811/syrie-le-pam-va-devoir-reduire-son-aide-aux-refugies-faute-de-fonds.

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Syrie : le PAM va devoir réduire son aide aux réfugiés faute de fonds

18 septembre 2014 13h37 |Agence France-Presse | Actualités internationales

Réf. 332. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/406512/la-fondation-paul-gerin-lajoie-en-crise

La Fondation Paul Gérin-Lajoie en criseIntervention politique illégale et examen des notes de frais secouent l’organisme25 avril 2014 |Stéphane Baillargeon | Actualités en société

Réf. 332. http://www.ledevoir.com/international/europe/418217/le-oui-est-en-avance

la peur! Le Oui est en avance…? 12 septembre 2014 |Lise Payette | Europe

Peut-être les Écossais se sont-ils rendu compte qu’ils étaient en train de se faire avoir comme nous à deux reprises.

Réf. 331. http://www.rfi.fr/afrique/20111207-plus-12-millions-apatrides-le-monde-deux-conventions-trop-peu-ratifiees/

Droits de l’homme ONUPublié le 07-12-2011 Modifié le 07-12-2011 à 16:04. Plus de 12 millions d’apatrides dans le monde, deux conventions trop peu ratifiées. Par Véronique Gaymard

Réf. 330. http://www.fmreview.org/fr/pdf/MFR32/01.pdf

Qu’est-ce que l’apatridie et pourquoi est-ce une question importante ? Indira Goris, Julia Harrington et Sebastian Köhn

Réf. 329. http://www.ledevoir.com/culture/livres/418241/tuerie-a-quebec-pour-l-empire

Livres, par Michel Lapierre, samedi 13IX2014.

François-Louis Lessard, le Canadien français le plus haut gradé de l’armée, répond à l’avocat anticonscriptionniste Armand La Vergne, qui défend les manifestants : « J’ai la force et je m’en sers ! » Ces mots, mis en évidence par Provencher, l’excellent narrateur, sont ceux de l’Empire britannique, de sa hautaine autorité qui a su fasciner les transfuges de tant de peuples. Sur la foule, où l’on entendait crier « Parlez français ! », les soldats ont tiré, profitant après coup des mesures de guerre adoptées rétroactivement qui leur assureront l’impunité. Les empires ont toujours su défier le temps.François-Louis Lessard, le Canadien français le plus haut gradé de l’armée, répond à l’avocat anticonscriptionniste Armand La Vergne, qui défend les manifestants : « J’ai la force et je m’en sers ! » Ces mots, mis en évidence par Provencher, l’excellent narrateur, sont ceux de l’Empire britannique, de sa hautaine autorité qui a su fasciner les transfuges de tant de peuples.Sur la foule, où l’on entendait crier « Parlez français ! », les soldats ont tiré, profitant après coup des mesures de guerre adoptées rétroactivement qui leur assureront l’impunité. Les empires ont toujours su défier le temps.

Réf. 328. www.vigile.net/Les-30-ans-d-un-combat-ethique

http://www.vigile.net/Les-30-ans-d-un-combat-ethique

Les 30 ans d’un combat éthique : Trudeau/Lévesque

Jean-François Lisée

L’actualité

lundi 16 avril 2012

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Réf. 327. fr.wikipedia.org/wiki/Conférence_de_Québec_(1864)#mediaviewer/File:QuebecConvention1864.jpg

Délégués à la Conférence de Québec en 1864Assemblée internationale à Québec des délégués des législatures du Canada : Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve. Téléversé par Jeangagnon Création : 27 octobre 1864 Images from Library and Archives Canada, PD 1923, PD Canada Les Québécois George-Étienne CartierJean-Charles Chapais

George-Étienne Cartier, Jean-Charles Chapais, Hector-Louis Langevin, Étienne -Paschal Taché.

Province du Canada

• George Brown
• Alexander Campbell
• George-Étienne Cartier
• Jean-Charles Chapais
• James Cockburn
• Alexander Tilloch Galt
• Hector-Louis Langevin
• John Alexander Macdonald
• William McDougall
• Thomas D'Arcy McGee
• Oliver Mowat
• Étienne-Paschal Taché
• Edouward Dockhouse
• Ryan A Macdonald

Nouveau-Brunswick

• Edward Barron Chandler
• Charles Fisher
• John Hamilton Gray
• John Mercer Johnson
• Peter Mitchell
• William H. Steeves
• Samuel Leonard Tilley

Nouvelle-Écosse

• Adams George Archibald
• Robert B. Dickey
• William Alexander Henry
• Jonathan McCully
• Charles Tupper

Île-du-Prince-Édouard

• George Coles
• John Hamilton Gray
• Thomas Heath Haviland
• Andrew Archibald Macdonald
• Edward Palmer
• William Henry Pope
• Edward Whelan

Terre-Neuve (observateurs)

• Frederic Bowker Terrington Carter
• Ambrose Shea

Réf. 326. www.capitale.gouv.qc.ca/medias/pdf/publications/conference-quebec.pdf

Les conférences de QuébecDE1864À1989ANDRÉ ROY

www.capitale.gouv.qc.ca/medias/pdf/publications/conference-quebec.pdf

CONFÉRENCE DE QUÉBECDU10 AU 27 OCTOBRE 1864

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Réf. 325. https://www.mrif.gouv.qc.ca/Content/documents/fr/Chronologie_1960_1967.pdf

Chronologie des relations internationales du gouvernement du Québec1960-1967

Réf. 324. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/393308/le-prix-du-patriote-de-l-annee-2013-a-ete-decerne-a-frederic-bastien

Frédéric Bastien, patriote de l’année 22 novembre 2013 |La Presse canadienne | Actualités en société

Gilles Théberge - Inscrit21 novembre 2013 16 h 19Un choix judicieuxJudicieux et pertinent. Ce livre m'a appris des choses importantes et apporté des réponses d'une valeur inestimable.Bravo Frédéric Bastien. Et merci.Michel ThériaultSignalerMichel Thériault - Abonné21 novembre 2013 18 h 00Bravo !Bravo M. Bastien, j'ai lu votre livre avec intérêt et vous avez tout mon respect ! Si on pouvait maintenant en parler dans nos cours d'histoire pour ne pas oublier toutes les magouilles du fédéral et de Trudeau en particulier...Chapeau à vous encore une fois.Claude GélinasSignalerClaude Gélinas - Abonné21 novembre 2013 18 h 01Un livre à lire absolument !Quel travail de recherche exceptionnel pour comprendre notamment le rôle joué par la Cour suprême dans la fixation de Pierre Elliot Trudeau pour imposer sa Charte au Québec et ce malgré les réticiences du gouvernement britannique.Gilles Théberge - Inscrit21 novembre 2013 16 h 19Un choix judicieuxJudicieux et pertinent. Ce livre m'a appris des choses importantes et apporté des réponses d'une valeur inestimable.Bravo Frédéric Bastien. Et merci.Michel ThériaultSignalerMichel Thériault - Abonné21 novembre 2013 18 h 00Bravo !Bravo M. Bastien, j'ai lu votre livre avec intérêt et vous avez tout mon respect ! Si on pouvait maintenant en parler dans nos cours d'histoire pour ne pas oublier toutes les magouilles du fédéral et de Trudeau en particulier...Chapeau à vous encore une fois.Claude GélinasSignalerClaude Gélinas - Abonné21 novembre 2013 18 h 01Un livre à lire absolument !Quel travail de recherche exceptionnel pour comprendre notamment le rôle joué par la Cour suprême dans la fixation de Pierre Elliot Trudeau pour imposer sa Charte au Québec et ce malgré les réticiences du gouvernement britannique.

Réf. 323. www.umontreal.ca/udem-aujourdhui/fr/histoire/1985.html

2005 : Le nouveau couple immobilierLa Faculté de pharmacie s’installe dans le pavillon Jean-Coutu, et l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie, dans le pavillon Marcelle-Coutu. Les deux pavillons jumeaux ont été construits grâce à la générosité du plus célèbre pharmacien du Québec et de son épouse. Ils sont reliés par l’agora Morris-et-Rosalind-Goodman, un vaste espace hybride et convivial qui sert de lieu de rencontre et peut accueillir jusqu’à 400 personnes.2005 : Le nouveau couple immobilier. La Faculté de pharmacie s’installe dans le pavillon Jean-Coutu, et l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie, dans le pavillon Marcelle-Coutu. Les deux pavillons jumeaux ont été construits grâce à la générosité du plus célèbre pharmacien du Québec et de son épouse. Ils sont reliés par l’agora Morris-et-Rosalind-Goodman, un vaste espace hybride et convivial qui sert de lieu de rencontre et peut accueillir jusqu’à 400 personnes.

. 2005 : Le nouveau couple immobilier

La Faculté de pharmacie s’installe dans le pavillon Jean-Coutu, et l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie, dans le pavillon Marcelle-Coutu. Les deux pavillons jumeaux ont été construits grâce à la générosité du plus célèbre pharmacien du Québec et de son épouse. Ils sont reliés par l’agora Morris-et-Rosalind-Goodman, un vaste espace hybride et convivial qui sert de lieu de rencontre et peut accueillir jusqu’à 400 personnes.

Mon oncle patrnel, le Dr Gustave Demers a vécu en face de det iimmeuble Jean Coutu, rue Guyard d'alors. Il était aussi pharmacien et a travaillé comme tel à la Pharmacie Miron, sise au dessus de la station de Métro Côte-des-Neiges. Ce local est occupé de nos jours par ;a BN, alors BCN

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Réf. 322. www.umontreal.ca/udem-aujourdhui/fr/histoire/1965-1985.html

1965 : Le premier recteur laïque« C’est le fait d’être une des plus grandes universités d’expression française au monde qui caractérise l’Université de Montréal, et non son caractère religieux », déclarait Roger Gaudry peu de temps avant sa nomination. En 1965, ce dernier devient le cinquième recteur de l’UdeM mais le premier laïque à occuper cette fonction prestigieuse. Artisan de la modernisation de l’Université pendant la Révolution tranquille, ce biochimiste de renommée internationale oriente la mission de l’établissement vers les études supérieures et la recherche, et procède à une réorganisation complète de l’appareil administratif et de la structure facultaire.

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1969 : L’hebdo de l’UdeM« Une université qui bouge », titre à la une le premier numéro du journal de l’UdeM le 8 septembre 1969. Prenant le relais d’Hebdo-Information, Forum rend compte de la vie universitaire et sert de vitrine aux recherches menées par des professeurs et étudiants de l’UdeM. Depuis 1975, sa parution est assurée par la Direction des communications de l’Université. Primé à trois reprises par le Conseil canadien pour l’avancement de l’éducation, le journal tire à 15 000 exemplaires, paraît en version électronique et publie six fois par année Forum express, un bulletin consacré à la recherche qui s’adresse aux journalistes et au grand public.

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Réf. 321. http://www.umontreal.ca/udem-aujourdhui/fr/histoire/1943-1965.html

1943 : Le projet Manhattan à l’UdeM. C’est le secret le mieux gardé de l’Université pendant la Seconde Guerre. De 1943 à 1945, l’aile ouest du bâtiment principal abrite un laboratoire où des scientifiques des forces alliées travaillent à mettre au point un réacteur nucléaire à eau lourde. Entrepris dans le cadre du projet Manhattan, qui sera à l’origine de la fabrication de la première bombe atomique, ces travaux de recherche aboutiront à la production de la première pile atomique à fonctionner en dehors des États-Unis. L’un des rares chercheurs canadiens-français de l’équipe, Pierre Demers, découvrira une nouvelle série d’éléments radioactifs du neptunium.

Réf. 320 http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=133

La Cour suprême, le droit international et l’indépendance du Québec André Binette

Réf. 319. fr.wikipedia.org/wiki/Nuit_des_Longs_Couteaux_(Suisse)

Nuit des Longs Couteaux (Suisse)Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Nuit des Longs Couteaux (homonymie).La nuit des Longs Couteaux est le nom familièrement donné en Suisse, par dérision, à la nuit précédant l'élection des conseillers fédéraux par l'Assemblée fédérale1.

Réf. 318. www.ledevoir.com/international/europe/418075/cameron-en-terre-ecossaise-pour-livrer-la-bataille-du-non-a-l-independance

Écosse«La bande de Westminster se jette dans la campagne»11 septembre 2014 |Agence France-Presse | Europe Acculé, M. Cameron pourrait-il demander à la monarchie d’intervenir, comme l’écrivent les médias britanniques ? L’hypothèse a été écartée par Buckingham Palace*.

« L’impartialité constitutionnelle de la souveraineté est un principe établi de notre démocratie, et la reine l’a démontré tout au long de son règne, a souligné un porte-parole du palais royal.

*Était-ce vrai le 17 avril 1982 à Ottawa? Réf. 317.

Réf. 317. ici.radio-canada.ca/nouvelles/Dossiers/elizabethII/presencecanada.htm

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1982. Le 17 avril, elle signe l'acte de la nouvelle Constitution canadienne, à Ottawa.

1987. Élisabeth II inaugure la rencontre des chefs de gouvernement du Commonwealth en Colombie-Britannique, avant d'aller en Saskatchewan et au Québec. Dans cette dernière ville, elle insiste sur l'importance de l'Accord du lac Meech, dont elle se dit très satisfaite.

Réf. 316. fr.wikipedia.org/wiki/Rapatriement_de_la_Constitution_du_Canada

fr.wikipedia.org/wiki/Nuit_des_Longs_Couteaux_(Québec)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_1982_sur_le_Canada

Ce que les Britanniques ont appelé "the kitchen meeting" tenue de nuit sous la présidence de P. E. Trudeau, dans une cuisine de l'Hôtel Chateau Laurier, pendant que le 1er du Québec René Lévesque dormait à Hull.

Ce qui n'a pas empéché la reine Élisabeth 2 de venir sanctionner la nouvelle constitution par sa présence et sa signature, d'elle qui conservait ainsi sa royauté sur le Canada. Vu l'absence l'assentiment du Québec, elle aurait pu, en toute décence, * affirmer clairement, à cette occasion, que le Québec ne faisait plus partie du Canada. Puisqu'elle ne l'a pas fait à cette occasion, elle aurait pu se racheter lors de sa visite au Parlement du Québec en 1987, ce qu'elle n'a pas fait. Réf. 317.

* et pour ne pas s'impliquer dans une dispute hautement politique (R.f.

http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/la_Nuit_des_longs_couteaux/182677

L'appellation avait une saveur Nazie, sauf l'écoulement du sang, mais y compris son caractère nocturne et secret.

Nom donné à la série d'assassinats et d'arrestations ordonnés au sein de l'appareil dirigeant du parti nazi par Adolf Hitler, dans la nuit du 30 juin 1934, visant à liquider les SA au profit des SS.

Réf. 315. ArticleUn siècle de finances publiques québécoises : 1867-1969 Ruth DupréInstitut d’économie appliquée, École des Hautes Études Commerciales Volume 64, numéro 4, décembre 1988, p. 559-583Direction : Claude Fluet (directeur)Éditeur : HEC MontréalISSN : 0001-771X (imprimé) 1710-3991 (numérique)DOI : 10.7202/601470arAE

Volume 64, numéro 4, décembre 1988, p. 559-583 Direction : Claude Fluet (directeur) Éditeur : HEC Montréal ISSN : 0001-771X (imprimé)  1710-3991 (numérique) DOI : 10.7202/601470ar

Réf. 314. fr.wikipedia.org/wiki/Victoria_du_Royaume-Uni

1819

Victoria du Royaume-UniPhotographie d'Alexander Bassano, 1882Victoria du Royaume-Uni. Photographie d'Alexander Bassano, 1882

Portrait de couronnement par George Hayter

http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Hayter

Réf. 313. http://www.canadiana.ca/citm/themes/constitution/constitution11_f.html - actedeunion

L'Acte d'Union de 1840. Les deux Canadas ont été réunis en 1840. Les modalités étaient décidément injustes pour le Bas-Canada : il devait aider à rembourser la dette de 1,2 millions £ (il avait une dette très faible) et on le restreignait à cinquante pour cent des sièges au sein de la nouvelle Assemblée même si sa population était beaucoup plus importante.Image. L'Acte d'Union de 1840.

NDLR. En réalité, il avait un surplus.

..

Titre	L'incendie des édifices du Parlement, Montréal, en 1849 (Québec)
Date	Inconnu
Créateurs	Charles William Jefferys
Source / Numéros de référence	Archives nationales du Canada / C-073717

Réf. 312. http://www.collectionscanada.gc.ca/confederation/023001-4000.30-e.html

http://www.collectionscanada.gc.ca/confederation/023001-4000.30-f.html

en.wikipedia.org/wiki/John_Hamilton_Gray_(New_Brunswick_politician)

John Hamilton Gray, QC (1814 – June 5, 1889)

.

Source

John Hamilton Gray.

.

Réf. 311. fr.wikipedia.org/wiki/Une_famille_très_moderne

Une famille très moderne ou L'Échange au Québec et au Nouveau-Brunswick (The Switch) est un film américain réalisé par Josh Gordon et Will Speck, adapté du roman de Jeffrey Eugenides. Il est sorti le 20 août 2010 aux États-Unis et le 25 août 2010 en France.

L'Échange au Québec et au Nouveau-Brunswick (The Switch)

Réf. 310. La Conférence de Charlottetown de septembre 1864.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9rence_de_Charlottetown#mediaviewer/File:ConferenceCharlottetown.jpg

.

.

fr.wikipedia.org/wiki/Conférence_de_Charlottetown

2 sur 24

Représentants à la Conférence de Charlottetown Les délégués Nouveau-Brunswick Edward Barron Chandler, John Hamilton Gray, Samuel Leonard Tilley, William H. Steeves, John Mercer Johnson, Nouvelle-Écosse, Adams George Archibald, Robert B. Dickey, William Alexander Henry, Jonathan McCully, Charles Tupper, Joseph Howe, Île-du-Prince-Édouard, George Coles, John Hamilton Gray, Edward PalmerAndrew Archibald Macdonald William Henry Pope Province du Canada George BrownAlexander Campbell George-Étienne Cartier Alexander Tilloch GaltJohn A. Macdonald Hector-Louis Langevin William McDougall Thomas D'Arcy McGee

Hector-Louis Langevin, George-Étienne Cartier

Réf. 309. www.biographi.ca/fr/bio/macdonald_john_alexander_12F.html

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Image 1 de 21 - John A. MacDonald. 
Provenance : Bibliothèque et Archives Canada/MIKAN 2979083

J. A. Macdonald 1815-1891

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Réf. 308. lisulf.quebec/SF037.htm

L'ARC Agence du Revenu du Canada s'annonce: une vérification des livres de la LISULF. (Et de ceux de son président Pierre Demers 1914).***** ***L'ARC visitera le siège social de la LISULF, 1200 Latour à Saint-Laurent, le 27VIII2014 - Le contexte.Mario Savard, Pierre Demers.NDLR. 1. Un peu intimidant. 2. La loi est la loi. 3. La LISULF n'est pas seule.

Réf. 307.www.parl.gc.ca/about/parliament/reconstituteddebates/HouseOfCommons/1/4/RecDeb_HOC_1871_CompleteDebates-f.pdf

une décision, que lelieutenant-gouverneur du Québec a jugée injuste etillégale L’hon. sir GEORGE-É. CARTIER n’y voit absolument aucuninconvénient. (Acclamations et rires.)

Le gouverneur en conseil ne peut prendre aucuneinitiative.(SIGNÉ)JOHN A. MACDONALD

DÉBATS DES COMMUNES811ermars 1871CHAMBRE DES COMMUNESLe mercredi 1ermars 1871

Réf. 306. http://jeantalonest.com/uploads/download/michaud_santoriello_page_michaud.pdf

Marc Michaud.

Réf. 305. http://www.biographi.ca/en/bio/macpherson_david_lewis_12E.html

MACPHERSON , Sir David Lewis , homme d'affaires et homme Politique; b. 12 septembre 1818 au Château Cuirs Ë Inverness paroisse, l'Ecosse, le jeune fils, plus de David Macpherson et Naomi Grant; m. 18 Juin 1844 Elizabeth Sarah Badgley Molson à Montréal, et ILS eurent Deux fils et filles Cinq (D 1894).; d. 16 août 1896 en mer en route verser le Canada et il FUT enterre à Toronto..

Image 4 4 - L'honorable. David Lewis MacPherson, (Sénateur) b. 12 septembre 1818 - d. 16 août 1896
Source: Bibliothèque et Archives Canada / MIKAN 3477682 <br /> Légendes

Fig. 1. D. L. MacPherson 1818-1896

Réf. 304. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/417814/couillard-harper

Le Québec doit réintégrer la Constitution, dit Couillard 6 septembre 2014 13h15 | Patrice Bergeron - La Presse canadienne à Québec | Québec Il exprimait ainsi son souhait de réintégrer le Québec dans le giron constitutionnel canadien, sans rappeler explicitement à la face de M. Harper que le Québec n’est même pas signataire de l’Acte constitutionnel de 1982.

. .

Photo: Clément Allard La Presse canadienne Les deux chefs étaient réunis sur la même tribune à l’occasion du bicentenaire de la naissance de l'un des Pères de la Confédération, George-Étienne Cartier .

Réf. 303. http://www.ledevoir.com/societe/education/403615/la-petite-politique-de-duchesne

Pierre Demers - Abonné 26 mars 2014 19 h 45. Universités, langue officielle et financement.

Le 2014-03-26 à 19:55, Demers Pierre a écrit :

Réf. petite politique 26 mars 2014   http://www.ledevoir.com/societe/education/403615/la-petite-politique-de-duchesne

Ceci* a paru dans Le Devoir en ligne.

Saluts, pour votre usage. PD  19h55 HAE

*

==

Universités, langue officielle et financement.

Universités, langue officielle et financement.

À propos de financement, on pourrait avoir une pensée pour la langue française. Est-il approprié que le Québec continue de financer ces Universités situées au Québec qui enseignent officiellement autrement qu'en français? La plus ancienne d'entre elles ne fut pas fondée pour promouvoir le français. Je verrais là une question de francophobie au sens propre: la peur de faire peur en affirmant la langue française. Pierre Demers 1914 LISULF 26III2014

===

Réf. 302.ß fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2014/08/20140818-214710.html

Geneviève Lajoie / Agence QMI18-08-2014 | 21h47Les souverainistes ont reçu comme un baume les déclarations du milliardaire Stephen Jarislowsky, qui serait indépendantiste si le Québec était plus riche.

Réf. 301. http://www.ledevoir.com/culture/cinema/417804/39e-tiff-une-bombe-felquiste-a-torontohttp://www.ledevoir.com/culture/cinema/417804/39e-tiff-une-bombe-felquiste-a-toronto

Corbo.

..

Photo: TIFF Une scène du film Corbo, avec Anthony Therrien dans le rôle de Jean Corbo. .

Réf. 300. Le Système du Québécium. Un système universel, allant de la création de la matière à la création de la femme, basé sur les symétries. Pierre Demers 1914. 6IX2014 4h42 HAE. 20 minutes.

Réf. 299. Une cuisine dédiée à l'équation du temps solaire et au nombre magique 30. Pierre Demers 1914. Il est le 5 septembre 2014, 22h05 HAE, aide de Patrick Demers, photographe et informaticien. Projet.

Réf. 298. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/416469/tarzan-contre-goliath

Lise Bissonnette.

Yves Côté - Abonné 22 août 2014 04 h 51. Rêve canadien, cauchemar québécois...Nous sommes à l'étape fédéraliste suivante de la tentative libérale, déterminée, planifiée et la plus bienvenue qui soit au Canada, du détricotage du Québec... Ou encore, les criminels financiers et autres magouilleurs mafieux ?

La dette: faudra-t'il une autre enquête Charbonneau pour nous persuader que c'est vrai? Abattre le raisonnement défaitiste, que, si c'était vrai, ça se saurait depuis longtemps. Ou encore: ça ne se peut pas, donc, ce n'est pas vrai. Des gens si respectables. Ils sont 4: 3 d'Ottawa, une du Palais de Windsor.

Zarilowski: c'est étonnant comme les Québécois sont pauvres. Justement, il y a une explication et il ne semble pas la connaître: la dette de l'Ontario, impayée.

Réf. 297. http://www.ledevoir.com/politique/canada/411032/bloc-nouveau-chef

Mario Beaulieu devient chef du Bloc québécois. Il annonce un virage pour le parti, qui ne plait pas à tout le monde16 juin 2014 11h30. Marie Vastel | Canada

. .

Réf. 296. www.courrierdeportneuf.com/Actualites/2014-06-04/article-3748837/Mario-Beaulieu-veut-la-relance-du-mouvement-independantiste/1

Mario Beaulieu veut la relance du mouvement indépendantisteJacques La HayePublié le 04 juin 2014.

C'était le 4VI2014. Un avenir chargé de promesses.

Réf. 295. fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2014/09/20140904-105154.html

Québec sous la surveillance des financiers de New York Régys Caron 04-09-2014 10h51QUÉBEC - Les agences de crédit de New York soufflent dans le cou du gouvernement Couillard au moment où ce dernier planche sur les sacrifices qui devront être consentis pour rétablir l'équilibre budgétaire.

Réf. 294. http://www.ledevoir.com/politique/canada/417550/le-bloc-delaisse-les-enjeux-canadiens

Le Bloc délaisse les enjeux canadiens. Mario Beaulieu n’a commenté jusqu’à maintenant que des questions québécoises. 4 septembre 2014 , Marie Vastel - Correspondante parlementaire à Ottawa | Canada

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Photo: Graham Hughes La Presse canadienne Le c .

Réf. 293. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/416967/leadership-du-pq-les-deputes-se-positionnent-mais-peladeau-reste-discret

Leadership du PQ. Les députés se positionnent, mais Péladeau reste discret. 27 août 2014 17h50 | La Presse canadienne à Québec | Québec

...

Photo: Clément Allard Agence France-Presse Francois Gendron, Pierre Duchesne et Sylvain Gaudreault en grande conversation avant le début du caucus des députés du Parti québécois.

Réf. 292. http://www.ledevoir.com/politique/canada/417370/bloc-quebecois-des-dizaines-de-jeunes-comptent-briguer-les-suffrages

Bloc québécoisDes dizaines de jeunes comptent briguer les suffrages2 septembre 2014 |Étienne Fortin-Gauthier - La Presse canadienne | Canada Bloc québécoisDes dizaines de jeunes comptent briguer les suffrages2 septembre 2014 |Étienne Fortin-Gauthier - La Presse canadienne | Canada Bloc québécoisDes dizaines de jeunes comptent briguer les suffrages2 septembre 2014 |Étienne Fortin-Gauthier - La Presse canadienne | Canada Bloc québécoisDes dizaines de jeunes comptent briguer les suffrages2 septembre 2014 |Étienne Fortin-Gauthier - La Presse canadienne | Canada Bloc québécoisDes dizaines de jeunes comptent briguer les suffrages 2 septembre 2014 |Étienne Fortin-Gauthier - La Presse canadienne | Canada

Réf. 291. http://www.pmprovincesterritoires.ca/fr/reunions-evenements/72-2014/360-rencontre-estivale-26-au-30-aout-2014-charlottetown-ile-du-prince-edouard

Le premier ministre de l’Île-du-Prince-Édouard, Robert Ghiz, accueillera les premiers ministres et leurs délégations à Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard, pour la 55e Conférence annuelle des premiers ministres des provinces et territoires.

Premier ministre Robert Ghiz, Île-du-Prince-Édouard – président

Premier ministre Thomas Marshall, Terre-Neuve-et-Labrador – vice président

Première ministre Kathleen Wynne, Ontario

Monsieur Philippe Couillard, Québec, (Était-ce exprès, était-ce un lapsus? Dans la version qui m'est accessible le 5IX2014, apparaît "Premier ministre Philippe Couillard, Québec". )

Premier ministre Stephen McNeil, Nouvelle-Écosse

Premier ministre David Alward, Nouveau-Brunswick

Premier ministre Greg Selinger, Manitoba

Première ministre Christy Clark, Colombie-Britannique

Premier ministre Brad Wall, Saskatchewan

Premier ministre Dave Hancock, Alberta

Premier ministre Robert McLeod,

Territoires du Nord-OuestPremier ministre Darrell Pasloski,

Yukon Premier ministre Peter Taptuna, Nunavut

= 13 un seul nom en français,

et une femme en sus dans la photo, en arrière, à droite. Total 14. Remarquer les chapeaux haut-de-forme.

Y -a-t'il traduction simultanée dans cette Conférence annuelle des premiers ministres des provinces et territoires. La 55e et les précédentes?

Un rapport vient confirmer l’existence d’une disparité fiscale 28 août 2014

..

Réf. 290. http://www.conseildelafederation.ca/fr/dernieres-nouvelles/73-2014/405-communique

Communiqué 29 août 2014 – Charlottetown, Île-du-Prince-Édouard – 55e Conférence annuelle des premiers ministres. Les premiers ministres des provinces et territoires ont conclu leur 55e rencontre estivale aujourd’hui à Charlottetown. Au cours des discussions, les premiers ministres ont reconnu que le Québec n’a pas adhéré à la Loi constitutionnelle de 1982.

Réf.289. http://lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=5420

L’immigration, le français et l’indépendance 09 juin 2014. Charles Castonguay Bref, « économiquement, le Québec n’a pas besoin d’immigrants ».

Réf. 288. http://lisulf.quebec/academiequebecoise.html

Académie québécoise des sciences AQS Page d'accueil et de fondation. Le 15 août 2003............

Donnant une suite aux délibérations de la Ligue internationale des scientifiques pour l'usage de la langue française et devant le silence et l'inertie des autorités gouvernementales du Québec, le soussigné prend l'initiative de créer la présente Académie québécoise des sciences, sous la forme d'un site Internet.............L'Académie québécoise des sciences est de langue française; elle est vouée aux fins traditionnelles d'une académie nationale des sciences. Ses activités pourront être en premier lieu la diffusion électronique de publications originales et autres destinées au progrès des connaissances scientifiques et au progrès de la nation québécoise.

Un nom de domaine lui appartient; dès 2003, c'est academiequebecoise.qc.ca; à partiir du 3XI2014, ce sera academiequebecoise.quebec.

Réf. 287.

http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/417283/forages-a-cacouna-quebec-s-en-remet-a-transcanada?titre=Cacouna.+Le+Québec+serait-il+donc+dans+le+giron+du+Canada%3F%3F&texte=Cacouna.+Le+Québec+serait-il+donc+dans+le+giron+du+Cawww.ledevoir

Forages à CacounaQuébec s’en remet à TransCanadaLa pétrolière peut commencer ses travaux sans avoir à fournir d’avis scientifique30 août 2014 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement

Réf. 286. http://www.ledevoir.com/politique/canada/290582/libre-opinion-un-conseil-menace

Le CCCI regroupe une centaine d'organisations de coopération internationale réparties à travers le Canada. Il y a deux mois, on lui a annoncé que ses activités étaient réévaluées et que son financement serait prolongé temporairement pour 3 mois. 10 juin 2010 |Brian Barton - Président de l'Association québécoise des organismes de coopération internationale | Canada

Réf. 285. http://www.equiterre.org/sites/fichiers/rapports-annuels/rapport_annuel_2013_fr.pdf

Résultats résumés pour l’exercice terminé le 31 décembre 2013 $ 3578920

États financiers

4

000

000

$

3

500

000

$

3

000

000

$

2

500

000

$

2

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000

$

1

500

000

$

1

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$

500

000

$

0

$

1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007

2008 2009 2010 2011 2012 2013

Le pourcentage de

nos revenus provenant

des dons a augmenté

considérablement avec

le temps, ce qui nous

procure une plus

grande indépendance

par rapport aux

gouvernements.

Réf. 284. www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/416280/l-etat-islamique-revendique-la-decapitation-d-un-journaliste-americain?utm_source=infolettre-2014-08-19-19h&utm_medium=email&utm_campaign=alertes-personnalisees

L'État islamique revendique la décapitation d’un journaliste américain19 août 2014 19h40 | Agence France-Presse à Beyrouth | Actualités internationalesJames Foley à Alep, en Syrie, en septembre 2012. Selon plusieurs témoignages, le journaliste a été enlevé dans le nord de la Syrie le 22 novembre 2012. Photo: Manu Brabo/Associated Press/freejamesfoley.org James Foley à Alep, en Syrie, en septembre 2012. Selon plusieurs témoignages, le journaliste a été enlevé dans le nord de la Syrie le 22 novembre 2012.

Réf. 283. http://www.yabiladi.com/forum/regrette-tellement-d-avoir-abattu-statue-2-1739441.html

«Je regrette tellement d’avoir abattu la statue de Saddam Hussein!»[[/color]/b]MONDE - IrakQuatre ans jour pour jour après l’invasion américaine, le moral des Irakiens est au plus bas. Au point de justifier les attaques rebelles contre la coalition. Et parfois même, de regretter le tyran. Andrés Allemand Publié le 20 mars 2007.

Réf. 282. http://www.herodote.net/9_avril_2003_10_juin_2014-evenement-20030409.php

L'occupant ne tarde pas à s'en apercevoir. Il est vrai qu'il commet erreur sur erreur, comme de licencier toute l'armée de l'ancien dictateur, y compris les hommes de troupe, lesquels, sans ressources, rejoignent les mouvements de résistance à l'occupation.

. .

.

Réf. 281.

www.institutkurde.org/info/depeches/turquie-sitot-erigee-la-statue-d-un-ex-chef-du-pkk-en-voie-de-demontage-5177.html

Turquie: sitôt érigée, la statue d'un ex-chef du PKK en voie de démontageLundi 18 août 2014 à 17h43Diyarbakir (Turquie), 18 août 2014 (AFP) — Un tribunal de Diyarbakir (sud-ouest) a ordonné lundi la destruction d'une statue, fraîchement inaugurée la veille, d'un ancien chef de la rébellion kurde du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui a provoqué l'indignation des nationalistes turcs.

Réf. 280. Le Devoit, 19VIII2014, A4. Garnottte en reprise du...

Réf. 279. www.ledevoir.com/politique/canada/416059/un-folkloriste-une-rastafari-et-la-reine

On ne prête pas serment à la reine comme individu, on le fait plutôt envers une forme de gouvernement dont la reine est le symbole, dit-on. Depuis 1982, le Canada détient tous les pouvoirs de faire ses lois.

Réf. 278.

http://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/offensive-jihadiste-en-irak/pourquoi-les-jihadistes-de-l-etat-islamique-coupent-ils-la-tete-de-leurs-adversaires_669065.html

Actualités/ Monde/ Proche-orient/ Offensive jihadiste en IrakPourquoi les jihadistes de l'Etat islamique coupent-ils la tête de leurs adversaires ?

Par Thomas Baïetto Mis à jour le 14/08/2014 | 09:00 , publié le 14/08/2014 | 09:00

Réf. 277. http://www.dailymotion.com/video/xiwgtt_jubile-de-diamant-de-la-reine-victoria-1897_shortfilms

Jubilé de diamant de la Reine Victoria (1897)

Réf. 276. http://www.notrefamille.com/v2/editorial/article-558-victoria-grand-mere-de-l-europe.html

Victoria grand'mère de l'europe

Réf. 275. http://www.herodote.net/Victoria_1819_1901_-synthese-595.php

Quand la vieille reine s'éteint le 22 janvier 1901, la plupart des familles royales d'Europe pleurent une aïeule. Il est vrai que sa nombreuse progéniture a essaimé dans toutes les cours du Continent et lui vaut le surnom de «grand-mère de l'Europe».

http://www.herodote.net/Images/Victoria1897.jpg

Victoria à son jubilé, 1897.

Réf. 274. Jacqueline 23VII2014

Réf. 273. Ruth Dupré Finances publiques Qc 186713VIII2014.pdf

Dans le dossier 2014-08Contenu dans 1.Contenus

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Réf. 272. http://www.erudit.org/revue/ae/1988/v64/n4/601470ar.pdf

« Un siècle de finances publiques québécoises : 1867-1969

Éruditest un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec àMontréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche.Éruditoffre des services d'édition numérique de documentsscientifiques depuis 1998.Pour communiquer avec les responsables d'Érudit :erudit@umontreal.caArticleRuth DupréL'Actualité économique, vol. 64, n° 4, 1988, p. 559-583

Réf. 271. dominion arbitration proceedings Canada Law Journal

The Canada Law Journal books.google.ca/books?id=jqsvAQAAMAAJ

- Traduire cette page James Patton, W. D. Ardagh, Robert Alexander Harrison - 1870 - Courts IN an ARBITRATION BETWEEN ONTARIO AND Quunsc. ... arbitrator appointed by the Dominion government, in a matter in which the whole proceedings may ...

Réf. 270. http://www.vigile.net/archives/avant-garde/gervaisdenatalite.html

Dénatalité. C'est l'inexistence du Québec comme État, disposant des pleins pouvoirs en matière d'immigration, qu'il faudrait montrer du doigt, non la dénatalité.Richard Gervais10 mars 1999"Avant-garde Québec" .

Ceux des Québécois qui n'envisagent que l'option nataliste pour la survie du peuple québécois sont simplement des "fédéralistes" pour qui l'option intégrative est exclue. Cette option en effet, seul un État indépendant peut la pratiquer pleinement.

Réf. 269. yapasdpresse.blogspot.ca/2012/09/avortements-au-quebec-pas-tous.html

2002-2011, le Québec a "géré" près de 30000 avortements par année

Réf. 268. journalmetro.com/plus/sante/440781/le-suicide-au-quebec-en-chiffres/

un total de 1105 suicides en 2011 au Québec et 28 000 tentatives représentent l’équivalent de 3 suicides et 77 tentatives par jour.

Réf. 267. http://www.popsugar.com/Preview-Victoria-Secret-Fashion-Show-2012-Video-25783861

http://www.popsugar.com/Preview-Victoria-Secret-Fashion-Show-2012-Video-25783861

Réf. 266. Colonie vers étoile et planète lointaines. Cornell ArXiv. Non papier, non jugé, non accepté par les pairs, en anglais (non en français). Mais accepté pour diffusion mondiale.

Si cela est acceptable scientifiquement, pourquoi n'en serait-il pas de même pour idem les mêmes conditions sauf que ce serait en français non en anglais?

Réf. mes publications LISULF-Québécium., toutes en français.

Pourquoi sont-elles si peu diffusées et connues?

La réponse serait-elle que l'UdeM est de langue française, pas anglaise? Et qu'elle n'est pas organisée pour vanter ses propres doyens d'âge et leurs publications non papier en français?

Elle ne manque pas une occasion de vanter .... "dans une revue prestigieuse"... qui invariablement se trouve être en anglais et pas toujours jugé et accepté par les pairs, mais en anglais.

http://arxiv.org/abs/1101.1066v1

Cornell University LibraryWe gratefully acknowledge support fromthe Simons Foundationand member institutionsarXiv.org > physics > arXiv:1101.1066v1Search or Article-id(Help | Advanced search)Download:PDF onlyCurrent browse context:physics.gen-ph< prev | next >new | recent | 1101Change to browse by:physicsReferences & CitationsNASA ADS1 blog link(what is this?)Bookmark(what is this?)CiteULike logo BibSonomy logo Mendeley logo Facebook logo LinkedIn logo del.icio.us logo Digg logo Reddit logo ScienceWISE logoPhysics > General PhysicsEnergy, incessant obsolescence, and the first interstellar missionsMarc G. Millis(Submitted on 5 Jan 2011)Projections for the earliest interstellar mission possibilities are calculated based on 27 years of data on historic energy trends, societal priorities, required mission energy, and the implications of the Incessant Obsolescence Postulate (Where newer probes pass prior probes). Two sample missions are considered: launching a minimal colony ship where destination is irrelevant, and sending a minimal probe to Alpha Centauri with a 75 year mission duration. The colony ship is assumed to have a mass of 10^7 kg, and the probe 10^4 kg. It is found that the earliest interstellar missions could not begin for roughly another 2 centuries, or 1 century at best. Even when considering only the kinetic energy of the vehicles without any regard for propellant, the colony ship cannot launch until around the year 2200, and the probe cannot launch until around 2500. Examination of the Incessant Obsolesce Postulate shows that it becomes irrelevant under several conditions.

Réf. 267. www.lactualite.com/actualites/politique/pourquoi-le-quebec-recoit-il-des-milliards-en-perequation/

Pourquoi le Québec reçoit-il des milliards en péréquation ? C’est parce que la richesse des provinces pétrolières est hors norme et que la vraie richesse du Québec est sous-estimée, explique Pierre Fortin.16 juin. 2014 par Pierre Fortin 68Blogue EconomieCette année, le gouvernement fédéral prévoit accorder au Québec un montant de 9,3 milliards de dollars en paiements dits de péréquation.

Voilà ce que Pierre Fortin a fait paraître récemment dans L'Actualité Pierre Fortin. On pourrait penser que les généreux paiements de milliards en péréquations fédérales ont depuis longtemps effacé la dette que l'Ontario doit au Québec depuis 1841. Est-ce vraiment le cas?

Voilà, à propos de cette dette, ce qui a paru dans SF036.

"Et montant en 1878, année du jugement du Comité judiciaire du Conseil privé de la Reine Victoria. C'était un 26 mars. Donc, montant 37 ans après 1841, un facteur 6,08.

6 115 085,95 $ * 6,08 = 37 188 326,46 $ en 1878. "

Ce montant est à comparer avec les dépenses du Québec en 1878

Réf. 266.

hthttp://bilan.usherbrooke.ca/bilan/liste.jsp?titreListe=141

Recteurs UdeM

1920 - 1923 Mgr Georges Gauthier

1923 - 1934 Mgr André-Vincent-Joseph Piette

1934 - 1955 Mgr Olivier Maurault

1955 - 1965 Mgr Irénée Lussier

1965 - 1975 Roger Gaudry

1975 - 1985 Paul Lacoste

1985 - 1993 Gilles G. Cloutier

1993 - 1998 René Simard

1998 - 2005 Robert Lacroix

2005 - 2010 Luc Vinet

2010 - Guy Breton

Réf. 265. http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/414827/israel-veut-finir-le-travail-a-gaza-malgre-les-critiques-de-l-onu

Mais l’administration américaine a aussi accepté une demande de livraison de munitions, le Pentagone répétant l’engagement de Washington à « garantir la sécurité d’Israël ».

Réf. 263. fr.canoe.ca/infos/international/archives/2014/07/20140731-004211.html

http://fr.canoe.ca/infos/international/archives/2014/

http://fr.canoe.ca/infos/international/archives/2014/07/20140731-004211.html

07/20140731-004211.html

Mais l'administration américaine a aussi accepté une demande de livraison de munitions, le Pentagone répétant l'engagement de Washington à «garantir la sécurité d'Israël».

Réf. 262. http://www.aurdip.fr/Nobel-peace-laureates-and.html

Des lauréats du prix Nobel de la Paix et des personnalités appellent à l’embargo militaire contre Israël. Agissez maintenant - Ajouter votre nom à l’appel pour un embargo militaire. Comité national palestinien BDS | 19 juillet 2014 |

Réf. 261. http://www.telegraph.co.uk/news/politics/ukip/10972096/Farage-has-vision-for-Britain-admits-top-target-Tory.html

par des lois adaptées à ses propres besoins par son propre parlement, qui doit être directement et seulement représentant de l'électorat ...

Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni Parti pour l'indépendance du Royaume-UniUnited Kingdom Independence PartyPrésentationLeader Nigel FarageFondation 1993Siège PO Box 408, Newton Abbot, TQ12 9BGParlement européen24 / 73Idéologie EuroscepticismeConservatismePopulismeAffiliation internationale AucuneAffiliation européenne Groupe Europe libertés démocratieCouleurs jaune et violet

Site web

www.ukip.org/

Le Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni (en anglais United Kingdom Independence Party), plus communément appelé UKIP (prononcer « youkip »), est un parti politique britannique.Eurosceptique1, il milite pour le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne et fait partie de l'association TEAM. La ligne politique du parti est que le Royaume-Uni « doit de nouveau être gouverné par des lois adaptées à ses propres besoins par son propre parlement, qui doit être directement et seulement représentant de l'électorat du Royaume-Uni »2. Son dirigeant actuel est Nigel Farage, un des treize députés au Parlement européen et coprésident du groupe Europe libertés démocratie, qui a été réélu le 5 novembre 2010 et le 25 mai 2014.

Réf. 260. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/414226/suspendus-pendant-un-quart-d-heure

Suspendus pendant un quart d’heureLe SPVM n’a pas l’intention d’accuser les policiers et pompiers qui ont mis le feu à des ordures devant l’hôtel de ville de Montréal24 juillet 2014 |Philippe Orfali | Montréal

Réf. 259. http://www.cbc.ca/news/politics/canadian-charities-in-limbo-as-tax-audits-widen-to-new-groups-1.2703177

Canadian charities in limbo as tax audits widen to new groupsThe Canadian Press Posted: Jul 10, 2014 3:55 PM ET Last Updated: Jul 10, 2014 3:55 PM ET

Réf. 258. qspace.library.queensu.ca/bitstream/1974/11233/1/lacrisepolitique00dans.pdf

qspace.library.queensu.ca/bitstream/1974/11233/1/lacrisepolitique00dans.pdf

La crise politique de Quebec - QSpace.

IX 1879 1206048

Réf. 257. http://www.01net.com/telecharger/windows/Utilitaire/manipulation_de_fichier/fiches/115855.html

Note des utilisateurs :***1 avistéléchargé les 7 derniers jours40 foisTélécharger ABBYY FineReader 11 Edition Française gratuitla version d'essai gratuiteAcheter ABBYY FineReader 11 Edition Françaisela version complèteBénéficiez de 10% de réduction sur l’ensemble de la gamme Abbyy jusqu’au 31 Décembre 2014 avec le code : 01NET2014Le logiciel OCR ABBYY FineReader® 11 crée des fichiers et livres électroniques modifiables et interrogeables à partir de numérisations (scans), PDF et photographies numériques.

Réf. 256. http://www.sciencedirect.com

ScienceDirectis a leading full-text scientific database offering journal articles and book chapters from more than 2,500 journals and almost 20,000 books.Browse publications by subjectPhysical Sciences and EngineeringChemical EngineeringChemistryComputer ScienceEarth and Planetary SciencesEnergyEngineeringMaterials ScienceMathematicsPhysics and AstronomyLife SciencesAgricultural and Biological SciencesBiochemistry, Genetics and Molecular BiologyEnvironmental ScienceImmunology and MicrobiologyNeuroscienceHealth SciencesMedicine and DentistryNursing and Health ProfessionsPharmacology, Toxicology and Pharmaceutical ScienceVeterinary Science and Veterinary MedicineSocial Sciences and HumanitiesArts and HumanitiesBusiness, Management and AccountingDecision SciencesEconomics, Econometrics and FinancePsychologySocial SciencesBrowse publications by titleABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ0-9Browse all titles

Réf. 255. http://www.luciendescaves.fr/Le-journaliste/Chroniques/Chroniques-historiques/31-Gustave-Courbet-et-la-Colonne-Vendome-10-janvier-1928

NDLR. Noter "une insulte permanente des vainqueurs aux vaincus".

de Paris. 10 janvier 1928

Mais le mot « déboulonneur », appliqué à Courbet, causa sa perte. Elle était résolue lorsque la Commune de Paris, le 12 avril 1871, rendit le décret suivant :« Considérant que la colonne impériale de la place Vendôme est un monument de barbarie, un symbole de force brute et de fausse gloire, une affirmation du militarisme, une négation du droit international, une insulte permanente des vainqueurs aux vaincus, un attentat perpétuel à l’un des trois grands principes de la République française, la Fraternité, DécrèteArticle unique : la colonne Vendôme sera démolie. »

Réf. 254. Publié le 17 novembre 2012 à 13h00 | Mis à jour le 17 novembre 2012 à 13h00

Fusions et défusions: «Une erreur politique monumentale», dit Trent

Agrandir

Le maire de Westmount, Peter Trent

Photo François Roy, La Presse

Réf. 253. http://www.wuestgroup.com/documents/CV_Wuest_2008_October.pdf

Prix MV 2013

James D. Wuest Curriculum VitaeAddressProf. James D. Wuest. Département de Chimie Université de Montréal Montréal, Québec H3C 3J7 Canada

Research Publications

(FP = full paper, COM = communication, REV = review)

Réf. 252.

books.google.ca/books?id=Nz5itADlf9IC&dq=univ+mcgill+les+bâtisses&hl=fr&source=gbs_navlinks_s

?c. privé

Ma bibliothèque Mon historiqueLivres sur Google PlayMémorial de l'éducation du Bas-Canada: étant un exposé des principaux faits qui ont eu lieu relativement à l'éducation, depuis 1615 jusou'à 1855, inclusivement (Livre numérique Google). CouvertureJean Baptiste Meilleur Léger Brousseau, 1876 - 454 pages

Réf. 251. ABN 1867 article 118 Réf. AN1967 Bachand

http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/const/page-18.html - f59

Texte de l’article original :118. Les sommes suivantes seront annuellement payées par le Canada aux diverses provinces pour le maintien de leurs gouvernements et législatures :Ontario$80,000Québec70,000Nouvelle-Écosse60,000Nouveau-Brunswick50,000Total$260,000 $260,000

Et chaque province aura droit à une subvention annuelle de quatre-vingts centins par chaque tête de la population, constatée par le recensement de mil huit cent soixante-et-un, et — en ce qui concerne la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick — par chaque recensement décennal subséquent, jusqu’à ce que la population de chacune de ces deux provinces s’élève à quatre cent mille âmes, chiffre auquel la subvention demeurera dès lors fixée. Ces subventions libéreront à toujours le Canada de toutes autres réclamations, et elles seront payées semi-annuellement et d’avance à chaque province; mais le gouvernement du Canada déduira de ces subventions, à l’égard de chaque province, toutes sommes d’argent exigibles comme intérêt sur la dette publique de cette province si elle excède les divers montants stipulés dans le présent acte.

Réf. 250.

ightspam.gc.ca/eic/site/030.nsf/fra/00273.htmlightspam.gc.ca/eic/site/030.nsf/fra/00273.html

http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/E-1.6/

http://www.cba.org/ABC/sections_charities_f/news2014/obnl.aspx

Sont exceptés de la loi anti-pourriel: ... messages envoyés pour satisfaire à une obligation juridique ou faire valoir un droit, une obligation juridique, une ordonnance de tribunal, un jugement ou un tarif; pour donner avis d'un droit, d'une obligation juridique, d'une ordonnance d'un tribunal, d'un jugement ou d'un tarif existants ou à venir ou pour » faire valoir un droit découlant d'une règle de droit fédérale, provinciale, municipale ou étrangère; messages envoyés par des organisations caritatives enregistrées ou en leur nom pour recueillir des fonds; messages envoyé par ou pour le compte d'une organisation ou un parti politiques ou un candidat — au sens de toute loi fédérale ou provinciale — à une charge publique élective si le principal objet du message est de demander des contributions au sens du paragraphe 2(1) de la Loi électorale du Canada.

NDLR: La LISULF est une organisation caritative enregistré asbl;

recueillir des fonds

faire valoir un droit

politique

Réf. 249. RUIS mcgill

http://www.mcgill.ca/ruis/fr/à-propos-de-ruis-mcgill

Qu'est-ce que le RUISD. Dans le but d’améliorer les services de soins de santé du 21e siècle, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec a créé le Réseau Universitaire Intégré de Santé (RUIS) en 2003

Réf. 248.

http://books.google.ca/books?id=g9kNAAAAQAAJ&pg=PA2&lpg=PA2&dq=1879+Qc+D%C3%A9bats+de+l%27Assembl%C3%A9e+l%C3%A9gislative+%28Desjardins%29&source=bl&ots=iSNEIcCXCP&sig=saGFONul1YNfaoKflOhvD1gK92I&hl=fr&sa=X&ei=3XKnU4e4NY6yyATLz4D4BA&ved=0CE8Q6AEwCQ#v=onepage&q=1879%20Qc%20D%C3%A9bats%20de%20l%27Assembl%C3%A9e%20l%C3%A9gislative%20%28Desjardins%29&f=false

file:///Users/pierre1/Desktop/1.Contenus/2014-06 Contenu/Débats de la Législature provinciale de la Province de Québec - Québec (Province). Legislature - Google Livres.html#v=onepage&q&f=false

1879 Qc Débats de l'Assemblée législative (Desjardins)

Réf. 247

One of Princess Louise, Duchess of Argyll`s works as a sculptor is the statue of her Royal mother Queen Victoria erected in front of the Royal .

http://en.wikipedia.org/wiki/McGill_University - cite_note-118

Victoria College, Montreal.[119]

Réf. 246.

http://www.vigile.net/archives/04-12/histoire.html

#haut

Retour de la statue de la Reine Victoria: une provocation!, prévient le MLNQMLNQTRIBUNE LIBRE 17 décembre 2004Le Mouvement de Libération Nationale du Québec (MLNQ), présidé par l’ex-felquiste Raymond Villeneuve,

Réf. 245. Je suis hors "Institutions" et hors "english." ...

https://www.scopus.com/customer/institutionchoice.url

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Réf. 244.

www.erudit.org/revue/rs/1980/v21/n1-2/055868ar.pdf

http://id.erudit.org/iderudit/055868ar

Éruditest un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Éruditoffre des services d'édition numérique de documentsscientifiques depuis 1998.Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : erudit@umontreal.ca

ArticlePhilippe ReidRecherches sociographiques, vol. 21, n° 1-2, 1980, p. 11-53.Pour citer cet article, utiliser l'information suivante :

URI:http://id.erudit.org/iderudit/055868arDOI: 10.7202/055868ar

Réf. 243.

www.hydroquebec.com/publications/fr/repertoire-toponymes/pdf/repertoire-toponymes.pdf

"victoria" y est introuvable

http://www.hydroquebec.com/publications/fr/repertoire-toponymes/pdf/repertoire-toponymes.pdf

Réf. 242. Victoria

http://www.bulletinhistoirepolitique.org/le-bulletin/numeros-precedents/volume-16-numero-1/paul-triquet-et-la-croix-de-victoria-au-quebec/ - _ednref14

Paul Triquet et la Croix de Victoria au Québec John MacFarlane Historien militaire, Direction Histoire et patrimoine.

Réf. 241. 12VI2014 pm

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/article-le-multivers-existe-t-il-28762.php

Le multivers existe-t-il ? L'idée d'univers parallèles radicalement différents du nôtre est séduisante, mais excessivement spéculative. George Ellis

Réf. 240. Cylindre. "did appear?.

http://www.allperiodictables.com/aptpags/gridlink/grid08_dechancourtois.

a,

However, the diagram did appear in a less widely-read geological pamphlet. , Alexandre-Emile Béguyer de Chancourtois

Réf. 239. L'Acte d'Union 1841.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Acte_d%27Union_%281840%29

Réf. 238. ...

The Tapestry Vision of Canadian Multiculturalism* V. Seymour Wilsona1 a1 Carleton University

http://journals.cambridge.org/action/displayAbstract?fromPage=online&aid=6240020

Réf. 237.

http://www.mesrst.gouv.qc.ca/fileadmin/administration/librairies/documents/Ministere/MESRS_Organigramme.pdf,

O r i g i n a l s i g n é 2 0 1 4 - 0 4 - 2 3.

Gi l b e r t C h a r l a n d , s o u s - m i n i s t r e D a t e

il est le 3 mai 2014.

MACROBUTTON HTMLDirect

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MACROBUTTON HTMLDirect

Réf. 236.

http://www.frq.gouv.qc.ca/etudiants-chercheurs-etoiles/laureats, avril 2012 à avril 2014,

Fonds de recherche du Québec Nouvelles Accueil Nous joindre Plan du site Fil RSS English Fonds de recherche Scientifique en chef Étudiants-chercheurs étoiles Répertoire des chercheurs Recherche intersectorielle Forum de réflexion sur la recherche en développement durable Forum Art, Culture et Mieux-être Forum sur le vieillissement Journée sur la recherche nordique Documents Le Québec en recherche Résultats du sondage Des impacts pour tous Investissements Capacité de recherche Production scientifique Acteurs Réduire la taille des caractères Agrandir la taille des caractères Contraste normal Contraste élevé Contraste renversé Étudiants-chercheurs étoiles Lauréats Objectifs et règles du concours Formulaires Étudiants-chercheurs étoiles

Réf. 235.

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/0029554X7290273X

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/0029554X7290273X

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/0029554X7290273X,

Progrès possibles de la spectrographie magnétique à base d'ionographie P. Demers

DOI: 10.1016/0029-554X(72)90273-X

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Abstract

We have obtained a post-irradiation histological technique allowing one to observe edgewise the normally irradiated silver bromide-gelatin detectors. This suggests a novel design of magnetic spectrographs: focal surface normal to the rays; a reduced size, thanks to the use of higher fields (super-conducting magnets); analysis of the information, accumulated upon a reduced area, through an automatic track counting system.

∗

Adresse en 1970–1971: Institut für Kernphysik, Universität, Frankfurt am Main, D.B.R.

Copyright © 1972 Published by Elsevier B.V.

Réf. 234. Regener -1955 R. cosmiques. Ballons.

https://www.mpg.de/941974/S003_Flashback_056_057.pdf

Réf. 233. Inaccessible sur la toile. Droits de la revue! - À moins de s'inscrire etc. Et ils appellent ça du "open access". Anglais seulement svp.

iopscience.iop.org/journals, Current Titles Publishing Partners Journal Archive Your journal subscriptions 2D Materials Advances in Natural Sciences: Nanoscience and Nanotechnology Applied Physics Express Biofabrication Bioinspiration & Biomimetics Biomedical Materials Chinese Physics B Chinese Physics C Chinese Physics Letters Classical and Quantum Gravity Communications in Theoretical Physics Computational Science & Discovery EPL (Europhysics Letters) Environmental Research Letters European Journal of Physics Fluid Dynamics Research IOP Conference Series: Earth and Environmental Science IOP Conference Series: Materials Science and Engineering Inverse Problems Izvestiya: Mathematics Japanese Journal of Applied Physics Journal of Breath Research Journal of Cosmology and Astroparticle Physics Journal of Geophysics and Engineering Journal of Instrumentation Journal of Micromechanics and Microengineering Journal of Neural Engineering Journal of Optics Journal of Physics A: Mathematical and Theoretical Journal of Physics B: Atomic, Molecular and Optical Physics Journal of Physics D: Applied Physics Journal of Physics G: Nuclear and Particle Physics Journal of Physics: Condensed Matter Journal of Physics: Conference Series Journal of Radiological Protection Journal of Semiconductors Journal of Statistical Mechanics: Theory and Experiment Laser Physics Laser Physics Letters Materials Research Express Measurement Science and Technology Methods and Applications in Fluorescence Metrologia Modelling and Simulation in Materials Science and Engineering Nanotechnology New Journal of Physics Nonlinearity Nuclear Fusion Physica Scripta Physical Biology Physics Education Physics in Medicine and Biology Physics-Uspekhi Physiological Measurement Plasma Physics and Controlled Fusion Plasma Science and Technology Plasma Sources Science and Technology Quantum Electronics Reports on Progress in Physics Research in Astronomy and Astrophysics Russian Chemical Reviews Russian Mathematical Surveys Sbornik: Mathematics Science Foundation in China Science and Technology of Advanced Materials Semiconductor Science and Technology Smart Materials and Structures Superconductor Science and Technology Surface Topography: Metrology and Properties The Astronomical Journal The Astrophysical Journal The Astrophysical Journal Letters The Astrophysical Journal Supplement Series Translational Materials Research

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inaccessible à moins de...

Cf. [26] C. F. Powell, G. P. S. Occhialini, D. L. Livesey, and L. V. Chilton. A New Photographic Emulsion for the Detection of Fast Charged Particles. Journal of Scientific Instruments , 23:102–106, May 1946.

Un commerce prospère.

Et si on regarde des revues publiant en français, elles se sentent obligées de publier un résumé substantiel en anglais. Un pénitent battant sa coulpe. Sans quoi, pas d'accès au Paradis des élus.

Réf. 232. http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/43/33/01/PDF/These.pdf

LPSC09145

Université Joseph Fourier – Grenoble I

́

École Doctorale de Physique Grenoble

Thèse de Doctorat

Specialite : Physique des particules et astroparticules

presentee par Antje Putze.

Docteur en Sciences

de l’Université Joseph Fourier

Phenomenologie et detection du rayonnement cosmique nucleaire.

Réf. 232. www.plq.org/fr/equipe/philippecouillard,

Philippe.Couillard@plq.org,

Né à Montréal, le 26 juin 1957

Réf.231. Des avocats trouvent toujours des raisons pour accommoder les intérêts de leurs clients, surtout s'ils ont eux-aussi les mêmes intérêts.

Il reste que les Québécois d'alors, d'un sentiment unanime, anglos comme francos, n'étaient pas satisfaits. On les a spoliés, qui est on, sinon l'Ontario? Avec des complicités haut placées. Une dette inoubliable. "Bien mal acquis ne profite jamais". Des apparences peuvent tromper, les coupables peuvent prospérer un temps, mais ils finissent par être démasqués: exemple les enquêtes au Québec, Charbonneau et autres. Cela peut prendre des années et la francophobie régnante fait qu'il fallu attendre des décennies quant à l'Ontario. Son immense prospérité résulte d'un vol organisé en contrefaçon de la légalité. "Bashing the french separatists who want to destroy Canada!" Angl. bashing, Fr. battre. Ou lynchage.

"... , resident of New-Brunswick" (not of Ontario).

Si l'autorité (le gouvernement fédéral à Ottawa, Ontario) qui a créé ce Jury d'arbitrage, en a décidé ainsi, cette condition devrait être respectée sous peine de révocation.

S'il est vrai qu'il y avait nécessité que tous les membres de ce jury se domicilient à Ottawa ou dans son voisinage pour l'exécution de leurs fonctions, cela suggère quele grand principe d'une représentation adéquate de toutes les parties du Canada était une utopie.

Pourquoi le gouvernement d'Ottawa n'a-t'il pas songé à établir un jury international, avec représentation entre autres, de la France.

La composition de jury est d'avance maison et de complaisance (fantoche, polichinelle) et suggère la peur et le parti-pris puisqu'il est totalement anglophone. La décision connue d'avance...

Les qualificatifs feeble et childish sont de sentimentalité et non de raison.

Réf. 230. www.ledevoir.com/politique/quebec/405143/pas-de-vague-arc-en-ciel-pour-la-caq,

La vague caquiste n’a pas déferlé

La CAQ a bel et bien ravi des sièges clés au PQ, mais avec des appuis en baisse

10 avril 2014 | Marco Bélair-Cirino | Québec

« [Les libéraux] ont fait une campagne de peur. Ça servait bien leurs intérêts parce qu’ils savaient que la clientèle qui est plus frileuse serait plus réceptive à leur message. » La « loi d’inertie » profite à tous coups au PLQ, fait-elle remarquer. « Dans le doute, les gens indécis, discrets [se rallient] au Parti libéral. »

Réf. 229. Canada Law Journal august 1870 The Dominion Arbitration

canadian law journal vol. VI.,N. S. - 197 August, 1870

... no room for doubt, but

Un arbitrage est un arbitrage, privés ou publics, il s'agit d'intérêts humains.

...his public duties), seems so feeble,

Alors, pourqui la clause existe-t'elle?

(De plus, aucun n'est francophone; du moins, l'arbitre absent était le choix de l'instance francophone.)

Réf. 228. www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/404882/rwanda-20-ans-plus-tard-verites-et-mensonges,

Rwanda, 20 ans plus tard Vérités et mensonges 8 avril 2014 | André Sirois - Avocat et fonctionnaire de l’ONU, André Sirois a notamment contribué à mettre sur pied le Tribunal criminel international pour le Rwanda de 1995 à 1997. | Actualités internationales

Réf. 227. www.cslf.gouv.qc.ca/bibliotheque-virtuelle/publication-html/?tx_iggcpplus_pi4[file]=publications/pubd112/d112ch2.html#ii-20,

Colloque Montréal 1981

Une étude d'Arnold J. Drapeau.

Réf. 226. fr.wikipedia.org/wiki/Wolfgang_Pauli, Pauli et son collègue Bohr observant une toupie tippe-top, ou « toupie magique », dont la particularité est de se retourner durant sa rotation (spin). (Lund, Suède, juillet 1954)

. .

Ref. 225. http://books.google.ca/books?id=6Gcu92U8CwYC&pg=PA191&lpg=PA191&dq=c+waller+ilford&source=bl&ots=8WY2aMeOzc&sig=UwjxVtru-Zn3b9CIVlpfnKtcd6k&hl=fr&sa=X&ei=UREmU6LaEOGkyQH8koGACg&ved=0CE4Q6AEwBA#v=onepage&q=c%20waller%20ilford&f=false

Charles Waller Ilford, Powell, Demers

Réf. 224. www.nobelprize.org/nobel_prizes/physics/laureates/1950/powell-lecture.pdf,

CECIL F . POWELL The cosmic radiation* Nobel Lecture, December 11, 1950.

Réf. 223. en.wikipedia.org/wiki/John_McCallum#cite_ref-3, 1980 book, Unequal Beginnings: Agriculture and Economic Development in Quebec and Ontario until 1870.,

Réf. 222. www.realisateur.qc.net/pageBuron.htm, Pierre Buron pierreburon@gmail.com

Réf.221.

http://www.acfas.ca/sites/default/files/fichiers/43/texte_demers.pdf,http://www.acfas.ca/sites/default/files/fichiers/43/texte_demers.pdf

Pierre Demers, membre émérite de l’Association francophone pour le savoir ‐ Acfas Allocution prononcée dans le cadre de la remise du titre de membre honorifique à Pierre Demers, le vendredi 11 mai 2012 à la Grande Bibliothèque (Montréal)Réf. 220. Politique de la recherche et de la diffusion scientifique de BAnQ

www.banq.qc.ca/a_propos_banq/mission_lois_reglements/lois_reglements_politiques/politiques_procedures/politique_scientifique/,

Réf. 219. John Donald McDonald Voir .docx Word dans 1309.Contenu, .htm essai dans 2.publication et sur le site.

Réf. 218. www.rivesudexpress.ca/Actualites/Politique/2012-04-15/article-2955365/Pauline-Marois-presente-ses-candidats-de-la-Rive-Sud/1, Stéphanie Alcaraz Robinson

Publié le 15 avril

«Fatigués de se faire presser comme des citrons» «Les Québécois sont fatigués de se faire presser comme des citrons», affirme Pauline Marois. La taxe santé, les hausses de frais de scolarité, la mauvaise gestion des ressources naturelles au Québec, le manque de places dans les centres de la petite enfance font partie des erreurs du gouvernement de Charest, dit-elle. Le Parti québécois, c'est un gouvernement qui se tient debout pour nous et qui le fait avec nous.»

Par la Couronne aussi cf Ladette h.v=c.

Réf. 217. www.laradioactivite.com/fr/site/pages/Effet_tunnel_Radioactivite_Alpha.htm.

L'effet tunnel serait commun à la radioactivité alpha et à la théorie de Hawking sur les trous noirs. (Et aussi à la théorie de Josephson sur la supraconductivité).

Soumis à FORUM de l'UdeM à propos d'un article de Martin Lasalle sur Robert Lamontagne, FORUM 10II2014

"L'effet tunnel est dû à ce qu'une particule se comporte à la fois comme un corpuscule et comme une onde dans le domaine de l'infiniment petit où la mécanique quantique se substitue à la mécanique classique." Voyez http://www.laradioactivite.com/fr/site/pages/Effet_tunnel_Radioactivite_Alpha.htm

Il explique la radioactivité alpha. Hawking a proposé, dans un document non accepté par des pairs, la possibililté d'hypothétiques tempêtes d'ébullition au sein des trous noirs cosmiques qu'imagine Hawkins pour suggérer que ces trous "noirs" ne seraient peut-être pas tout-à-fait "noirs" mais laisseraient échapper parfois un peu de matière ou de rayonnement, disons par un processus d'ébullition.

Je suggère de chercher un rapprochement théorique entre l'émission par ébullition dans un trou noir et l'émission alpha par un noyau, il y aurait un effet tunnel dans ces deux émissions.

Les deux processus seraient unifiés par l'idée d'un effet tunnel. Évidemment les échelles sont fort différentes, l'une propre au noyau atomique, l'autre, aux espaces des années-lumière. Une similitude en revanche: trous noirs et noyaux atomiques se ressemblent par une densité de matière très élevée,

On sait que l'effet tunnel a été proposé avec succès en 1962 dans le cas de la supraconductivité par Josephson, dans un document soumis pour approbation par les pairs, et que Bardeen, le pair consulté, n'a donné son accord que 10 ans plus tard. Succès et Prix Nobel couronnèrent Josephson en 1973.

Je n'ai pas pu lire le texte de Hawking, peut-être a-t'il présenté déjà ce que je suggère.

Pierre Demers 1914, sc.1936, professeur honoraire. 13II2014

- 30 -

Réf. 216. www.tcm.phy.cam.ac.uk/~bdj10/,

University of Cambridge Home Physics Dept Home TCM Group latest | publications | videos/audios | astronomical | parapsychology | search | cultural Link of the day: Extensive testing supports Andrea Rossi's controversial claims: considerable excess energy, inexplicable on conventional grounds, is observed in his 'E-cat' reactor by independent investigators. Previous 'links of the day' are available in this archive. Latest publication: Biological Observer-Participation and Wheeler's 'Law without Law' Follow this link for sundry Mind-Matter Unification Project video lectures (many now available at 720p quality), including: Life, Extended Mind, and Fundamental Physics Shifting Assumptions in Science: video extracts from the July 2008 Hokkaido Symposium Lecture: Which Way for Physics? Andrea Rossi's 'E-cat' nuclear reactor: a video FAQ.

Réf. 215. http://www.physics.umd.edu/courses/Phys798S/anlage/Phys798SAnlageSpring06/Josephson%20Physics%20Today%205153075.pdf

Réf. 214. . http://www.mille-mondes.fr/chapitres/memoire%20de%20l%27eau%20ADM2_chap21.pdf,

http://www.mille-mondes.fr/

A l’opposé de l’ultra-rationaliste G. Charpak, B. Josephson s’intéresse à des sujets aux marges de la science. Il est vrai que le grand Newton lui-même qui enseigna à Cambridge lui a donné l’exemple en s’occupant d’alchimie une grande partie de sa vie. Quant à B. Josephson, ayant eu le Nobel à 33 ans pour des travaux qu’il avait réalisés à 22 ans, ... il tente par ses travaux de concilier parapsychologie et physique quantique. Il est directeur du projet « Unification esprit-matière » du groupe « Théorie de la matière condensée » du Laboratoire Cavendish. Ce projet a principalement pour but « de chercher à comprendre, du point de vue du physicien théoricien, ce qui caractérise tout processus intelligent dans la Nature, qu’il soit lié à la fonction cérébrale ou à tout autre processus naturel. »

en soumettant les preuves à un journal scientifique avec examen par les pairs. E

Réf. 213. e-sante.futura-sciences.com/_forum/nature-intelligent-evolution.html, journal-du-cnrs@cnrs-dir.fr phototheque@cnrs-bellevue.fr, principe ( notion ) de téléonomie, 5h43 11II2014

Réf. 212. documentationcapital/index.cfm?Repertoire_No=-751102913&voir=centre_detail&Id=4929,

http://documentationcapitale.ca/index.cfm?Repertoire_No=-751102913&voir=centre_detail&Id=4929

http://documentationcapitale.ca/index.cfm?Repertoire_No=-751102913&voir=centre_detail&Id=4929

S'accommoder et se chicaner: les immigrants français au Canada français, 1760-1980 Notes du professeur Yves Frenette pour sa participation aux ateliers sur la diversité culturelle et linguistque, tenues le 3 juillet 2012 dans le cadre du Forum mondial de la langue française.

Réf. 211. http://documentationcapitale.ca/index.cfm?voir=centre_rech&M=0&Repertoire_No=-751102913&srchalpha=D&NavLiensStart=31,

dont

http://documentationcapitale.ca/index.cfm?Repertoire_No=-751102913&voir=centre_detail&Id=2620

Yves Saint-Denis pas LISULF, pas Pierre Demers

Réf. 210. AVENIR DU QUÉBEC, Le PQ choisit la voie de la division et de l’exclusion, dit Couillard, 7 février 2014, Marco Bélair-Cirino,Montréal

www.ledevoir.com/politique/montreal/399344/le-pq-choisit-la-voie-de-la-division-et-de-l-exclusion-dit-couillard,

Stephen Harper a dit:

« Demeurez assurés que pour notre gouvernement, dans n’importe quelle éventualité, notre cible sera l’économie. L’économie pour tout le Canada y compris le Québec. »

Un Canada comprenant le Québec s'affairerait à lui obtenir le paiement de la dette que lui doit le Haut-Canada.

Réf. 209. Gosford. PhillipBuckner, Archibald Acheson, 2^e comte de Gosford,

www.biographi.ca/fr/bio/acheson_archibald_7F.html, Mais Durham se montra de plus en plus ethnocentrique, et Gosford le critiqua amèrement lorsqu’il confia des postes à d’aussi ardents adversaires des Canadiens français que James Stuart* et Peter McGill*. Il attribua même la deuxième rébellion, à l’automne de 1838, à la stupidité de Durham et se montra tout aussi sévère pour Colborne et « ces sauvages volontaires ». Lorsque Colborne démit de leurs fonctions trois juges francophones, Bédard, Philippe Panet* et Joseph-Rémi Vallières de Saint-Réal, Gosford prit leur parti devant le ministère des Colonies et leur obtint un congé de 12 mois avec plein salaire. Jugeant « injuste » et « arbitraire » le projet d’union de 1840, il présenta à la chambre des Lords une pétition de protestation du Bas-Canada à ce sujet.

Réf. 208. Classes sociales et question nationale au Québec, 1760-1840

classiques.uqac.ca/.../bourque...et.../bourque_classes_soc_qu_nat.doc

de G Bourque - Cité 30 fois - Autres articles

Bourgeoisie marchande canadienne-anglaise. L'union. Lutte et alliance ...... Au contraire, elle a continué à agir de la même manière. ..... Tel ce projet d'une université d'Angleterre dirigé contre le clergé catholique de la colonie ...... Cette aile radicale s'oppose à la politique de collaboration. ...... Gosford affirme à Londres :.

"Convaincu de l'exactitude de ce que je viens de dire, je ne puis m'empêcher de regarder la réunion des deux provinces comme un acte des plus injustes et des plus tyranniques ; car elle va priver la province inférieure de sa constitution, pour le fait de quelques hommes mal intentionnés, et la livrer, en noyant la population française à ceux qui, sans cause, lui ont montré tant de haine. Ce projet de loi porte cela, en effet. Vous donnez à trois ou quatre cent mille habitants la même représentation qu'au Bas-Canada, dont la population est d'au moins sept cent mille âmes, et ensuite vous imposez la dette de la province supérieure, laquelle excède, dit-on, un million de livres sterling, à une province qui n'a encore aucune dette. Peut-il y avoir rien de plus arbitraire et de plus contraire à la foi et à l'équité ? Je le répète, et j'insiste, tout cela, tout cet arrangement est le fruit d'une intrigue mercantile."

Réf. 207. fr.wikipedia.org/wiki/Archibald_Acheson, Lord Gosford.

Gosford continue de s'intéresser au Canada et s'oppose au projet d'Union de 1840.

Réf. 206. Durham,

www.vigile.net/C-etait-il-y-a-175-ans, Il vaut la peine de rappeler la commande de Durham : "noyer la population franco-canadienne."

Mgr Lartigue, l’évêque de Montréal, qui méprisait les patriotes, en rajoute. Dans une lettre circulaire, il condamne « les crimes commis pendant l’odieuse répression de l’an passé contre le gouvernement établi dans cette province britannique. »

Le 2014-02-09 à 09:12, Hélène Trudeau <helene_1@sympatico.ca> a écrit :

… et lisez ce texte de l’auteure Micheline Lachance :

http://www.vigile.net/C-etait-il-y-a-175-ans

… puis retransmettez à la jeunesse.

 Hélène Trudeau

Réf. 205. Marois 2014. nous voulons que les Québécois soient plus riches, individuellement et collectivement »

Ce futs exactement le contraire que le jugement du conseil privé décida en 1878, en ne considérant que la richesse collective de l'Ontario.

" Stephen Harper ne prend jamais parti pour le Québec." Réf. 197.

Réf. 204. Colborne.

http://www.biographi.ca/fr/bio/colborne_john_9F.html,

Quand, le 19 juin 1815, il devint évident que la Garde impériale se préparait à lancer une colonne vers le nord à travers les lignes des alliés, la Light Brigade fut dépêchée à l’avant et prit position face à l’est pour diriger un tir de flanquement dans les rangs de la colonne française en marche. Au moment propice, cependant, et après les premières salves de la brigade, Colborne, agissant de son propre chef avec beaucoup de courage et d’initiative, fit sortir le 52e régiment des lignes et lança ses troupes dans une charge téméraire qui mit immédiatement la Garde impériale en déroute. Au moment où la Garde, prise par surprise, s’enfuyait en désordre, le reste de l’armée française s’effondra dans une confusion totale le long de la route de Charleroi. On a prétendu que l’action audacieuse de Colborne avait assuré la victoire à Waterloo, quoique Wellington ne lui ait jamais reconnu un effet décisif. Néanmoins, le « colonel du 52e » fut largement acclamé de toutes parts et reçut des décorations en Angleterre, en Autriche et au Portugal.

Réf. 203. Unification matière esprit, David Josephson 22011.

fr.wikipedia.org/wiki/Brian_David_Josephson, En 2011, Brian Josephson est directeur du Projet d'unification de la matière et de l'esprit (Mind-Matter Unification Project) du

fr.wikipedia.org/wiki/Brian_David_Josephson, En 2011, Brian Josephson est directeur du Projet d'unification de la matière et de l'esprit (Mind-Matter Unification Project) du Groupe de théorie de la matière condensée au laboratoire Cavendish de l'Université de Cambridge2, L'objectif du projet est principalement de comprendre, du point de vue de la physique théorique, ce qui peut être caractérisé, faute de meilleurs termes, comme des processus intelligents dans la nature, en lien avec la fonction cérébrale ou d'autres processus de la nature. Josephson explique que la physique théorique peut aider a remodeler les perspectives sur ces problèmes.

Réf. 203. Black holes, S. Hawking 2014

1. arXiv:1401.5761 [pdf, other]

Information Preservation and Weather Forecasting for Black Holes

S. W. Hawking

Subjects: High Energy Physics - Theory (hep-th); General Relativity and Quantum Cosmology (gr-qc)

Réf. 202. Maurice M. Kibler, 1999

arxiv.org/pdf/math-ph/9911016.pdf,

arxiv.org/pdf/math-ph/9911016.pdf,

arxiv.org/pdf/math-ph/9911016.pdf,

arXiv:math-ph/9911016v1 11 Nov 1999, The Master Thesis of Mosh ́e Flato,, Maurice Kibler Institut de Physique Nucl ́eaire de Lyon, IN2P3-CNRS et Universite Claude Bernard, 43 Bd du 11 Novembre 1918, F-69622 Villeurbanne Cedex, France, to my Master and Friend Mosh ́e Flato

Réf. 201. www.livres-et-lectures.net/gould_etdieu.htm, Gould Stephen Jay - Et Dieu dit : Que Darwin soit.

Date de la note : octobre 2000

Ce livre passionnant est le produit des réflexions qu'inspirent à un scientifique américain biologiste paléontologue la controverse encore active dans son pays entre les fondamentalistes protestants "créationnistes" et les communautés scientifiques et de l'éducation.

NB. Voir le créationniste Dawson à UMcGill, Principal et géologue au 19e.

Réf. 200. www.mcgill.ca/secretariat/charter-statutes/royal, The Royal Charter of McGill University (Granted by Queen Victoria on July 6, 1852) The Royal Charter of McGill University VICTORIA,

Réf. 199. www.social-sante.gouv.fr/IMG/pdf/Propositions_de_la_filiere_Silver_economy_vf_Avril_2013.pdf, private equity en anglais, silver economy pour économie des cheveux blancs

Réf. 198. www.dgcis.gouv.fr/files/files/directions_services/politique-et-enjeux/competitivite/innovation-2030/rapport-innovation.pdf, fran-lepays,langue=languedoc, anglais = AIFM ou ISA en anglaisen anglaisdoc

Réf. 197. Harper défend plus Israël que le Québec.

Claude Dupras. Le 2014-01-18 à 13:46

claudedupras.blogspot.ca,

faire pour convaincre les autres provinces du bien-fondé de sa position ».

Pendant ce temps-là, Stephen Harper ne prend jamais parti pour le Québec. Je ne l’ai pas entendu dire : « Le Québec a raison sur ce sujet et je vais tout faire pour convaincre les autres provinces du bien-fondé de sa position ». Pendant ce temps-là, Stephen Harper ne prend jamais parti pour le Québec. Je ne l’ai pas entendu dire : « Le Québec a raison sur ce sujet et je vais tout faire pour convaincre les autres provinces du bien-fondé de sa position ».

De même, en rapport avec sa proposition d’invalider la loi fédérale sur l’exercice des droits fondamentaux et prérogatives du peuple Québécois et de l’État du Québec, qui stipule le droit du Québec de se séparer sans l'accord d'Ottawa, Harper refuse d’expliquer la justification de la loi aux anglophones canadiens, de défendre le droit du Québec d’agir ainsi et qu’il faut le reconnaître. Pendant ce temps-là, Stephen Harper ne prend jamais parti pour le Québec. Je ne l’ai pas entendu dire : « Le Québec a raison sur ce sujet et je vais tout faire pour convaincre les autres provinces du bien-fondé de sa position ».

Source:

Le 2014-01-18 à 13:46, Claude Dupras <claude@dupras.com> a écrit :

Harper défend plus Israël que le Québec.

Stephen Harper est le premier des premiers ministres canadiens invités à donner un discours au Knesset, le parlement d’Israël, devant les 120 députés israéliens assemblés à Jérusalem. C’est tout un honneur. Il inaugurera aussi un sanctuaire d’oiseaux portant son nom et recevra un doctorat honoraire de l’université de Tel Aviv. Il sera reçu en héros. Ce geste particulier est pour marquer l’appui indéfectible d’Harper à l’état d’Israël dans le conflit palestino-israélien.

Voir ce billet de mon blog à l’adresse : http://claudedupras.blogspot.com

N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires et à transférer cette invitation aux inscrits de votre carnet d’adresses internet, si vous le jugez opportun. Par contre, si vous préférez que je retire votre nom de ma liste de diffusion, veuillez, svp, me l’indiquer à claude@dupras.com. 

Merci. 

Claude Dupras

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Chronique: Planète Québec

Google +: Mes 27 000 photosRéf. 196. 16I2014. www.wikitree.com/wiki/Morel-De-La-Durantaye-1#Biography,

Union with : Pierre Demers on October 12, 1858, Notre-Dame, Montreal, Québec, Can Children : Edmond (m) Eva (f) Gustave (m) Pierre-Zotique-Aristide (m)[1]

Réf. 195. 15I2014www.biographi.ca/fr/bio/morel_de_la_durantaye_olivier_2F.html, MOREL DE LA DURANTAYE, OLIVIER, écuyer, capitaine, commandant, conseiller, seigneur ; né à Notre-Dame-de-Grâce, près de Nantes, le 17 février 1640, fils de Thomas Morel, sieur de La Durantaye, et de demoiselle Alliette Du Houssaye, mort le 28 septembre 1716.

Réf, 194. 16I2014. www3.sympatico.ca/robert.legris/Gene0007.htm, 8.128

Marie-Joseph-Ernest Legris , né le 8 mai 1857. Marié à l'Église Saint-Jacques de Montréal le 24 oct. 1881 à Marie-Louise-Hermine-Léopordine Desrosiers. Il sera médecin dans l'état du Rhodes-Island, U.S.A.

Réf. 193. 16I2014, www.biographi.ca/fr/bio/desrivieres_francois_6F.html,

DESRIVIÈRES (Trottier Desrivières), FRANÇOIS (François-Amable, Francis) (baptisé Amable-François), homme d’affaires, officier de milice, juge de paix et fonctionnaire, né le 5 octobre 1764 à Montréal, fils d’Amable Trottier Desrivières et de Charlotte Guillimin ; le 19 septembre 1791, il épousa dans cette ville Marguerite-Thérèse Trottier Desrivières Beaubien, et ils eurent deux fils et deux filles ; décédé le 16 mars 1830 au même endroit.

Réf. 192. www.quebecoislibre.org/981010-3.htm,

LE MARCHÉ LIBRE LA CRISE DES ANNÉES 1930 (PREMIÈRE PARTIE) par Pierre Desrochers La Grande Dépression des années 1930 est probablement le sujet le plus étudié en histoire économique américaine. Contrairement à certains mythes tenaces véhiculés par les opposants de l'économie de marché, il n'y a toutefois pas encore de consensus sur ses causes et sa durée exceptionnelle. Notre collaborateur entreprend donc aujourd'hui, dans la première de deux chroniques, de présenter une autre vision de la crise telle qu'elle a été élaborée par Friedrich Hayek, Murray Rothbard, Milton Friedman, Robert Higgs et d'autres auteurs libéraux.

Réf. 191. www.edubourse.com/guide-bourse/chaine-de-ponzi.php,

http://www.linguee.fr/anglais-francais/traduction/madoff+ponzi+scheme.html,

Réf. 190. 2009. www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2009/02/20/01006-20090220ARTFIG00354-madoff-les-victimes-francaises-parlent-.php, Madoff : les victimes françaises parlent Home ACTUALITE Le Figaro Magazine Par Ghislain de Montalembert et Sophie Roquelle Mis à jour le 23/02/2009 à 09:40 Publié le 20/02/2009 à 09:39

..

Réf. 189. fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_sénateurs_du_Québec,

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_sénateurs_du_Québec

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_sénateurs_du_Québec

Ulric Joseph Tessier Libéral 23 octobre 1867 11 février 1873 Proclamation royaleRéf.

Réf. 188. www.biographi.ca/fr/bio/dunn_john_henry_8F.html, Il fallut l’union des Canadas, avec l’augmentation des revenus provinciaux, et un prêt de £1 500 000 (cours d’Angleterre), garanti par le gouvernement impérial, pour restaurer la stabilité financière du Haut-Canada.

Réf. 187.http://www.frq.gouv.qc.ca/etudiants-chercheurs-etoiles/laureats

étudiants-chercheurs étoiles

Lauréats – décembre 2013

• 

Société et culture

Philippe Masson

Publication primée :

L’évaluation psychosociale: culture du positivisme et enjeux éthiques

• 

Nature et technologies

Jukka-Pekka Verta

Publication primée :

Are long-lived trees poised for evolutionary change? Single locus effects in the evolution of gene expression networks in spruce

• 

Santé

Vedrana Cvetkovska

Publication primée :

Overexpression of Down syndrome cell adhesion molecule impairs precise synaptic targeting

Réf. 188. Prix du Québec 2013.

www.mesrst.gouv.qc.ca/actualites/affichage-des-nouvelles/article/5622/, 12.11.2013 Les plus hautes distinctions accordées dans les domaines de la culture et de la science cet après-midi

Réf. 189. www.mesrst.gouv.qc.ca/actualites/affichage-des-nouvelles/article/5542/, 28.10.2013 Les ministres Maka Kotto et Pierre Duchesne dévoilent les noms des treize récipiendaires des Prix du Québec 2013

Réf. 190. section "salle de presse" du site web (http://www.mesrst.gouv.qc.ca/salle-de-presse/)

(Les références sont ordonnées par la date de leur publication, en 3 siècles: 1800..., 1900..., 2000...à0

1800.............1800............. 1800.............1800............. 1800.............1800.............

Réf. 1. 1840, An Act to re-unite the Provinces of Upper and Lower Canada, and for the Government of Canada, 23VII1840

http://books.google.ca/books?id=BCQtAAAAYAAJ&pg=PA3&lpg=PA3&dq=An+Act+to+re-unite+the+Provinces+of+Upper+and+Lower+Canada,+and+for+the+Government+of+Canada&source=bl&ots=VFya8zKeiQ&sig=GiXnDKuumWwrPazzUHC4QjGklzM&hl=fr&sa=X&ei=OuojUsCGKavbsASR-IGICA&ved=h

Réf. 11. -1842. Canada Loan Hansard House of Commons 29VII, 2e lecture.

http://lisulf.quebec/canadaloanhansard29July1842.html

Trad. libre. Hume: À quoi bon cette dépense?

Chancelier Goulburn: La dépense ne sera pas un fardeau pour la mère-patrie. C'est un engagement d'honneur de Sa Majesté. Une nécessité, comme le démontrent des documents qui furent déposés sur cette table, pour exécuter des travaux publics commencés au Canada sur la foi de cet emprunt et il n'y a aucun doute qu'ils seront au plus grand avantage de la colonie, améliorant sa navigation et ses structures commerciales.

White: Pourquoi n'a-t'on pas accordé semblable traitement en Irlande?

Williams: Quels sont donc ces travaux en marche au Canada?

O'Connell a voté contre.

L'annonce de la prorogation du Parlement, le 12VIII1842; on y voit mention de Canada Loan:

http://hansard.millbanksystems.com/lords/1842/aug/12/minutes

Ce qui conduit à un compte rendu de la séance de cette prorogation; on n'y voit pas mention de "Canada "loan:

Quant aux "documents qui furent déposés sur cette table", ils restent introuvables au lecteur de 2013. Supposons que le rédacteur du Hansard ne s'est pas affairé à les inclure dans son compte rendu.

NDLR. Deux questions sur 3 sont restées sans réponse.

Réf. 13. 1885. Louis Riel qui s'est constitué prisonnier, dans le camp du major-général Frederick Middleton, photo de James Peters. Figure.

http://www.collectionscanada.gc.ca/ouest-canadien/052920/05292038_f.html

Réf. 14. 1885. Louis Riel. Figure.

http://shsb.mb.ca/Gravure_LaPresse

Réf. 30. 1866. John Langton, Arbitration between Ontario and Quebec statements, Compiled from the pretended Award,

http://archive.org/stream/cihm_54863/cihm_54863_djvu.txt

NDLR. Une compilation portant sur les estimations des 2 arbitres Gray et Macpherson de la répartition des montants de la dette entre les Provinces du Québec et d'Ontario, telle qu'on peut la faire à partir des documen.ts publics de la Province du Canada et des lois la concernant. "Assets" = actif. "award" = arbitrage. "trust" = fidéicommis. "sinking funds" = fonds d'amortissement. "pretended" = soi-disant. Et voici les dernières lignes. Peu compréhensibles.

"SUMMARY. Assets and Special or Trust Funds. 
ONTARIO. Amount in t> i . Award. '^^"^ Amount. Per clause 2 of Award $6,990,172 . G3 $10,680,351 . 24 Per clauses 5, 7, 8, and 14. . . 230,226 . 18 3,661 ,097 . 10 $(7,220,398 . 81 $14,241,448 . 34 
QUEBEC. Per clause 3 of Award $4,384,297 . 93 $2,687,558 . 01 Per clauses 6, 8 and 14 94,459 . 00 1,362,339 . 64 $4,478,756.93 $4,049,897.65 
Proportion of debt per Award, should the surplus debt be $10,600,000 Ontario $5,593,673 Quebec $5,000,327 "

Réf. 34. 1844. Parlement R. U., Canada, Loan Guarantee Act, c. 118. 183VII1842

http://lisulf.quebec/c118-ROC1842.pdf
 

Réf. 35. 1844. CANADIAN LOAN ACT 1842: The Canada Loan: Guarantee Loan Act under the Imperial Act and the Colonial Act of the same year. 1844 July 22

http://discovery.nationalarchives.gov.uk/SearchUI/Details/AssetMain?iaid=C3144942

Réf. 106. 1871. Louis-Philippe Turcotte, Le Canada sous l'Union 1841-1867.

LE CAIADA sous L'UNION 1841-1867 PAR LOUIS-P. TUEOOTTE QUÉBEC DES PRESSES MÉCANIQUES DU CAMADIEy, No. 1, rue Saut-au-Matelot, Basse- Ville. 1871 

http://books.google.ca/books?id=Zp0OAAAAYAAJ&printsec=frontcover&hl=fr - v=onepage&q&f=false

Il y a plusieurs versions.

http://books.google.ca/books?id=Zp0OAAAAYAAJ&printsec=frontcover&hl=fr - v=onepage&q&f=false

Celle-ci est commode: "(~237 pg)Read Online " Elle affiche 2 pages en regard à la fois.

http://www.archive.org/stream/cihm_25061/cihm_25061_djvu.txt,

Extraits.

p. 45. Le gouvernement avait cependant commencé de grands travaux, et par là grevé son crédit d'une dette de $5,458,523.09, fardeau que le Bas-Canada était appelé à partager d'après une clause de l'acte d'union.

pp. 33, 34. Lord Gosford, ancien gouverneur du Canada, (1835-8) parla ensuite. Son opinion devait être res- pectée : personne ne connaissait plus parfaitement les sentiments et l'état des divers partis. Voici un extrait du discours remarquable qu'il prononça sur ce sujet important « Je ne puis m'empôcher de regarder l'union des provinces comme un acte (les plus injustes et des plus tyranniques, privant la province inférieure do sa constitution, pour les actes de quelques hommes malintentionnés, et la livrant 34 INTRODUCTION. ! il pour ùtro noyée par ceux qui, sans cause, lui ont montré tant de haine; car ce projet de loi doit la noyer. Vous donnez à 300,000 ou 400,000 ;\nies la même représentation qu'au Bas-Canada, qui a inie population d'au moins 700,000 Ames ; ensuite vous imposez ia dette de la province supérieure, qui, dit- on, excède un million de louis, à une province qui n'a presque aucune dette. Peut-il y avoir rien de plus arbitraire et de plus déraisonnable ? En vérité, la légalité d'un pareil acte peut être mise en question : car j'apprends qu'aucune parde de *la dette de la province supérieure n'a été sanc- tionnée par le gouvernement de ce pays lorsqu'elle fut contractée. Je dois déclarer de nouveau la con- viction où je suis que tout cela a pris origine dans une intrigue mercantile. Je dis que la population française désire vivre sous la protection britannique, comme dans l'alliance britannique, et que la très- grande majorité des habitants des deux Canadas est opposée à l'union Je ne puis donc consentir à une mesure fondée, comme je le crois conscien- cieusement, sur de fausses informations et sur l'in- justice. Tant que je vivrai, j'espère n'approuver jamais une mesure semblable à CbUe qui est sou- mise à la considération de vos seigneuries. J'ai dit ce que je crois fermement être la vérité, et ce qui pourrait être appuyé du témoignage de tout esprit calme dans les deux Canadas.» (i) Mais ces représentations et ces protestations de la (^) Ces débats ont été tirés du Canadien, et la traduction dos discours a été empruntée à ce journal. La Gazette de QiiAbec ;i aussi été consultée pour ce qui a trait aux détails sur la question 4e l'union, INTHODICTJON. 35 part d'amis désintéressés du Canada et de la métro pôle n'eurent aucun succès : la mesure fut voléo dans la chambre des lords. Le sort du Canada fran- çais était fixé d'avance : depuis longtemps ses ad- versaires suggéraient l'union comme un moyen de faire cesser les dissensions politiques, en diminuant rinfluence de l'ancienne population du pays, et en accordant la prépondérance aux Anglais. j)e plus, un parti puissant était vivement intéressé à faire passer celte mesure. Le Haut-Canada devait près de six millions de piastres, dont la plus grande partie était payable à la maison Baring, de Londres. Un des associés de cette puissante maison était alors ministre des finances en Angleterre. (M Voyant que sa cré- ance était en danger, à cause de l'état embarrassé des finances du Haut-Canada, elle fit tous ses efforts pour opérer la réunion des deux provinces — parce que le Bas-Canada possédait de grands revenus, et n'avait presque pas de dettes.

Réf. 107. 1871. Gosford, Brougham, Wellington, Protest House of Lords 1841.

Voir plutôt dans Dans Réf. 106. 1871.

Réf. . Ceci touche 1886:

http://ufdc.ufl.edu/UF00072012/00001/1j,

Hansard 1886

1900............. 1900.............

1900............. 1900.............

1900............. 1900.............

1900............. 1900.............

Réf. 2. 1920. R. P. Augustin Leduc des Frères Prêcheurs Paroisse Saint-Clément 1819-1919, Histoire religieuse, Histoire civile, Fêtes du Centenaire,

Beauharnois, paroisse Saint-Clément, 1819-1919: histoire religieuse; histoire civile; Fêtes du Centenaire,

http://archive.org/stream/beauharnoisparoi00leduuoft/beauharnoisparoi00leduuoft_djvu.txt

http://ia700806.us.archive.org/zipview.php?zip=/19/items/olcovers575/olcovers575-L.zip&file=5754968-L.jpgIl y a plusieurs formats, l'un, on fait défiler les pages en regard. et on peut chercher un passage.

http://archive.org/stream/beauharnoisparoi00leduuoft - page/n3/mode/2up

Le canal. "De 1845 à 1867, il a coûté $1,611,424." P. 184.

Réf. 10. 1966, Alfred Dubuc, “ Une interprétation économique de la constitution ”. Collection « Les sciences sociales contemporaines »
Table des matières

Une édition électronique réalisée à partir du texte de par Alfred Dubuc, “ Une interprétation économique de la constitution ”. Un article publié dans la Socialisme 66, Montréal, janvier 1966, no 7, pp. 3 à 21. Un numéro spécial intitulé : “ La politique libérale ”. [Autorisation accordée par le professeur Dubuc par téléphone, de chez-lui à Montréal, jeudi le 3 juillet 2003.]
Table des matières
Introduction
Partie I : Interprétation économique de la ConstitutionProblèmes de l'économie canadienne du milieu du 19e siècle
Province de Québec
Montréal
Le Grand-Tronc
Problèmes de finances publiques

Un siècle plus tard ...Partie II : Anti-manifesteUn refus méthodique
Des problèmes particuliers qui sont des problèmes généraux
Le vrai problème
On ne peut se défaire de l'idéologie
Une contradiction
Coupable : le nationalisme !
Un acte de loi

Conclusion

Réf. 12. 1925. Bataille de Batoche en 1885, Estampe, La prise de Batoche, F. W. Curzon, 1875-1925, original Musée McCord,

commons.wikimedia.org/wiki/File:The_Capture_of_Batoche.jpg

Réf. 16. 1983, Marc Vallières, L'Actualité économique, vol. 59, n° 3, 1983.

http://www.erudit.org/revue/ae/1983/v59/n3/601063ar.pdf

Réf. Albert Faucher, Le fonds d'emprunt municipal dans le Haut-Canada, 1852-1867» et surtout peut-être dans le «Problème financier de la Province du Canada, 1841-1867".

Extrait. , p. 531-550,

"À partir de la crise de 1857, comme le démontre Albert Faucher, le gouvernement éprouvera des difficultés financières de plus en plus importantes, suite aux garanties qu'il a consenties sur les obligations des compagnies de chemins de fer, surtout du Grand Tronc, et sur des obligations municipales en vertu du fonds d'emprunt municipal. Le Grand Tronc frôle constamment la faillite et les municipalités parviennent difficilement à payer même les intérêts des obligations qu'elles ont émises, sans parler des problèmes financiers du banquier du gouvernement, la Bank of Upper Canada. Dans ce contexte, les agents financiers de la Province, Baring et Glyn, y vont de leurs recommandations plus ou moins impérieuses au gouvernement canadien sur des décisions de politique économique de nature à préserver le crédit de la Province sur le marché britannique. Albert Faucher y montre aussi que ces recommandations ont été suivies; citons, par exemple, l'absorption de la dette indirecte (issue des garanties octroyées aux compagnies de chemins de fer et aux municipalités) dans la dette obligataire directe au gouvernement. Les agents financiers invoquent généralement que des faillites d'institutions importantes telles le Grand Tronc, de municipalités ou encore de la Bank of Upper Canada causeraient un tort irréparable aux propres obligations du gouvernement et à sa capacité future d'emprunter. À la veille de la Confédération, la situation financière de la Province du Canada reste précaire et sa capacité d'emprunter, quasi inexistante. De plus le gouvernement a dû changer de banquier en 1864 alors que la Banque de Montréal remplace la Bank of Upper Canada dans cette fonction ; cette dernière fait d'ailleurs faillite en 1866. Ces articles d'Albert Faucher ont apporté une contribution originale et importante à notre compréhension de la période qui précède la Confédération. Plusieurs historiens, Alfred Dubuc en particulier, ont vu dans ces difficultés financières et leurs solutions une des explications essentielles de la Confédération de 1867.

NDLR. Les banques et agents impliqués.

Bank of Upper Canada qui fit faillite en 1866.

Baring et Glyn; les banques Baring ont financé la guerre contre Napoléon 1er au début du siècle.

La Banque de Montréal, Bank of Montreal BOM.

Réf. Albert Faucher et Alfred Dubuc.

Réf. 25. 1964. Jean-Charles Bonenfant. L'esprit de la confédération.

http://id.erudit.org/iderudit/302251ar

http://www.erudit.org/revue/haf/1963/v17/n1/302251ar.pdf

http://www.erudit.org/revue/haf/1963/v17/n1/30225

Réf. 42. 1988. Ruth Dupré, Un siècle de finances publiques québécoises : 1867-1969, L'Actualité économique, Volume 64, numéro 4, décembre 1988, p. 559-583

http://id.erudit.org/iderudit/601470ar

Réf. 27. 1972. Geo. Mainer. Biographie de Hartley Hamilton Killaly.

http://www.biographi.ca/fr/bio/killaly_hamilton_hartley_10F.html

NDLR. Je trouve un passage concernant le Canal de Lachine en 1842.

"Finalement le 4 mars 1842, ils furent tous trois nommés commissaires chargés de la surveillance et de l’entretien du canal de Lachine."

Réf. 28. 1971. Geo. Mainer, Hamilton Hartley Killaly (1800-1874)

www.biographi.ca/fr/bio/killaly_hamilton_hartley_10F.html,

"Au mois d’octobre de la même année, (1842) le gouvernement de Londres garantit un emprunt important pour réaliser des travaux publics au Canada. Ceux-ci comprenaient les six canaux du Saint-Laurent, à l’ouest de Lachine. "

NDLR. Dont, sans doute, celui de Beauharnois, ouvert le 11 octobre 1845.

Réf. 29. 1990. Wendy Cameron, John Langton (1808-1894).

http://www.biographi.ca/fr/bio/langton_john_12F.html

"... car un comité parlementaire lui reprochait de ne pas avoir signalé que son vieil ami sir John Alexander Macdonald avait mésusé du fonds des services secrets."

"En 1866, Langton se trouvait à Ottawa afin de préparer la Confédération. La vérification était désormais bien acceptée, et il cherchait à établir la structure financière qui conviendrait le mieux au dominion. À titre d’arbitre de ce dernier, il négocia, avec les ministres des Finances des colonies, le transfert des comptes qui relevaient des secteurs de compétence fédérale. En outre, il consacra beaucoup de temps à l’énorme problème que posait la répartition de la dette de l’ancienne province du Canada entre le Dominion, l’Ontario et le Québec."

NDLR ?????

Réf. 19. 1987. Peter Baskerville, ed., The Bank of Upper Canada, Carleton Library Series No. 141. Toronto: The Champlain Society in cooperation with the Ontario Heritage Foundation and Carleton University Press, 1987. cliii, 400 p. ISBN 0-88629-059-7 $18.95.

"During much of its existence, the Bank of Upper Canada was derided as a pet bank, created by members of the Family Compact to serve their personal interests, favoured by the government, and unable to survive without government favours. "

(... un objet de dérision, un enfant gâté) au service des intérêts personnels des membres du Family Compact ...

Réf. 20. 1989. Robert Sweeny, Revued'histoire de l'Amérique française, vol. 43, n° 1, 1989, p. 102-104., une recension du livre de Baskerville, The Bank of Upper-Canada, 1821-1866

Trad. "Les dossiers de la banque furent vendus pour le papier à 20$ la tonne."

C'est sur cette question épineuse du lien entre la finance et le gouvernement que le professeur Baskerville voulait jeter un éclairage nouveau.

http://www.erudit.org/revue/haf/1989/v43/n1/304771ar.pdf

Réf. 32. 1948. C. Bélanger, Charles Dewey Day.

http://www.erudit.org/revue/haf/1989/v43/n1/304771ar.pdf

"(1806-1884), chancellor of McGill University (1857-84), "in 1838 he was appointed deputy judge-advocate-general at the courts-martial held in Montreal for the trial of the political prisoners arrested during the rebellion of 1837-8".

Il fut désigné comme représentant du Québec en compagnie de David Lewis Macpherson représentant l'Ontario et de John Hamiltron Gray représentant le Dominion, sur le tribunal d'arbitrage chargé de régler le partage de la dette du Haut-Canada;

Réf. Pierre Corbeil, p.4 " Il n'est pas surprenant que l'arbitre québécois, le juge Charles Dewey Day, se soit vite rendu compte que ce tribunal d'arbitrage penchait visiblement du côté de l'Ontario. C'est ainsi qu'il refusa de servir de caution à une décision rendue d'avance et démissionna."

https://circle.ubc.ca/bitstream/handle/2429/6046/ubc19960498.pdf?sequence=1

the real prosecutors were Charles Dewey Day, who would later become a judge, and the former Patriote Dominique Mondelet, both of 42 whom were supposed to act as impartial legal advisors to the court .

http://faculty.marianopolis.edu/c.belanger/quebechistory/encyclopedia/CharlesDeweyDay-QuebecHistory.htm

Réf. 33. 1996. Mark Allen Thorburn, The 1838-1839 Courts Marshal of Patriotes in Lower Canada: were they "constitutional"?

https://circle.ubc.ca/bitstream/handle/2429/6046/ubc_1996-0498.pdf?sequence=1,

The paper also concludes that what happened in Lower Canada is an example of the "law" being created by one or more of society's segments in favour of the interest of the dominant class or groups over the rest of society. Furthermore, fundamental legal rights are tossed aside when they are deemed an impediment by the dominant class or groups and the rule of law will only prevail when those in authority feel secure from serious threats.

Trad. "Ce qui est arrivé au Bas-Canada est un exemple d'une prétendue "loi" créée par un ou plusieurs segments de la société en faveur de l'intérêt d'un ou de plusieurs groupes ou classes se plaçant au dessus du reste de la société. Par ailleurs, les droits légaux fondamentaux sont mis de côté quand une classe dominant ou des groupes dominants estiment qu'elles sont des embarras.

"Les véritables poursuivants étaient Charles Dewey Day, futur juge, et l'ex-Patriote Dominique Mondelet qui l'un et l'autre étaient supposés agir comme poursuivants impartiaux devant la cour.

Réf. 51. 1991. Marcel Sauvé. Géopolitique et avenir du Québec.

Réf. 131. 1931. (Tiré de) R.P. L. Le Jeune, Dict. gén. du Canada, Université d'Ottawa, 1931. La dette du Haut-Canada .

archives.vigile.net/hist/histnat/1840/lejeuneunion.html,

La dette provinciale du Haut-Canada est de six millions, mise au devoir de la Province-Unie, même la dette contractée, pour des améliorations locales, par les concussions des administrateurs civils...

2000.............2000.............

2000.............2000.............

2000.............2000.............

2000.............2000.............

Réf. 3. 2010, Roland Viau, La sueur des autres. Les fils d'Érin et le canal Beauharnois, Valleyfield, Triskèle Éditeur, 2010.327 Pages,

http://archive.org/details/beauharnoisparoi00leduuoftrecension par Jean-Philip Mathieu, UQAM,

Réf. 4. 2010, Daniel Baril, Canal Beauharnois : le conflit ouvrier le plus sanglant de l'histoire du Canada

Lundi, 27 Septembre 2010 14:00 Journal FORUM de l'UdeM.

http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/vient-de-paraitre/20100927-canal-beauharnois-le-conflit-ouvrier-le-plus-sanglant-de-lhistoire-du-canada/imprimer.html

Réf. 5. 2009. Jay Underwood, Built for War; Canada’s Intercolonial Railway. Major Robinson’ s route to protect Canadian sovereignty, Railfare DC Books. Pickering. ON , 246 pages,

http://www.goodreads.com/book/show/5412433-built-for-war,

Réf. 6. 2009. Statistique Canada, Les statistiques canadiennes en 1867.

http://www65.statcan.gc.ca/acyb07/acyb07_0002-fra.htm

Une livre sterling valait 4 $ Can en 1867.

"L’infrastructure de ces premières années du Canada était prometteuse. On trouvait des stations de télégraphie électrique — 471 en tout — dans chaque province de l’Amérique du Nord britannique. En 1865, le chemin de fer du Grand Trunk Railway, qui comprenait les chemins de fer de Montréal et de Champlain et ceux de Buffalo et du lac Huron, s’étirait sur 1 377 milles et ses chemins et son équipement avaient coûté à eux seuls 81 millions de dollars."

Réf. 7. 2013. L'incendie du Parlement de Montréal en 1848,

http://www.ledevoir.com/galeries-photos/les-armoiries-du-parlement-de-montreal-sont-retrouvees/82780

http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/service_sim_v2_fr/media/documents/2_Interventions.pdf

Réf. 8. 2013. Le maire de Montréal arrêté pour une affaire de corruption,

Le Monde.fr avec AFP 17.06.2013

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/06/17/le-maire-de-montreal-arrete_3431480_3222.html

Réf. 9. 2013. Incendie du Parlement, suites en 2013,

http://www.ledevoir.com/galeries-photos/les-armoiries-du-parlement-de-montreal-sont-retrouvees/82780

http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/service_sim_v2_fr/media/documents/2_Interventions.pdf

Réf. 15. 2013. Stephen Harper.

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2013/06/20130613-191047.html,

À Londres, Harper parle d'économie et de l'Iran.corruption

Réf. 17. 2013. Bank of Upper Canada.

http://en.wikipedia.org/wiki/Bank_of_Upper_Canada

À Kingston puis à York-Toronto, liée au Family Compact de Strachan.

Réf. 18. 2002. Bernard Élie, Le régime monétaire canadien: institutions, théories et politiques, P. de l'UdeM 2002.

http://books.google.ca/books?id=kbXuRtHgi9oC&pg=PA120&lpg=PA120&dq=Baring+et+Glyn;+les+banques+Baring&source=bl&ots=DjnSwORy1Y&sig=7hwcIfluZ56RAiO3RH-fl851Xns&hl=fr&sa=X&ei=c_ArUpecF4-44APwhoDYCw&ved=0CFcQ6AEwBg - v=onepage&q=Baring et Glyn%3B les bh

Réf. 21. 2012. Patrick Scrivener, The War of 1812 (1812-1815).

http://www.reformation.org/war-of-1812.html

Fig. Extrait en substance: Grâce à Barings, Napoléon vendit la Louisiane et reçut 15 millions de $ équivalent de 250 millions en 2012. Ce qui lui permit d'entreprendre sa désastreuse campagne de Russie, un 22 juillet 1812.

Réf. 22. 2001. Historique du Québec .

http://pages.infinit.net/histoire/

On choisit la section.

Réf. 23. 2013. Historique du Québec bis.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_Québec - L.27Acte_d.27Union_.281840.29

Réf. 24. 2013. Chronologie de l'histoire du Québec.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_de_l%27histoire_du_Québec

Réf. 26. 2013. Gouvernement Chapleau.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernement_Joseph-Adolphe_Chapleau

20 juillet 1880 : le Québec en vient à une entente avec la Banque de Paris et des Pays-Bas pour un emprunt de $4 millions. Il s'agit du premier accord économique entre le Québec et la France depuis le traité de Paris de 1763.

Réf. 31. 2013.Cameron Jack Langton,1866.

http://www.biographi.ca/fr/bio/langton_john_12F.htmlhttp://www.biographi.ca/fr/bio/langton_john_12F.html

"En 1866, Langton se trouvait à Ottawa afin de préparer la Confédération. La vérification était désormais bien acceptée, et il cherchait à établir la structure financière qui conviendrait le mieux au dominion. À titre d’arbitre de ce dernier, il négocia, avec les ministres des Finances des colonies, le transfert des comptes qui relevaient des secteurs de compétence fédérale. En outre, il consacra beaucoup de temps à l’énorme problème que posait la répartition de la dette de l’ancienne province du Canada entre le dominion, l’Ontario et le Québec. Une loi sur les revenus et la vérification, adoptée en décembre 1867, créa le Bureau d’audition fédéral, et il fut nommé officiellement vérificateur en mai."

Réf. Acte de Londres, Garantie d'un prêt, 1842.

jmE2bSRzEUC&pg=PA269&dq=1842+imperial+government+loan+guarantee+canals+canada&hl=fr&sa=X&ei=n3oRUvW7Eoje8wTfxoDYAQ&ved=0CD0Q6AEwAA#v=onepage&q=1842 imperial government loan guarantee canals canada&f=false

Canada Loan Guarantee Act 1842 c. 118

http://discovery.nationalarchives.gov.uk/SearchUI/Details/AssetMain?iaid=C3144942

Réf. 36. 2013. Pierre Demers, *** La Dette du Canada envers le Québec,

participation Daniel Roy, Hélène Trudeau, Marcel Sauvé, Maurice Day. Réf. Pierre Corbeil, Marie Vastel, Jacques Parizeau.

http://lisulf.quebec/SF026.htmhttp://lisulf.quebec/SF026.htm

Réf. 37. 2013. Jacques Parizeau, Ne surdramatisons pas notre endettement, Le Devoir, 16V2013,

http://www.ledevoir.com/politique/quebec/378283/ne-surdramatisons-pas-notre-endettement

Réf. 38. 2000. France Napoléonienne

https://fr.wikipedia.org/wiki/Premier_Empire

"À la suite de la défaite de la France en 1815, la Grande-Bretagne connut un siècle de domination sans partage et étendit ses possessions dans le monde entier."

Réf. 39. 2000. Empire britannique.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Empire_britanniquehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Empire_britannique

Pourquoi ce passage "avait du", quelle était donc l'obligation pressante, quel est l'historique de ces opérations financières. "avait du "? Évidemment pour favoriser les transports de marchandises au bénéfice de Toronto la loyaliste aux grandes ambitions. Quels étaient les marchands, les financiers, les prêteurs, les contracteurs?

Extrait

L'incertitude sur le partage de la dette du Canada-Uni entre le Québec et

l'Ontario10 est un facteur supplémentaire d'explication des engagements modestes

du gouvernement québécois. Pendant son premier mandat (1867-1871), le gouvernement

Chauveau dépense moins de 2 millions de dollars par année ; plus de

la moitié de cette somme est consacrée au maintien de l'ordre social. Les revenus

du gouvernement, dont 60 pour 100 proviennent de la subvention fédérale, sont

un peu plus élevés, ce qui laisse un léger surplus chaque année.

En 1873, après de longues et difficiles négociations, la question du partage

de la dette est finalement réglée : le gouvernement fédéral l'assumera en entier.

Cet arrangement ouvre la voie à une hausse des dépenses du gouvernement

québécois. Ainsi commence la fièvre des chemins de fer qui balaiera la province

jusque dans les années 1890. En 1875, il y a 1 024 milles de chemins de fer au

Québec ; 90 pour 100 sont situés dans la région plus populeuse de la rive sud

du Saint-Laurent, reliant celle-ci aux États-Unis (Hamelin et Roby (1971:129)).

Bientôt, la population, le clergé et les politiciens de la rive nord commencent à

réclamer des chemins de fer11. Le gouvernement du Québec dépensera plus de

26 millions de dollars (17 millions en termes nets12) en aide à la construction

de chemins de fer entre 1873 et 1900; la rive nord, en particulier le «Québec,

Montréal, Ottawa & Occidental», recevra la part du lion.

Réf. 39. 2000.

Le Canada-Uni (composé du Haut et du Bas-Canada, qu'on appellera en 1867 le Québec

et l'Ontario) avait accumulé au moment de la Confédération une dette de plus de 70 millions de

dollars. Selon l'Acte de l'Amérique du Nord britannique, le gouvernement fédéral en assumait 62,5

millions de dollars, le reste devant être partagé entre le Québec et l'Ontario. Voir Vallières (1983 :534).

Réf.40. 2000.

Cette histoire fascinante est racontée en détail par Young (1978).

Réf. 41. 2000.

Des recettes d'opération de 2 millions de dollars et le prix de vente de 7,5 millions de

dollars doivent être déduits des dépenses.

Réf. 43. 2000. Wiki, Province of Canada.

en.wikipedia.org/wiki/Province_of_Canada

Upper Canada was near bankruptcy due to a lack of stable tax revenues, and needed the resources of the more populous Lower Canada to fund its internal transportation improvements. And secondly, unification was an attempt to swamp the French vote by giving each of the former provinces the same number of parliamentary seats, despite the larger population of Lower Canada. Although Durham's report had called for both the Union of the Canadas and Responsible Government (i.e., an independent local legislature), only the first was implemented. The new government was to be led by an appointed Governor General accountable only to the British state.

Extrait.

INTRODUCTION. 45

Trad. Les finances du Bas-Canada étaient dans un état très-prospère, et le gouvernement n'avait été obligé d'imposer que de très-légères taxes, puisque le revenu total ne s'élevait, en 1840, qu'à £166,000. Il eût cependant mieux valu que l'administration prélevât des impôts plus élevés, afin de faire des améliorations locales, et d'encourager surtout la colonisation. Le revenu du Haut-Canada ne s'élevait qu'à £75,000 environ. Le gouvernement avait cependant commencé de grands travaux, et par là grevé son crédit d'une dette de $5,458,523.09, fardeau que le Bas-Canada était appelé à partager d'après une clause de l'acte d'union.

Réf. 44. 2000. John Richardson, 1796-1831

http://www.rootsweb.ancestry.com/~qcmtl-w/RichardsonJohn.html

He got a bill passed for the construction of a canal to Lachine, as early as 1795-96, although he did not see the work commenced till 1821, on the 17th of July, in which year, he turned the first sod, at the commencement of the work. He was chairman of the company that secured the completion of the undertaking, in 1825, at a cost of $440,000.

Réf. 46. 2000.

https://www.google.ca/search?q=banque+du+haut-canada&ie=utf-8&oe=utf-8&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a&channel=fflb&gws_rd=cr,

Réf. 47. 2007. Banque du Haut-Canada, Peter A. BaskervRéf. 35. http://www.erf-auteuil.org/conferences/pierre-teilhard-de-chardin.html

http://www.erf-auteuil.org/conferences/pierre-teilhard-de-chardin.html

Réf. 48. 2013.

http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2013/03/20130312-090643.html

Réf. 49. 2013

http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2013/03/20130312-090643.html

Réf. 50. 2013.

La légendaire chocolaterie Laura Secord 2013,

http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201003/12/01-4260194-la-nouvelle-vie-de-laura-secord.phphttp://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201003/12/01-4260194-la-nouvelle-vie-de-laura-secord.php

Réf. 52. 2000. Pierre Corbeil Ph.D. Drummondville. La dette fédérale dans une perspective historique

Pierre Corbeil Ph.D. Drummondville. Décembre

http://www.souverainetelasolution.com/documents/dette_canada_quebec.pdf

« Que montrent les chiffres, selon les documents officiels de l'époque? Le Haut Canada, le 10 février 1841, avait une dette de 5 925 779, 54 $. A la même date, le Bas-Canada possédait un crédit de 189 306,41 $ [9]. »

Donc dette nette du Haut-Canada envers le Bas-Canada : 6 115 085,95 $.

réf. 8,

http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=3&ved=0CDkQFjAC&url=http%3A%2F%2Fwww.parl.gc.ca%2FAbout%2FParliament%2FReconstitutedDebates%2FSenate%2F1%2F4%2FRecDeb_SEN_1871_CompleteDebates-b.pdf&ei=pdJCUvi6OMieqQHmzIHQDw&usg=AFQjCNH1tArKA6CSwww

QUATRIÈME SESSION FIRST PARLIAMENT PREMIÈRE LÉGISLATURE 34 VICTORIA 1871

La session s'est ouverte le 15 février 1871 et s'est prorogée le 14 avril 1871 .

Réf. 53. 2000. Wiki. Versailles.

http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Versaillevueparall.jpgRéf. 54. 2000. Wiki. Versailles.

Réf. 40. http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Versaillevueparall.jpg

Réf. 55. 2000. Ontario canal Rideau historique construction,

http://nature.ca/rideau/a/a1-f.htmlhttp://nature.ca/rideau/a/a1-f.html

Réf. 56. 2000. Bonaparte.

http://grandquebec.com/histoire/bonaparte-canada/

Réf. 57. 2013. Le Devoir, Commission Charbonneau.

http://www.ledevoir.com/motcle/commission-charbonneau

Réf. 58. 2000. Toronto, Toronto.

http://www.rncan.gc.ca/sciences-terre/limite-geographique/nom-geographique/origine-noms-geographiques/5887

Réf. 59. 2013 . ***** ***Hélène Trudeau conférencière à la SHXI, 28XI2012

Un territoire convoité, la seigneurie de La Salle.

Hélène Trudeau. SF024

Réf. 60. 2000. Toronto, plaques.

http://www.torontoplaques.com/Pages_DEF/Fort_Rouille.html

SF024

Réf. 61. 2000. Versailles.

http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Versaillevueparall.jpg

Réf. 62. 2000.

http://www.rideau-info.com/canal/tales/bye-by.html

Réf. 63. 2000. Versailles.

http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Versaillevueparall.jpg

Réf. 64. 2000. Canal Rideau.

http://www.rideau-info.com/canal/tales/bye-by.htmlRéf. 65. 2000. La grève des Irlandais.

auxorigines.com/103/page.asp?idpage=1 la grève des Irlandais

Réf. 66. 2000. Les canaux de la voie maritime, de Montréal aux Grands Lacs.

Les canaux de la voie maritime, de Montréal aux Grands Lacs.

Réf. 67. 2000.

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/geo_0003-4010_1929_num_38_214_9860

Réf. 68. 2000.

http://archive.is/5gFl

Réf. 69. 2000.

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/geo_0003-4010_1929_num_38_214_9860

Réf. 70. 2000.

http://archive.is/5gFl

Réf. 71. 2000. Les réparations de guerre 1914-18

https://docs.google.com/document/d/1_wgm5SS0BZoAvU7Kl5evdiYwlp6FmqcM1t04MrXJlyk/edit?pli=1

269 milliards#  de marks-or de 1914# (ce qui correspond à 100 000 tonnes d'or pur, soit 50% de tout l'or jamais extrait dans le monde,#) dont 52 % doivent revenir à la France.

l’Allemagne doit rendre l’Alsace et la Lorraine à la France; elle doit payer pour réparations de guerre 132 milliards de marks-or, dont la moitié va à la France;

Réf. 72. 2000.

http://www.lapresse.ca/international/europe/200912/02/01-927278-lallemagne-eponge-sa-dette-heritee-de-1914-18.phphttp://www.lapresse.ca/international/europe/200912/02/01-927278-lallemagne-eponge-sa-dette-heritee-de-1914-18.php Evernote

«Entre 1990 et 2010, presque 200 millions d'euros ont été payés» par l'Allemagne, selon M. Knapp. Et le pays pourra, pile pour le vingtième anniversaire de la réunification, clore le chapitre.

Réf. 73. 201300. Saison cyclonique 2012 dans l'océan Atlantique Nord

http://fr.wikipedia.org/wiki/Saison_cyclonique_2012_dans_l%27oc%C3%A9an_Atlantique_Nord

Des coûts de 55 et de 52,5 milliards $ USA

Réf. 74. 2013. Coûts catastrophe Japon 2012.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/01/03/97002-20130103FILWWW00324-catastrophes-cout-de-160-mds-2012.php

Catastrophes: coût de 160 Mde$ (2012)

AFP Publié le 03/01/2013 à 11:21 RéactionsRéactions (2)

« Le coût total des catastrophes naturellesdans le monde devrait atteindre 160 milliards de dollars (122 milliards d'euros) en 2012, estime l'assureur allemand Munich Re dans une étude publiée aujourd'hui.
Les assureurs devraient couvrir ces pertes à hauteur de 65 milliards de dollars, a précisé Munich Re dans un communiqué. Les plus gros dégâts de l'année 2012 ont été provoqués par l'ouragan Sandy qui devrait représenter près de 25 milliards de dollars à couvrir par le secteur de l'assurance. »

2100.............2100.............

2100.............2100.............

2100.............2100.............

2100.............2100.............

Réf. 75. 2012.

Hydro-Québec envoie des monteurs de ligne dans l'État de New-York

tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/.../20121102-192839.htm...tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/.../20121102-192839.htm...2 nov. 2012 – ... de monteurs de ligne d'Hydro-Québec ont été déployés dans l'État de New York, ... Lorsqu'une compagnie d'électricité fait une demande d'aide, c'est elle qui ... Les États-Unis se préparent à l'arrivée de Sandy, Ouragan ...Réf. 76. 2009. Alec Castonguay. Afganistan. Le coût de la guerre.

http://www.ledevoir.com/politique/canada/256536/afghanistan-le-cout-de-la-guerre-a-double-en-quatre-ansAfghanistan - Le coût de la guerre a doublé en quatre ans

L'armée fait marche arrière et dévoile les détails de la facture militaire

25 juin 2009 | Alec Castonguay | CanadaAlec Castonguay | Canada

2006-07: 805 millions $

2007-08: 967 millions $

2008-09: 1,19 milliard $

2009-10: 1,513 milliard $

2010-11: 1,468 milliard $

2011-12: 779 millions $Réf. 77. 2011. Manlio Dinucci. « L’art de la guerre »Les coûts de la « Guerre au terrorisme »,

Réseau Voltaire | Rome (Italie) | 16 juillet 2011

http://www.voltairenet.org/article170825.htmlhttp://www.voltairenet.org/article170825.html

« Un institut universitaire états-unien a évalué en détail le coût de la « guerre au terrorisme » pour les seuls USA. Il montre que la facture réelle est probablement trois fois plus élevée que celle votée par le Congrès et qu’elle joue un rôle central dans la crise financière que traverse le pays. Manlio Dinucci déplore que cette estimation ignore le coût de la guerre dans les pays qu’elle ravage.

Quel est le coût économique de la « guerre à la terreur », que les États-Unis ont lancée il y a dix ans ? L’Institut d’études internationales de la Brown University (New York) l’a calculé [1].1]. L’invasion de l’Afghanistan en 2001 et de l’Irak en 2003, et l’extension successive des opérations militaires au Pakistan, comportent un coût d’environ 4 000 milliards de dollars. » Soit 4 B.

Réf. 78. 2011. Dettes des pays, plusieurs sources.

18. http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2011/11/17/la-dette-publique-americaine-depasse-les-15-000-milliards-de-dollars_1604817_3222.html58.

La dette publique américaine dépasse les 15 000 milliards de dollars

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2011/11/17/la-dette-publique-americaine-depasse-les-15-000-milliards-de-dollars_1604817_3222.html

La dette publique américaine dépasse les 15 000 milliards de dollars 15 B $.

www.lemonde.fr/.../la-dette-publique-americaine-depasse-les-15-000...

17 nov. 2011 – Depuis 2008, les Etats-Unis accumulent 1 000 milliards de dette ... La candidate ultraconservatrice à la présidentielle américaine de 2012, ...

Réf. 79. 2013. Dettes des pays, horloge.

http://www.usdebtclock.org/

États-Unis: prés de 16 B.

Réf. 80. Nul.

Réf. 81. 2013. Daniel Roy.

https://www.facebook.com/101RaisonsPourLeQuebecDeSeSeparer/info

Réf. 82. La première grève ouvrière au Canada. Massacre du canal de Beauharnois http://grandquebec.com/histoire/greve-1843/http://grandquebec.com/histoire/greve-1843/

« Tous ces abus provoquent de nombreuses tensions. L'affrontement est inévitable et le 3 juin 1843, une grève éclate au chantier du canal. Il s'agit probablement de la première grève au Canada. Près de 3000 ouvriers irlandais protestent pour obtenir de meilleures conditions de travail. Pas moins d’un millier de grévistes occupent la ville de Saint–Timothée pendant 22 jours. Ensuite, la cavalerie et la milice essayent de maîtriser les grévistes. Dans les combats qui s'ensuivent, au moins 5 ouvriers sont tués et 50 sont blessés. Mais certains témoins parlent plutôt d'une vingtaine de morts. En tout cas, ce massacre du chantier du canal de Beauharnois demeure l'acte de répression ouvrière le plus sanglant de l'histoire du Canada. »

Réf. 83. 2013. Daniel Roy 2013, Commentaire, 21III2013, 12h34 HAE.

Monsieur Pierre Demers,

La dette impayée de l’Ontario envers le Québec lors de l’Acte de l’Union de 1840 ainsi que l’attribution du Labrador à Terre-Neuve en 1927 doivent rester d’actualité et entrer dans l’équation lors de l’accession du Québec à son indépendance.

Le Québec n’a jamais été dédommagé pour avoir dû absorber la dette de l’Ontario lors de l’Acte de l’Union de 1840. Selon le document « La dette fédérale dans une perspective historique » écrit par Pierre Corbeil, Ph. D. Drummondville en décembre 2000, « Le Haut-Canada (l’Ontario actuel), le 10 février 1841, avait une dette de 5 925 779,54 $. À la même date, le Bas-Canada (Le Québec actuel) possédait un crédit (surplus) de 189 306,41 $. La dette de l’Ontario envers le Québec était de 6 115 085,95 $ en 1867. En dollars de 1995, il s’agirait donc d’une dette de 122 637 742 972,95 $. Si nous calculons le montant de la dette à 5% d’intérêts depuis 1867 (tel que stipule l’article 112 de la British North America Act), la dette impayée de l’Ontario envers le Québec est de 63 219 991 062 847,10 $. », soit plus de 63 billions.

« Le 1er mars 1927, le Conseil privé de Londres accorde tout le territoire du Labrador à Terre-Neuve. Pour le Québec, il s'agit d'une perte de 112 000 milles carrés XX

vvvvv Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/1927_au_Qu%C3%A9bec« En 1927, le Québec rejette la décision du Conseil privé de Londres en accusant le gouvernement britannique d'être juge et partie dans cette affaire sans faire de réclamations particulières de territoire dans le Labrador. À la suite de ce rejet, les différents gouvernements québécois ont répété le rejet de l'avis du Conseil privé. » Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Fronti%C3%A8re_entre_le_Qu%C3%A9bec_et_Terre-Neu ve-et-Labradorhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Fronti%C3%A8re_entre_le_Qu%C3%A9bec_et_Terre-Neu ve-et-Labrador Daniel Roy, CPA, CA.

Réf. 84. 2013. Hélène Trudeau, cCommentaire 21III2013, 13h01 HAE.

Français milliard et anglais billion.

Bonjour,

122 637 742 972,95 =122 milliards français -> milliards de dollars

= (anglais billions) -> mais anglais billion dollars (billion sans «s»

63 219 991 062 847,10 $  = 63 billions français (anglais trillions)Toute la question est résumée avec bonnes explications à : Réf. 70.

http://anglais-pratique.fr/rubriques/faux-amis/72-milliard-billion-trillion#table

http://anglais-pratique.fr/rubriques/faux-amis/72-milliard-billion-trillion#table

Au revoir. Hélène Trudeau Candiac. 

Réf. 85. 2013. Pierre Demers, commentaire sur la dette; 21III2013 16h38 HAE.

Pour que cette affaire de dette, qui est liée à la constitution de 1867, soit examinée, il faudrait que l’on accepte de s’occuper de l’affaire constitutionnelle elle-même, ce que propose le nouveau chef libéral du PLQ, Philippe Couillard. Mais Ottawa a immédiatement répliqué que les Canadiens ne voulaient pas, ils en veulent se limiter aux questions économiques. Le présent article démontre que, quant aux intérêts du Québec, constitution, finance et économie sont inséparables. Jacques Parizeau voudrait peut-être donner son opinion. Voyez Réf. 69. Le Devoir : .Ottawa dit non à Couillard, Marie Vastel http://www.ledevoir.com/politique/canada/373757/ottawa-dit-non-a-couillard

Réf. 86. 2013. Irlandais.

Des chemins divergents / les Irlandais et les Canadiens français au XIXe siècle - 000569co

http://www.erudit.org/livre/CEFAN/1999-3/000569co.pdf

Dans les années 1840, lorsque des conflits de travail éclatèrent sur les chantiers de construction du canal Lachine et du canal Beauharnois, des Canadiens français furent utilisés pour briser les grèves organisées par les travailleurs irlandais.

?Réf. 87.

fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100223164246AApgNrN

Ce canal de neuf pieds de profondeur était long de plus de onze milles. Neuf écluses s’y trouvaient. Sa construction a coûté 1 611 424,11$.

1842 Le colonel Philpotts fait construire le «vieux» canal de Beauharnois (18 km de longueur)

Réf. 88.

http://books.google.ca/books?id=TqoEAAAAQAAJ&pg=PA216&dq=colonel+Philpotts+1842+canal&hl=fr&sa=X&ei=ZqUiUpCBMvbCsASj54GoBw&ved=0CDgQ6AEwAQ - v=onepage&q=colonel Philpotts 1842 canal&f=false

Réf. 89. Cette route fut choisie en 1842 ; les travaux furent commencés dans le printemps de la même année, et le 11 octobre 1845, le canal de Beauharnois fut ouvert au trafic.

http://www.archive.org/stream/cihm_12844/cihm_12844_djvu.txt

fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100223164246AApgNrN, Ce canal de neuf pieds de profondeur était long de plus de onze milles. Neuf écluses s’y trouvaient. Sa construction a coûté 1 611 424,11$.

Réf. 90. Le Devoir : .Ottawa dit non à Couillard, Marie Vastel

http://www.ledevoir.com/politique/canada/373757/ottawa-dit-non-a-couillard

"Nous, on parle d’économie », a rétorqué le lieutenant québécois de M. Harper, Christian Paradis. Un discours repris par ses collègues, qui ont tous argué que le fédéral planchait, lui, sur l’économie, tout comme le veulent les Québécois. … La porte est donc fermée à Ottawa ? « Notre priorité avant tout, c’est de respecter la Constitution canadienne. C’est ce qu’on a toujours fait et on va continuer », a fait valoir M. Bernier…. Ça ne fait que confirmer notre volonté de dire que le Québec, c’est la souveraineté. […] Pour nous, la porte n’est même pas fermée, ils ont mis un mur en travers », a dit Daniel Paillé, du Bloc québécois."

NDLR. La constitution canadienne est-elle respectable en ce qui concerne le partage de la dette du Haut-Canada? Voyez Corbeil, Tessier et autres, suggérant qu'elle est, à propos de ce partage, une grossière rapine aux dépens de la Province de Québec.

Réf. 91.

http://www.erudit.org/livre/CEFAN/1999-3/000569co.pdf

Des chemins divergents / les Irlandais et les Canadiens français au XIXe siècle - 000569co

Dans les années 1840, lorsque des conflits de travail éclatèrent sur les chantiers de construction du canal Lachine et du canal Beauharnois, des Canadiens français furent utilisés pour briser les grèves organisées par les travailleurs irlandais.

fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100223164246AApgNrN

1842 Le colonel Philpotts fait construire le «vieux» canal de Beauharnois (18 km de longueur)

http://books.google.ca/books?id=TqoEAAAAQAAJ&pg=PA216&dq=colonel+Philpotts+1842+canal&hl=fr&sa=X&ei=ZqUiUpCBMvbCsASj54GoBw&ved=0CDgQ6AEwAQ#v=onepage&q=colonel%20Philpotts%201842%20canal&f=false

Cette route fut choisie en 1842 ; les travaux furent commencés dans le printemps de la même année, et le 11 octobre 1845, le canal de Beauharnois fut ouvert au trafic.

http://www.archive.org/stream/cihm_12844/cihm_12844_djvu.txt

Mt encoi'c, quel a été en vérité le coût du canal de lieau- liarnois? [.«• 1er juillet 18117, il coûtait Si,<)l I,i2'».ll, et dans cette 3omm(^ étaient comprises S2'2.783 if), jiour la construc- tion de chausées ou (/cnns à VallevfUeld et à l'Ile aux Chats, et $-254,H07.3l pour les dommages causés par l'innondation des terres d'ilimgry Baie. A la même époque, 1er juillet 1807, le canal de liachinc coûtait $2,587,552.85; celui de c:ornwall,$l,l)33J52.(]9 ; et ceux de Williamsburg, $1,320,605. 5'»,
 
Et encore, quel a été en vérité le coût du canal de Beauharnois? Au 1er juillet 1817
...
A la même époque, 1er juillet 1807, le canal de Lachine coûtait $2,587,552.85; celui de Cornwall, $l,l33J52.(]9 ; et ceux de Williamsburg, $1,320,605.51'»,
 
1870 do 30 1871 do 7 1872 
ce qui date le document.

Réf. 92. Faux-amis.

http://anglais-pratique.fr/rubriques/faux-amis/72-milliard-billion-trillion#table

Réf. 93. 1871. http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100223164246AApgNrN

Réf. 94. 1871. Louis-Philippe Turcotte, Le Canada sous l'union

http://books.google.ca/books?id=Zp0OAAAAYAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0 - v=onepage&q&f=false

pp.33, 34

"Lord Gosford, ancien gouverneur du Canada, (1835-8) parla ensuite. Son opinion devait être respectée: personne ne connaissait plus parfaitement les sentiments et l'état des divers partis. Voici un extrait du discours remarquable qu'il prononça sur ce sujet important « Je ne puis m'empôcher de regarder l'union des provinces comme un acte des plus injustes et des plus tyranniques, privant la province inférieure de sa constitution, pour les actes de quelques hommes malintentionnés, et la livrant pour être noyée par ceux qui, sans cause, lui ont montré tant de haine; car ce projet de loi doit la noyer. Vous donnez à 300,000 ou 400,000 âmes la même représentation qu'au Bas-Canada, qui a une population d'au moins 700,000 âmes ; ensuite vous imposez la dette de la province supérieure, qui, dit-on, excède un million de louis, à une province qui n'a presque aucune dette. Peut-il y avoir rien de plus arbitraire et de plus déraisonnable? En vérité, la légalité d'un pareil acte peut être mise en question: car j'apprends qu'aucune partie de la dette de la province supérieure n'a été sanctionnée par le gouvernement de ce pays lorsqu'elle fut contractée. Je dois déclarer de nouveau la conviction où je suis que tout cela a pris origine dans une intrigue mercantile.""

Protêts. (Protests.)

NDLR. Combien de $? = 5 $ à la L

Réf. 95. 1913. P. Ph.-F.Bourgeois, 1908, 1913.

http://archive.org/stream/lhistoireducanad00bouruoft/lhistoireducanad00bouruoft_djvu.txt

"A

son retour en Angleterre, lord Durham conseilla aux ministres du gouvernement impérial d'opérer l'union des deux Canadas. Bientôt le parlement impérial vota le bill d'union, malgré les protestations de lord Gosford, du duc de Wellington, et nonobstant les objections qu'on savait venir du clergé catholique du Canada et des Canadiens-Français. Ce bill reçut la sanction royale, le 28 juillet 1840, mais il ne fut mis en vigueur que le 10 février 1841.

"Lord Sydenham mourut des suites d'une chute de cheval, en septembre 1841 Pendant l'administration de ce gouverneur, l'Angleterre vota la somme de 1,500,000 louis sterling au crédit de la province, tant pour les travaux publics que pour la capitalisation de la dette du Canada."

Réf. 96. Antoine Gérin-Lajoie, Henri Raymond Casgrain

Dix ans au Canada de 1840 à 1850: histoire de l'établissement du ...

(NDLR. Combien de $? = 5 $ à la L)

Réf. 97. 1878. David Spence, Immigration to the Province of Ontario, une affiche.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/ab/Ontario_Immigration_Poster.jpg

23,50 $ = 4 L 15 sh = 4,75 L, 4,95 $ = 1 L, 1 $ = 0,202128 L

Réf. 98. 1990. British Money. Table 11. 20 Shillings = 1 Pound (sovereign,

http://members.peak.org/~jeremy/dictionaryclassic/tables/money_uk.php

Réf. 99. 2007. Bank of Montreal.

Les neuf membres fondateurs de la BMO : Robert Armour, John C. Bush, Austin Cuvillier, George Garden, Horatio Gates, James Leslie, George Moffatt, John Richardson et Thomas A. Turner, signant les articles d’association de la Banque de Montréal en 1817. Fig.

Réf. 100. 2013. Michel Lapierre, Un Québec écroué revisité, Le Devoir, 14IX, p. F1.

http://www.ledevoir.com/culture/livres/387311/un-quebec-ecroue-revisite,

Réf. 101. 2000. Pierre Corbeil, La dette... p. 12. l'Ontario (Toronto)

"Si l'Ontario a réussi, pendant le même temps, à prendre une expansion économique le double ce celle du Québec, ne serait-ce pas justement parce qu'elle a pu profiter des six millions non remboursés de 1867 ?"

Réf. 102. 1937. J.R. Maxwell, Federal Subsidies to the Provincial Governments in Canada, Harvard University Press.

Tiré de Pierre Corbeil 2000, La dette..., note 20.

Réf. 103. 2013. Wiki, John Colborne

fr.wikipedia.org/wiki/John_Colborne,

"Le 18 juin 1815, il connaît son heure de gloire à la bataille de Waterloo lorsqu'il commande les troupes qu'il lance contre la Garde impériale en déroute. Certains de ses admirateurs prétendent qu'il est l'artisan de la défaite de Napoléon ce jour-là."

Réf. 104. 2000. Joëlle Morin, Annick Corbeil, John Colborne.

http://www.1837.qc.ca/1837.pl?out=article&pno=biographie20,

Réf. 105. 2013. Wiki, First French Empire.

https://en.wikipedia.org/wiki/First_French_Empire - cite_ref-5

Réf. 106. 1871. Turcotte dans stream.

LE CAIADA sous L'UNION 1841-1867 PAR LOUIS-P. TUEOOTTE QUÉBEC DES PRESSES MÉCANIQUES DU CAMADIEy, No. 1, rue Saut-au-Matelot, Basse- Ville. 1871 

http://www.archive.org/stream/cihm_25061/cihm_25061_djvu.txt,

http://www.archive.org/stream/cihm_25061/cihm_25061_djvu.txt

"Le gouvernement avait cependant commencé de grands travaux, et par là grevé son crédit d'une dette de $5,458,523.09, fardeau que le Bas-Canada était appelé à partager d'après une clause de l'acte d'union. "

Réf. 107. 1871. Gosford, Brougham, Wellington, Protest House of Lords 1841.

Dans Turcotte

http://ufdc.ufl.edu/UF00072012/00001/1j,

Hansard 1886

Réf. 108. 2000. PIERRE LEFORT, SOCIÉTÉ HISTORIQUE DU MARIGOT,

La voie maritime du Saint-Laurent, rappel technique et historique.

http://www.erudit.org/culture/hq1056841/hq1057166/11294ac.pdf

Réf. 109.1840. Gosford, Against the Union of the two Canadas.

non, oui

http://hansard.millbanksystems.com/lords/1840/jun/30/minutes - S3V0055P0_18400630_HOL_2

hansard.millbanksystems.com/lords/1840/jun/30/minutes#S3V0055P0_18400630_HOL_2, HANSARD 1803–2005 → 1840s → 1840 → June 1840 → 30 June 1840 → Lords Sitting MINUTES. HL Deb 30 June 1840 vol 55 c222 222 § Bills. Read a second time:—Sugar Duties; Glass Duties; Police Rates Assessment. § Petitions presented. By the Earl of Errol, from Aberdeen, in favour of the Church of Scotland Benefices Bill—By the Bishop of Llandaff, from the Clergy of Llandaff, for Church Extension.—By the Earl of Gosford, from the Roman Catholic Bishop and Clergy of the district of Montreal, against the Union of the two Canadas. Forward to CHURCH OF SCOTLAND. NON-INTRUSION. Noticed a typo? | Report other issues | © UK Parliament

Réf. 110. 2005. UK Parliament, HANSARD 1803–2005.

hansard.millbanksystems.com

Document cherchable. 1803 à 2005.

http://hansard.millbanksystems.com/lords/1840/jun/30/minutes#S3V0055P0_18400630_HOL_2

Réf. 111. 1840. Wellington, protest against union of th two Canadas.

http://hansard.millbanksystems.com/lords/1840/jul/13/government-of-canada

http://hansard.millbanksystems.com/lords/1840/jul/13/government-of-canada

Réf. 112. 2012. Haut-Canada.

http://www.the canadianencyclopedia.com/articles/fr/hautcanada,,

"Comme les membres du Family Compact, auxquels il s'oppose avec vigueur, Mackenzie est en réalité étranger aux forces et aux valeurs qui prédominent finalement au XIXe siècle : le libéralisme modéré et l'industrialisme sans cesse croissant. Sa RÉBELLION DE 1837 est un échec, car, comme bon nombre de ses successeurs, il n'a pas compris la situation modérée et fondamentale du peuple du Haut-Canada. La province atteint le comble de l'infortune avec la rébellion. Le désordre politique s'accompagne d'un désordre économique, puisque le soulèvement fait fuir les financiers anglo-américains et que la province se réveille avec une dette de plus d'un million de livres."

Réf. 113. 2012., David Mills, Le Pacte de Famille.

http://www.thecanadianencyclopedia.com/articles/fr/pacte-de-famille

"Qualificatif peu flatteur attribué par leurs contemporains a un petit groupe de fonctionnaires qui, jusqu'aux années 1830 environ, domine les Conseils législatif et exécutif, la haute administration publique et le pouvoir judiciaire du HAUT-CANADA. La formation de ce groupe remonte au moment où John Graves SIMCOE, premier lieutenant-gouverneur du Haut-Canada, tente de créer une aristocratie locale en confiant à ses amis loyalistes des postes gouvernementaux et en leur octroyant des terres. La génération suivante, dont fait partie John Beverley ROBINSON, voit ses rangs grossir avec l'ajout de Britanniques, dont John STRACHAN, qui arrivent avant 1812 et qui s'intègrent à l'élite gouvernante TORY. Le « Family Compact », établi principalement à York (Toronto)..."

Réf. 114. 2013. Gaston Bernier et autres, Pierre Demers. La dette du Haut-Canada. Courriel adressé

à propos des présentes références.

Cher Gaston Bernier et copie à mes chers autres correspondants,

Comme je vous le disais hier au téléphone, je me trouve dans une impasse: dans mes efforts pour finaliser la documentation rsequise, en interrogeant la toile informatique, j'ai l'impression de faire du surplace, d'être au fond d'une impasse. Il me faut trouver les comptes publics du Haut-Canada à la fin de son existence, en 1841.

Je vous communique mon travail dans l'état brouillon où il se trouve, non destiné à la publication tel quel.

Voici des pistes.

je note le passage suivant de Turcotte Réf. ci-dessus. Réf. 106. 1871. et Réf. 94

, la légalité d'un pareil acte peut être mise en question : car j'apprends qu'aucune parde de *la dette de la province supérieure n'a été sanctionnée par le gouvernement de ce pays lorsqu'elle fut contractée. Je dois déclarer de nouveau la conviction où je suis que tout cela a pris origine dans une intrigue mercantile.... à la maison Baring, de Londres. Un des associés de cette puissante maison était alors ministre des finances en Angleterre

Un Baring fut Chancelier de l'Échiquier, soit ministre des finances, à Londres.

Le Lieutenant-Gouverneur du H.-C. a du faire un rapport au Ministre responsable de la colonie à Londres.

Merci de votre collaboration si vous voulez bien, il me semble qu'il y a un enjeu considérable. Saluts amicaux.

Pierre Demers phyicien LISULF 10h15 HAE mercredi 18IX2013

Réf. 115. 1960. Albert Faucher, Le problème financier de la Province du Canada (1841 - 1867)

http://www.erudit.org/revue/RS/1960/v1/n3/055034ar.html

http://www.erudit.org/revue/rs/1960/v1/n3/055034ar.pdf

http://www.erudit.org/revue/rs/1960/v1/n3/055034ar.pdf

Réf. 116. 2013. Alan Wilson, Colborne, John, 1er baron Seaton,

http://www.biographi.ca/fr/bio/colbornejohn9F.html

"Il continua de s’intéresser au Canada à la chambre des Lords. En 1840, en compagnie de lord Gosford, il s’opposa au projet d’union proposé par Thomson, "

Réf. 117. 2013. Les gouverneurs du Haut-Canada.

http://fr.wikipedia.org/wiki/ListedeslieutenantsgouverneursdelOntario

http://fr.wikipedia.org/wiki/ ListedeslieutenantsgouverneursdelOntario

Le Haut-Canada fut créé à partir de la partie occidentale de la Province de Québec (1763-1791) par l'Acte constitutionnel de 1791.

Nom	Poste	Mandat
Mgén John Graves Simcoe	Lieutenant-gouverneur	1792-1794*
Peter Russell	Administrateur	1798*-1799
Peter Hunter	Lieutenant-gouverneur	1799-1805
Cap. Alexander Grant	Président administrant le gouvernement	1805-1806
Maj. Francis Gore	Lieutenant-gouverneur	1806-1808*, 1810-1811
Mgén Sir Isaac Brock, KCB	Président administrant le gouvernement	1811-1812
Mgén Sir Roger Hale Sheaffe, Bart	Président administrant le gouvernement	1812-1813
Mgén Francis de Rottenburg, Lord de Rottenburg, KCB	Président administrant le gouvernement	1813
Lgén Sir Gordon Drummond, KCB	Président administrant le gouvernement	1813-1814
Lgén Sir George Murray	Lieutenant-gouverneur provisoire	1815
Mgén Frederick Philips Robinson	Lieutenant-gouverneur provisoire	1815
Maj. Francis Gore	Lieutenant-gouverneur	1815-1817
Samuel Smith	Administrateur	1817-1818
Mgén Sir Peregrine Maitland, KCB	Lieutenant-gouverneur	1818-1828
Mgén Sir John Colborne, KCB	Lieutenant-gouverneur	1828-1836
Sir Francis Bond Head, Bart, KCH	Lieutenant-gouverneur	1836-1838
Mgén Sir George Arthur, KCH	Lieutenant-gouverneur	1838-1839
Charles Poullet Thompson, Lord Sydenham	Lieutenant-gouverneur	1839-1840

* Des archives pour 1795-1797 et 1809 n'ont pas été trouvées.

Réf. 118. 1886. T. M. Healy. Riel et indiens, Hansard U. K.. 25II1886

http://ufdc.ufl.edu/UF00072012/00001/733j?search=canada

Réf. 119. 1988. Phillip Buckner, Poulett Thompson,

http://www.biographi.ca/fr/bio/thomson_charles_edward_poulett_7F.html,

Sydenham proclama l’Union le 10 février 1841, jour anniversaire des traités de Versailles (1763) et du mariage de la reine Victoria (1840). Il s’était rendu à Kingston en septembre 1840 pour « préparer à la hâte un endroit [...] où se réunir au printemps » mais, en partie à cause d’« une maladie très éprouvante », il ne put s’installer là-bas qu’en mai 1841. Il devait notamment régler, avec la Trésorerie britannique, les derniers détails de l’octroi d’un prêt de £1 500 000 qui servirait à éponger la dette accumulée par les deux provinces et à parachever des ouvrages publics comme le canal Welland.

Réf. 120. 2013. Gouvernement du Canada Recherche Recherchez le site Web Barre de navigation du site.

http://www.canada.gc.ca/azind/azindex-fra.html

Au sujet du Canada (ouvrir le sous-menu avec la touche de la flèche descendante et le fermer avec la touche d'échappement) Au sujet du gouvernement (ouvrir le sous-menu avec la touche de la flèche descendante et le fermer avec la touche d'échappement) Centre de ressources (ouvrir le sous-menu avec la touche de la flèche descendante et le fermer avec la touche d'échappement) Aide (ouvrir le sous-menu avec la touche de la flèche descendante et le fermer avec la touche d'échappement) Fil d'Ariane Accueil Centre de ressources Index A à Z Index A à Z Les programmes et les services inscrits présentés dans cette section sont classés par mots-clés. Par exemple, la « Charte canadienne des droits et libertés » apparaît sous la lettre D « Droits de la personne » et également sous la lettre L « Législation ». Sélectionner une lettre dans la liste ci-dessous pour accéder aux mots-clés commençant par cette lettre ou utiliser la liste complète de mots-clés.

Exemple: dette Haut-Canada

Réf. 121. 1972 Alfred Dubuc, William Molson.

http://www.biographi.ca/fr/bio/molson_william_10F.html

En 1850, l’Assemblée législative avait voté la loi autorisant les banques privées. Le 1^er octobre 1853, William Molson s’associa à son frère, John Molson l’aîné, pour former la société Moisons and Company. La raison sociale, Banque Molson, fut enregistrée le 3 décembre. La correspondance commerciale des entreprises de Thomas Molson révèle que l’émission et la circulation des billets de la nouvelle banque rencontrèrent certaines difficultés durant les deux premières années. À cette époque de convertibilité des billets, il était loisible à une banque d’accumuler pendant un certain temps les billets d’une banque concurrente et d’exiger brusquement de cette banque la conversion en métal des billets accumulés, pouvant représenter une somme importante et, par là, mettre en danger l’équilibre de l’encaisse. La Banque de Montréal, malgré les vœux de succès que les membres de son conseil d’administration adressèrent à William et à John Molson, exerça cette pression sur la Banque Molson, de connivence parfois avec la Bank of Upper Canada, de Toronto.

...

Durant une grande partie de sa vie William Molson manifesta aussi beaucoup d’intérêt envers McGill University et le Montreal General Hospital. Comme dans toute communauté industrielle et financière, en pays jeune, certaines grandes institutions d’éducation et de santé tirent, de la générosité et de l’initiative des entrepreneurs, les ressources financières et la compétence administrative, à tel point qu’on peut dire que la définition sociale de l’entrepreneur inclut, quasi-obligatoirement, sa participation à quelques-unes de ces institutions. En 1856, à l’occasion d’une souscription en faveur de McGill University, pour laquelle 50 donateurs versèrent £15 000, les trois frères Molson, à eux seuls, donnèrent £5 000, dont les revenus furent consacrés au financement d’une chaire de langue et de littérature anglaise. En 1861, William fit don d’une somme suffisante pour défrayer le coût de construction de William Molson Hall, aile ajoutée à l’extrémité occidentale du pavillon des arts. Les notices nécrologiques publiées dans les journaux de Montréal soulignèrent qu’il avait donné $5 000 en dotation au Montreal General Hospital et, quelques mois avant sa mort, $2 000 de plus pour la fondation de la maison de convalescence de cet hôpital. Durant une très grande partie de sa vie, il siégea aux bureaux d’administration de ces deux institutions. En 1868, il succéda à John Redpath* à la présidence du Montreal General Hospital. Selon le Saturday Reader du 8 septembre 1866, William Molson fut aussi l’un des promoteurs de la fondation de l’Hospice de Montréal. Il soutint également les maisons du culte. En 1866 Mme William Molson fit construire, au coût de £2 000, les deux étages de la tour et la flèche de l’église Trinity, située au coin nord-ouest de la Place Viger.

NDLR. Un mécénat, orienté presque exclusivement vers les institutions de langue anglaise.

Réf. 122. 1884. L'Abbé Henri Raymond Casgrain, Antoine Gérin-Lajoie d'après ses mémoires, Beauchemin, 79, rue St-Jacques. 1912

http://collections.banq.qc.ca/bitstream/52327/2022423/1/174711.pdf

..

..

NDLR 1. Un notable paisible et bienfaisant, à côté de tant d'autres, agitateurs et dominateurs.

NDLR 2. Mon grand'père maternel Ernest Legris (7V1857-9IX1923) lui aussi était originaire de la Rivière du Loup-d'en-haut, appelée maintenant Louiseville. P.D.

Réf. 123. 2013. Courriel Accès à l'information. comptes publics du haut canada à la fin de son existence vers 1840

.

comptes publics du haut canada à la fin de son existence vers 1840

Accès à l'information

Mme, M.,

Je souhaiterais avoir accès à l'information suivante:

comptes publics du haut canada à la fin de son existence vers 1840

Y compris sa dette

J'ai consulté sans succès votre site.

http://collectionscanada.gc.ca/lac-bac/resultats/tout?form=all&lang=fra&FormName=Fed+Simple+Search&SourceQuery=&ResultCount=5&PageNum=1&MaxDocs=-1&SortSpec=score+desc&Language=fra&SearchIn_1=&SearchInText_1=comptes+publics+du+haut+canada+%C3%A0+la+fin+de+son+existence+vers+1840&Operator_1=AND&SearchIn_2=&SearchInText_2=&Operator_2=AND&SearchIn_3=&SearchInText_3=&Sources_1=amicus&Sources_2=mikan&Sources_3=genapp&Sources_4=web&soundex=&cainInd=Merci votre aide.

Pierre Demers  physicien LISULF  il est 15h45 HAE dimanche 22IX2013

et une suite de ma part:

Le 2013-12-04 à 12:43, Demers Pierre <pierre.demers@lisulf.quebec> a écrit :

Accès à l'information

Mme, M.,

Je souhaiterais avoir accès à l'information suivante:

1. comptes publics du Haut-Canada à la fin de son existence vers 1840,

y compris sa dette;

2. comptes publics du Bas-Canada à la fin de son existence vers 1840,

y compris sa dette ou son surplus.

Je n'ai reçu aucune réponse de vous à la mienne ci-dessous datée du 22 IX 2013.

Salutations.  Pierre Demers  il est midi 45 HNE le 4 XII 2013.

===

Le 2013-09-22 à 15:47, Demers Pierre <pierre.demers@lisulf.quebec> a écrit :

comptes publics du haut canada à la fin de son existence vers 1840

Accès à l'information

Mme, M.,

Je souhaiterais avoir accès à l'information suivante:

comptes publics du haut canada à la fin de son existence vers 1840

Y compris sa dette

J'ai consulté sans succès votre site.

http://collectionscanada.gc.ca/lac-bac/resultats/tout?form=all&lang=fra&FormName=Fed+Simple+Search&SourceQuery=&ResultCount=5&PageNum=1&MaxDocs=-1&SortSpec=score+desc&Language=fra&SearchIn_1=&SearchInText_1=comptes+publics+du+haut+canada+%C3%A0+la+fin+de+son+existence+vers+1840&Operator_1=AND&SearchIn_2=&SearchInText_2=&Operator_2=AND&SearchIn_3=&SearchInText_3=&Sources_1=amicus&Sources_2=mikan&Sources_3=genapp&Sources_4=web&soundex=&cainInd=Merci votre aide.

Pierre Demers  physicien LISULF  il est 15h45 HAE dimanche 22IX2013

Réf. 124. 1985. Ken Cruikshank, John Henry Dunn

biographi.ca/fr/bio/dunn_john_henry_8F.html?revision_id=7298.

on ne sait pas très exactement comment John Henry Dunn, dans la vingtaine avancée, obtint le poste à vie de receveur général du Haut-Canada. Lui-même attribuait ce fait à l’influence de Charles Grant (plus tard lord Glenelg), premier secrétaire d’Irlande et parent du mari de Mary Ann Dunn.

Nommé receveur général le 12 avril 1820, Dunn quitta l’Angleterre avant l’été en compagnie de sa femme de 19 ans, fille d’une riche famille du Sussex, pour s’établir à York (Toronto), dans le Haut-Canada. Il fut assermenté le 18 octobre et, en moins d’un mois, reçut du receveur général intérimaire, George Crookshank, l’argent, les obligations, les comptes et les grands livres dont il aurait la garde.

NDLR. Des données précises. On peut croire que l'auteur Ken Cruikshank en 1985 est un descendant de ce George Crookshank en 1820.

Les négociations de Dunn à Londres n’avaient pas amené de nouveaux capitaux dans le Haut-Canada, et pourtant l’Assemblée cherchait £654 250 pour des travaux publics, et notamment pour la construction de deux chemins de fer. Comme la dépression continuait de sévir, les débentures du Haut-Canada étaient invendables à Londres. Le crédit de la province était d’autant plus affaibli que Head avait décidé, en l’absence de Dunn, de vendre £138 000 de débentures, payables à la compagnie Baring Brothers, mais sans en informer celle-ci, et qu’en plus la rébellion de 1837–1838 était en cours. À deux reprises, d’abord en 1839 puis un an plus tard, Dunn retourna à Londres, officiellement pour des affaires personnelles, tout en tentant de négocier un emprunt qui réduirait la dette de la province, car il avait déjà fallu réduire ou abandonner divers travaux. Dans les deux cas, il échoua. Il fallut l’union des Canadas, avec l’augmentation des revenus provinciaux, et un prêt de £1 500 000 (cours d’Angleterre), garanti par le gouvernement impérial, pour restaurer la stabilité financière du Haut-Canada.

NDLR. Quelle était la source ce dernier prêt?

Réf. 125. 2013. Ontario. Parliament. House of Assembly, upper canada journal house of assembly.

Appendix to Journal of the House of Assembly of Upper Canada, Volume 1,Partie 2

NDLR. Le 1er VII 1839, le Bas-Canada a contribué au revenu du Haut-Canada, comme ci-dessous.

..

Cherchables? Y chercher 1840, interest improvement road river debt loan english... De rares noms français. Dujardin.

 Appendix to Journal of the House of Assembly of Upper Canada

books.google.ca/books?id=kqRFAQAAIAAJ - Traduire cette page

Ontario. Parliament. House of Assembly - 1840 - Lire - Autres éditions

Journal of the House of Assembly of Upper Canada ...

books.google.ca/books?id... - Traduire cette page

Ontario. Parliament. House of Assembly - 1848 - Lire - Autres éditions

 Journal of the House of Assembly of Upper Canada - Partie 1183............

books.google.ca/books?id=cGJaAAAAYAAJ - Traduire cette page

Upper Canada. Legislature. House of Assembly - 1840 - Lire - Autres éditions

Réf. 126. 1839. upper canada journal house of assembly, version cherchable (Pa. D.)

"Pages de.." sur la toile dans le site LISULF 205 Mo.

http://lisulf.quebec/Pages de Journal_of_the_House_of_Assembly_of_Uppe-OCR.pdf

Extrait p. 194. La dette totale paraît être 869 650 L en décembre 1839. L'intérêt s'ajoute; à raison de 5% par an, facteur 1,05: en 1867 après 26 ans, 1,05 puissance 26 = 3,55.

Donc 869 650 L X 3,55 = 3,0925 Millions L.

Selon Réf. 4, une livre sterling valait 4 $ Can en 1867.

Donc en $ Can: 3,0925 X 4 = 12,37 Millions $ Can en 1867...

Comparer avec ce qu'écrit Pierre Corbeil, Réf.

« Que montrent les chiffres, selon les documents officiels de l'époque? Le Haut Canada, le 10 février 1841, avait une dette de 5 925 779, 54 $. A la même date, le Bas-Canada possédait un crédit de 189 306,41 $ [9]. »

? 5 925 779, 54 $ = 1 481 444 L X 4

D'où:

..

Réf. 127. 2000. Carman Miller

www.biographi.ca/fr/bio/abbott_john_joseph_caldwell_12F.html, (1821-1893). John Joseph Caldwell Abbott était le fils d’un ambitieux missionnaire anglais de l’Église d’Angleterre qui croyait en l’hégémonie anglaise sur l’Amérique du Nord britannique.

Andrée Héroux, John Caldwell.

http://www.biographi.ca/fr/bio/caldwell_john_7F.html, B.-C.,

http://www.biographi.ca/fr/bio.php?BioId=40043

Il fut Receveur général du Bas-Canada. Franc-Maçon, Professeur de droit à l'Université McGill.

chambre d’Assemblée, Journaux, 1802 : 213 ; 1803 : 171, 173, 177 ; 1810 : 131, 151–157, 195 ; 1815 : 342, 344, 346, 434, 436, 494 ; 1820–1821 : 87, 107, 160–161, 280 ; 1823 : 45, app. H ; 1823–1824 : 23, 55, 107, 197, 230, app. E, L, S ; 1825, app. O ; 1826 : 25, 59, 78 ; 1827 : 23, 42, 95, 153, 187, 294 ; 1828–1829 : 212, 226, 320, 322, 346, 349–351 ; 1832–1833 : 191 ; 1834 : 26, 31, 147, 194, 264, 482, app. CC ; 1835–1836 : 366, 526–527, 604, 633, 645, 648 ; Conseil législatif, Journaux, 1835 : 22–23 ; 18351836 : 114, 216 ; Conseil spécial, Journaux, 1840–1841, app. A.

Réf. 128. 1871. Tessier et al., La dette du Haut-Canada envers le Bas-Canada, LE SÉNAT, OTTAWA Le vendredi 24 février 1871.

http://www.parl.gc.ca/About/Parliament/ReconstitutedDebates/Senate/1/4/RecDeb_SEN_1871-02-24-b.pdf

lisulf.quebec/TessierSenat24II187126IX2013.htm

Réf. 129. 1888. Antoine Gérin-Lajoie et Henri-Raymond Casgrain, Dix ans au Canada, 1840 à 1850, Histoire de l'Ètablissement du Gouvernement Responsable, 619 pp., Typ. de L. J. Demers & frère, 1888 - 619 pages.

http://books.google.ca/books?id=isFYAAAAMAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0 - v=onepage&q&f=false

Cela vers cherchable.as PaD

bas-canada Conseil spécial, Journaux, 1840–1841, app. A., écrit à GB et voir Réf. 132..

Réf. 130. 1871. VIII1871, The Dominion Arbitration, The Canadian Law Journal. August 1870.

heinonline.org/HOL/LandingPage?collection=journals&handle=hein.journals/canljtns6&div=12&id=&page=,

Réf. 132. 2008. Bruno Deshaies, Le deuxième Canada, Vigile, jeudi 17 avril 2008

http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-21-29

"Texte no 2

Réunion du Conseil spécial du Bas-Canada (11, 13 et 14 novembre 1839)

Journaux du CONSEIL SPÉCIAL

4. Résolu qu’ayant égard à la nature de la dette publique du Haut-Canada et aux fins pour lesquelles elle a été principalement encourue, savoir : l’amélioration des communications intérieures, également utiles et avantageux pour les deux Provinces, il serait juste et raisonnable, de l’avis de ce Conseil, que telle portion de la dette susdite qui avait été contractée à cette fin, et non pour les dépenses de nature locale, fût défrayée à même les revenus des deux Provinces."

NDLR. La Province du Bas-Canada a-t'elle approuvé les dépenses?

Réf. 133. 2013. Jacques Leclerc, Démolinguistique, ULaval,

http://www.axl.cefan.ulaval.ca/amnord/Quebec-2demo.htm ,

Cantons-de-l'Est ou Estrie ?, (2) DonnÈes dÈmolinguistiques ,

Réf. 134. 2013. Dictionnaire Biographique du Canada, grand projet de recherche et d’édition de l’université Laval et de la University of Toronto mis sur pied en 1959.

http://www.biographi.ca/fr/, http://www.biographi.ca/fr/resultats.php/?ft=noms&s=n0,

Réf. 134. 2013. Comme précédente, pour atteindre la liste alphabétique.

http://www.biographi.ca/fr/resultats.php/?ft=noms&s=n0

Pour afficher la liste aphabétique des noms des personnes objets des biographies de A à Y, déclenchez sur Nom.

Réf. 135. 2006. AN Québec. James Mcgill (1744-1813).

http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/mcgill-james-4439/biographie.html

Membre fondateur du Beaver Club de Montréal en 1785. Légua une somme d'argent et un domaine de 46 acres, Burnside, situé à Montréal, pour doter un établissement d'enseignement, qui devint l'Université McGill. Investit dans l'immobilier notamment à Montréal, dans le Haut-Canada et dans les cantons du Bas-Canada.

Réf. 136. 1886, Joseph Royal. Le Canada sous l'Union, 1841-1867.

Conseil spécial en 1841. P. 14. Le Conseil déclara qu'il était nécessaire d'effectuer une union législative du Haut et du Bas-Canada sous le plus bref délai ; il approuvait l'octroi d'une liste civile à la Couronne, et consentait à charger le Bas-Canada de la dette du Haut-Canada

Réf. 137. 2009. AN Québec, James Cuthbert (1769-1849).

http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/cuthbert-james-2729/biographie.html

Appelé au Conseil spécial le 2 avril 1838, en fut nommé président le 18; y siégea jusqu'à la dissolution du conseil, en juin. À nouveau membre de ce corps du 2 novembre 1838 jusqu'à l'entrée en vigueur de l'Acte d'Union, le 10 février 1841.

?Vota contre le projet de charger le Québec de la dette du Haut-Canada en 1841. Exerça les fonctions de visiteur des écoles pour l'Institution royale pour l'avancement des sciences.

Réf. 138. 1840. Loi de l'Union (Union Act 1840) Sous Victoria, 23 juillet 1840, c. 35, Royaume-Uni.

D'après...

file:///Users/pierre1/Desktop/1.Contenus/1309Contenu/Acte d'Union de 1840QcAn.html,

" ARTICLE LVI

Les charges sur les Fonds réunis seront dans l'ordre suivant 1e. Dépense de perception; 2e Intérêt de la Dette; 3e paiemens au clergé 4e et 5e liste civile 6e Autres charges déjà établies sur les Revenus Publics

LVI. Et qu'il soit statué, que les frais de la perception, régie et recouvrement du fonds des revenus réunis, formeront la première charge sur iceux; que l'intérêt annuel de la dette publique des Provinces du Haut et du Bas Canada, ou de l'une ou l'autre d'icelles, au tems de la réunion des dites Provinces, formera la seconde charge sur iceux; "

Réf. 139. 2013. Canadiens-français.

fr.wikipedia.org/wiki/Canadiens_français,

« En 1975, le journaliste et historien populaire Pierre Berton publie Hollywood’s Canada, the Americanisation of Our National Image.... le rôle négatif, le « vilain », est attribué à des Canadiens français frustrés, laids, barbus, puants, gros bras sans intelligence, retors, souvent violeurs, alors que l'agent de la « Police Montée » « qui attrape toujours son homme », bel homme, propre,... . "

La contribution des Canadiens d'origine française fut essentielle pour assurer l'établissement d'un gouvernement responsable et la mise en place de la Confédération canadienne en 1867...."

" les Canadiens français ont préféré se rendre en Nouvelle-Angleterre pour travailler dans l'industrie du textile, où le transport pour s'y rendre avait été payé par ces entreprises

Pour se distinguer des « Canadiens » d'origine française, ,,,l'appellation French Canadian a commencé à être utilisée dans les journaux de Toronto pour stigmatiser les Métis de l'Ouest qui voulaient protéger leurs territoires et pour susciter l'appui des « Canadians » (l'immigration d'origine écossaise, irlandaise et britannique). Au début du siècle dernier, l'appellation « French Canadian » avait toujours ce caractère dénigrant, comme le démontrent les films tournés à Hollywood à cette époque quand ils concernaient l'histoire du Canada. Les vilains étaient des French Canadians. « En 1975, le journaliste et historien populaire Pierre Berton publie Hollywood’s Canada, the Americanisation of Our National Image. Cette magistrale étude recense 575 productions hollywoodiennes se déroulant au Canada depuis 1907 et elle révèle les caractéristiques thématiques, presque constantes, dans l'ensemble des films : le rôle négatif, le « vilain », est attribué à des Canadiens français frustrés, laids, barbus, puants, gros bras sans intelligence, retors, souvent violeurs, alors que l'agent de la « Police Montée » « qui attrape toujours son homme », bel homme, propre, intelligent, séducteur, a toujours un nom anglais. L'héroïne, la jeune fille toujours séduisante et tentation pour le héros, parfois très pure, mais souvent un peu putain, est généralement une Canadienne française. Quant aux Métis, toujours engendrés par des francophones, ils sont doublement dangereux puisqu'ils allient la sauvagerie des Indiens et de celle des Canadiens français10. » L'expression dénigrante a choqué les Canadiens d'origine française, mais pour se montrer solidaires des Métis et de Louis Riel ayant vécu à Montréal, ils endossèrent progressivement cette appellation après la pendaison de Louis Riel le 16 novembre 1885, et ce, jusque dans les années 1960, soit plus ou moins 75 ans. La contribution des Canadiens d'origine française fut essentielle pour assurer l'établissement d'un gouvernement responsable et la mise en place de la Confédération canadienne en 1867. Cependant, vers la fin du XIXe siècle et du XXe siècle, le mécontentement des Canadiens d'origine française s'accentue au sujet de leur rôle au sein du Canada (voir Québec, histoire du Canada, politique canadienne). À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, environ un million de Canadiens d'origine française quittèrent le Québec pour s'établir aux États-Unis, principalement en Nouvelle-Angleterre. Les raisons de cet exode furent principalement économiques, mais également politiques. Le premier ministre Wilfrid Laurier avait nommé comme ministre de l'Immigration Clifford Sifton, qui jugeait d'un mauvais œil plus de francophones dans les provinces de l'Ouest. Il préférait recruter les immigrants anglais, allemands, ukrainiens et américains pour défricher les terres des provinces de l'Ouest. Avec un coût de transport deux fois plus élevé que les immigrants venant de l'Angleterre, les Canadiens français ont préféré se rendre en Nouvelle-Angleterre pour travailler dans l'industrie du textile, où le transport pour s'y rendre avait été payé par ces entreprises11...."

Réf. 140. 1997. Jean Roy 1997, Les Rois et les reines d'Angleterre.

esperantonord.free.fr/cdrom/irlande_uk/rois et reines angleterre.htm

Réf. 141, 2013. HANSARD 1803–2005, Les débats du Parlement du R. U. depuis 1800.

hansard.millbanksystems.com,

Exemple:

18th century											20th century
	1800s	1810s	1820s	1830s	1840s	1850s	1860s	1870s	1880s	1890s
19th century

Réf. 142. 1840. HC Deb 23 March 1840 vol 52 cc1323-54 1323

§ Lord J. Russell said

hansard.millbanksystems.com/commons/1840/mar/23/canada,

Act of 1791, as that Act which, while it confined them within certain limits gave them advantages in which the great mass of British emigrants had no share. I will not now discuss the policy of that Act. There may have been reasons, of which I am not a sufficient judge, which made it expedient to propose that measure. One thing is certain, that Upper Canada, which then numbered 10,000 inhabitants, has since risen to 400,000, and risen to that amount under the influence of British laws and British tenures. But I have always understood, and from those who knew the sentiments of Lord Grenville, that it was not the intention of those who introduced the Act of 1791 to make a permanent division between the two provinces,

Lord Durham has shown, I think, most clearly, that whilst to all appearance the advocacy of constitutional doctrines was confined to M. Papineau and to the leading members of the Assembly, whilst the English party were obliged to find refuge in, and had the support of, the legislative council, and were therefore obliged to take the side of prerogative, in opposition to the popular assembly, they were really more attached to those great principles of liberty which it is our pride to uphold. In fact, the Assembly used the weapons of Hampden, in support of the principles of Went-worth; and while they possessed the sympathy of a considerable number of the inhabitants of the United States, they used their utmost efforts to forward a scheme of government extremely exclusive, extremely hostile to all social and political improvement, to the general extension of British enterprise, and the progress of education. For these evils—for this evil spirit—there seems no better remedy—if we agree that Canada shall have a free Government. There is no more obvious or safer mode of proceeding, in order to put down this system of monopoly and exclusion, than to adroit the inhabitants of both countries to send members to one Legislature, leaving the French race to be represented by persons of their own opinions, but depriving them of that preponderance of which they made so ill an use. In so doing, of course there are many points to which hereafter I shall have occasion to advert; but with respect to the general nature of the proposi- 1327 tion, taking the number of the inhabitants of the provinces at 1,100,000, of which 450,000 are supposed to be of the French race, there seems no reason why the two together should not send members to the Assembly who would fairly represent the whole body, and give free scope to British enterprise and emigration, without subjecting the French to any degree of oppression.

Mr. Hume

could not allow the motion to pass, without making some observations on what had fallen from the noble Lord. The noble Lord, at the conclusion of his speech, spoke proudly and fairly of free institutions. He was also occupied for a considerable time in pointing out, that nothing but misrepresentation and misgovernment had prevailed in Canada, for the last fifteen or twenty years. He had spoken of this in that glowing language he was so capable of using, but he wished to ask, whether this bill established anything like free institutions—whether a people, living at such a distance, should have all their regulations framed by individuals in Downing-street—and how the noble Lord could flatter himself that the public, either here or in Upper Canada, entertained the hopes he had expressed? He asked the noble Lord whether he had not pointed cut that, for fifteen years, whether the people of that province had not, by large majorities, passed a bill with a view to settle that question, which the noble Lord stated to be most important—and whether these bills, the expressed wish of nineteen-twentieths of the population, were not rejected?

...the message of the Governor-general, dated Toronto, January the 14th, that "he had received her Majesty's commands to administer the government of these provinces according to the well-understood feelings of the people, and paying to their feelings the deference which was due to them," and that "it would be the earnest desire of the Governor-general to discharge his trust in accordance with these principles," that had such a message been delivered at any time prior to 1837—we should have 1344 had no civil war, but every thing would have been peace and concord. Every Assembly for the last twenty years had asked that their wishes should be attended to. Those provinces had been made a source of patronage from first to last, in the shape of grants of land and sinecure offices, and interruption of those improvements which had been attempted in the laws of these colonies. The noble Lord had talked of the free institutions of this country; but the noble Lord seemed to have forgotten that in all our colonies those institutions had been hampered by the British Government, and even in America itself, on the British origin of whose people the noble Lord appeared so much to pride himself, it was only after an open resistance to our authority that free principles had become triumphant. Canada would not be tranquillized with a cost less than from 5,000,000l. to 6,000,000l. Yet Government could from the first have settled all the difficulties of the question by yielding to the just claims of the Canadian people. Lord Glenelg, though an amiable man in private life, was the person who led the country into all those embarrassments, and yet, instead of having been immediately removed from office, as the source of all those evils, he had been rewarded with a pension of 2,000l. a-year. At the time of the extraordinary course taken by Sir Francis Head in Upper Canada, one of the individuals whom he (Sir F. Head) had violently removed from office was a Mr. Baldwin, and that gentleman had been sent over to submit to the British Government the real state of Canada. Yet what would the House think of the manner in which the colonial affairs were administered, when it was told that Lord Glenelg had refused even to see this Mr. Baldwin after he had taken such a voyage, for such an express purpose. This incident he merely mentioned to show that the Government now were about conceding nearly all that had been then required for the peaceful settlement of the colonial affairs. If the demands or suggestions of Mr. Baldwin had been then attended to, if the truth had been heard and acted on, all the evils that had since occurred would have been spared. They were all, however, aware that when matters were proceeding so far, Sir Francis Head had to be recalled. He was glad to perceive, as he did by some newspaper, that Mr. Baldwin had recently been made Solicitor- 1345 General; and he would venture to say no single appointment could be made by the noble Lord which would get him more credit in the country,

Réf. 143. 1840. http://hansard.millbanksystems.com/lords/1840/jun/30/government-of-canada

GOVERNMENT OF CANADA.

HL Deb 30 June 1840 vol 55 cc227-72 227

Viscount Melbourne said, it now became his duty to recommend to their Lordships' calm and impartial consideration, a bill which had been sent up from the other House of Parliament, entitled "An Act to re-unite the Colonies of Upper and Lower Canada, and for the government of Canada." This bill came to their Lordships, recommended by the assent of the Special Council of Lower Canada, of the Legislative Council of Upper Canada, of the Legislative Assembly of Upper Canada, by the opinion of those who had lately exercised her Majesty's authority in those provinces, by the authority of Lord Durham and the present Governor-General, and by the petitions which had been presented to their Lordships from very many of her Majesty's subjects inhabiting those colonies.

The Duke of Wellington said, that having had referred to his judgment the question of the defence of these provinces, and having been of necessity engaged in the consideration of their constitution, their resources, their acts, and their proceedings, and having the highest regard for the people which inhabited them, and the sincerest wish to secure for them a permanent union with this country, and feeling how important that union was, to the power, the influence, and the prosperity of the British empire, he felt most anxious upon this measure, and he therefore intreated their Lordships to give him their attention for a few minutes. He would first make a few observations as to the last point in the address of the noble Viscount, where he stated that it was absolutely necessary that they should come to a decision upon this question, and finally settle the government of these provinces. Now, this was exactly the point upon which he differed with the noble Lord opposite. In his opinion, the time was not come at which they could with safety make that settlement. He felt quite sure that they had not got the better of the temper which had occasioned the insurrection in these provinces, nor of the desire to encourage it in a neighbouring country.

Lord Ellenbrough entirely agreed in every word that had fallen from the noble Duke. He was convinced that in passing this bill, Parliament would be committing an act tending to the separation of our North American colonies.

The Earl of Gosford observed, that with respect to this measure, he had no hesitation in expressing his opinion that it was a dangerous experiment. He was fully aware of the misapprehensions which had gone abroad with respect to the state of Canada, and he had reason to know that many even of their Lordships were impressed with the idea that the French Canadians were in a state of organized resistance to the dominion of this country and to British connexion. By whomsoever those opinions might be entertained, he for one must consider them fallacious. He did not believe, that in any of the colonies of this country, her Majesty had more loyal subjects than the French population of Lower Canada. If the few which were misled were to be considered as the population, there might be some reason for holding such opinions, but such would be a very unfair conclusion. He could assert from his own knowledge, that the great body of the French Canadians were loyal and disposed to maintain the connexion with this country. Rebellion and revolution were hateful crimes, but let them see what were the causes of the late outbreak. One single district alone on the banks of the Richelieu river had been affected with discontent. on this server.

The Earl of Ripon fell, that this was a measure, the result of which was very questionable; and, if it failed, the effect would be irreparable, and, as the noble Duke staled, the colony of Canada would be lost. He, however, did not wish to press this objection to a greater extent, as he had taken the resolution of not voting against this bill. There were many practical reasons which induced him to doubt what would be the operation of this measure in a country of such immense extent, and which was so deficient in the means of communication, and in which there existed such a difference in the laws and in the administration of justice in the two provinces, as well as in the habits and the feelings of the people. These, in his mind, constituted great difficulties in the way o a union between Lower and Upper Canada and occasioned painful feelings in his mind as to the probable results of this measure It was stated that the people of Upper 258 Canada felt that they would all share in the advantages that would result from this measure, and from the proposed union; but if they regarded Lower Canada, an opposite principle existed

Réf. 144. 1840. Hansard 9VII1840.

http://hansard.millbanksystems.com/sittings/1840/jul/09

Lord Ellenborough adverted to clause 12, which enacts that The parts of the said province which now constitute the provinces of Upper and Lower Canada respectively, shall be represented by an equal number of representatives; And proposed, as an amendment, the omission of the word "equal."

The object of the bill evidently was to deprive, as far as possible by a legislative enactment, the people of Lower Canada of French origin—of any share at all in the Government of the united province.

The Earl of Gosford begged to remark, that the noble Viscount was in error in stating, that Papineau was the chief framer of the bill of 1829. The person chiefly occupied in framing that measure was a very intelligent Scotchman, named Nelson.

Rf. 145. 1840. http://hansard.millbanksystems.com/lords/1840/jul/13/government-of-canada

On the Order of the Day for the third reading of the Canada Government Bill (with amendments) being read,

The Duke of Wellington merely rose to State to their Lordships that he still enter- 658 tained the same opinion to which he had given expression upon the second reading of this bill

Lord Ellenborough said, that his opinion upon this measure remained unaltered,

Bill read a third time and passed.

§ The following protests were entered:

§ Protest of the Duke of Wellington against the third reading.

§ Dissentient;

§ 1. Because the union of the two provinces of Upper and Lower Canada into one province, to be governed by one administration and legislature, is inconsistent with sound policy.

§ 2. Because the territory contained in the two provinces is too extensive to be so governed with convenience.

§ 3. Because the communications from one 663 part of the country to others are very long and difficult; the difficulties whereof vary, not only in different localities and parts of the country, but in the same locality at different seasons of the year.

§ 4. Because the expense which might be incurred to remedy the inconveniences and to overcome the difficulties of the communications at one season would not only be useless, but might be prejudicial, and render the communications impracticable at other seasons.

§ 5. Because, even in the hypothesis that a central place is fixed upon as the metropolis and seat of Government of the United Province, and for the Assembly of the Legislature, still the communication with the distant parts of the United Province would require a journey of from 500 to 1,000 miles by land or by water, and in most cases by both.

§ 6. Because the inhabitants of these provinces, having originally emigrated from different parts of the world, talk different languages, and have been governed, and have held their lands and possessions under laws and usages various in their principle and regulations, as are the countries from which they originally emigrated, and as are their respective languages.

§ 7. Because portions of this mixed population profess to believe in not less than fifteen different systems or sections of Christian belief or opinion; the clergy of some of these being maintained by establishments, those of others not, the Roman Catholic clergy of French origin being maintained by an establishment, while the Roman Catholic clergy attached to the Roman Catholic population of British origin have no established maintenance, and the system of provision for the clergy of the churches of England and Scotland is still under discussion in Parliament.

§ 8. Because these inhabitants of the two provinces, divided as they are in religious opinions, have no common interest, excepting the navigation of the river St. Lawrence, in the exclusive enjoyment of which they cannot protect themselves whether internally, within their own territory, or externally, but they must look for protection in the enjoyment of the same to the political influence and naval and military power of the British empire.

§ 9. Because the legislative union of these provinces is not necessary in order to render them the source of great influence and power to the mother country.

§ 10. Because the operations of the late war, terminated in the year 1815, by the treaty of Ghent, which were carried on with but little assistance from the mother country in regular troops, have demonstrated that these provinces are capable of defending themselves against all the efforts of their powerful neighbours, the United States.

§ 11. Because the military operations in the recent insurrection and rebellion have tended to show that the military resources and qualities of the inhabitants of Upper Canada have 664 not deteriorated since the late war in North America.

§ 12. Because the late Lieutenant-governor of Upper Canada, Sir Francis Head, having, upon the breaking out of the rebellion in Lower Canada, in the year 1837, detached from Upper Canada all the regular forces therein stationed, relied upon the loyalty, gallantry, and exertions of the local troops, militia, and volunteers of the province of Upper Canada.

§ 13. Because, with the aid of those under the command of the Speaker of the Legislative Assembly of Upper Canada, Colonel Sir Allan M'Nab, he first defeated the rebels in Upper Canada, and then aided in putting down the rebellion in Lower Canada, at the same time that he was carrying on operations in resistance to the invasion of the province under his Government by plunderers, marauders, and robbers from the United States, under the name of sympathisers in the supposed grievances of the inhabitants of the provinces of Upper and Lower Canada.

§ 14. Because the Legislative union of the two provinces, although the subject of much literary and other discussion, had never been considered by the Legislature of Upper Canada, excepting on terms which could not be proposed, or by any competent authority in the Lower Province, excepting in the report of a late Governor-general.

§ 15. Because the bill introduced into Parliament in the year 1839, having in view a legislative union of the two provinces of Upper and Lower Canada, was withdrawn before it was completed.

§ 16. Because the Legislature of the province of Upper Canada which had co-operated with the Government under Sir Francis Head, and had enabled him, after getting the better of the insurrection in Upper Canada, to assist the Commander-in-chief of her Majesty's Forces in 1837 to put down the rebellion in the province of Lower Canada, was not fairly consulted upon the proposed measures for the legislative union of the two provinces.

§ 17. Because a despatch, dated the 16th of October, 1839, having for its object the introduction into Upper Canada of new rules for the future administration of the patronage of the Government, and for the tenure of office, was made public at Toronto on some days previous to the assembly of the Legislature of Upper Canada, for the purpose of taking into consideration the proposed law for the legislative union of the two provinces, and the members of the two Chambers of the provincial Parliament of Upper Canada must have had reason to believe that Her Majesty's Government were anxious to carry through that particular measure; and that they would be exposed to all the consequences of opposition to the views of Her Majesty's Government, as communicated in the said despatch, if they should object to the bill proposed to them.

§ 18. Because it is well known that there is 665 in Upper Canada a large body of persons eager to obtain the establishment in Her Majesty's colonies in North America of local responsible Government, to which they had been encouraged to look by the report of the late Governor-general, the Earl of Durham, recently published.

§ 19. Because these persons considered that the despatch of the 16th of October, 1839, then published, held out a prospect of the establishment of a local responsible government under the Government of the united provinces,

§ 20. Because another despatch, dated 14th October, 1839, appears to have been sent to the Governor-general at the same time with that of the 16th October, 1339, in which despatch of the 14th October, 1839, Her Majesty's Secretary of State clearly explains the views of Her Majesty's Government upon the subject of, and against the concession of, local responsible government in the colonies.

§ 21. Because this despatch was not published, nor its contents made known in Upper Canada during the session of the Legislature, for the consideration of the measure of the legislative union, although called for by the provincial Parliament, upon which call the Governor-general answered by the expression of "his regret that it was not in his power to communicate to the House of Assembly any despatches upon the subject referred to."

§ 22. Because the Legislature of Upper Canada must have voted in favour of the measure proposed to them while under the influence of a sense of the intentions of Government, declared to be erroneous, in relation to the despatch of the 16th of October; and in total ignorance of the intentions of Her Majesty's Government, in respect to local responsible government in the colonies, as declared in the despatch from the Secretary of Slate to the Governor general, dated the 14th of October, which it appears that his Excellency had in his possession, during the discussions in the provincial Parliament of Upper Canada, on the measure of the legislative union of the two provinces.

§ 23. Because it appears the French population of Lower Canada have generally declared against the legislative union of the two provinces.

§ 24. Because the bill cannot be considered by any as giving facility to the administration of the government of the province of Canada by Her Majesty's officers, when united by virtue of its provisions; and security in the dominion to the Crown of the United Kingdom.

§ 25. Because the difficulties existing in the government of the two provinces of Upper and Lower Canada under the provisions of the act of the 31st George III., which led to insurrection and rebellion, were the result of party spirit, excited and fomented by leaders in the Legislative Assembly in each province, acting in later times, in communication, concert, and 666 co-operation with citizens of the bordering provinces of the United States.

§ 26. Because the union into one Legislature of the discontented spirits heretofore existing in two separate Legislatures will not diminish, but will tend to augment, the difficulties attending the administration of the Government; particularly under the circumstances of the encouragement given to expect the establishment in the united province of a local responsible administration of Government.

§ 27. Because a spirit had still been manifested in the adjoining provinces of the United States in recent acts of outrage upon the lives and property of Her Majesty's subjects on the frontier, and even within Her Majesty's dominions, which must tend to show in what light the spirit of opposition to Her Majesty's administration in the legislature of the united province will be viewed in the United States.

§ WELLINGTON.

§ Protest against the Rejection of the Amendment moved in Clause 12, to leave out the words "An equal number of."

§ 1. Because it is the duty of Parliament, when it enacts the union of the Legislatures of Upper and Lower Canada, during the suspension of the Legislature of the latter province, to provide that such union shall take place on principles strictly just, to which it might be presumed that the Legislature of Lower Canada, if they acquiesced in the measure of union, would not unwillingly accede, and it could not be presumed that that Legislature would consent to the provision that Lower Canada having 700,000 inhabitants, and comprising the cities of Quebec and Montreal, should have no larger number of representatives in the united Legislature than Upper Canada, which has 400,000 inhabitants.

§ 2. Because the measure affixing an equal number of representatives to two provinces so unequal, for the temporary end of outnumbering the French, tends to defeat the purpose of union, and to perpetuate the idea of disunion, while, if emigration should largely increase the English population in Upper Canada, it will tend to give the same undue weight to the French which it now gives to the English inhabitants of the united province.

§ ELLENBOROUGH.

§ Protest against the Rejection of the Amendments to Clause 18, and the two following Clauses.

§ 1. Because the House having decided giving an equal number of representatives to Upper and Lower Canada, a measure which in itself appears to be unjust to Lower Canada, it is the more necessary to provide that the representation of that province shall be settled in a manner unexceptionable, and calculated to give satisfaction to the great majority of its inhabitants.

§ 2. Because the act now regulating the representation of Lower Canada was only passed 667 in 1829, and in the opinion of the Canada commissioners, "cannot justly be charged with unfairness;" and the proposed amendments would have left the representation of Lower Canada as it was then settled, with no other alteration than that which the necessary reduction of the total number of members for that province renders unavoidable.

§ 3. Because the alterations in the representation of Lower Canada, contained in the bill, are partial in their character, having for their object still further indirectly to increase that disproportion between the representation of the English and French population of the provinces to be united, which is directly effected by the previous provision that the two provinces shall be represented by an equal number of members.

§ 4. Because, if the French Canadians are to be deprived of representative government, it would be better to do it in a straightforward way than to attempt to establish a permanent system of government on the basis of what all mankind would regard as electoral frauds. It is not in North America that men can be cheated by an unreal semblance of representative government, or persuaded that they are outvoted, when, in fact, they are disfranchised.

§ ELLENBOROUGH.

§ Protest against the Third Reading.

§ 1. Because the vast extent of the provinces to be united, the peculiar difficulty of communication between the several parts of those provinces, the dissimilar state of society in them requiring dissimilar laws, and the great amount of local and private, as well as of public business to be transacted by a legislature small in number, during a session necessarily short, combine to render it impossible that, under any circumstances, the provisions of the bill should afford a good government to the people of Canada.

§ 2. Because the great majority of the inhabitants of Upper Canada, being sincerely loyal, that province, under a separate Legislature, and an honest executive government, discountenancing the disaffected and encouraging the loyal, might be expected to remain permanently connected with this country, and by its position and its resources, would afford the means of retaining possession of the other provinces, which, if Upper Canada be lost, it would be impracticable to preserve.

§ 3. Because the bill, framed in a spirit of distrust of the French inhabitants of Lower Canada, yet gives very considerable power to their representatives, and while it tends to confirm their alleged disloyalty by the distrust it manifests, and by the bad government it creates, affords at the same time the means of constituting, by their coalition with the representatives of the disaffected in Upper Canada, a permanent majority in the Assembly hostile to the connexion with this country.

§ 4. Because the bill, founded on a double 668 error—that of undue distrust of the whole French population, and that of undue confidence in the whole population of British origin —while it gives to the former a representation inadequate to its number and to its wealth, has for its object to transfer in effect to the latter the whole legislative authority.

§ 5. Because such legislative authority, exercised in the spirit in which it is bestowed, must permanently subject the whole French population to a rule practically worse, because partially and less enlightened, than that, which in consequence of recent events has been temporarily imposed upon it by Parliament.

§ 6. Because it is unwise to show distrust, and yet to give power to the distrusted—to commit an injustice, and yet to afford the means of revenge; and while Parliament would be justified in taking all reasonable temporary security against suspected disloyalty, it should be its policy, as it is its duty, to extend its paternal care even to a disaffected people, and instead of confirming temporary alienation by permanent wrong, to endeavour to restore ancient loyalty by just and beneficent government.

§ 7. Because an union between two vast and dissimilar provinces, imposed upon one in distrust of its loyalty, without its consent, and on conditions which it must deem unjust, and acquiesced in by the other from views of fiscal advantage and legislative ascendancy, contains within itself the elements of its own dissolution; and there is but too much reason to apprehend that, at no distant period, both provinces will seek a refuge from their incongruous connexion, and from the grievance of an impracticable government, in a separation from this country, to be effected only, under such circumstances, through the violent means of civil and of foreign war.

§ 8. Because it is inconsistent with prudence to take a step which cannot be recalled under the temporary pressure of difficulties, and hastily to adopt a measure of which the proposers do not pretend to foresee the working, and which its opponents deem to tend directly to the loss of the Canadas, only because it is considered necessary "to do something" with respect to them.

§ 9. Because it is not by such legislative union, but by institutions carefully adapted to local circumstances and social distinctions—above all, by the conferring of practical benefits, that the peaceful possession of those provinces is to be secured, by the establishment in Lower Canada of a pure administration of justice, by the grant of aid to Upper Canada for the completion of a ship canal which may connect the most remote parts of that province with the navigable portion of the St. Lawrence, and by enacting an equitable arrangement for the collection by both provinces of separate duties of customs on that river—measures essential to the well being and contentment of the Canadas, and calculated, in conjunction with the commercial favours they already enjoy, to place 669 their connexion with this country upon the only solid foundation—a deep conviction that they derive advantages from that connexion which would be uattainable under any form of independent or of federal government.

§ ELLENBOROUGH.

Réf. 146. 1841. hansard.millbanksystems.com/commons/1841/feb/18/union-of-the-canadas, UNION OF THE CANADAS. HC Deb 18 February 1841 vol 56 cc706-7

Réf. 147. hansard.millbanksystems.com/lords/1841/feb/23/canada-delay-in-printing-ordinances, CANADA—DELAY IN PRINTING ORDINANCES. HL Deb 23 February 1841 vol 56 cc858-60

Réf. 148. 1867. http://canadachannel.ca/confederation/index.php/Confederation_Years_Timeline_-_1867

January

Contents

 [hide] 

• 1 January
• 2 February
• 3 March
• 4 April
• 5 May
• 6 June
• 7 July
• 8 August
• 9 September
• 10 October
• 11 November
• 12 December

• January 9, 1867 - Banquet given to honour the returned delegates to the London Conference on Confederation. Montréal, Québec
• January 9, 1867 - British North America Act given First reading in the British House of Commons at Westminster. London, England

---

February

• February 7, 1867 - Lord Carnarvon, Secretary of State for the Colonies, introduces a draft bill into the House of Lords to unite the Provinces of Canada, New Brunswick, and Nova Scotia. It is called the British North America Act. Parliament will pass the Act on March 8 and it receives Royal Assent the same month. London, England
• February 16, 1867 - John Alexander Macdonald 1815-1891 marries Susan Agnes Bernard, the sister of his personal secretary; which event, he quips, 'was an example of union '. London, England
• February 19, 1867 - British North America Bill passes Second Reading in the House of Lords, London, England - Hansard
• February 26, 1867 - British North America Bill passes Third Reading in the House of Lords, London, England - Hansard
• February 28, 1867 - British North America Bill passes Second Reading in the House of Commons, London, England - Hansard

---

March

• March 7, 1867 - New Brunswick legislature again rejects Confederation; angling for better terms, and the Intercolonial Railway. Fredericton, New Brunswick
• March 8, 1867 - British Parliament gives final reading to the British North America Act; few MPs attend to vote; more rush in after to vote against a more contentious bill to place a tax on dogs. BNA Act proclaimed March 29, 1867. London, England

Réf. 149. 2012. The Confederation Years - Resources. http://canadachannel.ca/confederation/index.php/The_Confederation_Years_-_Resources

Voir Réf. 148. Appel téléphone 11h10 à Gaston Bernier 1 418 727 0437 domi; et aussi, à la biblio. 1 418 6434408 p. 70688. Tout cela 148, 149, introuvable dans Hansard uk en ligne.

Réf. 150. 1977. CANADA A COUNTRY WITHOUT A CONSTITUTION , A Factual Examination Of The Constitutional Problem By Walter F. Kuhl Member Of Parliament Jasper-Edson 1935-1949 January 1977.

www.detaxcanada.org/kuhl.htm,

one colony

8. The British North America Act, as enacted by the Imperial Parliament, was not a constitution, but merely an Act of the Imperial Parliament which united four colonies in Canada into one colony with the supreme authority still remaining in the hands of the British government.

Réf. 151. 1867. British North America Bill.

MR. OSBORNE

I was about to move, Sir, on the Motion that you leave the Chair, that the House do now adjourn. I cannot think that I am taking any liberty with the House in moving the adjournment. This is no common period in the history of Parliament. Sir, what has happened? For three weeks this House has been kept in the dark as to the proceedings of the Government. The right hon. Gentleman the Chancellor of the Exchequer came down, not on the first night of the Session, but on the Monday following, and, like Cagliostro expounding the secret of the philosopher's stone, he left us as much in the dark as we were before.

http://hansard.millbanksystems.com/commons/1867/mar/04/british-north-america-bill

MR. OSBORNE

I cannot help thinking, Sir, that the time has arrived when, after having been kept for three weeks in the dark as to the policy or intentions of the Government, some further explanation is due to the House. ["Order!"] I am speaking, Sir, on the Motion that you leave the Chair.

§ MR. SPEAKER

The House is now 1311 proceeding on the Motion for going into Committee on the British North America Bill.

§ MR. OSBORNE

I was about to move, Sir, on the Motion that you leave the Chair, that the House do now adjourn. I cannot think that I am taking any liberty with the House in moving the adjournment. This is no common period in the history of Parliament. Sir, what has happened? For three weeks this House has been kept in the dark as to the proceedings of the Government. The right hon. Gentleman the Chancellor of the Exchequer came down, not on the first night of the Session, but on the Monday following, and, like Cagliostro expounding the secret of the philosopher's stone, he left us as much in the dark as we were before. And what has now happened? We are told that the Government is about to recur to its original policy. I wish to ask

Voir aussi: BNA, http://hansard.millbanksystems.com/commons/1867/mar/04/lords-bill-52-committee

Réf.152. 2006. Pierre Curzi.

www.vigile.net/IMG/pdf/Le_grand_Montreal_sanglicise.pdf,

Cinquièmement, la dette du Québec atteint des sommets inégalés et les restrictions budgétaires proposées par les gouvernements vont à l’encontre d’une augmentation des dépenses afin que l’intégration et la francisation des immigrants (objecti f 2010 : 55 000) soient un succès tant pour eux que pour la société québécoise. ,

Cette dernière analyse permet d’affirmer que le statut de la langue française n’est pas celui d’une langue dont l’emploi est considéré comme un atout indispensable pour s’enrichir, s’épanouir et s’élever dans la hiérarchie sociale.

Le message de l’Administration publique est confus et laisse croire que le français n’est pas nécessaire pour vivre au Québec .

Réf. 153. 2013. Michel Lapierre, Livres, Les Papineau et l’inconscient québécois

http://www.ledevoir.com/culture/livres/390249/les-papineau-et-l-inconscient-quebecois

Micheline Lachance démontre à quel point les Papineau résument et dramatisent notre psyché collective

« Donnez aux chefs des Canadiens des titres nobiliaires et honorifiques, multipliez les fonctionnaires et leurs rétributions, et vous ferez ce que vous voudrez de ce peuple docile. »

19 octobre 2013

Réf. 154. 2013. Histoire de France. Les auteurs sont des britanniques:

http://www.historyworld.net/wrldhis/PlainTextHistories.asp?groupid=1067&HistoryID=ab03&gtrack=pthc

"The Paris Commune: 1871

The Paris delegates to Versailles win peace at a humiliating cost. France is to cede Alsace and much of Lorraine to Germany, to pay a massive indemnity of 5000 million francs, and to support a German army of occupation until the money is provided. Moreover Bismarck insists on immediate elections to provide a national assembly with the authority to sign a treaty.

Elections are held on February 8 and the assembly meets at Bordeaux on February 13. On March 1 the German terms are formally accepted. On that same day the Prussian army marches in a victory parade through the streets of Paris. The crowd watches in sullen silence. Trouble is in store." 23h56 hae sam 19X2013

Read more: http://www.historyworld.net/wrldhis/PlainTextHistories.asp?groupid=1067&HistoryID=ab03&gtrack=pthc#ixzz2iENUyMnG

Réf. 155. 2010. Jean-Claude Soulard , Antoine-Aimé Dorion.

http://www.biographi.ca/fr/bio/dorion_antoine_aime_12F.html, .

Après la présentation par Dorion d’une motion de censure relativement à des sommes autorisées par le Conseil exécutif pour le financement du Grand Tronc, le gouvernement de Taché et de Macdonald est défait par deux voix en juin 1864. Le rapprochement de Brown et de John Alexander Macdonald se produit alors, et la Grande Coalition devient réalité le 22 juin 1864. La plate-forme politique qui réunit tous les partis politiques de la province du Canada, à l’exclusion des libéraux-démocrates de Dorion, est précise : la Confédération. Adversaire de ce projet, Dorion essaie de rendre l’opposition la plus cohérente possible. Il fait paraître notamment dans la Minerve du 11 novembre 1864 un manifeste contre la Confédération. Les célèbres débats du 16 février et du 6 mars 1865 en chambre reprendront les mêmes arguments : coûts, absence de consultation populaire formelle, camouflage, poids des provinces Maritimes et autres. Parlementaire rompu aux règles du jeu, Dorion dirige, résigné, une opposition opiniâtre mais sans âme.

Réf. 156. 2000. Vigile. La loi 99.

http://archives.vigile.net/ds-souv/index-99.html

 Discours du ministre Joseph Facal, jeudi 7 décembre 2000

et du 1er ministre Lucien Bouchard. http://archives.vigile.net/ds-souv/99/00-12-7.html

 «Les différents chapitres de loi édictent, en résumé: que l'État du Québec tient sa légitimité de la volonté de notre peuple; que le français est la langue officielle du Québec;..."

Discours de Jean Charest, chef de l'opposition libérale:

"Nous réaffirmons que les Québécois et Québécoises ont le droit de choisir leur avenir et de décider eux-mêmes de leur statut constitutionnel (et politique et que ce droit doit être exercé en conformité avec les lois, les conventions et principes constitutionnels ou internationaux applicables au territoire du Québec.)"

"Nous reconnaissons que le français est la langue officielle et commune des Québécois et Québécoises et qu'il y a lieu d'en favoriser l'usage, la qualité, le rayonnement et l'épanouissement.

NDLR. Et voilà de ça 13 ans. Au cours de ces 13 années, quelqu'un a-t'il voulu contester ces deux dispositions fondamentales (LB ci-dessus) devant un tribunal? Je n'ai trouvé personne. Aujourd'hui, M. Harper de les conteste pas. Sa vieille querelle - vieille de 13 ans disons, n'est pas sérieuse; elle ne concerne qu'une modalité de procédure.

Réf. 157. 1870. Arbitrage Gray et Macpherson* entre 1867 dispute terminée en 1878. *Deux Ontariens.

http://books.google.ca/books?id=v2hOAAAAMAAJ&pg=RA4-PA38&dq=upper+canada+debt+1867+gray+ad+macpherson++the+award&hl=fr&sa=X&ei=QhRnUqjTH8mf2QWcoIDYBA&ved=0CDIQ6wEwAA - v=onepage&q=upper cdlr1. anada debt 1867 gray ad macpherson the award&f=falsh

Finalement après le 3IX1970 confirmé 26III

1878 Disraëli 1er ministre

NDLR1. Ce document Peel - la Reine démontre que le nouveau"Dominion" est bien une colonie, soumise au bon plaisir de la Reine Victoria et de ses ministres à Londres.

NDLR2. Les dépenses mises en cause ont-elles été autorisées par le Bas-Canada? ( - le Canada-uni-est).

Si je comprends bien, elles le furent exclusivement par le Haut-Canada et pour ses intérêts, avec la connivence du gouvernement impérial de Londres.

Réf. 158. 2007. Perreault. Rapport Durham toujours en vigueur.

http://www.vigile.net/Rapport-Durham toujours en vigueur.Extraits.

La langue anglaise gagne du terrain comme le fera naturellement la langue des riches et des employeurs de main-d’oeuvre.

La langue, les lois et le caractère du continent nord-américain sont anglais ; et toute autre race que la race anglaise (j’applique ce mot à tous ceux qui parlent la langue anglaise) y apparaît dans un état d’infériorité. Au mieux, le sort du colon instruit et ambitieux présente actuellement peu d’espoir et peu de champ d’activité ; mais le Canadien français est rejeté encore plus loin dans l’ombre par une langue et des habitudes étrangères à celles du Gouvernement impérial.

Un esprit d’exclusion a interdit l’accès des professions les plus élevées aux classes instruites chez les Canadiens français, plus peut-être qu’il n’était absolument nécessaire ; mais il est impossible, avec la plus grande libéralité de la part du Gouvernement britannique, de donner une position égale, dans la concurrence générale de son immense population, à ceux qui parlent une langue étrangère.

On ne peut guère concevoir de nationalité plus dépourvue de tout ce qui peut vivifier et élever un peuple que celle que présentent les descendants des Français dans le Bas-Canada, du fait qu’ils ont conservé leur langue et leurs coutumes particulières.

Réf. 159. 2012. L'Encyclopédie canadienne, Pierre Berton.

http://www.thecanadianencyclopedia.com/articles/fr/pierre-berton

Dans Hollywood's Canada (1975), il montre à quel point les films d'Hollywood présentent le Canada sous un faux jour.

Réf. 160. Phillip Buckner, Peuplement du Canada.

www.historytoday.com/phillip-buckner/peopling-canada,

Great Reform Bill of 1832,

No group was more pronounced in their loyalty than the Protestant Irish who expressed their commitment to both Protestantism and the British constitutional monarchy through the Orange Order. In Canada the Orange Order expanded far beyond its ethnic roots and by the end of the nineteenth century about one-third of all English-speaking adult Canadian males belonged to it. ,

Réf. 161. 1821. Francois Blanchet, Appel au parlement imperial, Sur les pouvoirs exorbitants.

http://biblio.republiquelibre.org/images/c/cb/Francois-blanchet-appel-au-parlement-imperial.jpg

Réf. 162. 2010. Gilles Carle, L'Acte d'Union ( Le Canada-Uni) Réalisé par Gilles Carle (1928-2009)

www.youtube.com/watch?v=jLX_Epbng5E, Histoire du Québec 17

L'Acte d'Union de 1840 , Mise en ligne le 2010-12-04 Histoire du Québec 17 - L'Acte d'Union ( Le Canada-Uni) Réalisé par Gilles Carle (1928-2009)

Réf. 163. Larousse. 2013. Benjamin Disraëli.

http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Benjamin_Disraeli/116625,

En 1876, Disraeli avait été élevé à la pairie, avec le titre de lord Beaconsfield.

Réf. 164. 2013. Renée Legris. http://www.youtube.com/watch?v=1B7lO8yt6SM#t=81

Réf. 165. 2013. www.tanianavarroswain.com.br/labrys/labrys1_2/legris2.html, labrys, études féministes numéro 1-2, juillet/décembre 2002 Identité et féminisme à la radio québécoise : 1930-1970 Renée Legris.

Réf. 166. 2013. Frédéric Bastien, Dawson College. (Ne pas confondre avec Frédérick Bastien, UdeM). La Bataille de Londres Editions du Boréal ISBN 9782764632277.

flipbook.cantook.net/?d=http%3A%2F%2Fwww.entrepotnumerique.com%2Fflipbook%2Fpublications%2F16616.js&oid=11&c=&m=&l=fr&r=http://www.renaud-bray.com&f=pdf,

Réf. 167. 2013 Léo Bureau-Blouin.

www.assnat.qc.ca/fr/deputes/bureau-blouin-leo-12175/interventions.html#_Toc349217042,

M. Léo Bureau-Blouin M. Bureau-Blouin : Merci beaucoup, Mme la Présidente. J'ai noté quelques propos qui m'ont apparu importants du député de Louis-Hébert, notamment lorsque celui-ci a évoqué qu'une des plus grandes richesses, si ce n'est la plus grande richesse du Québec, c'était les jeunes. Et, bien sûr, je partage cette préoccupation, cette vision, mais je pense que ça aurait été important qu'on le mentionne peut-être un peu plus souvent, notamment au courant des derniers mois, au courant des dernières années, parce qu'on a en face de nous un parti politique qui a été très dur à l'égard d'une génération, très dur à l'égard des jeunes Québécoises et des jeunes Québécois. Et ça, ça a laissé des traces importantes, des cicatrices importantes dans l'image, la perception que les jeunes, que toute une génération ont du gouvernement du Québec, l'image d'un gouvernement qui est oppressant, l'image d'un gouvernement qui, plutôt que d'être un catalyseur des aspirations collectives, est, sans cesse, un couvercle sous lequel on essaie d'étouffer une marmite. Et ça, je pense que c'est dommage et, au courant des prochaines années, ça va laisser des traces importantes. Et ça a également eu des coûts importants qui ont été expliqués au courant des dernières semaines. Plus de 90 millions de dollars de fonds publics ont été utilisés dans la grève étudiante dernière, et ça, ce sont aussi des argents qui ont été payés par les citoyens du Québec. C'est près de 29 millions de dollars en réclamations des universités pour des salaires additionnels, pour des pertes de revenus, pour des coûts de sécurité. Juste à Montréal, on parle de près de 20 millions de dollars qui ont été réclamés par le service de police, 1 million de dollars pour le service de Québec, 400 000 $ à Sherbrooke, 800 000 $ à Longueuil, 700 000 $ à Gatineau et près de 6,7 millions pour la Sûreté du Québec, pour un total de 30 millions, sans oublier près de 1 million de dollars pour faire la promotion de l'augmentation des droits de scolarité à travers différentes publicités. Donc, ça, bien sûr, ce sont des chiffres

Réf. 168. 2010. Édition en ligne 2010. (La Recherche).

http://www.openedition.org/8699?lang=fr,

On doit s’interroger sur l’efficacité d’un système qui permet à une société hollandaise, Elsevier, de posséder plus de 3000 revues et d’en retirer des bénéfices dignes d’une start-up de la Silicon Valley. Les bénéficiaires de ce système à tendance monopolistique sont les actionnaires d’Elsevier, pas la science, ni l’édition scientifique.

Réf. 169. 2013. Robert Proulx, recteur de l'UQAM.

http://www.actualites.uqam.ca/2013/4173-recteur-amorce-sa-tournee-plan-strategique-faculte-communication,

Robert Proulx a ensuite donné un aperçu des valeurs qui l'animent, notamment la collaboration, l'ouverture et la liberté académique, et de sa vision de l'université, en insistant sur le fait que, pour lui, l'université est une communauté, ce qui la distingue des autres types d'organisation. Il a par ailleurs précisé qu'il voit l'université comme un bien public, et non comme un service public. «Un service public est commandé par le gouvernement pour répondre à des besoins de la population, dit-il. Une université doit se situer en amont et être capable, dans un univers autonome, de tenir des débats qui éclairent la société sur un ensemble d'enjeux.»

Réf. 170. 2001. Jean E. Fortier. .

http://tvanouvelles.ca/infos/regional/archives/2001/05/20010523-200046.html

Jean Fortier demeure en politique municipale

Première publication 23 mai 2001 à 20h00
Mise à jour : 23 mai 2001 à 20h05

Jean Fortier

Par PCM

Le président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Jean Fortier, restera en politique municipale.

Des rumeurs voulaient qu'il se porte candidat sous la bannière péquiste lors d'élections partielles dans la circonscription de Labelle, aux provinciales.

Jean Fortier aurait plutôt choisi de se présenter aux élections municipales montréalaises. Il croit que ses sympathies péquistes ne froisseront pas les électeurs de son district, Darlington, qui sont majoritairement anglophones et allophones, et généralement contre les fusions municipales.

NDLR. ...contre quoi? contre le français?

Réf. 171. 2013. CREPUQ.

http://www.crepuq.qc.ca/IMG/pdf/Redditions-de-comptes-24juillet2013-2.pdf ,

CULTURE ET COMMUNICATIONS Chaque établissement doit transmettre sa politique d'enseignement relativement à l'emploi et à la qualité de la langue française, ainsi que de toute modification apportée à celle - ci, au ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport. Sur demande, l'établissement d'enseignement doit transmettre au ministre un rapport faisant état de l'application de sa politique.

NDLR. Et en recherche, dans les publications? Ledit Ministère a cessé d'exister?

Réf. 172.

www.biographi.ca/en/bio.php?id_nbr=4729,

STRACHAN, JOHN, teacher, clergyman, officeholder, and bishop; b. 12 April 1778 at Aberdeen, Scotland, son of John Strachan and Elizabeth Findlayson; d. 1 Nov. 1867 at Toronto, Ont.

Réf. 173. 2013Toubon, toubon français langue des concours? ,

http://www.dglf.culture.gouv.fr/droit/loi-fr.htm

Art. 11. - I. 3XII2013- La langue de l'enseignement, des examens et concours, ainsi que des thèses et mémoires dans les établissements publics et privés d'enseignement est le français, sauf exceptions justifiées par les nécessités de l'enseignement des langues et cultures régionales ou étrangères ou lorsque les enseignants sont des professeurs associés ou invités étrangers. Les écoles étrangères ou spécialement ouvertes pour accueillir des élèves de nationalité étrangère, ainsi que les établissements dispensant un enseignement à caractère international, ne sont pas soumis à cette obligation.

Réf. 174. Micheline Champoux, Institution royale 1801.

www.uqtr.uquebec.ca/~bougaief/Culture/textes/anglicqc.htm,

On veut angliciser les Québécois.

Réf.175. 200513. Peter Jacso, Comparaison...

choo.fis.utoronto.ca/FIS/courses/LIS1325/Readings/jacso.pdf,

SPECIAL SECTION: 50 YEARS OF CITATION INDEXING CURRENT SCIENCE , VOL. 89, NO. 9, 10 NOVEMBER 2005 1537 e - mail: ja c s o@hawaii.edu As we may search – Comparison of major fe a tures of the Web of Science , Scopus , and Google Scholar cit a tion - based and citation - enhanced databases Peter Jacso Department of Information and Computer Science, University of Hawaii, Honolulu, HI 96822, USA

Réf. 176. 2013. www.aestq.org/show.php?id=133, Président - Pablo Desfossés Biochimiste de formation, monsieur Pablo Desfossés est spécialisé en environnement et enseigne depuis une quinzaine d’années à l’école Jean-Raimbault, à Drummondville. Vice-présidente - Nathalie Monette Madame Nathalie Monette est titulaire d'un diplôme d'études collégiales en laboratoire médical depuis 1991. Débutant sa carrière dans le monde médical, elle fait rapidement le saut vers le milieu de l'éducation. Secrétaire - Poste vacant. Trésorier - Frantz Morelle Monsieur Frantz Morelle est titulaire d'un baccalauréat sciences et techniques de laboratoire chimie génie des procédés industriels de l'École nationale de la chimie physique biologie (E.N.C.P.B.) à Paris, en France. Administratrice - Marie-Eve Côté Madame Marie-Eve Côté est titulaire d'un diplôme en sciences générales de l'Université d'Ottawa depuis 2001. Au départ, elle se destinait à la recherche scientifique. Administratrice - Valérie Jean Titulaire d’un baccalauréat en enseignement préscolaire et primaire (Université de Montréal), madame Valérie Jean est une passionnée qui s’intéresse à plusieurs sphères de l’enseignement. Administrateur - Daniel Lemieux Détenteur d’un baccalauréat en écologie à l’UQAM (1983), monsieur Daniel Lemieux a travaillé quelques années en recherche pour finalement décrocher un poste de technicien de laboratoire (enseignement) au département des Sciences Biologiques au sein de son alma mater. Administratrice - Sylvie Tremblay Madame Sylvie Tremblay est titulaire d'un diplôme en chimie analytique (Cégep de Jonquière – 1986) et d'un certificat en science de l'environnement (UQAM – 1991).

Pablo Desfossés Biochimiste de formation, école Jean-Raimbault, à Drummondville.

Nathalie Monette

Frantz Morelle Monsieur Frantz

Marie-Eve Côté

Valérie Jean

Daniel Lemieux UQAM (technicien de laboratoire (enseignement) au département des Sciences Biologiques au sein de son alma mater. Administratrice - Sylvie Tremblay Madame Sylvie Tremblay (UQAM – 1991).

Réf. 177. www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/06/21/10001-20130621ARTFIG00742-quand-obama-menace-hollande.php, Quand Obama menace Hollande Home MON FIGARO Mon Figaro Publié le 21/06/2013 à 20:38 L'Américain n'a pas ménagé le Français lors de la visioconférence préparatoire au G8 qui s'est tenu le 14 juin et à laquelle participaient Angela Merkel, David Cameron et Enrico Letta. À propos de l'exigence française d'exclure les biens culturels des négociations pour un traité de libre-échange transatlantique, Obama a menacé le président français de «représailles massives» si «l'exception culturelle» était étendue aux nouvelles technologies. Selon un participant à la vidéoconférence, le président américain a affirmé qu'il «ne plaisantait pas» et précisé qu'une liste de contre-mesures pouvait être transmise à Paris pour que François Hollande «se rende bien compte de ce que cela veut dire». L'échange a eu lieu peu avant que les vingt-sept ministres du Commerce trouvent un accord ménageant, au moins provisoirement, la position française.

Réf. 178. http://www.lepoint.fr/monde/l-exception-culturelle-francaise-ne-fait-pas-rire-obama-23-06-2013-1684959_24.php

François Hollande et Barack Obama lors d'un sommet de l'Otan, le 20 mai 2012. © JIM WATSON / AFP

Réf. 179. 2013, http://www.ledevoir.com/documents/cahier_special/pdf/c1af0c5dad63ba69336b09f8ec272fd0cf29afb1.pdf,

FRANCOPHONIE ENTRETIENS JACQUES-CARTIER, CAHIER THÉMATIQUE H › LE DEVOIR, LES SAMEDI 14 ET DIMANCHE 15 DÉCEMBRE 2013

REéf. 180. 2013 La Presse Michel Moisan et al.

http://www.lapresse.ca/debats/votre-opinion/201302/22/01-4624566-les-universites-anglophones-financees-demesurement.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4611955_article_POS5

Réf. 181. www.nouvelles.umontreal.ca/soumettez-un-article.html, forum 9 décembre 2013 2 décembre 2013 18 novembre 2013

Réf. 182. http://www.mariedenazareth.com/14667.0.html?&L=0,

Nicolas Froment, panneau central du triptyque “Moïse et le buisson ardent”. Huile, 410 × 305 cm. 1475-1476. Aix en Provence, cathédrale saint Sauveur. Moïse se déchausse devant le buisson qui brûle sans se consumer, figure de Marie devenant mère de Dieu. Wikimedia CC.

Réf. 183. 1994. Loi Toubon.

http://www.dglf.culture.gouv.fr/droit/loi-fr.htm,

Art. 11. - I. - La langue de l'enseignement, des examens et concours, ainsi que des thèses et mémoires dans les établissements publics et privés d'enseignement est le français, sauf exceptions justifiées par les nécessités de l'enseignement des langues et cultures régionales ou étrangères ou lorsque les enseignants sont des professeurs associés ou invités étrangers. Les écoles étrangères ou spécialement ouvertes pour accueillir des élèves de nationalité étrangère, ainsi que les établissements dispensant un enseignement à caractère international, ne sont pas soumis à cette obligation. , LOI n° 94-665 du 4 août 1994 relative à l'emploi de la langue française

Réf. 184, 2013 index prix consommation

http://www.statcan.gc.ca/tables-tableaux/sum-som/l02/cst01/econ46a-fra.htm

1993	85,6	1,9
1994	85,7	0,1
1995	87,6	2,2
1996	88,9	1,5
1997	90,4	1,7
1998	91,3	1,0
1999	92,9	1,8
2000	95,4	2,7
2001	97,8	2,5
2002	100,0	2,2
2003	102,8	2,8
2004	104,7	1,8
2005	107,0	2,2
2006	109,1	2,0
2007	111,5	2,2
2008	114,1	2,3
2009	114,4	0,3
2010	116,5	1,8
2011	119,9	2,9
2012	121,7	1,5
2012/1994 =1,421

Réf. 185. 2013 http://www.pum.umontreal.ca/apqc/94_95/blais/blais.htm,

Le budget 1995 Les dépenses. Le gouvernement du Québec prévoit des dépenses totales de 42,4 milliards de dollars pour l'année fiscale 1995-1996, une augmentation de seulement 0,7% par rapport à l'année précédente, inférieure au taux prévu d'inflation (2,0%). Les dépenses représentent 24,1% du PIB québécois.

www.budget.finances.gouv.qc.ca/Budget/2013-2014/fr/documents/CoupOeil.pdf, LES DÉPENSES (en milliards de dollars) P LES REVENUS (en milliards de dollars) P Total des dépenses 72,8

De 1995 à 2013: 72,8/42,4 = 1,717

Réf. 186. 2013. Rémi Quirion.

http://www.frq.gouv.qc.ca/messages/2013-une-annee-marquee-par-la-politique-nationale-de-la-recherche-et-de-linnovation,

Messages à la communauté 2013, UNE ANNÉE MARQUÉE PAR LA POLITIQUE NATIONALE DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION ,L’aide à la publication en français et l’accès aux banques de données gouvernementales;

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1715XIII2013 22h54 HAE

2h37 HAE sam 14 IX 2013 ++4h2915IX2913HAE, 15h28 +

13h10HAE21IX2013..+2h53HAE24IX2013

2h37 HAE sam 14 IX 2013 ++4h2915IX2913HAE, 15h28 +13h10HAE21IX2013..+2h53HAE24IX2013 26IX2013 5h47HAE... 27IX2013 6h13 HAE 3X20130h40HAE 16000 mots Me 9X201311h46HAE. 19XI2013 36XI2013, 4XII